Remerciements

1Ce livre est la version remaniée d’une thèse de doctorat soutenue le 28 octobre 2013 à l’université Paris-Nanterre devant un jury composé des professeurs Monique Cottret, Stéphane Gomis, Philippe Martin, Frédéric Meyer, Benoist Pierre et Stefano Simiz. Je tiens à leur exprimer ma profonde gratitude pour la stimulante soutenance qu’ils m’ont offerte et pour les réflexions qu’ils m’ont proposées et qui ont permis l’amélioration de ce travail.

2Au terme de cette aventure, je tiens à adresser mes plus sincères remerciements à Monique Cottret qui a accepté de diriger cette thèse. Sa disponibilité, ses conseils et sa gentillesse ont toujours été des sources de progrès et de réconfort. Cet ouvrage lui doit beaucoup.

3La rédaction d’un travail de recherche n’est jamais une œuvre solitaire. Elle se fait au gré des rencontres et des discussions. La Bibliothèque de la Société de Port-Royal a joué ce rôle de sociabilité intellectuelle, ou la bienveillance n’a d’égal que l’exigence des conversations. Que Valérie Guittienne-Mürger et Fabien Vandermarcq, ses deux conservateurs, trouvent ici l’expression de ma reconnaissance et de mon amitié. Que soient également remerciés Françoise de Noirfontaine, Simon Icard, Philippe Sellier, Laurence Plazenet, lecteurs réguliers de cette vénérable institution. Je pense encore à Sylvio De Franceschi, Dale Van Kley, Nelson-Martin Dawson, Maxime Hermant, Emmanuel Lacam, Francesco Di Donato, Gaël Rideau, Gérald Chaix, Jean Vassort, Jacques Bouquet, Myriam Deniel-Ternant, François Zanetti, Albane Pialoux, Philippe Luez, Christine Gouzi, Caroline Galland, Juliette Guilbaud qui m’ont toujours prodigué aide, conseil et relecture.

4Ma reconnaissance va aussi aux institutions qui ont permis cette thèse et cette publication. L’école doctorale Milieux, cultures et sociétés du passé et du présent de l’université Paris-Nanterre d’abord et particulièrement le Centre d’Histoire Sociale et Culturelle de l’Occident qui m’ont accueilli, mais également la Société d’Histoire religieuse de la France qui a bien voulu accepter cette publication dans sa collection « Histoire religieuse de la France ». Que ses différents directeurs, Catherine Vincent, Bernard Barbiche, Alain Tallon et Georges Provost trouvent ici l’expression de ma gratitude. Celle-ci s’adresse aussi à Françoise Hildesheimer et Ségolène de Dainville-Barbiche qui ont effectué une relecture critique et enrichissante du manuscrit.

5Enfin, cet ouvrage n’aurait pu voir le jour sans le soutien constant de mes parents et de ma famille, de mes amis et de mes collègues qui pendant toutes ces années m’ont entendu parler de jansénistes, d’évêques et de cardinaux plus qu’ils ne l’auraient souhaité, probablement… Ils savent tous ce que l’achèvement de ce long projet leur doit.