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    Presses universitaires de Rennes
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    Formats de lecture

    Plan

    Plan détaillé Texte intégral Contextualisation historique du nocturne en couleur en photographie Contextualisation historique du nocturne et de la couleur en cinéma Le nocturne en cinéma depuis 1968, les choix Distorsions Nocturnes Prélude : distorsion du visible par la couleur noire Distorsions lumineuses et colorées Distorsions des décors Distorsions spatio-temporelles Sublimation nocturne des décors : paysages Sublimation nocturne des corps I. Transfiguration nocturne des décors Transfiguration nocturne des corps Conclusion transfiguration

    Le nocturne et l’émergence de la couleur

    Ce livre est recensé par

    • Anne-Lise Marin-Lamellet, Focales, mis en ligne le 10 juin 2022. URL : https://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/focales/1489 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/focales.1489
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    Table des matières

    Cahier d’illustrations

    p. 400-461

    Texte intégral Contextualisation historique du nocturne en couleur en photographie Pictorialisme Autochromes Le corpus photographique Contextualisation historique du nocturne et de la couleur en cinéma La féérie Le drame Le vampirisme Le nocturne en cinéma depuis 1968, les choix Distorsions Nocturnes Quelques figures Personnages doubles Prélude : distorsion du visible par la couleur noire Distorsions lumineuses et colorées Absoudre l’obscurité tout en la signifiant. Le Slit-scan de 2001 : L’Odyssée de l’espace (1968) Distorsions des décors Labyrinthes Distorsions des corps Distorsion optique Corps révulsés sur la scène nocturne. La séquence finale de The Shining (1980) de Stanley Kubrick Distorsions spatio-temporelles Condensation spatio-temporelle Les vols nocturnes de Dracula Fausser la perception du temps et de l’espace : Sublimation nocturne des décors : paysages Sublimation nocturne de l’inquiétude Sublimation nocturne de la mélancolie Sublimation nocturne de la nostalgie Sublimation nocturne de la flore et de la faune Sublimation nocturne de la machine et extension mystique du sublime Sublimation nocturne d’une technologie voyeuriste et critique de la société du spectacle Sublimation nocturne de la vision marginale et discours politique Sublimation nocturne des corps Captation émotionnelle et pensée réfléchie L’amour de Dracula (1992), le lyrisme pictural de Francis Ford Coppola Sublimation nocturne de la vie quotidienne Sublimer ou non un traumatisme par les songes ; perdre le spectateur dans les méandres du rêve et de la réalité Sublimation du deuil par le rêve et l’écriture I. Transfiguration nocturne des décors Paysages éthérés ou éclatants. Faisceaux lumineux Irradiations, halos, phosphorescences, reflets, sur le paysage urbain nocturne Trompeuse et éphémère transfiguration nocturne. Série True Detective, saison II L’influence de Stanley Kubrick Décors intérieurs, vers la mort Transfiguration nocturne des corps Morts ou renaissances Regarder la mort. Lumières bleues et rouges à l’unisson des corps dans Full Metal Jacket (1987) Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick, directeur de la photographie Douglas Milsome Guerre intérieure dans Mulholland Drive Métamorphose dans Lost Highway Transfiguration du banal Des adolescents placés dans les « ténèbres éblouissantes » de Bill Henson Conclusion transfiguration

    Texte intégral

    Contextualisation historique du nocturne en couleur en photographie

    Pictorialisme

    1. – Edward Steichen, The pond moonlight, 1904, platinotype. 39,7 × 48,2 cm,

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    © ADAGP, Paris, © The Metropolitan Museum of Art, Dist. RMN-Grand-Palais/image of the MMA.

    2. – The Flat Iron, Evening, 1904, tirage 1909, gomme bichromatée, platinotype 47,8 × 38,4 cm

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    © ADAGP, © The Metropolitan Musem of Art, Dist. RMN-Grand Palais/image of the MMA.

    Autochromes

    3. – Antonin Personnaz, Bords de l’Oise au soleil couchant, 1908-1910, autochrome, 9 × 12 cm. Collection Société française de photographie.

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    4. – Léon Gimpel (1873-1948), Illuminations Citroën sur la Tour Eiffel, 25 octobre, 1925. Autochrome, 9 × 12 cm. Collection Société française de Photographie.

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    Le corpus photographique

    5. – Daniel Boudinet, Paris, Façade (1975) série Paris, Rome, Londres, 1977. Cibachrome, 9,8 × 14,7 cm. Donation Daniel Boudinet,

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    © RMN-GP © Ministère de la Culture, Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine.

    6. – Gregory Crewdson, Untitled, 2004- Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    7. – Bill Henson, Untitled #5, 1998-1999, CL SH316 N 27 type c colour photograph, 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    8. – Rut Blees Luxemburg, Rayners Lane, série Piccadilly’s Peccadilloes, 2007, 121 × 107 cm. Courtesy of the artist.

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    9. – Jean-Christian Bourcart, Collateral (sans titre), 2005. Caissons lumineux 45 × 60 cm ou tirage 50 × 70 cm.

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    © Jean-Christian Bourcart.

    10. – Chrystel Lebas, Presence-Untitled 30-Risnjak-Kupa, 2010, dimensions variables. Courtesy of the artist.

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    11. – Darren Almond, Fullmoon-Tondo@ lapetus Moon, 2007, C print 70 ¾ × 70 ¾ in. (180 × 180 cm) [paper size]

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    © Darren Almond. Courtesy White Cube.

    12. – Laurent Hopp, Sublunaire # 080601 série Sublunaire, 2004-2010, 60 × 80 cm. Courtoisie de l’artiste.

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    13. – Nicolas Dhervillers, Mother and Son, série My Sentimental Archives, 2011, 115 × 160 cm. Courtoisie de l’artiste et de School Gallery Olivier Castaing.

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    Contextualisation historique du nocturne et de la couleur en cinéma

    La féérie

    14, 15, 16. – Le voyage autour d’une étoile de Gaston Velle, Pathé, 1906.

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    Le drame

    17, 18. – Broken Blossom, Le lys brisé de David Wark Griffith, 1919.

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    Le vampirisme

    19. – Nosferatu, Murnau, 1920.

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    20. – King Of New York (1990) d’Abel Ferrara. DR.

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    21. – Dracula (1992) de Francis Ford Coppola. DR.

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    22, 23. – La Féline (1942) de Jacques Tourneur. DR.

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    24, 25, 26. – La nuit du chasseur de Charles Laughton (1955). DR.

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    27. – Blow Out (1981), Brian de Palma. DR.

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    28. – Twin Peaks, série 1990- 1991, David Lynch. DR.

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    29. – À bout de souffle, Jean-Luc Godard (1960). DR.

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    30. – La vie Nouvelle (2002) de Philippe Grandrieux. DR.

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    31. – Miami Vice (2006) de Michael Man. DR.

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    Le nocturne en cinéma depuis 1968, les choix

    32. – 2001 : L’Odyssée de l’espace (1968) de Stanley Kubrick. DR.

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    33, 34. – Orange Mécanique (1971), de Stanley Kubrick. DR.

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    35, 36. – Barry Lyndon (1975) de Stanley Kubrick. DR.

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    37. – The Shining (1980), de Stanley Kubrick. DR.

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    38, 39, 40. – Full Metal Jacket (1987) de Stanley Kubrick. DR.

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    41. – Eyes Wide Shut (1999) de Stanley Kubrick. DR.

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    42, 43. – Série Twin Peaks saison I et II, 1990-1991, de David Lynch. DR.

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    44. – Lost Highway, 1997, de David Lynch. DR.

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    45, 46. – Mulholland Drive, 2001, de David Lynch. DR.

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    47, 48, 49. – Dracula (1992) de Francis Ford Coppola. DR.

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    50. – Twixt (2012) de Francis Ford Coppola. DR.

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    51, 52. – Phantom Of The Paradise (1974), Brian de Palma. DR.

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    53. – Carrie (1976), Brian de Palma. DR.

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    54. – Blow Out (1980), Brian de Palma. DR.

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    55. – Passion (2012), Brian de Palma. DR.

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    56, 57, 58. – Monstre I (2004), Antoine Barraud. Courtoisie du cineaste.

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    59, 60. – True Detective (saison II, 2015, épisodes 1 et 2) Nic Pizzalatto et Justin Lin. DR.

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    Distorsions Nocturnes

    Quelques figures

    61. – Altération, faisceau lumineux et re-composition de l’espace sur Untitled, 2001 de Gregory Crewdson, Digital C-Print, 135,25 × 166 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    62. – Halos sur Enges Bretterhaus/Narrow Stage, 1998 de Rut Blees Luxemburg, série Liebeslied/ My Suicides – 150 × 180 cm. Courtesy of the artist.

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    63, 64. – Torsion et négation dans 2001 : L’Odyssée de l’espace, 1968, Stanley Kubrick. DR.

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    65, 66. – Contaminations par un motif sur Collateral, 2005 de Jean-Christian Bourcart, par la couleur The Shining (1980) de Stanley Kubrick. DR.

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    Personnages doubles

    67. – The Shining (1980) Stanley Kubrick. DR.

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    68, 69. – Lost Highway (1997) de David Lynch. DR.

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    70, 71. – Time Lapse, manipulation spatio-temporelle dans Dracula (1992), Francis Ford Coppola. DR.

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    72, 73, 74. – Inversion du temps dans Lost Highway (1997) de David Lynch. DR.

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    Prélude : distorsion du visible par la couleur noire

    12001 : L’Odyssée de l’espace (1968, 65 mm) de Stanley Kubrick. DR.

    2Le fondu au noir

    77.

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    3L’apparition des trois astres à 0 : 3 : 36

    78.

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    4Lost Highway (1997, cinémascope 35 mm) de David Lynch. DR. La force obscure aspirante, le dédoublement des ombres avant la réapparition de Fred Madison.

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    Distorsions lumineuses et colorées

    85. – Lost Highway (1997) de David Lynch.

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    86. – Daniel Boudinet Rome, Carrefour (1977), série Paris, Rome, Londres (1975- 1977), Cibachrome, 9,8 × 14,2 cm.

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    © RMN-GP © Ministère de la Culture, Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine.

    87. – Daniel Boudinet, Passage (1979), série Fragment d’un labyrinthe Opus IV (1979) Cibachrome, 25,2 × 20,2 cm.

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    © RMN-GP © Ministère de la Culture, Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine.

    88. – Gregory Crewdson, Untitled, 2001-2002, Digital C-Print, 135,25 × 166 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    5Rut Blees Luxemburg (1967), séries A modern Project (1995), 150 × 180 cm chaque Courtesy Rut Blees Luxemburg

    89. – Vertiginous Exhilaration (1995).

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    90. – A modern Project (1996).

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    Absoudre l’obscurité tout en la signifiant. Le Slit-scan de 2001 : L’Odyssée de l’espace (1968)

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    97. – Casino (1995), Martin Scorcese. DR.

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    98. – Floriane de Lassée, Las Vegas-130, série Inside View (2004-2011), 100 × 150 cm, Lambda C-print sur papier Kodak Metal.

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    © Floriane de Lassée. Courtoisie de l’artiste.

    6Passion (2012) de Brian de Palma Directeur de la photographie : José Luis Alcaine (1938). DR.

    7Les deux halos rouges ayant valeur d’avertissements.

    99.

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    100.

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    8Le basculement dans le bleu du drame.

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    9The Shining (1980, 35 mm) de Stanley Kubrick, directeur de la photographie, John Alcott (1930- 1986). DR.

    10Séquences de l’ascenseur.
    – Première séquence : vision Danny.
    Musique Le Lontano (1967) de Ligeti.

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    11– Seconde séquence : vision Danny.
    Musique Polymorphia de Penderecki et son de la voix déformée de Jack.

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    12– Dernière séquence : vision Wendy.
    Musique Utrenja, De natura sonoris et Polymorphia de Penderecki- chœurs féminins.

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    Distorsions des décors

    13Jean-Christian Bourcart, série Collateral, 2005.
    Les images sont Sans titre et présentées sous forme de caissons lumineux, 45 × 60 cm ou sous formes de tirages 50 × 70 cm.

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    © Jean-Christian Bourcart.

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    14Monstre 1 (2004, 35 mm) Antoine Barraud. Direction de photographie Patrick Ghiringhelli

    15La distorsion de l’immeuble du fond à droite plus visible en mouvement qu’en plan fixe. © Antoine Barraud, Courtoisie du cinéaste.

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    Labyrinthes

    16Intérieur du labyrinthe de The Shining (1980), Stanley Kubrick. Direction de la photographie John Alcott (1930-1986). DR.

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    17Vue sur l’entrée du labyrinthe de Dracula (1992) Francis Ford Coppola et sur son cheminement. Direction de la photographie Michael Ballhaus (1935-2017). DR.

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    18Le décor labyrinthique et nocturne de Phantom of The Paradise, 1974, Brian de Palma. Direction de la photographie Larry Pizer (1925-2008). DR.

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    Distorsions des corps

    127. – Bill Henson, Untitled #125, 2000-01. LMOSH163 N15A type C photograph. 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    128. – Bill Henson Untitled #20, 2000-01 LMO SH177 N2A type C photograph 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    Distorsion optique

    129, 130, 131, 132. – Lost Highway, David Lynch, 1997. DR.

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    Corps révulsés sur la scène nocturne. La séquence finale de The Shining (1980) de Stanley Kubrick

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    145. – The Dead don’t die (2019) de Jim Jarmusch, directeur de la photographie Frederick Elmes (1946, directeur de la photographie d’Eraserhead, Blue Velvet, Sailor and Lula de David Lynch). DR.

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    19Le dédoublement physique comme expression de la dualité lumière ténèbres ou comme alternative intérieure.

    146. – Jack et Grady, vérification du reflet dans un miroir, The Shining, Stanley Kubrick, 1980. DR.

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    147.

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    20Fred Madison et ses alter ego, l’homme mystère et Pete Dayton, Renée et Alice Lost Highway, David Lynch, 1997. DR.

    151, 152, 153. – Bob est Leland, Fire Walk With Me, 1992, David Lynch. DR.

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    Distorsions spatio-temporelles

    Condensation spatio-temporelle

    156. – Chrystel Lebas, Presence, Untitled 30, Risnjak-Kupa, 2010. Dimensions variables. Courtesy of the artist.

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    157. – Darren Almond, Fullmoon@Castelstack 2007. C-print 121,2 × 121,2 cm (paper size)

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    © Darren Almond. Courtesy White Cube.

    Les vols nocturnes de Dracula

    21Dracula (1992) de Francis Ford Coppola.
    Directeur de la photographie : Michael Ballhaus (1935-2017). DR.
    Film 35 mm – format large anamorphosé 1,85 : 1.

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    Fausser la perception du temps et de l’espace :

    22My Sentimentals Archives (2011) de Nicolas Dhervillers.

    162. – Mother and Son, 115 × 160 cm, tirage Lambda. Courtoisie de l’artiste et School Gallery Olivier Castaing.

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    163. – Red Home, 115 × 160 cm, tirage Lambda. Courtoisie Nicolas Dhervillers et School Gallery Olivier Castaing.

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    164. – Children, 115 × 160 cm, tirage Lambda. Courtoisie Nicolas Dhervillers et School Gallery Olivier Castaing.

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    165. – Father and Son, 115 × 160 cm. Tirage Lambda. Courtoisie Nicolas Dhervillers et School Gallery Olivier Castaing.

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    Sublimation nocturne des décors : paysages

    Sublimation nocturne de l’inquiétude

    166. – Darren Almond, Fullmoon-Tondo @ lapetus Moon (2007), série Fullmoon @ depuis 2000. C-print, 180 × 180 cm.

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    © Darren Almond. Courtesy White Cube.

    Sublimation nocturne de la mélancolie

    167. – Bill Henson Untitled #1, 2009-10-CL SH655 N16B archival inkjet pigment print – 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    168. – Bill Henson Untitled #69, 1985-86 – gallery catalogue reference #29- archival inkjet pigment print 128 × 100 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    23Bill Henson représente le paysage industriel sous un jour sublime et dévoile peut-être aussi son inquiétude pour l’environnement.

    169. – Bill Henson, Untitled #83, 2003-2004. CSH452 NOA type C photograph, 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    Sublimation nocturne de la nostalgie

    170. – Chrystel Lebas (1966), Untitled 1, série Abyss, 2003, 200 × 86 cm. Courtesy of the artist.

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    Sublimation nocturne de la flore et de la faune

    171, 172. – Twin Peaks, série TV, épisode 6, directeurs de la photographie Ron Garcia et Frank Byers. DR.

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    24Sublimation nocturne par la couleur bleue, The Shining (1980) de Stanley Kubrick. DR.

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    25La condensation cinématographique en un plan fixe comme point de jonction entre la sublimation nocturne, le beau et le sublime sur les photographies de Gregory Crewdson.

    184. – Gregory Crewdson, Untitled, 2004, Digital Pigment Print 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    185. – Gregory Crewdson, Untitled, 2004, Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    186. – Gregory Crewdson, Untitled, 2002, Digital C-Print, 135,25 × 166 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    Sublimation nocturne de la machine et extension mystique du sublime

    262001 : L’Odyssée de l’espace (1968) de Stanley Kubrick.

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    Sublimation nocturne d’une technologie voyeuriste et critique de la société du spectacle

    27Une banale caméra de surveillance confère à son propriétaire le statut de surhomme. Phantom of the paradise (1974) de Brian de Palma, directeur de la photographie Larry Pizer.

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    Sublimation nocturne de la vision marginale et discours politique

    28Blow Out (1980) de Brian de Palma, directeur de la photographie Zsigmond Vilmos (1930-2016).

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    Sublimation nocturne des corps

    Captation émotionnelle et pensée réfléchie

    29Le drame futur des deux personnages et de la société dans laquelle ils évoluent transparait sur chacun des plans de cette rencontre.
    Barry Lyndon, réalisateur Stanley Kubrick, directeur de la photographie, John Alcott – Eastmancolor – 35 mm. DR.

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    L’amour de Dracula (1992), le lyrisme pictural de Francis Ford Coppola

    30Dracula, réalisateur Francis Ford Coppola, directeur de la photographie Michael Ballhaus. DR.

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    31Sublimation nocturne des effets du temps sur l’âme et le corps des individus. Séries Untitled (1999- 2001) de Bill Henson et Beneath The Roses (2003-2005) de Gregory Crewdson.

    223. – Bill Henson, Untitled #115, 2001-02. JPC SH203 N29A type C photograph 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    224. – Caravage, Gorgone ou Méduse, 1597-1598, huile sur toile de lin montée sur bouclier en peuplier, 48 × 48 cm. Musée du Vatican.

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    © Archives Alinari, Florence. Dist. RMN-Grand Palais/ Anderson.

    225. – Bill Henson, Untitled #63, 1999-2000. CB/JPC SH 96 N7 type C photograph, 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    226. – Bill Henson, Untitled #73, 1999-2000. CB/JPC SH96 N24 type C photograph, 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    Sublimation nocturne de la vie quotidienne

    32L’homme devient téléviseur et la récurrence nocturne de cette situation n’est pas difficile à imaginer.

    227. – Gregory Crewdson, Untitled, 2007, Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    228. – Gregory Crewdson, Untitled, 2007, Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    229. – Gregory Crewdson, Untitled, 2005, Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    230. – Gregory Crewdson, Untitled, 2007, Digital Pigment Print, 148,6 × 227,4 cm.

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    Sublimer ou non un traumatisme par les songes ; perdre le spectateur dans les méandres du rêve et de la réalité

    33Passion (2012), Brian de Palma, directeur de la photographie José Luis Alcaline (1938). DR.

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    34La folie et la violence, négations de la sublimation. Stanley Kubrick, Orange Mécanique (1971), directeur de la photographie John Alcott (1930-1986). DR.

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    Sublimation du deuil par le rêve et l’écriture

    35Twixt (2011) de Francis Ford Coppola, directeur de la photographie Mihai Malaimare Jr. (1975). DR.

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    I. Transfiguration nocturne des décors

    Paysages éthérés ou éclatants. Faisceaux lumineux

    247. – Bill Henson, Untitled #9, 2000-01. CL SH415 N30 Type C photograph, 127 × 180 cm (paper size). Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    248. – Gregory Crewdson, Untitled, 2002, Digital C-Print, 135,25 × 166 cm

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    © Gregory Crewdson. Courtesy Gagosian.

    Irradiations, halos, phosphorescences, reflets, sur le paysage urbain nocturne

    36Laurent Hopp (1974). Série Sublunaire (2010).
    Courtoisie de l’artiste.

    249. – Laurent Hopp, Sublunaire # 080601, 60 × 80 cm.

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    250. – Sublunaire # 010702, 125 × 155 cm ou 80 × 100 cm.

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    251. – Sublunaire # 020114, 60 × 80 cm.

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    252. – Rut Blees Luxemburg, Ein Mädchen aus der Fremde/A Girl From Elsewhere, série Liebeslied/My suicides, 2000, 150 × 180 cm. Courtesy of the artist.

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    253. – Rut Blees Luxemburg, Rayners Lane, série Piccadilly’s Peccadilloes, 2007, 127 × 101 cm.

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    254. – Bounds Green, série Piccadilly’s Peccadilloes, 2007, 127 × 101 cm.

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    Trompeuse et éphémère transfiguration nocturne. Série True Detective, saison II

    255, 256, 257. – Travelling arrière. Série True Detective (2015), directeur de la photographie : Adam Arkapaw, épisode 2 réalisé par Justin Lin, scénario Nic Pizzolatto. DR.

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    258, 259, 260. – Série True Detective (2015), directeur de la photographie : Adam Arkapaw, épisodes 1 et 2 réalisé par Justin Lin.

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    L’influence de Stanley Kubrick

    261, 262. – Mise à mort du cerf sacré, Yorgos Lanthimos, 2017. DR.

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    37L’exposition Daydreaming With Stanley Kubrick à Somerset House en 2016 (Daydreaming with Stanley Kubrick, An exhibition of art inspired by the master film maker, West Wing galleries, 06 July-24 August 2016. Curated by Mo’Wax and UNKLE founder [https://www.somersethouse.org.uk/whats-on/daydreaming-with-stanley-kubrick]) a rassemblé des œuvres de soixante-neuf artistes, plasticiens, photographes et musiciens, parmi lesquels Rut Blees Luxemburg. Celle-ci explique être toujours fortement impressionnée par la musique et les effets picturaux de Barry Lyndon (conversation par e-mail du 19 janvier 2018).

    263. – Rut Blees Luxemburg, The Final Duel, Barry Lyndon, Pilton Tithe Barne, Somerset, England 2016, 150 × 120 cm, reproduction digitale. Courtesy Rut Blees Luxemburg.

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    Décors intérieurs, vers la mort

    38Transfiguration des décors par la couleur rouge. Carrie (1976) de Brian de Palma, The Shining (1980) de Stanley Kubrick, Fire walk with me (1992) de David Lynch, Dracula (1993) et Twixt (2012) de Francis Ford Coppola.

    264, 265 – Carrie, Brian de Palma, 1976 (35 mm). Directeur de la photographie, Mario Tosi (1942). DR.

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    266, 267. – The Shining, 1980 (35 mm) de Stanley Kubrick. Directeur de la photographie, John Alcott (1930-1986). DR.

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    268, 269. – Dracula, Francis Ford Coppola, 1992 (35 mm – format large anamorphosé 1,85 : 1). Directeur de la photographie : Michael Ballhaus (1935-2017). DR.

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    270, 271. – Fire Walk With Me, David Lynch (1992, 35 mm). Directeur de la photographie Ron Garcia. DR.

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    272, 273. – Twixt de Francis Ford Coppola (2011, numérique). Directeur de la photographie Mihai Malaimare Jr. (1975). DR.

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    39Fugitive transfiguration par la lumière bleue, Eyes Wide Shut (1999) de Stanley Kubrick, directeur de la photographie Larry Smith. DR.

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    Transfiguration nocturne des corps

    Morts ou renaissances

    40Le final de 2001 : L’Odyssée de l’espace, transfiguration parfaite

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    Regarder la mort. Lumières bleues et rouges à l’unisson des corps dans Full Metal Jacket (1987)

    41Séquence bleue située de 38 : 29 à 43 : 37. DR.

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    Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick, directeur de la photographie Douglas Milsome

    42Rouge et noir, l’enfer sur terre. Séquence de 1 : 38 à 1 : 47. DR.

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    Guerre intérieure dans Mulholland Drive

    43Mulholland Drive (2001) de David Lynch, directeur de la photographie, Peter Deming (1957). DR.

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    Métamorphose dans Lost Highway

    44Lost Highway (1997) de David Lynch, directeur de la photographie, Peter Deming (1957). DR.

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    Transfiguration du banal

    Des adolescents placés dans les « ténèbres éblouissantes » de Bill Henson

    346. – Bill Henson Untitled #52, 2000-01. LMO SH103 N19 type C photograph 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    347. – Bill Henson, Untitled #53, 1998-00. CB 7 SH 8 N27. Type C photograph 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    45Le rêve comme transfiguration nocturne du réel. Mulholland Drive (2001) de David Lynch, direction de la photographie Peter Deming (1957). DR.

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    Conclusion transfiguration

    356. – Mulholland Drive (2001), David Lynch. DR.

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    357, 358. – Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick.

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    359. – Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick.

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    360. – Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick.

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    361. – Bill Henson, Untitled #53, 1998-00, 127 × 180 cm. Courtesy of the artist and Roslyn Oxley9 Gallery, Sydney.

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    362. – Raphaël, La Transfiguration, 1518-1520. Huile sur bois, 405 × 278 cm.

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    © Photo SCALA, Florence, Dist. RMN-Grand Palais / image Scala.

    46Épilogue

    47Le slit-scan et le fœtus astral de l’épisode 8, saison III de Twin Peaks The Return (2017) de David Lynch, directeur de la photographie Peter Deming. DR.

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    Le nocturne et l’émergence de la couleur

    Ce livre est cité par

    • Melay, Alexandre. (2022) Entre ombres et lumières, l’envers du décor du mythe américain dans les mises en scène photographiques de Gregory Crewdson. Amerika. DOI: 10.4000/amerika.16140

    Le nocturne et l’émergence de la couleur

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    Langendorff, J. (2021). Cahier d’illustrations. In Le nocturne et l’émergence de la couleur (1‑). Presses universitaires de Rennes. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180964
    Langendorff, Judith. « Cahier d’illustrations ». In Le nocturne et l’émergence de la couleur. Rennes: Presses universitaires de Rennes, 2021. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180964.
    Langendorff, Judith. « Cahier d’illustrations ». Le nocturne et l’émergence de la couleur, Presses universitaires de Rennes, 2021, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180964.

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    Langendorff, J. (2021). Le nocturne et l’émergence de la couleur (1‑). Presses universitaires de Rennes. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180789
    Langendorff, Judith. Le nocturne et l’émergence de la couleur. Rennes: Presses universitaires de Rennes, 2021. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180789.
    Langendorff, Judith. Le nocturne et l’émergence de la couleur. Presses universitaires de Rennes, 2021, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.pur.180789.
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