Remerciements

1Ce livre est issu d’une thèse en sociologie soutenue en 2009 à l’EHESS de Paris. Je remercie très chaleureusement et en premier lieu Rose-Marie Lagrave, ma directrice de thèse, pour avoir toujours soutenu mon travail et pour nos échanges tant intellectuels que féministes et littéraires.

2Les membres de mon jury de thèse, Roger Chartier, Bernard Lahire, Erik Neveu et Claude Poliak ont permis l’amélioration du texte initial par leurs remarques, et leurs encouragements pour certains. Michèle Ollivier, qui faisait également partie du jury, a été une interlocutrice particulièrement stimulante entre le moment de notre rencontre en 2007 et la soutenance. Elle est malheureusement décédée un an plus tard ; ce livre lui est dédié.

3« Merci » sera toujours un mot bien trop faible pour exprimer tout ce que je dois à Reguina Hatzipetrou-Andronikou et Alban Jacquemart : à l’une, à l’autre et aux deux ensemble.

4Les années d’après-thèse, marquées par l’enchaînement de contrats précaires, ont aussi été l’occasion de rencontres intellectuelles et de soutiens divers à mon travail. À ce titre, je remercie les membres du laboratoire Triangle qui m’a accueillie pendant trois ans : son directeur Renaud Payre qui m’a soutenue en maintes occasions, y compris pour la publication de cet ouvrage ; l’ANR Violécogenre dans laquelle j’ai exercé comme post-doctorante ; le « personnel administratif », un terme impersonnel qui désigne bien mal la chaleureuse présence de Pascal Allais, Lydie Koweit et Samantha Saïdi ; mes collègues doctorant.e.s et post-docs, Thibaut Rioufreyt, Élise Roullaud, Camilo Argibay, Anouk Flamant et tous les autres, pour nos activités communes d’« animation de la recherche », au sens strict et au sens plus ludique du terme.

5Pour une autre expérience professionnelle très riche, un grand merci à la French team du programme EGERA à Sciences Po : Hélène Périvier, Maxime Forest, Anne Boring, Marta Dominguez, ainsi qu’aux collègues de l’OFCE pour les débats du déjeuner.

6Je suis redevable également à Christine Détrez, Muriel Darmon, Gisèle Sapiro, Frédérique Matonti, Lilian Mathieu, Laure Bereni, Anne Revillard, Stéphanie Guyon qui, en dehors de toute obligation institutionnelle, m’ont relue, soutenue ou conseillée dans diverses démarches d’écriture, de publication et de recherches.

7L’expérience de co-écriture d’articles avec les collègues et amies formidables que sont Catherine Marry, Marie-Carmen Garcia et Laurence Bachmann m’a beaucoup apporté pour l’écriture de ce livre. Un remerciement très chaleureux à une autre co-auteure, Vanina Mozziconacci, pour nos discussions entre philosophie et sociologie, de Lyon à Harlem en passant par Paris.

8Merci à toute ma famille pour l’énergie méditerranéenne inépuisable : Danièle, Michel, Jeanne, Nicolas, Karin, Stéphane, Pierre et Carine.

9Dans ce livre, il sera question des « trajectoires de genre » qui rompent avec les assignations. L’écriture de ce livre a eu lieu précisément pendant une phase de trajectoire cruciale et plutôt accidentée. Un immense merci à celles et ceux qui m’ont soutenue pendant ces années. Je vais sans doute oublier des noms. Merci donc à Anne-Gaëlle pour les liens amicaux qui perdurent depuis tant d’années ; à Colin, Juliette et German avec lesquels j’ai cohabité et qui m’ont supportée au double sens du terme ; à Nicolas et Usha pour leur élégance humaine à toute épreuve, depuis les rives de l’océan Indien ; à Chantal Mirail et Ezzédine pour tant de choses ; à Stéphanie Rubi, Clémence, Pauline, Raul, Antoine, Lamia et Mireille avec lesquels et grâce auxquels j’ai traversé les diverses péripéties de l’été 2015 ; à Jacqueline Boyer et Laurence Mullaly qui se sont régulièrement assurées de la bonne finalisation de ce livre dans la dernière ligne droite d’écriture ; aux Bordelais et Bordelaises qui m’ont si bien accueillie et se reconnaîtront.

10J’ai pu trouver le souffle nécessaire pour finir ce livre grâce à mes étudiantes et étudiants de la filière « Bibliothèque » de l’IUT Bordeaux Montaigne, lesquels pendant l’année 2015-2016 ont apporté leurs réflexions stimulantes à mon cours de sociologie de la lecture.

11Enfin ce livre n’existerait tout simplement pas sans les lectrices et lecteurs qui m’ont fait partager leurs expériences de lectures.