Remerciements
p. 6
Texte intégral
1Ce livre a une histoire. Il trouve sa source dans un programme de l’Agence nationale de la recherche dirigé par Bernard Grunberg consacré à la formation d’un corpus sur les origines de la colonisation des Petites Antilles (1493-1660). Il est rapidement apparu que les délibérations de la Compagnie des îles de l’Amérique méritaient un traitement particulier. Elles ont fourni la matière d’un premier travail sous la forme d’une habilitation à diriger des recherches qui a été poursuivi et enrichi pour aboutir à cet ouvrage. Il doit beaucoup à tous ceux qui, collègues, amis, nous ont ouvert lors de réunions, de colloques ou d’amicales discussions, à de nouvelles problématiques et questionnements.
2Je veux tout d’abord à témoigner de l’amitié et du soutien durant toutes ces années de Bernard Grunberg. Il a vu la genèse et l’aboutissement de ce travail. Je tiens aussi à mentionner particulièrement Christian Borde avec qui j’ai pu monter le séminaire sur l’entreprise maritime et coloniale à l’université du Littoral-Côte d’Opale, Benoît Roux, Jérôme Jue et Marion Tanguy pour les documents qu’ils ont bien voulus nous communiquer, Philippe Hrodĕj pour les références d’archives qu’il nous a indiqué, et Anne Conchon pour ses orientations bibliographies en matière économique. Giovanni Pizzorusso a toute ma reconnaissance pour nous avoir guidé avec assurance dans les collections et les archives romaines. Les informations précieuses sur les corsaires de Dunkerque, qui ont tant menacé la route transatlantique et perturbé les liaisons vers les îles, nous ont été apportées par Christian Pfister et Patrick Villiers.
3Je remercie Guy Saupin, Sylvia Marzagalli et Sylviane Llinarés, qui ont eu entre les mains la première partie de cet ouvrage et m’ont permis d’en éclaircir le texte grâce à leurs remarques et observations, et Frédéric Régent pour sa relecture de l’ensemble.
4Je voudrais souligner l’attention et la disponibilité des personnels des archives et des bibliothèques que nous avons consultées en France et à l’étranger, ouvriers de l’ombre de nombre de travaux dont celui-ci.
5Un travail de recherche est particulièrement accaparant. Il nécessite de nombreux déplacements et une attention de tous les instants. Il ne peut s’effectuer que dans un environnement personnel conciliant et compréhensif. Ma femme et mes enfants ont été patients. Je les embrasse.
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