1 Aubrée David-Chapy est agrégée d’histoire et docteur de l’université Paris-Sorbonne (Paris IV). Sa thèse est parue aux éditions Classiques Garnier sous le titre Anne de France, Louise de Savoie, inventions d’un pouvoir au féminin. Ses recherches actuelles portent sur les femmes de pouvoir en Europe de la fin du xv^e siècle à la première moitié du xvii^e siècle, et spécialement sur Marguerite d’Autriche.

2 Stéphane Gal est enseignant chercheur à l’université Grenoble-Alpes (LARHRA-UMR 5190). Il est spécialiste des sociétés en guerre aux xvi^e et xvii^e siècles, de la noblesse et du territoire. Il a publié notamment Lesdiguières. Connétable de France et prince des Alpes (PUG, 2007) et Charles-Emmanuel de Savoie. La politique du précipice (Payot, 2012). Dans le cadre du Labex ITEM (Innovation et Territoires de Montagne), de l’Association internationale de l’Histoire des Alpes et des Sabaudian Studies, il développe des travaux autour de la montagne et de ses identités : Les territoires du risque (PUG, 2015) ; La Maison de Savoie et les Alpes (université de Savoie, 2015) ; Mountain Areas in Conflict (Journal of Alpine Research-Revue de Géographie Alpine, 2016).

3 Élie haddad est chargé de recherche au CNRS (Centre de Recherches Historiques-UMR 8558, EHESS-CNRS). Ses travaux portent sur l’histoire sociale de la noblesse française à l’époque moderne. Il a publié Fondation et ruine d’une « maison ». Histoire sociale des comtes de Belin (1582-1706) (Pulim, 2009) et édité avec Robert Descimon Épreuves de noblesse. Les expériences nobiliaires de la haute robe parisienne (xvi^e-xviii^e siècle) (Les Belles Lettres, 2010).

4 Christian Kühner est enseignant-chercheur au département d’histoire de l’université de Fribourg-en-Brisgau. Il a préparé sa thèse de doctorat en cotutelle à l’EHESS et à l’université de Fribourg. La version allemande de cette recherche est parue sous le titre Politische Freundschaft bei Hofe. Repräsentation und Praxis einer sozialen Beziehung im französischen Adel des 17. Jahrhunderts (V & R unipress, 2013).

5 Nicolas le roux – ancien élève de l’École Normale Supérieure (Fontenay-Saint-Cloud) – est professeur d’histoire moderne à l’université Paris XIII (Pléiade-EA 7338), après avoir été maître de conférences à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV) et professeur à l’université Lumière-Lyon II. Ses recherches portent sur la noblesse, la société de cour et la guerre à la Renaissance. Il a publié Les guerres de Religion, 1559-1629 (Belin, 2009), Le Roi, la Cour, l’État, de la Renaissance à l’Absolutisme (Champ Vallon, 2013), Le crépuscule de la chevalerie. Noblesse et guerre au siècle de la Renaissance (Champ Vallon, 2015) et 1515. L’invention de la Renaissance (Armand Colin, 2015).

6 Anne Motta est maître de conférences à l’université de Lorraine (Metz). Elle a publié aux Classiques Garnier un ouvrage issu d’une thèse soutenue en 2012 à l’université du Maine : Noblesse et pouvoir princier dans la Lorraine ducale (1624-1737) (2016). Ses recherches portent sur les espaces du pouvoir et la culture nobiliaire à l’époque moderne.

7 Sébastien SChick est attaché temporaire d’enseignement et de recherche à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il a soutenu sa thèse (Paris I/LMU Munich) en 2015 et publié plusieurs articles sur la cour et les factions aristocratiques à l’époque moderne, notamment « Les cours aristocratiques et leur rôle dans le système curial princier. L’exemple de la Prusse sous Frédéric-Guillaume I^er (1713-1740) » (Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles, 2012).

8 Laurent Vissière – ancien élève de l’École Normale Supérieure (Ulm) et de l’École nationale des chartes – est maître de conférences en histoire médiévale à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV). Spécialiste de l’histoire politique et militaire de la fin du Moyen Âge, il travaille actuellement sur la vie quotidienne en période de siège au xv^e siècle.

9 Paul Vo-Ha est ancien élève de l’École Normale Supérieure-Lettres Sciences Humaines et agrégé d’histoire. En 2015, il a soutenu à l’université Lumière-Lyon II une thèse intitulée Rendre les armes. Le sort des vaincus, xvi^e-xvii^e siècles, sous la direction d’Hervé Drévillon et Nicolas Le Roux. Cette recherche vient d’être publiée aux éditions Champ Vallon. Il enseigne au lycée Louise-Michel de Bobigny.

10 Martin Wrede est professeur d’histoire moderne à l’université Grenoble-Alpes (LARHRA-UMR 5190). Il a enseigné en Allemagne dans les universités de Berlin, Giessen et Osnabrück. Ses recherches portent sur la culture politique de l’époque moderne en France et en Allemagne. Il a publié, entre autres les ouvrage suivants : Das Reich und seine Feinde (Le Saint-Empire et ses ennemis, 2004), Ohne Furcht und Tadel (Sans peur et sans reproche, 2012), Die Inszenierung der heroischen Monarchie (La mise en scène de la monarchie héroïque, 2014) et Ludwig XIV : der Kriegsherr aus Versailles (Louis XIV, le chef de guerre de Versailles, 2015).