Remerciements
p. 6
Texte intégral
1Cet ouvrage est issu d’une thèse de doctorat soutenu au sein de l’université de Nantes en 2014. Il en va d’une thèse comme d’un long voyage. L’anticipation des difficultés, les découvertes, les embûches et les rencontres n’empêchent pas d’être touché lorsque celles-ci surviennent. Tout au long de ces cinq années, de nombreuses personnes m’ont aidé et soutenu. Il est juste que ces quelques lignes leur soient consacrées.
2Je tiens d’abord à exprimer ma gratitude à l’égard de Bertrand Joly dont la disponibilité, l’attention et surtout la confiance n’ont jamais fait défaut tout au long de ce travail.
3Je suis également très reconnaissant à Mathias Bernard, Olivier Dard, Bernard Lachaise et Geneviève Massard-Guilbaud de m’avoir fait l’honneur d’accepter de participer au jury de
4soutenance.
5J’ai par ailleurs eu la chance au cours de ce doctorat d’enseigner au sein de deux universités différentes ce qui m’a permis de mêler harmonieusement enseignement et recherche et de rencontrer de nombreux collègues au contact desquels j’ai pu découvrir le métier. À l’université de Nantes, Michel Catala n’a jamais ménagé ses conseils, notamment dans le domaine du montage de projet. À l’université de Poitiers, toute l’équipe m’a accueilli dans une grande convivialité et je l’en remercie.
6Tout voyage suppose une carte et des guides, en l’occurrence des archivistes sans lesquels l’historien se trouverait bien démuni. Il me faut donc rendre hommage au personnel du CHT (Patsy, Xavier Nerrière et Manuela Noyer), d’Etopia (Marie-Laurence Dubois et Szymon Zareba) et du Musée du Vivant (Laurent Gervereau, Yolène Maresse et Aurélie Utzéri) ainsi qu’à Pascal Geneste des archives nationales.
7En outre, je souhaite remercier Dominique Avon qui, en tant que coordinateur du projet DCIE, m’a permis de bénéficier d’une bourse pour me rendre dans différents centres d’archives à l’étranger.
8J’ai également une pensée toute particulière pour tous les acteurs de cette époque qui ont accepté de consacrer un peu de leur temps à l’évocation d’un passé bien souvent encore plein de promesses à leurs yeux.
9Quelques mois après le début de ma thèse, j’ai découvert l’existence du RUCHE (Réseau universitaire des chercheurs en histoire environnemental) qui venait à peine d’être créé. Un peu par hasard, je décidai d’y adhérer et d’assister à la première assemblée générale. Bien m’en a pris puisque j’y ai rencontré des chercheurs passionnés et accueillants au contact desquels j’ai beaucoup appris au fil des séminaires et des conseils d’administration. Je ne saurais citer toutes les personnes avec lesquelles j’ai échangé ces dernières années mais je tiens malgré tout à remercier Geneviève Massard-Guilbaud, Stéphane Frioux, Elsa Devienne, Patrick Fournier, Charles-François Mathis et Jean-François Mouhot.
10Merci enfin à mes proches qui m’ont soutenu tout au long de ces cinq dernières années. Ma gratitude va tout spécialement à ma famille, à Barbara et à Théodore.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Un constructeur de la France du xxe siècle
La Société Auxiliaire d'Entreprises (SAE) et la naissance de la grande entreprise française de bâtiment (1924-1974)
Pierre Jambard
2008
Ouvriers bretons
Conflits d'usines, conflits identitaires en Bretagne dans les années 1968
Vincent Porhel
2008
L'intrusion balnéaire
Les populations littorales bretonnes et vendéennes face au tourisme (1800-1945)
Johan Vincent
2008
L'individu dans la famille à Rome au ive siècle
D'après l'œuvre d'Ambroise de Milan
Dominique Lhuillier-Martinetti
2008
L'éveil politique de la Savoie
Conflits ordinaires et rivalités nouvelles (1848-1853)
Sylvain Milbach
2008
L'évangélisation des Indiens du Mexique
Impact et réalité de la conquête spirituelle (xvie siècle)
Éric Roulet
2008
Les miroirs du silence
L'éducation des jeunes sourds dans l'Ouest, 1800-1934
Patrick Bourgalais
2008