À Déborah.
À mes parents.
À mon frère Laurent.

1 Mes remerciements vont aux enquêtés qui ont généreusement donné de leur temps pour participer à l’enquête. Ce livre a notamment été écrit pour celles et ceux qui travaillent aujourd’hui dans les magasins.

2Je remercie mon directeur de thèse, Olivier Schwartz. Il est un chercheur et un directeur de thèse exceptionnel. Mais il est aussi une personne d’une infinie gentillesse. Son accompagnement bienveillant et rigoureux pendant les quatre années et demie de la thèse a donné du sens, à mes yeux, au travail de sociologue, comme chercheur et comme enseignant. C’est un privilège, je le sais, que d’être entré dans la recherche en sociologie par son intermédiaire.

3Je remercie Paul Bouffartigue, Pierre Fournier, Michel Lallement et Margaret Maruani qui m’ont honoré de leur présence lors de la soutenance. Je remercie également les membres du CERLIS qui ont enrichi mes réflexions tout au long de l’élaboration de la thèse. Mes remerciements vont aussi aux Presses universitaires de Rennes et à leurs relecteurs ainsi qu’aux membres de mon laboratoire, le CESSP. Le climat que ses membres contribuent à produire au quotidien, constitue un espace de travail privilégié sur le plan humain et scientifique.

4Cet ouvrage n’aurait jamais pu être écrit sans l’amitié de Pauline Seiller avec qui j’ai étudié la sociologie, l’ai enseignée puis exercée. Travailler à ses côtés (entre autre choses) est inspirant et je souhaite que cela dure ! Il est également en dette envers l’amitié de Jasmina Stevanovic et Marie Sonnette qui ont suivi son cheminement sinueux depuis la thèse. Je remercie également Rachid Bouchareb pour nos discussions sur le travail des employées de commerce. Mes remerciements s’adressent aussi à mon collègue et ami Bernard Fusulier pour son compagnonnage depuis la fin de la thèse.

5Je remercie mes parents d’avoir soutenu et rendu possible un projet d’études puis d’emploi qui pouvait paraître farfelu à ses débuts. Je remercie également mon frère Laurent qui, sans le savoir, a permis la réalisation de cet ouvrage grâce la socialisation discrète qu’il a opérée bien avant la réalisation de la thèse.

6Enfin, cet ouvrage doit tout, absolument tout, à Déborah. À notre douce vie francilienne passée. À notre douce vie Tourangelle à venir.