1 Consulter Louis Guerrier, Histoire de la Société d’Agriculture des Sciences..., op. cit.

2 Sur le sujet des aristocrates terriens, voir Nadine Vivier, « Le rôle des élites françaises en faveur du progrès agricole au XIX^e siècle. Réalités et construction d’une image », art. cit., p. 187-208.

3 Consigny-Sainson Marie-Cécile, Orléans, 1848-1914, une élite dans sa ville : fortune, mode de vie, sociabilité, thèse de 3ème cycle, Paris Sorbonne, 2004 et la version grand public : La bonne société orléanaise, 1850-1914, Orléans, Paradigme, 2008.

4 Voir sur ce thème quelques publications du baron Bigot de Morogues : De la misère des ouvriers, Paris, Huzard, 1832 ; Du paupérisme, de la mendicité et des moyens d’en prévenir les funestes effets, Paris, Dondy-Dupré, 1834 ; Note sur les secours à donner aux indigents (note du 12 novembre 1831 au Conseil général du Loiret).

5 Bigot de Morogues, Influence des Sociétés littéraires savantes et agricoles, Orléans, Veuve Huet-Perdoux, 1823, p. 11-12. Bourdon cite encore quelques noms supplémentaires de propriétaires novateurs dans son « Mémoire sur la situation agricole de la Sologne », Mémoires de la SASBLAO, t. 3, 1840, p. 5-75.

6 Bulletin de la Société d’Agriculture de Loir-et-Cher, 2^e trimestre 1843, p. 9 à 11.

7 Ibid., 1847, p. 301-303. La première ferme école d’agriculture est ouverte en 1822 par Mathieu de Dombasle, à Roville, près de Nancy. La seconde est celle de Grignon, dont le domaine est acquis par Charles X en 1824, mais qui ne devient fonctionnelle qu’en 1827.

8 Gallas père, « Mémoire sur les croisements et l’amélioration des races chevalines, bovines et ovines », Bulletin de la Société d’Agriculture du Cher, t. 5, 1844, p. 155.

9 Comptes-rendus et procès-verbaux des séances du Congrès central d’Agriculture, séance du 29 février 1844, Paris, Bureau, p. 155.

10 Bulletin de l’Académie des Sciences morales et politiques, t. 7, mars 1844, p. 261-279.

11 Almanach royal et national, Paris, Guyot et Scribe, 1845, p. 190.

12 Bulletin de la Société d’Agriculture du Cher, t. LXIX, p. 270.

13 Congrès central d’Agriculture de 1844, 1^e session, 26 février-4 mars, Paris, Bureau, 1844, p. 6-8.

14 Congrès central d’Agriculture de 1850, 7^e session, 18 au 29 mars, Paris, Thunot, 1850, p. 462-467.

15 Bulletin de la Société Royale d’Agriculture de Loir-et-Cher, séance publique du 1^er septembre 1821.

16 Lagadec Yann, « Comice cantonal et acculturation agricole : l’exemple de l’Ille-et-Vilaine au XIX^e siècle », Ruralia, n^o 9, 2001, p. 37-61.

17 Comice agricole de Romorantin, extrait du procès-verbal de la distribution de primes effectuée le 24 août 1822 à la foire de La Ferté-Beauharnais, Blois, Veuve Jahyer, 8 p.

18 Annuaire de Loir-et-Cher, 1824, p. 120.

19 Ibid., p. 119-120.

20 Procès-verbal de la séance du Comice agricole de l’arrondissement de Romorantin, tenue à Romorantin le 14 novembre 1826, Orléans, Danicourt-Huet, 1827, p. 3-4 et 7.

21 Baker Alan, op. cit., p. 248. Sur l’historique de la Société d’Agriculture de Loir-et-Cher et des comices agricoles, voir p. 242-251.

22 Annuaire de Loir-et-Cher, 1844, p. 199-200.

23 Annuaire du Loiret, 1846, Orléans, Alex Jacob, p. 203.

24 Journal d’Agriculture pratique, 3^e trimestre 1846.

25 Archives communales de Cheverny, citées par Jacques d’Orléans, op. cit., p. 168-169.

26 Journal du curé Bommer, cité par Gilberte Espouy, « Les relations château-village à La Ferté-Imbault au XIX^e siècle », Bull. du GRAHS, t. 16, n^o 3, 1994, p. 153.

27 Favre Édouard, François Coillard, enfance et jeunesse, 1834-1861, Paris, Société des missions évangéliques, 1910, chapitre 2, Enfance « années d’esclavage », Asnières, Foëcy, La Ferté (1845-1851).

28 Gourcy, comte Conrad de, Voyage agricole en 1855, Paris, Bouchard-Huzard, 1859, p. 99 et Voyage agricole en Prusse, Hollande, Belgique et dans plusieurs parties de la France, Paris, Bouchard-Huzard, 1863, p. 289. Ce voyage est effectué en 1858.

29 Buzonnière, Léon de, Les Solonais, Paris, Charles Le Clère, 1840, t. 1, p. 13. L’auteur est membre de la SSBLAO, de la Société d’Archéologie d’Orléans et de l’Académie Sainte-Croix d’Orléans.

30 La Saussaye, Louis de, ms 266 bis, Bibliothèque Abbé Grégoire, Blois. L’auteur hérite du charmant manoir de Troussay (Cheverny) en 1828.

31 Généalogie de la famille Baguenault de Puchesse et de Viéville, Orléans, Herluison, 1866, 103 p.

32 Pyat Félix, « Le Solognot », Les Français peints par eux-mêmes, Paris, Philippart, 1843, t. 4, p. 313-314.

33 Sur le sujet de l’influence des légitimistes dans les progrès agricoles et sur la construction de leur image, nous renvoyons le lecteur à Nadine Vivier, « Le rôle des élites françaises en faveur du progrès agricole au XIX^e siècle... », art. cit., p. 191-193.

34 Chef, Manuel vétérinaire des cultivateurs, Blois, Veuve Jahyer, 1825, 68 p. L’auteur présente ce manuel à la Société d’Agriculture de Loir-et-Cher lors de sa séance du 3 septembre 1825.

35 Beauvallet A., De l’agriculture en Sologne, op. cit., p. 273.

36 Hubscher Ronald, Les maîtres des bêtes, les vétérinaires dans la société française (XVIII^e-XX^e siècle), Paris, Odile Jacob, 1999, p. 133.

37 Mémoires de la Société Vétérinaire du Loiret, année 1846-1847, p. 20.

38 Annuaire ou almanach du Loiret, année 1844, p. 229.

39 Baker Alan, op. cit., p. 104-105. Il est regrettable que Baker n’indique que rarement les références précises de ses sources, alors qu’elles pourraient faciliter le départ des recherches complémentaires, notamment sur ce sujet qui n’a pas encore été traité en Sologne.