John Arthur Quartley et les graveurs sur bois des éditions Mame à Tours

Ce texte nous a aimablement été confié par Rémi Blachon au début de nos recherches. Il ne souhaitait pas retravailler sur ce sujet et s’en remettait à nous pour faire bon usage de son article. Nous le publions ici à sa mémoire.
Le texte d’origine ne comportant aucune note, toutes les notes sont de notre fait – elles ont pour but de repréciser les propos de l’auteur à l’aide de nos propres recherches. Nos modifications du texte, très peu nombreuses, n’ont porté que sur trois points : la ponctuation, quelques rares précisions bibliographiques, et deux coupes permettant d’insérer le texte avec plus de pertinence dans le cadre d’une publication sur la maison Mame.
François Fièvre

1La gravure sur bois debout, importée d’Angleterre en France en octobre 1816 par Charles Thompson et John Martin, fut ensuite pratiquée d’abord à Paris, là où se trouvaient les principaux journaux illustrés de l’époque et la plupart des éditeurs de ces livres que l’on appelle « illustrés romantiques ». Il y e