Remerciements
p. 11-12
Texte intégral
1La préparation d’une thèse est un exercice solitaire. L’aide et les encouragements reçus en sont d’autant plus précieux. Aussi ma gratitude va-t-elle à ceux qui m’ont permis d’accomplir ce travail, et d’abord au professeur Fabrice Bouthillon, qui a accepté de le diriger. Il m’a prodigué son temps et ses conseils, me faisant bénéficier, non seulement de son expérience d’historien des totalitarismes européens, mais aussi de ses qualités d’homme de Lettres.
2Je remercie Madame Dominique Schnapper, qui m’a permis de consulter les archives privées de son père, de même que Madame Anne de Jouvenel, qui m’a autorisé à lire la correspondance entre Bertrand de Jouvenel et Raymond Aron. Madame Michèle Le Pavec, conservateur en chef au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale, a constamment facilité mes recherches.
3Cette thèse doit beaucoup à Madame Élisabeth Dutartre-Michaut, qui m’a toujours accueilli avec une grande bienveillance, et m’a procuré maints textes que je souhaitais étudier. Elle est aussi l’auteur des deux instruments de travail sur l’œuvre de Raymond Aron qui sont désormais à la disposition de tous les chercheurs : la bibliographie en ligne, et l’Inventaire du Fonds Raymond Aron à la Bibliothèque nationale.
4Je remercie pour leurs conseils et leurs encouragements le professeur Klaus Hildebrand, le professeur Joachim Stark, Monsieur Christian Bachelier. Je suis particulièrement reconnaissant au professeur Gilbert Noël, aujourd’hui disparu, qui, au commencement de mon entreprise, m’a écouté et vivement encouragé. Merci à Giulio De Ligio et Matthias Oppermann pour leur amitié. Merci beaucoup au professeur Yvon Tranvouez qui, du point de départ à la soutenance, m’a apporté un soutien qui fut décisif.
5Je remercie Monsieur Jean-Yves Guengant, proviseur du lycée de l’Iroise à Brest et historien, qui m’a permis de concilier mes obligations pédagogiques et la rédaction de cette thèse. Certains de mes élèves m’ont encouragé ; je leur adresse ici mes remerciements et ma sympathie.
6Je tiens aussi à remercier mon père, Yvon Mouric, professeur d’allemand, pour m’avoir apporté ses compétences de germaniste.
7Je remercie surtout ma femme, Sabine Volant, non seulement pour sa relecture attentive et exigeante, mais aussi, et avant tout, pour son indéfectible soutien. Une part essentielle lui revient dans l’aboutissement de ce travail.
8Je remercie enfin mes enfants, Jocelyn, Valérie et Basile, qui ont dû partager leur père avec Raymond Aron pendant quatre ans.
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