Les auteurs
p. 347-352
Texte intégral
1Kirill Abrosimov a rédigé, après des études d’histoire et de philosophie à Berlin, à Aix-en-Provence et à l’école doctorale de l’EHESS, une thèse publiée sous le titre Aufklärung jenseits der Öffentlichkeit. Friedrich Melchior Grimms » Correspondance littéraire « (1753-1773) zwischen der » république des lettres « und europäischen Fürstenhöfen (Ostfildern, 2014). De 2011 à 2017, il a été assistant auprès de la chaire d’histoire moderne de l’université d’Augsbourg. Ses recherches portent sur l’histoire des médias et de la communication dans l’Europe des Lumières ainsi que sur l’émergence de la politique culturelle à l’époque moderne.
2Pierre-Yves Beaurepaire est professeur d’histoire moderne à l’université de Nice Sophia Antipolis et membre honoraire de l’Institut universitaire de France. Il a enseigné l’histoire du siècle des Lumières à l’Université libre de Bruxelles, à la San Francisco State University, à l’université de Tôkyô ainsi qu’à l’université de Tunis. Ses recherches portent sur les circulations dans l’Europe des Lumières, la sociabilité et l’étude des réseaux. Auteur d’une vingtaine d’ouvrages, il a notamment dirigé La communication en Europe de l’âge classique aux Lumières (Belin, 2014) et publié, avec Silvia Marzagalli, l’Atlas de la Révolution française. Un basculement mondial 1770-1804 (Autrement, 2016). Il a participé à l’Histoire mondiale de la France dirigée par Patrick Boucheron (Seuil, 2017).
3Florence Catherine est agrégée d’histoire et enseigne à l’université de Strasbourg. Elle est titulaire d’un doctorat d’histoire moderne portant sur La Pratique et les réseaux savants d’Albrecht von Haller, vecteurs du transfert culturel entre les espaces français et germaniques au xviiie siècle. Ce travail a obtenu le prix de thèse de la Société française d’histoire des sciences et des techniques (2010) et a été publié chez Honoré Champion. Ses recherches portent sur l’histoire des sciences et sur les circulations des savoirs entre les espaces français et germaniques au xviiie siècle.
4Élisabeth Décultot est titulaire de la chaire professorale Humboldt Culture écrite et transferts savants européens de l’époque moderne à l’université Martin Luther de Halle-Wittenberg. De 2005 à 2015, elle était directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (Paris). Ses recherches portent sur l’histoire de l’historiographie de l’art et de l’esthétique en Allemagne aux xviiie-xxe siècles, et sur les méthodes de lecture et d’écriture savantes à l’époque moderne. Sa thèse traite des débats théoriques sur la peinture de paysage dans le romantisme allemand ; son habilitation à diriger des recherches étudie la réception de l’esthétique allemande en France entre 1750 et 1850. Elle est l’auteur de l’ouvrage Johann Joachim Winckelmann. Enquête sur la genèse de l’histoire de l’art (Paris, 2000 ; trad. allemande : Ruhpolding, 2004) et a été commissaire de l’exposition « Winckelmann. Moderne Antike/Winckelmann. Modern Antiquity » à Weimar (Neues Museum, 7 avril-2 juillet 2017 ; catalogue : Winckelmann. Moderne Antike, Munich, 2017). Elle a dirigé de nombreux recueils collectifs, notamment Herder und die Künste. Ästhetik, Kunsttheorie, Kunstgeschichte (avec G. Lauer, Heidelberg, 2013) et Sattelzeit : Historiographiegeschichtliche Revisionen (avec D. Fulda, Berlin, 2016). Elle travaille actuellement à l’édition des œuvres complètes de Johann Georg Sulzer (Gesammelte Schriften, Bâle, 2014 sq.), et sur les pratiques de citation, de prise de notes et de plagiat à l’époque moderne (Lesen, Kopieren, Schreiben. Lese- und Exzerpierkunst in der europäischen Literatur des 18. Jahrhunderts, Berlin 2014 ; Exzerpt, Plagiat, Archiv. Untersuchungen zur neuzeitlichen Schriftkultur, avec Helmut Zedelmaier, Halle, 2017).
5Michel Espagne est germaniste et historien de la culture, spécialiste de l’histoire intellectuelle de l’Allemagne de la fin du xviiie et du xixe siècle et des transferts culturels qu’il a puissamment contribué à théoriser en codirigeant de 1985 à 2017 un Groupement de recherche puis une Unité mixte de recherche sur les transferts culturels franco-allemands. Il dirige de 2011 à 2019 le labex TransferS (ENS-Collège de France-CNRS). Il a consacré ses recherches à Heinrich Heine et à son contexte, à l’histoire des sciences humaines, en particulier de la philologie et de l’anthropologie, aux échanges intellectuels entre la France et l’Allemagne, entre l’Allemagne et la Russie, et entre l’Allemagne et la Grèce. Il a étudié des lieux d’échanges particulièrement intenses : des universités (Göttingen), des régions (la Saxe), des routes commerciales (de l’Aquitaine à la Baltique). Il a également travaillé sur l’émergence et le développement de l’histoire de l’art dans l’espace germanophone et ses liens avec la pensée esthétique. Il a en outre étudié les formes de resémantisation et de réinterprétation liées au passage d’un contexte culturel et linguistique à un autre selon un axe synchronique ou diachronique.
6Claire Gantet est professeure d’histoire moderne à l’université de Fribourg (Suisse) depuis 2015 et actuellement présidente de la Société suisse pour l’étude du xviiie siècle (SSEDS/SGEAJ), après avoir été maître de conférences à l’université Paris 1 et collaboratrice scientifique de l’Académie des sciences et lettres de Göttingen dans un projet de recherche sur les périodiques savants de l’Aufklärung. Ses recherches portent actuellement sur le rêve à l’époque moderne (circulations des savoirs et pratiques liées au rêve, somnambulisme magnétique) et sur les périodiques savants (Leibniz et la presse savante, périodiques des années 1780-1820). Ses dernières monographies : Der Traum in der Frühen Neuzeit. Ansätze zu einer kulturellen Wissenschaftsgeschichte, Berlin/New York, 2010 ; avec Christine Lebeau, Le Saint-Empire, 1500-1800, Paris, 2018. Parmi ses derniers recueils collectifs : avec Kirstin Buchinger et Jakob Vogel (dir.), Europäische Erinnerungsräume. Zirkulationen zwischen Frankreich, Deutschland und Europa, Francfort-sur-le-Main, 2008 ; avec Flemming Schock (dir.), Zeitschriften, Journalismus und gelehrte Kommunikation im 18. Jahrhundert. Festschrift für Thomas Habel, Brême, 2014.
7Lisa Kolb a étudié le français, l’histoire et les sciences sociales à l’université d’Augsbourg. Depuis 2017, elle est collaboratrice scientifique auprès de la chaire d’histoire moderne de l’université d’Augsbourg. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle mène des recherches sur les Lumières économiques à Berne sous l’Ancien Régime, en particulier sur les stratégies médiatiques et linguistiques de transmission et popularisation des projets de réforme de la Société économique de Berne.
8Cécile Lambert est doctorante à l’université Paris-Sorbonne et à l’université Humboldt de Berlin. Ses travaux portent sur la réception de l’auteur matérialiste français Julien Offray de La Mettrie au sein de l’espace savant et lettré franco-germanophone de la seconde moitié du xviiie siècle et étudient notamment la manière dont le prisme du scandale peut affecter les processus de réception à l’époque moderne. Elle a participé à plusieurs colloques donnant lieu à publications, dont l’article « Qu’importe l’illusion pourvu qu’on ait le plaisir ! Aspects du discours de La Mettrie sur la vision humaine », in Evelyn Dueck et Nathalie Vuillemin (dir.), » Der Augen Blödigkeit « Sinnestäuschungen, Trugwahrnehmung und visuelle Epistemologie im 18. Jahrhundert, Heidelberg, 2016, p. 91-101.
9Avi Lifschitz est professeur associé d’histoire européenne et Fellow du Magdalen College à l’université d’Oxford. Il a auparavant enseigné l’histoire européenne à l’University College London (UCL) durant une dizaine d’années. Il a effectué des séjours de recherche auprès du Wissenschaftskolleg de Berlin, de la Clark Library (université de Californie, Los Angeles), du Lichtenberg-Kolleg de l’université de Göttingen, et du Centre interdisciplinaire de recherche sur les Lumières européennes (IZEA) à Halle (Saale). Il est l’auteur du livre Language and Enlightenment. The Berlin Debates of the Eighteenth Century (2012) ; directeur du recueil Engaging with Rousseau (2016) et de « Rousseau’s Imagined Antiquity » (numéro spécial de la revue History of Political Thought, 2016) ; et codirecteur des recueils Rethinking Lessing’s Laocoon (2017) et Epicurus in the Enlightenment (2009).
10Antony McKenna, ancien élève de Christ’s Hospital (Horsham, Sussex) et de Brasenose College (Oxford), professeur émérite de littérature française à l’université Jean Monnet Saint-Étienne, a dirigé l’Institut d’histoire de la pensée classique (1991-2013), devenu IHRIM (CNRS UMR 5317). Il est l’auteur d’une thèse intitulée De Pascal à Voltaire. Le rôle des Pensées de Pascal dans l’histoire des idées entre 1670 et 1734, Oxford, 1990 ; codirecteur du Dictionnaire de Port-Royal (Paris, 2004) ; codirecteur de l’édition critique de la correspondance de Pierre Bayle (Oxford, 1999-2017, 15 vol.) ; il a cofondé et codirigé La Lettre clandestine (1991-2013). Il a publié des monographies sur Molière et sur Pascal et a établi (en collaboration avec Olivier Ferret) une édition critique des Lettres philosophiques de Voltaire. Il dirige différentes collections aux Éditions Honoré Champion.
11Markus Meumann est administrateur scientifique du Centre de recherche de Gotha de l’université d’Erfurt. Avant d’arriver à Gotha où il a participé à un projet de recherche sur l’ordre des Illuminés dits de Bavière de 2014 à 2016, il a enseigné l’histoire moderne à l’université de Halle (Saale) et été membre du groupe de recherche 529 « Les Lumières dans le contexte de l’ésotérisme moderne » financé par la Fondation allemande pour la recherche (Deutsche Forschungsgemeinschaft) au Centre interdisciplinaire de recherche sur les Lumières en Europe (IZEA). Après une maîtrise d’histoire à l’université de Caen en 1988, il a rédigé une thèse soutenue à l’université de Göttingen sur les enfants indigents à l’époque moderne (Findelkinder, Waisenhäuser, Kindsmord. Unversorgte Kinder in der Frühen Neuzeit, Munich, Oldenbourg, 1995). Il a codirigé de nombreux ouvrages sur l’histoire politique et militaire de l’époque moderne et sur les Lumières, ainsi, récemment, le volume 28 de la revue Aufklärung (Aufsatzpraktiken im 18. Jahrhundert, Hambourg, Felix Meiner, 2017) et le recueil Kampf um die Aufklärung ? Institutionelle und intellektuelle Vielfalt im Halle des 18. Jahrhunderts (Halle, Mitteldeutscher Verlag, 2018).
12Martin Mulsow a depuis 2008 la chaire professorale Cultures du savoir dans l’Europe de l’époque moderne à l’université d’Erfurt et est directeur du Centre de recherche de Gotha de l’université d’Erfurt. Il a étudié la philosophie, la germanistique et l’histoire aux universités de Tübingen, Berlin et Munich (thèse en 1991, habilitation à diriger des recherches en 2000). De 2005 à 2008, il était professeur d’histoire à l’université Rutgers (USA). Il a été Fellow à l’Institute for Advanced Study de Princeton, au Wissenschaftskolleg de Berlin, au Center for Theological Inquiry de Princeton et au NIAS à Amsterdam, professeur invité à l’École des hautes études en sciences sociales de Paris et est membre des Académies des sciences de Saxe et de Berlin-Brandebourg. Ses dernières publications : Prekäres Wissen. Eine andere Ideengeschichte der Frühen Neuzeit, Berlin, 2012 ; Radikalaufklärung (dir. avec Jonathan Israel), Berlin, 2014 ; Was als wissenschaftlich gelten darf. Praktiken der Grenzziehung in Gelehrtenmilieus der Vormoderne (dir. avec Frank Rexroth), Francfort-sur-le-Main, 2014 ; Enlightenment Underground. Radical Germany 1680-1720, Charlottesville, 2015 ; Radikale Frühaufklärung in Deutschland 1680-1720, 2 vol., Göttingen, Wallstein, 2018 ; Savoirs précaires. Pour une autre histoire des idées à l’époque moderne, trad. par Laurent Cantagrel et Loïc Windels, Paris, MSH, 2018.
13Vincent Robadey est doctorant à l’université de Fribourg en cotutelle avec l’université de Leipzig. Ses recherches portent sur les transferts de savoir agronomique entre la Suisse et la France. Il a rédigé un mémoire sur le Renouveau de la pensée scientifique, politique, sociale et économique au sein de la Société économique de Berne entre 1759-1773, Fribourg, 2012.
14Anne Saada est chercheur au CNRS (UMR 8547, Pays Germaniques, ENS). Après une thèse en histoire sur la réception de Diderot en Allemagne au xviiie siècle (Inventer Diderot. Les constructions d’un auteur dans l’Allemagne des Lumières, Paris, 2003), ses recherches ont surtout porté sur l’histoire socio-culturelle du Saint-Empire pendant l’Aufklärung. Elle travaille actuellement sur l’université de Göttingen au xviiie siècle.
15Ulrich Johannes Schneider est directeur de la bibliothèque universitaire de Leipzig et professeur à l’Institut des sciences de la culture de l’université de Leipzig. Ses recherches portent sur l’histoire de la philosophie, sur l’encyclopédisme et sur l’histoire du livre et des bibliothèques. Ses dernières parutions : Die Erfindung des allgemeinen Wissens. Enzyklopädisches Schreiben im Zeitalter der Aufklärung (Berlin, 2013), Les arts du texte. La révolution du livre autour de 1500 (Darmstadt, 2016). Pour plus de renseignements, voir ujschneider.de.
16Flemming Schock a fait des études d’histoire et de germanistique à Essen (Maîtrise et stage à l’Institut historique allemand de Washington en 2004). Au moyen d’une bourse de l’École doctorale d’Augsbourg « Champs du savoir de l’époque moderne » financée par la Fondation allemande pour la Recherche (Deutsche Forschungsgemeinschaft) de 2005 à 2008, il a soutenu une thèse en 2009 sous le titre Die Text-Kunstkammer. Populäre Wissenssammlungen des Barock am Beispiel der Relationes Curiosae von E. W. Happel. Il a été collaborateur scientifique du projet de recherche de la Fondation allemande pour la Recherche Welt und Wissen auf der Bühne. Theatrum-Literatur der Frühe Neuzeit (2009-2011), et est depuis 2011 collaborateur scientifique du projet de recherche Gelehrte Journale und Zeitungen der Aufklärung als Netzwerke des Wissens de l’Académie des sciences et lettres de Göttingen. Ses recherches portent sur l’histoire des médias et l’histoire du savoir à l’époque moderne. Ses dernières publications : (dir.), Polyhistorismus und Buntschriftstellerei. Populäre Wissensformen und Wissenskultur in der Frühen Neuzeit, Berlin, 2012 ; (dir. avec Claire Gantet), Zeitschriften, Journalismus und gelehrte Kommunikation im 18. Jahrhundert, Brême, 2014.
17Martin Stuber a rédigé une thèse sur l’histoire de la gestion durable des forêts (1996), publiée, remaniée, sous le titre Wälder für Generationen (Cologne, 2008). Dans le cadre du projet de l’université de Berne financé par le Fonds national suisse (FNS) Albrecht von Haller und die Gelehrtenrepublik der Aufklärung, il a coédité un Repertorium zu Albrecht von Hallers Korrespondenz (Bâle, 2003) et a été le principal éditeur du projet de synthèse Hallers Netz (Bâle, 2005). En tant que coordinateur du projet FNS de l’université de Berne Nützliche Wissenschaft, Naturaneignung und Politik, il a codirigé le recueil Nützliche Wissenschaft und Ökonomie im Ancien Régime (Heidelberg 2007) et, en tant que directeur de publication, Kartoffeln, Klee und kluge Köpfe. Die Oekonomische und Gemeinnützige Gesellschaft des Kantons Bern OGG (Berne 2009). Dans le contexte du 300e anniversaire de la naissance d’Albrecht von Haller, il a copublié le recueil Scholars in Action. The Practice of Knowledge and the Figure of the Savant in the 18th Century (Leyde, 2013). En tant qu’historien indépendant, il a corédigé, sur la base d’un mandat, des ouvrages sur les formes traditionnelles d’utilisation des forêts en Suisse et sur l’histoire de Berne : Hüeterbueb und Heitisträhl. Traditionelle Formen der Waldnutzung in der Schweiz (Berne, 2e éd. 2012) et Von Bernern und Burgern. Tradition und Neuerfindung einer Burgergemeinde (Bade, 2015). Il est actuellement codirecteur du projet de transformation de la base de données sur Haller en une plateforme ouverte d’édition et de recherche, hallerNet.
18Helmut Zedelmaier enseigne en tant que professeur extraordinaire d’histoire moderne à l’université Louis-Maximilien de Munich et travaille au Centre interdisciplinaire de recherche sur les Lumières européennes (IZEA) dans le cadre de la chaire professorale Humboldt Culture écrite et transferts savants européens de l’époque moderne de l’université Martin Luther de Halle-Wittenberg. Ses recherches portent sur l’histoire des savoirs et l’histoire culturelle de l’époque moderne et du xixe siècle. Sa dernière parution est une histoire des « ateliers savants » de la Renaissance aux Lumières : Werkstätten des Wissens zwischen Renaissance und Aufklärung, Tübingen, 2015.
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