Table des matières
Françoise Banat-Berger et Alain Moreau
Avant-proposPremière partie. Les organismes acteurs
Isabelle Aristide-Hastir
La « Grande Collecte 1914-1918 » : retour sur un projet mémoriel interactifDeuxième partie. Qui écrit ? Qu’écrit-on ?
Odile Gaultier-Voituriez
La guerre vue de Paris par Étienne de Nalèche, directeur du Journal des Débats : de la correspondance personnelle à la chronique quotidienne (1914-1919)- Les deux correspondants et le corpus
- Le statut du corpus : de la correspondance à la chronique
- Le pensum : Nulla dies sine linea
- Une correspondance privée ?
- Un journal ou une chronique ?
- L’évolution chronologique du statut
- Les apports de cette correspondance : la guerre vue de Paris
- Conclusion : le rapport de Nalèche à sa correspondance et l’intérêt des lettres
Hubert Roland
Les carnets (Tagebücher) de Thea Sternheim 1914-1918 : For privé, socialisation et engagement en Belgique occupéeFabien Theofilakis
De l’écriture en captivité à l’écriture captive : quand les prisonniers trompent l’encre…Ludmilla Evdokimova
Journal de Sophie Ilovayskaya : à la guerre pendant l’été 1917Troisième partie. Témoins engagés
Clotilde Druelle-Korn
Des neutres engagés : les premiers délégués américains de la Commission for Relief in Belgium écrivent leurs expériences de la guerre- La Commission for Relief in Belgium à la recherche de ses premiers délégués en Belgique occupée, l’appel de Herbert Hoover aux étudiants américains d’Oxford
- L’expérience partagée des étudiants d’Oxford derrière les lignes : une palette de témoignages
- Voyages et accueil en Belgique
- Les relations avec les occupants et les occupés, imprudences
- Noblesse de la mission et sens de l’aventure
- Une relation sensible et une vocation littéraire
- Interroger les apparences de la normalité
- Entre malaise, incompréhension et enthousiasme pour l’efficacité américaine, les témoignages critiques des représentants aguerris
- Usages et résonances des témoignages de la première génération de délégués CRB
- Conclusion
Marie Scot
Écrire ou ne pas écrire en guerre : le choix d’Élie Halévy- Le renoncement à l’écriture publique
- Intellectuel en guerre
- Le choix du silence public
- Le repli sur l’écriture privée
- De l’utilité des archives familiales et privées
- Indicible douleur
- Dire et interpréter la guerre sur le vif
- L’entre-deux de l’écriture collective et anonyme
- La concession à l’écriture : le recours à l’anonymat
- L’animation d’une revue en temps de guerre : la nécessaire prise de parole collective
- Sortir de la guerre, entrer en écriture : la fin du silence ?
- Impatience
- Frénésie
- Retour sur la guerre et remobilisation intellectuelle
- Conclusion
Philippe Verheyde
Journaux du préfet Trépont : une chronique engagée, de la guerre à la déportation (1914-1915)Quatrième partie. Usages et résonances
Philippe Henwood
Si Dame Camarde a le bon goût de m’épargner… : écrits de guerre du zouave Eugène HenwoodRémy Cazals
Louis Barthas et la postérité. Réflexion sur la relation entre documents privés et publicsElsa Marguin-Hamon
Conclusion- Services d’archives publiques
- Archives nationales (59 rue Guynemer, 93383 Pierrefitte-sur-Seine)
- Archives départementales (au chef-lieu de chaque département)
- Ministère des Affaires étrangères (3, rue Suzanne Masson, 93126 La Courneuve Cedex)
- Ministère de la Défense (Château de Vincennes, 94300 Vincennes)
- Autres organismes publics et privés
- Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (6 allée de l’université, 92000 Nanterre)
- Historial de Péronne (Place André Audinot, 80200 Péronne)
- Association pour l’Autobiographie et le patrimoine autobiographique (La Grenette, 10 rue Amédée Bonnet, 01500 Ambérieu-en-Bugey)
- Deustche Tagebucharchiv (Marktpl. 1, 79312 Emmendingen, Allemagne)