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Remerciements

p. 13-14


Texte intégral

1Ce travail est le résultat d’une thèse binationale à l’université de Bretagne occidentale de Brest et à la Christian-Albrechts-Universität Kiel, basée sur des recherches que j’ai menées dans les archives militaires allemandes, aux Archives nationales à Paris et au Service historique de la Défense à Vincennes et Brest. Le contexte est le partenariat entre les universités sur la base du jumelage des deux villes qui m’a amené à Brest pour la première fois en 1999 en tant qu’étudiant. Pour ce séjour, mon futur directeur de thèse allemand, Michael Salewski, professeur en histoire contemporaine à l’université de Kiel, avait attiré mon attention sur le sujet de la Kriegsmarine en France occupée, sujet sur lequel, selon lui, en tant que spécialiste de l’histoire navale allemande, on avait déjà beaucoup écrit, surtout sur la guerre des sous-marins, mais on en savait peu sur l’histoire de leurs bases. J’ai eu de la chance que le professeur Christian Bougeard de l’université de Bretagne occidentale s’est également intéressé au sujet et ces premières recherches ont abouti à une thèse en cotutelle, financée par l’Institut historique allemand de Paris et le Service historique de la Défense et soutenue en 2006. Ensuite, à côté des obligations professionnelles, il a d’abord fallu publier les résultats en Allemagne sous forme de livre ; puis un autre livre sur l’histoire générale des bases navales allemandes en France s’ajoutait, mais la France a dû attendre longtemps pour la traduction. Mais maintenant c’est fait et je suis très heureux d’achever ce projet, qui me lie à la Bretagne depuis des années, dans le cadre du 75e anniversaire de la fin de la guerre et de pouvoir donner aux Brestois un chapitre de leur histoire, dans lequel leur ville a presque disparu. J’étais toujours très reconnaissant au soutien français pendant ces recherches, j’aime repenser aux discussions avec Paul Coat sur l’histoire de l’arsenal, je suis reconnaissant à Patrick Petit qui m’a guidé dans les fonds des archives de la Marine de Brest et je remercie Stefan Martens de l’Institut historique allemand de Paris et Philippe Vial du Service historique de la Défense pour leur soutien scientifique. Et je voudrais surtout remercier mon directeur de thèse français, Christian Bougeard, de ne pas avoir cessé de me demander l’état de la traduction et de la lecture du manuscrit. Je remercie également mon ami Gilles Bourrien de Dinan et Pierrick Pourchasse de l’université de Bretagne occidentale pour leur aide et leurs corrections dans la traduction. Je remercie l’Institut historique allemand de Paris et la Société d’histoire et d’archéologie de Bretagne pour leur soutien financier à la publication. Pour que ce livre fasse progresser la compréhension de nos deux pays et l’amitié franco-allemande.

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