Les auteur.e.s
p. 267-269
Texte intégral
1 Vincent Amiel est professeur en esthétique du cinéma à l’université Panthéon-Sorbonne. Ses textes et essais portent sur le cinéma en particulier et les images en général. Il a publié notamment Le Corps au cinéma. Keaton, Bresson, Cassavetes (PUF, 1998), Esthétique du montage (Armand Colin, 2001) et tout récemment Naissances d’images (Klincksieck, 2018) qui élargit le propos présenté ici-même.
2 Fanny Barnabé est chargée de recherches FNRS à l’université de Liège et membre de Liège Game Lab. Ses recherches portent sur la narration vidéoludique (à laquelle elle a consacré l’ouvrage Narration et jeu vidéo. Pour une exploration des univers fictionnels, Bebooks, 2014), sur les différentes formes de détournement du jeu vidéo (sujet de sa thèse de doctorat) et sur les turoriels de jeu vidéo.
3 Livio Belloï est chercheur qualifié du Fonds national de la recherche scientifique et maître de conférences à l’université de Liège. Ses derniers livres en date sont : Film ist. La pensée visuelle selon Gustav Deutsch (L’Âge d’homme, 2013) et Pierre La Police. Une esthétique de la malfaçon (avec Fabrice Leroy, Serious Publishing, 2018).
4 Jean-Pierre Bertrand enseigne la littérature des xixe et xxe siècles et la sociologie de la littérature à l’université de Liège. Il s’est spécialisé dans l’histoire des formes littéraires au xixe siècle : La modernité romantique. De Lamartine à Nerval (avec Pascal Durand, Impressions nouvelles, 2006) et Les Poètes de la modernité. De Baudelaire à Apollinaire (Seuil, 2006). Il a réédité en « GF » quelques textes marquants de la littérature « fin de siècle » : Laforgue, Rodenbach, Dujardin, Schwob, Corbière. Dernier ouvrage paru : Inventer en littérature. Du poème en prose à l’écriture automatique (Seuil, 2015).
5 Michel Delville enseigne la littérature anglaise et la littérature comparée à l’université de Liège, où il dirige le Centre interdisciplinaire de poétique appliquée. Il est l’auteur de nombreuses études portant principalement sur les relations entre la littérature, la musique et les arts visuels. Parmi ses publications les plus récentes, on peut citer : Undoing Art (avec Mary Ann Caws, Quodlibet, 2016) et The Political Aesthetics of Hunger and Disgust (avec Andew Norris, Routledge, 2017).
6Laurent Demoulin, agrégé de faculté en Romane à l’université de Liège, a publié Une rhétorique par objet. Les mimétismes dans l’œuvre de Francis Ponge (Hermann, 2011), Petites Mythologies Liégeoises (avec J.-M. Klinkenberg, Tétras Lyre, 2016), Robinson (Gallimard, 2016) et Tout le reste est littérature (avec J. Dubois, Les Impressions nouvelles, 2018).
7 Björn-Olav Dozo est premier logisticien de recherche et maître de conférences à l’université de Liège, en charge des humanités numériques et des cultures populaires. Après avoir travaillé sur la littérature belge, avec Mesures de l’écrivain. Profil socio-littéraire et capital relationnel dans l’entre-deux guerres en Belgique francophone (Presses universitaires de Liège, 2011), il poursuit actuellement des recherches sur la presse vidéoludique, au sein du Liège Game Lab, et sur la bande dessinée, avec le groupe ACME, généralement à partir d’outils numériques et des méthodes de la sociologie de la littérature.
8 Erika Fülöp est maîtresse de conférence à l’université de Lancaster. Elle a publié une monographie sur Proust : Proust, the One, and the Many. Identity and Difference in A la recherche du temps perdu (Legenda, 2012). Sa recherche actuelle porte sur la réflexivité et ses paradoxes, ainsi que sur la littérature numérique.
9 Christophe Genin est professeur de philosophie de l’art et de la culture à l’université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne. Il dirige également l’école doctorale « Arts et Sciences de l’Art ». Ses travaux portent sur les identités réfractaires tant dans les processus réflexifs des œuvres d’art que dans les cultures populaires en voie de reconnaissance : Réflexions de l’art (Kimé, 1998), Kitsch dans l’âme (Vrin, 2010), Le street art au tournant (Impressions Nouvelles, 2013, éd. revue et augmentée 2016).
10 Marie Gueden est attachée temporaire d’enseignement et de recherche à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, après y avoir été doctorante contractuelle. Elle prépare une thèse intitulée La « vertu serpentine de la “pellicule” ». Modalités théoriques, historiques et esthétiques entre la ligne serpentine, ligne-mouvement, et le cinéma du pré-cinéma à Eisenstein. Elle a par ailleurs écrit plusieurs articles consacrés à Tarkovski et a collaboré à la réédition de son Journal.
11 Mathias Kusnierz est agrégé de lettres modernes et docteur en études cinématographiques. Il enseigne à l’ENSA Limoges. Ses recherches actuelles portent sur les fonctions idéologiques et politiques du cinéma hollywoodien classique et contemporain ainsi que sur le cinéma et la poésie d’avant-garde.
12 Séverine Letalleur-Sommer est maître de conférences en langue et littérature anglophones à l’université Paris Nanterre et membre du centre de recherche EA 370 CREA (Centre de recherches anglophones). Ses recherches croisent la sémiotique, l’embodied cognition et la représentation, notamment picturale et romanesque. Plus récemment, ses analyses se sont orientées vers la neuro-esthétique.
13 Jean-Marc Limoges est titulaire d’une maîtrise en Littérature française (université de Montréal) et d’un doctorat en littérature et arts de la scène et de l’écran (université Laval). Il s’intéresse à la réflexivité, à la mise en abyme et à la métalepse ainsi qu’aux questions de narration, de focalisation et d’ocularisation au cinéma. Il est rédacteur pour les revues Panorama-Cinéma et Liberté. Il prépare actuellement un livre sur Jean-Gabriel Albicocco.
14 Gwendoline de Mûelenaere est chercheuse postdoctorale à l’université de Gaud. Sa thèse, défendue à l’université catholique de Louvain, portait sur les gravures de thèses produites dans les Pays-Bas méridionaux aux xviie et xviiie siècles. Elle proposait une étude icono-logique de ces œuvres, analysant les rapports entre art, science et pouvoir.
15 Emmanuel Plasseraud est maître de conférences à l’université Bordeaux Montaigne. Il a publié deux ouvrages aux Presses universitaires du Septentrion, Cinéma et imaginaire baroque (2007) et L’Art des foules (2011). Il est aussi réalisateur de films de fiction et de documentaires.
16 Tonia Raus est professeur adjoint à l’université du Luxembourg, où elle enseigne la littérature française du xxe siècle et la didactique de la littérature. Après une thèse de doctorat consacrée à la mise en abyme chez Georges Perec, elle poursuit ses recherches en théorie de la fiction, souvent dans une perspective didactique. Elle s’intéresse par ailleurs à la littérature luxembourgeoise contemporaine en langue française. Elle vient de coéditer Le travail de l’écriture ou la mémoire dans l’œuvre de Jean Portante (CNL, Luxembourg, 2019).
17 Denis Saint-Amand, docteur en langues et lettres, est l’auteur de plusieurs ouvrages proposant une approche sociopoétique de l’histoire de la littérature française du xixe siècle, parmi lesquels La Littérature à l’ombre. Sociologie du Zutisme (Garnier, 2013) et Le Dictionnaire détourné. Socio-logiques d’un genre au second degré (PUR, 2013). Il codirige les revues COnTEXTES et Parade sauvage.
18 Michel Sirvent est professeur émérite à l’University of North Texas. Il est l’auteur de Jean Ricardou. De Tel Quel au Nouveau Roman textuel (Rodopi, 2001), Georges Perec ou Le dialogue des genres (Rodopi, 2007) et de nombreux articles sur Poe, Flaubert, Mallarmé, Giono, Nabokov, Robbe-Grillet, Lahougue, Butor, M. Roche et le roman policier.
19 Gian Maria Tore est professeur assistant à l’université du Luxembourg et s’occupe de sémiotique, arts et médias, et notamment de cinéma. Il a codirigé Médias et médiations culturelles au Luxembourg (Binsfeld, 2011), Parlons musée ! Panorama des théories et des pratiques (Binsfeld, 2014), L’énonciation aujourd’hui. Un concept clé des sciences du langage (Lambert-Lucas, 2016) et La question du « re- » (Mimesis, à paraître). Il est cofondateur et codirecteur de la revue Signata – Annales des sémiotiques/Annals of Semiotics et de l’université populaire du cinéma (Cinémathèque de Luxembourg).
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Comprendre la mise en abyme
Arts et médias au second degré
Tonia Raus et Gian Maria Tore (dir.)
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Penser la laideur dans l’art italien de la Renaissance
De la dysharmonie à la belle laideur
Olivier Chiquet
2022
Un art documentaire
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2017