1 Pétré-Grenouilleau O., Moi, Joseph Mosneron, armateur négrier nantais (1748-1833). Portrait culturel d’une bourgeoisie négociante au siècle des Lumières, Rennes, Éditions Apogée, 1995.
2 Revel J., « L’institution et le social », B. Lepetit (dir.), Les Formes de l’expérience. Une autre histoire du social, Paris, Albin Michel, 1995, p. 63-84.
3 AD 17, 3 E 25, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 199 r°.
4 Il s’agit de Jean-Élie, Antoine, François-Louis, François-Benjamin et Salomon.
5 AD 17, 3 E 1689, notaire Delavergne père, acte no 143, f° 354 r°.
6 AD 17, 3 E 1978, notaire Fredureux-Dumas, acte no 74, f° 8 v°.
7 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 114.
8 Minvielle S., Dans l’intimité des familles bordelaises du XVIIIe siècle, Bordeaux, Éditions Sud Ouest, 2009, p. 412.
9 Nous considérons qu’en cas de remariage, il est préférable de ne comptabiliser que la première union, plus prompte à livrer la stratégie matrimoniale originelle.
10 Minvielle S., Dans l’intimité des familles bordelaises…, op. cit., p. 53.
11 Voir l’ouvrage Cultures et formations négociantes dans l’Europe moderne déjà cité, et plus particulièrement les articles de Dominique Julia « L’éducation des négociants français au XVIIIe siècle », d’André Lespagnol « Modèles éducatifs et stratégies familiales dans le milieu négociant malouin aux XVIIe et XVIIIe siècles : les ambiguïtés d’une mutation » et de Pierre Jeannin « Distinction des compétences et niveaux de qualification : les savoirs négociants dans l’Europe moderne », p. 215-274 ; 363-397.
12 Fondé par Lettres Patentes de François Ier en mars 1541, le collège de La Rochelle est confié par Louis XIII aux jésuites en 1630. À l’enseignement religieux, l’on associe des cours de latin, d’histoire, de mythologie, de belles-lettres et de grec. Les négociants critiquent l’absence d’enseignement des langues vivantes et de l’arithmétique par des professeurs mal payés et absentéistes. Laveau C., Le monde rochelais…, op. cit., p. 44-45.
13 Roche D., Les Républicains des lettres. Gens de culture et Lumières au XVIIIe siècle, Paris, Fayard, 1988, p. 393 ; La France des Lumières, Paris, Fayard, 1993, p. 343.
14 AD 17, 3 E 1933, notaire Tardy, acte no 27, f° 1 r°.
15 Deveau J.-M., Le commerce rochelais face à la Révolution…, op. cit., p. 59.
16 AD 17, 4 J 2318, f° 2 r°.
17 Savary J., op. cit, vol. 1, deuxième partie, livre I, chapitre III, p. 698.
18 AD 17, 3 E 1553, notaire Micheau, acte non numéroté, f° 1 r°.
19 AD 17, 3 E 2288, notaire Girard, acte non numéroté, f° 1 r°.
20 AD 17, 4 J 2847, f° 21 r°.
21 Laveau C., Le monde rochelais…, op. cit., p. 34-35.
22 AD 17, 3 E 1931, notaire Tardy, acte no 159, f° 1 r°.
23 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 18.
24 Moreau C., Louis Benjamin Fleuriau de Bellevue. Savant, physicien naturaliste, géologue et philanthrope rochelais (1761-1852), Paris, Les Indes Savantes, 2009.
25 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 65.
26 AD 17, 3 E 1984, notaire Fredureux-Dumas, acte no 2, fol. 1 r°.
27 AD 17, 3 E 770, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 21 v°.
28 Martin V., op. cit., p. 39.
29 AD 17, 3 E 1059, notaire Crassous fils, acte no 96, f° 1 r°.
30 AD 17, 3 E 2195, notaire Pourajaud, acte non numéroté, f° 14 r°.
31 AD 17, 3 E 134/20, notaire Nouveau, acte no 3898, f° 76 r°.
32 Il s’agit de Jean-Élie Giraudeau l’aîné, capitaine en 1737 ; Antoine, Salomon et Louis-David Giraudeau, capitaines en 1750 ; François-Louis Giraudeau, capitaine en 1752.
33 Guerry E., op. cit.
34 AD 17, 4 J 2318, f° 4 r°.
35 Sur les livres de raison, se reporter à : Cassan M., Bardet J.-P. et F.-J. Ruggiu (dir.), Les écrits du for privé. Objets matériels, objets édités, Limoges, Presses universitaires de Limoges, 2006.
36 AD 17, 3 E 1851, notaire Guillemot, acte non numéroté, f° 88 v°.
37 AD 17, 3 E 770, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 4 v°.
38 AD 17, 4 J 2848, f° 10 v°.
39 Martin V., op. cit., p. 39.
40 AD 17, 3 E 19, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 130 r°.
41 Les frères trafiquent notamment de la morue sèche venant de Granville et arment le navire La Reine des Anges allant à Saint-Domingue, pris par les Anglais en 1746.
42 AD 17, 3 E 19, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 131 r°.
43 AD 17, 3 E 134/1, notaire Nouveau, acte non numéroté, f° 386 r°.
44 AD 17, 3 E 774, notaire Crassous père, acte non numéroté.
45 AD 17, 3 E 1975, notaire Fredureux-Dumas, acte no 38.
46 AD 17, 3 E 1931, notaire Tardy, acte non numéroté, f° 1 r°.
47 AD 17, 3 E 1945-1946 ; 1927 et 1957, notaires Faillofaix, Tardy et Solleau.
48 AD 17, 3 E 1945, notaire Faillofaix, acte non numéroté, f° 1 r°.
49 AD 17, 3 E 1934-1938 ; 1979 et 1680, notaires Tardy, Crasous père, Delavergne père et Fredureux-Dumas.
50 AD 17, 3 E 2123 ; 992 ; 1093 ; 1991 ; 87 et 95, notaires Boucher, Daviaud, Rondeau, Giraud et Roy.
51 AD 17, 3 E 71, notaire Roy, acte non numéroté.
52 AD 17, 3 E 1990-1991, notaire Giraud, actes non numérotés.
53 AD 17, 3 E 998, notaire Daviaud, acte non numéroté, f° 5 v°.
54 AD 17, 3 E 993, notaire Daviaud, acte non numéroté.
55 AD 17, 3 E 995, notaire Daviaud, acte non numéroté, f° 3 v°.
56 Butel P., Les négociants bordelais…, op. cit., p. 366.
57 AD 17, 3 E 1934, notaire Tardy, acte no 135, f° 1 r°/v°.
58 AD 17, 3 E 1933, notaire Tardy, acte no 97, f° 1 r°.
59 AD 17, 3 E 1989, notaire Giraud, acte non numéroté.
60 AD 17, 3 E 1937, notaire Tardy, acte no 88.
61 AD 17, 3 E 762, notaire Crassous père, acte non numéroté.
62 AD 17, 3 E 1698, notaire Delavergne père, acte no 116, f° 5 r°.
63 AD 17, 3 E 1057, notaire Crassous fils, acte no 126.
64 AD 17, 3 E 1687, notaire Delavergne père, acte non numéroté, f° 528 r°.
65 AD 17, 3 E 1682, notaire Delavergne père, acte no 100, f° 331 r° et 332 v°.
66 AD 17, 3 E 1667, notaire Delvergne père, acte no 145.
67 AD 17, 3 E 1965, notaire Solleau, acte non numéroté.
68 AD 17, 3 E 1866, notaire Girard, acte non numéroté, f° 2 v°.
69 AD 17, 3 E 2096, notaire Gariteau fils, acte non numéroté.
70 AD 17, 3 E 740, notaire Crassous père, acte non numéroté.
71 Carrière C., Négociants marseillais…, op. cit., t. 1, p. 155.
72 Pétré-Grenouilleau O., « Les négoces atlantiques français… », art. cit., p. 40.
73 Citons pour Nantes l’exemple du négociant Doré du Perron qui a débuté sa carrière comme marchand droguiste. Helbert S., Doré du Perron, un négociant nantais dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, maîtrise d’histoire, université de Nantes, 1998.
74 AMLR, CC 64.
75 AD 17, 3 E 1694, notaire Delavergne fils, acte no 106, f° 1 r°.
76 AD 17, 3 E 1694, notaire Delavergne fils, acte no 144, f° 1 r°.
77 AD 17, 3 E 1696, notaire Delavergne fils, acte no 96, f° 1 r°.
78 AD 17, 3 E 1700, notaire Delavergne fils, acte non numéroté.
79 AD 17, 3 E 627, notaire Desbarres, acte non numéroté.
80 AD 17, 3 E 627-630 et 1929 ; 1931, notaires Desbarres et Tardy.
81 AD 17, 3 E 1929, notaire Tardy, acte no 99.
82 Lespagnol A., Messieurs de Saint-Malo…, op. cit., t. 1, p. 78.
83 Chopin C., Un négociant armateur nantais à la fin du XVIIIe siècle : Pierre Mathurin Le Ray, maîtrise d’histoire, université de Nantes, 1997.
84 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 116.
85 AD 17, 3 E 869, notaire Daviaud, acte no 107.
86 Guerry E., op. cit.
87 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 118.
88 AD 17, 3 E 1934, notaire Tardy, acte no 244.
89 AD 17, 3 E 80, notaire Roy, acte non numéroté, f° 1 v° et 2 r°.
90 Soene M., « Le sel de Seignette à la cour de Versailles sous Louis XVI », Bulletin de la Société d’histoire de la pharmacie, 1913, no 4, p. 49-51.
91 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 31.
92 AD 17, 3 E 546, notaire Hirvoix, acte non numéroté, f° 1 v°.
93 AD 17, 3 E 1857, notaire Guillemot, acte non numéroté.
94 Un rapprochement est alors possible avec la trajectoire empruntée par la famille Richard à Nantes, issue de trois générations d’artisans boulangers. Bonnet J., La famille Richard au XVIIIe siècle : l’exceptionnelle réussite économique et sociale par le grand commerce maritime, maîtrise d’histoire, université de Nantes, 2003.
95 AD 17, 3 E 710, notaire Dorge, acte non numéroté, f° 1 v°.
96 AD 17, 3 E 967-969 et 1968-1970, notaires Turpeau et Solleau.
97 AD 17, 3 E 1937, notaire Tardy, acte no 105, f° 4 v°.
98 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 129.
99 AD 17, 3 E 1600, notaire Fleury père, acte non numéroté.
100 AD 17, 3 E 1620, notaire Fleury père, acte non numéroté.
101 AD 17, 3 E 931, notaire Farjenel, actes no 53 et 55.
102 AD 17, 3 E 1857, notaire Guillemot, acte non numéroté, f° 125 r°.
103 Reconnaissances données par les capitaines de navire des marchandises qu’ils ont embarquées sur leur navire. Voir : Boulay-Paty P.-S., Cours de droit commercial maritime : d’après les principes et suivant l’ordonnance du code de commerce, Bruxelles, Société Belge de Librairie, 1838, t. 1, p. 199.
104 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 128.
105 Sur l’intrusion de la noblesse au sein des milieux d’affaires, voir notamment : Pétré-Grenouilleau O., « La noblesse commerçante nantaise (XVIIe-XIXe siècles) : une noblesse ouverte ? », J. Kerhervé (dir.), Noblesse de Bretagne du Moyen Âge à nos jours, Rennes, PUR, 1999, p. 197-209.
106 Précisons toutefois qu’il s’agit ici d’individus dont les pères n’étaient pas négociants. Ceux qui ont un père membre de la noblesse commerçante ont été considérés comme appartenant au négoce.
107 AD 17, 3 E 2124, notaire Bouchet, acte non numéroté, f° 1 r°.
108 AD 17, 3 E 1691, notaire Delavergne père, acte no 126.
109 AD 17, 3 E 1004, notaire Daviaud, acte non numéroté.
110 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 18.
111 Sur les questions de la noblesse irlandaise immigrée en France et de son intégration à l’élite marchande, voir notamment parmi une imposante bibliographie : Corp E. T. (dir.), L’autre exil : les jacobites en France au début du XVIIIe siècle, Montpellier, Presses universitaires du Languedoc, 1993 ; Clarke de Dromantin P., Les Réfugiés jacobites dans la France du XVIIIe siècle : l’exode de toute une noblesse « pour cause de religion », Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, 2005 ; Cullen L. M., « The Irish diaspora of the Seventeenth and Eighteenth centuries », N. Canny (dir.), Europeans on the move : studies on European migration, 1500-1800, Oxford, Clarendon Press, 1994, p. 113-149 ; Butel P., Cullen L. M. (dir.), Négoce et industrie en France et en Irlande aux XVIIIe et XIXe siècles, Paris, CNRS, 1980.
112 Il s’agit sans doute de Ballinderreen, dans le comté de Galway.
113 ADCM, 3 E 1678, notaire Delavergne père, acte no 227, f° 554 r°.
114 Lespagnol A., Messieurs de Saint-Malo…, op. cit., t. 1, p. 82.
115 Ont été utilisés en premier lieu les contrats de mariage qui, pour une majorité d’entre eux, livrent les origines géographiques des négociants. Quelques dépôts baptistaires, testaments ou inventaires après décès ont constitué une source d’informations complémentaires. Voir carte 1.
116 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 42.
117 AD 17, 3 E 1588, notaire Fleury père, acte non numéroté, f° 1 r°.
118 Des mariages entre membres de familles issues d’une même province s’observent assez régulièrement, comme à Nantes par exemple, étudiée par Olivier Pétré-Grenouilleau : L’argent de la traite…, op. cit., p. 84.
119 Voir carte 2.
120 Protestants : Jacques Bonneau, Jean et Pierre Bonfils, Jean Serre, Josué-Nicolas et Gédéon-Nicolas Boullanger, Pierre-Samuel Demissy, Samuel-Joseph Meschinet de Richemond, Jean-David Pinasseau, Jean Robert, Jean (I) Vivier, Daniel Garesché, Jacques-Henry Guibert, Nicolas Paillet, Pierre-Bonaventure Robert, Paul Rondeau, Nicolas Suidre, François-David, Gabriel-Moïse Garreau, Pierre (I) Dangirard, Clément-Marital de Tandebaratz, Jean-Baptiste-Samuel et François-David Pellier. Catholiques : Jean-Joseph Garnier, Joseph Giraudot, Jean-Isaac de Bonnegens et Mathurin Chasseriau du Chiron. Non identifiés : Pierre Piaud.
121 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 170.
122 Protestants : Pierre-Henry et Henry Voix, Jean (I) Gilbert, Jean-Charles, Jacques-Mathieu et François-Auguste Garnier. Catholiques : Rémi-Louis-Renard Cambois de Cheneusac, François Sureau Lamorande, François et Simon-Camille Dufresse. Non identifiés : Pierre Bertaud, Élie et Pierre-Charles Mesturas.
123 Catholiques : Jean-Philippe Amplement, Étienne-François Leleu, Louis-Charles Pruvost, Pierre-Louis Rayes, Marc-Antoine Lefebvre, Louis-Benjamin Bridault, Jean-Baptiste Bruslé. Non identifiés : Jacques-Auguste Filleau, Pierre-Jacques-Achille Maubaillarcq, Carmier, Louis Mauvoisin de Vercourt et Jean Micheau.
124 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 58.
125 Laveau C., Le monde rochelais…, op. cit., p. 154.
126 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 10 ; 52-53, 58-59.
127 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 49.
128 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 30.
129 Delafosse M. (dir.), Histoire de La Rochelle…, op. cit., p. 189-190.
130 Parmi l’imposante bibliographie scientifique récemment dévolue à cette question, citons : Lawton R., Lee R. (dir.), Population and Society in Western European Port-Cities, c. 1650-1939, Liverpool, Liverpool University Press, 2002 ; Saupin G. (dir.), Villes atlantiques…, op. cit., deuxième partie : « La présence étrangère : un révélateur de l’intégration des villes atlantiques dans un marché atlantique », p. 151-239 ; Augeron M., Even P. (dir.), Les Étrangers dans les villes-ports atlantiques. Expériences françaises et allemandes, XVe-XIXe siècle, Paris, les Indes savantes, 2010 ; Tranchant M. (dir.), Au risque de l’étranger : le protéger et s’en protéger dans les sociétés littorales de l’Europe atlantique au Moyen Âge et à l’époque moderne. Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, t. 117, 2010.
131 Jeannin P., « Les pratiques commerciales des colonies marchandes étrangères dans les ports français (XVIe-XVIIIe siècles), P. Butel et L. M. Culllen (dir.), Négoce et industrie en France…, op. cit., p. 9-16.
132 Laveau C., Le monde rochelais…, op. cit., p. 37.
133 Voir carte 3.
134 Information obtenue de son contrat de mariage : AD 17, 3 E 1873, notaire Girard, acte non numéroté, f° 1 r°.
135 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 137.
136 Huetz de Lemps C., Géographie du commerce de Bordeaux à la fin du règne de Louis XIV, Paris-La Haye, Mouton, 1975, p. 535-537.
137 Jourdan C., Les Deurbroucq : une famille de négociants nantais dans le commerce des îles au XVIIIe siècle, maîtrise d’histoire, université de Nantes, 2000.
138 Jean-Pierre Poussou explique à ce propos que les mariages traduisent bien souvent les mouvements de l’immigration. Poussou J.-P., Bordeaux et le Sud-Ouest au XVIIIe siècle : croissance économique et attraction urbaine, Paris, éditions de l’EHESS, 1983, p. 48.
139 ADCM, 3 E 2112, notaire Jarosson, acte no 24, f° 1 r°.
140 Au cours d’une précédente recherche visant la seconde moitié du XVIIe siècle, ont été notamment rencontrés Edward Moore, Georges Boyd, Edward Roch ou encore John Holeman, tous grands marchands anglais installés à La Rochelle : Martinetti B., La Culture matérielle des marchands rochelais sous le règne de Louis XIV, master 1 d’histoire, université de La Rochelle, 2007, vol. 1, p. 37-42.
141 Laveau C., Le monde rochelais…, op. cit., p. 37.
142 Voir cartes 4 et 5.
143 AD 17, 3 E 742, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 1 r°.
144 AD 17, 3 E 767, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 2 r°.
145 AD 17, 3 E 1984, notaire Fredureux-Dumas, acte non numéroté, f° 1 r°.
146 Butel P. Les dynasties bordelaises…, op. cit., p. 121.
147 AD 17, 3 E 1884, notaire Brochard, acte non numéroté, f° 1 r°.
148 AD 17, 3 E 66/66, notaire Poullin, acte non numéroté, f° 1 r°.
149 AD 17, 4 J 2848, f° 13 v°.
150 Pétré-Grenouilleau O., L’argent de la traite…, op. cit., p. 43 ; Minvielle S., Dans l’intimité des familles bordelaises…, op. cit., p. 92.
151 AD 17, 3 E 1002, notaire Daviaud, acte non numéroté.
152 Cauna J. de, Au temps des isles à sucre…, p. 23.
153 AD 17, 3 E 1985, notaire Fredureux-Dumas, acte no 62.
154 AD 17, 3 E 1702, notaire Delavergne fils, acte non numéroté, f° 2 r°.
155 Minvielle S., Dans l’intimité des familles bordelaises…, op. cit., p. 123.
156 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 316-317.
157 À Bordeaux, « des dispositions immobilières sont mentionnées dans 8 % des contrats en 1763-1765 pour les apports des épouses, moins de 21 % en 1787-1789 ». Butel P., Les négociants bordelais…, op. cit., p. 301.
158 AD 17, 3 E 24, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 3 r°.
159 AD 17, 3 E 764, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 2 r°.
160 AD 17, 3 E 765, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 2 r°.
161 AD 17, 3 E 1852, notaire Guillemot, acte non numéroté, f° 58 v°.
162 AD 17, 3 E 538 et 543, notaire Hirvoix, acte non numéroté, f° 1 v°.
163 À ce sujet, se reporter à : Moinard R., De la communauté dans la coutume de La Rochelle, thèse de doctorat de science juridique, université de Poitiers, La Rochelle, Texier, 1910.
164 Valin R.-J., Nouveau commentaire sur la coutume de la Rochelle et du Pays d’Aunis, La Rochelle, René-Jacob Desbordes, 1756 ; se reporter plus particulièrement aux entrées « communauté », « Mari, v. femme » et « mariage » du volume 2, p. 542-549 ; 626-629.
165 AD 17, 3 E 1984, notaire Fredureux-Dumas, acte no 8, f° 3 r°.
166 AD 17, 3 E 758, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 2 v°.
167 AD 17, 3 E 1985, notaire Fredureux-Dumas, acte no 62, f° 2 v°.
168 AD 17, 3 E 1604, notaire Fleury père, acte non numéroté, f° 1 r°.
169 AD 17, 3 E 1031, notaire Drouhet, acte non numéroté, f° 7 r° à 8 v°.
170 AD 17, 3 E 775, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 6 v° à 7 v°.
171 AD 17, 3 E 1683, notaire Delavergne père, acte no 173, f° 543 v° à 544 r°.
172 AD 17, 3 E 1940, notaire Tardy, acte non numéroté, f° 4 v° à 5 v°.
173 AD 17, 3 E 1941, notaire Tardy, acte no 50, f° 6 r° à 8 r°.
174 AD 17, 3 E 1672, notaire Delavergne père, acte no 146, f° 296 r°.
175 AD 17, 3 E 23, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 113 v°.
176 AD 17, 3 E 25, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 189 r°.
177 AD 17, 3 E 1690, notaire Delavergne père, acte no 133, f° 324 r°/v°.
178 AD 17, 3 E 990, notaire Daviaud, acte non numéroté, f° 1 r°.
179 AD 17, 3 E 1855, notaire Guillemot, acte non numéroté, f° 126 v°.
180 AD 17, 3 E 1858, notaire Guillemot, acte non numéroté, f° 24 r°.
181 AD 17, 3 E 722, notaire Dorge, acte non numéroté, f° 2 r°.
182 AD 17, 3 E 819, notaire Crassous père, acte non numéroté, f° 1 r°.
183 AD 17, 3 E 2144, notaire Rousseau, acte no 133, f° 1 r°/v°.
184 AD 17, 3 E 1874, notaire Girard, acte non numéroté, f° 1 r°/v°.
185 AD 17, 3 E 624, notaire Desbarres, acte non numéroté, f° 116 r° à 118 r°.
186 AD 17, 3 E 1690, notaire Delavergne père, acte no 133, f° 299 r°/v°.
187 Pétré-Grenouilleau O., « La noblesse commerçante nantaise… », art. cit., p. 198.
188 Chaussinand-Nogaret G., Histoire des élites en France…, op. cit., p. 253.
189 « Dans une ville où le milieu protestant était fortuné et dynamique, l’appartenance à la religion réformée pouvait être une cause supplémentaire de blocage, et c’est ainsi que les frères Nairac, négociants parmi les plus opulents de la ville, se virent refuser l’anoblissement le 15 décembre 1786. Dans sa lettre justifiant son refus, Duchesne de Beaumanoir reconnaît que “la réputation et l’étendue du commerce des Sieurs Nairac, la considération dont jouit leur maison, la sûreté de leurs opérations, leur grande fortune, ne peuvent qu’étayer très fortement leur demande”, mais il déclare : “Je ne saurais leur donner mon suffrage. C’est sans doute à regret que je leur refuse mais la R.P.R. dont ils font profession me paraît dans les principes de notre constitution former un obstacle puissant au succès de leurs désirs.” » Figeac M., Destins de la noblesse bordelaise…, op. cit., t. 1, p. 29.
190 Pour un développement des conditions d’accès au titre de commensal, des différents ordres et privilèges attenants, voir : Guyot J.-N et J.-J.-G., Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiale, Paris, Chez Visse, 1784, vol. 4, p. 62-74.
191 Cauna J. de, Au temps des isles à sucre…, op. cit., p. 48.
192 En ajoutant les négociants issus de l’aristocratie d’ancienne extraction, du monde de la robe et de la noblesse irlandaise, nous sommes ainsi au-delà des 17 « armateurs » nobles rochelais comptabilisés par Guy Richard. Richard G., La noblesse d’affaires…, op. cit., p. 151.
193 À ce sujet, voir : Doyle W., « Les prix des charges anoblissantes à Bordeaux au XVIIIe siècle », Annales du midi, 1963, t. LXXX, p. 5-77.
194 Meyer J., La noblesse bretonne…, op. cit., t. 1, p. 218-219.
195 AD 17, 3 E 615, notaire Desbarres, acte non numéroté, f° 47 r°.
196 AD 17, 3 E 941, notaire Farjenel, acte no 74, f° 1 r°.
197 AD 17, 3 E 946, notaire Farjenel, acte no 27, f° 2 r°.
198 Bosher J. F., Négociants et navires…, op. cit., p. 49.
199 Butel P., Les négociants bordelais…, op. cit., p. 327.
200 AD 17, 3 E 26, notaire Chameau, acte non numéroté.
201 AD 17, 3 E 55, notaire Roy, acte non numéroté, f° 1 r°.
202 AD 17, 3 E 1032, notaire Drouhet, acte non numéroté, f° 5 v°.
203 AD 17, 3 E 17, notaire Chameau, acte non numéroté, f° 86 r°.
204 Pétré-Grenouilleau O., « Les négoces atlantiques français… », art. cit., p. 40-41.
205 Il faut comprendre l’idée de génération comme un groupe d’acteurs arrivés de manière conjoncturelle, développant des attitudes ou des comportements communs et pouvant en outre se retrouver autour de mêmes origines sociales ou géographiques.
206 Sur le renouvellement de l’effectif négociant rochelais sous la période révolutionnaire et celle du Directoire, voir : Coustaud B., op. cit., p. 79-86.
207 Cette difficulté a été pareillement évoquée par Charles Carrière pour Marseille : « seulement, pour notre recherche, il en résulte une difficulté particulière : comment les connaître puisque tous acceptent les actes de catholicité et que, dans le cas contraire, ils seraient des « clandestins » ? ». Négociants marseillais…, op. cit., t. 1, p. 284.
208 « Les religionnaires conservaient la prépondérance numérique et sociale parmi les marchands enrichis au trafic antillais, qu’on désignait maintenant sous le nom de négociants. » Pérouas L., Le diocèse de La Rochelle…, op. cit., t. 2, p. 453.
209 « The steady erosion of protestant strength between 1628 and 1700, affecting merchants as well as other occupational groups, determined that few of the Protestants in La Rochelle in 1700 would be descendants of the Rochelais of 1600. […] Still, a central core of protestant merchants persisted. Prior to the 1680s, the richest and most active merchants of the port had been Protestants, and the Revocation had not totally displaced the merchant class of La Rochelle. » Clark J. G., op. cit., p. 44-45.
210 « La grande famille des Faneuil est un exemple magistral de dispersion à la Révocation. Si Jean-André s’établit à Rotterdam, Jean Faneuil s’enfuit à Boston où ses frères André et Benjamin furent admis en même temps que lui en février 1691. En 1702, il retourne à La Rochelle où l’intendant le contraint à l’abjuration. Il y décède en 1737. André, lui, meurt à Boston la même année, 1737. Quant à Benjamin, il vit jusqu’à sa mort en 1719 à New York. » Poton D., « Le négoce huguenot rochelais et le Canada… », art. cit., p. 198.
211 Delafosse M. (dir.), Histoire de La Rochelle…, op. cit., p. 210.
212 Garnault É., Le livre d’or…, op. cit., p. 5.
213 Poton D., « Le négoce huguenot rochelais et le Canada… », art. cit., p. 198.
214 Ibidem, p. 199.
215 Deveau J.-M., La traite rochelaise…, op. cit., p. 34.
216 Ibidem, p. 35-36.
217 AD 17, 4 J 2318, f° 3 v°.
218 Clark J. G., op. cit., p. 45.
219 Si l’on ne considère que les Admyrauld, Belin, Bernon, Bonfils, Bonneau (et Torterue-Bonneau), Delacroix, Fleuriau, Rasteau, Seignette et Vivier, c’est-à-dire dix familles, l’on arrive déjà au nombre de 67 négociants.
220 Gardey P., Négociants et marchands…, op. cit., p. 171.
221 Bonnin J.-C., Histoire des juifs de La Rochelle, La Rochelle, Jean-Claude Bonnin-Alain Thomas, 1999, p. 38-44.