Note sur les auteur.e.s
p. 219-221
Texte intégral
1
André Bayrou
Ancien élève de l’ENS (Lyon) et agrégé de lettres classiques, mène une thèse sur les procès intentés aux poètes dans la première moitié du xvie siècle, sous la direction de Michel Magnien (Paris 3), tout en s’intéressant aux situations dans lesquelles les « littéraires » sont contraints de rendre compte de leur utilité et de défendre leur activité.
2
Thibault Catel
Agrégé de lettres modernes, termine une thèse de littérature française : « Morale et moralisation de la nouvelle en France de 1559 à 1620 » sous la direction de Gérard Ferreyrolles (Paris 4). Il s’intéresse particulièrement à l’exemplarité du récit bref (de l’exemplum à la nouvelle), à l’historiographie des xvie et xviie siècles et à la question des merveilles et des monstres à la Renaissance.
3
Carole Chapin
Docteure en littérature comparée, PRAG à l’université de Picardie, vient d’achever une thèse. termine une thèse consacrée à la circulation des idées théâtrales en Europe via la presse périodique de la seconde moitié du xviiie siècle à l’université de la Sorbonne nouvelle – Paris 3. Elle s’attache particulièrement dans ses travaux aux enjeux politiques et diplomatiques de ces échanges dans le cas des relations entre l’Europe et la Russie.
4
Pauline Dorio
Ancienne élève de l’ENS (Ulm), agrégée de lettres modernes, travaille, sous la direction de Michel Magnien (Paris 3), sur le devenir familier du genre de l’épître en vers dans la première moitié du xvie siècle.
5
Lise Forment
Ancienne élève de l’ENS (Lyon), agrégée de lettres modernes et docteure en littérature française, vient d’achever une thèse sous la direction d’Hélène Merlin-Kajman (Paris 3), intitulée L’invention du post-classicisme de Barthes à Racine. L’idée de littérature dans les querelles entre Anciens et Modernes.
6
Dimitri Garncarzyk
Agrégé de lettres modernes, est co-lauréat du Prix Dix-huitième siècle de la SFEDS pour ses travaux consacrés au genre du dialogue des morts entre France et Pologne au xviiie siècle. Ses travaux de recherche en littérature générale et comparée, sous la direction de Françoise Lavocat (Paris 3), portent sur les théories et les pratiques de la poésie épique en Europe de Boileau à Ignacy Krasicki (France, Angleterre, Danemark, Pologne).
7
Audrey Lecœur
Ancienne élève de l’ENS (Lyon) et agrégée de lettres modernes, consacre ses travaux de recherche en littérature comparée, sous la direction de Françoise Lavocat (Paris 3), à l’influence de l’allégorie dans la littérature du xvie siècle et s’interroge sur la manière dont cette figure départage peu à peu l’univers du savoir et celui de la poésie lyrique moderne.
8
Hélène Merlin-Kajman
Professeur de littérature française du xviie siècle à l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, a effectué des travaux sur la notion de public à l’âge classique qui font aujourd’hui référence. Ses recherches actuelles au sein du groupe « Transitions », dont elle est la fondatrice, réinterrogent les présupposés de la critique contemporaine en s’intéressant aux liens entre la pratique de la littérature et ses fondements anthropologiques.
9
Louise Millon
Agrégée de lettres modernes, rédige une thèse pluridisciplinaire, sous la direction de Michel Magnien (Paris 3) et de Jean-Claude Schmitt (EHESS), sur l’imaginaire animal dans les romans de Rabelais, croisant les techniques d’analyse littéraire et les connaissances apportées par la philosophie, l’anthropologie historique, l’histoire des mentalités et des images.
10
Tiphaine Pocquet
Agrégée de lettres modernes, ATER à l’université de Paris 3 puis à Saint Étienne, consacre ses recherches à la mémoire et à l’oubli des guerres civiles dans les tragédies françaises au début du xviie siècle, sous la direction d’Hélène Merlin-Kajman. Partant de la loi d’oubli signée en 1598, elle croise une approche historique à l’étude des textes théâtraux pour comprendre comment la tragédie met en débat la notion d’oubli.
11
Léo Stambul
Agrégé de lettres modernes, doctorant contractuel puis ATER à l’université de Paris 3, est l’auteur d’une thèse, sous la direction de Sophie Houdard, consacrée à l’institution polémique de l’autorité de Boileau, accusé de s’être érigé en « régent » du Parnasse. Il s’intéresse plus généralement aux enjeux politiques des théories, des textes et de l’histoire littéraires.
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