Ollioules « Quartier Quiez 2 » : une nécropole tardo-antique avec vue sur la mer
p. 179-187
Résumés
La fouille en 2019 d’une occupation de la fin de l’Antiquité à Ollioules dans le Var a permis la mise au jour d’un ensemble funéraire regroupant 62 individus inhumés dans 30 sépultures. Nombre d’entre elles témoignent d’une réouverture et de réductions de corps et de plusieurs phases d’inhumations successives. Une très grande variabilité dans les architectures funéraires a été observée à la fouille. Les différentes études montrent qu’il s’agit d’une population au statut social probablement peu élevé ayant exercé différentes activités depuis leur plus jeune âge et ayant connu de nombreux épisodes de stress carentiels durant leur vie.
The 2019 excavation of a Late Antiquity settlement in Ollioules, in the Var region of France, uncovered a funerary complex comprising sixty-two individuals buried in thirty tombs. There were signs that many of the tombs had been reopened, the bodies inside had been reduced, and several successive phases of inhumation had taken place. A great variability in the funerary architecture was observed. The different studies show that the deceased were individuals, probably of low social status, who had carried out various activities since their youth and who had experienced numerous episodes of deficiency.
Entrées d’index
Mots-clés : Antiquité tardive, espace funéraire, inhumation, réduction de corps, architecture funéraire, pratique funéraire, dépôt secondaire
Keywords : Late Antiquity, funerary area, inhumation, body réduction, funerary architecture, funerary practice, secondary deposit
Texte intégral
Introduction
1Un diagnostic (Conche, Ben Chaba 2018) puis une fouille archéologique (Bosc-Zanardo 2022) ont été menés en 2018 et 2019 au lieu-dit « Quartier Quiez » (Ollioules, Var) en amont d’un projet immobilier (fig. 1). Ces opérations ont mis au jour plusieurs occupations (fig. 2), dont certaines à vocation funéraire. La plus ancienne est représentée par une sépulture en silo du Néolithique final1. La suivante est datée de la 2e moitié du Haut Empire2 et concerne trois sépultures individuelles. Enfin, celle qui nous intéresse ici est datée de l’Antiquité tardive au début du haut Moyen Âge (ive-vie s.)3. Elle est représentée par une trentaine de sépultures dont 27 individuelles et trois doubles regroupant au total 33 individus en position primaire. Dix-sept d’entre elles renfermaient des dépôts secondaires pour lesquels les restes de 29 sujets supplémentaires ont été identifiés. Cette utilisation de la nécropole qui semble plus intense durant l’Antiquité tardive masque probablement un nombre conséquent de fosses sépulcrales antérieures, car les tombes les plus récentes sont creusées au même endroit et recoupent pour un très grand nombre d’entre elles des structures plus anciennes.
1. Conservation et répartition des sépultures
2Les tombes sont réparties sur deux aires géographiques distinctes, de part et d’autre d’une grande fosse probablement creusée peu après l’abandon de la nécropole (ENS3353, fig. 3). Le premier groupe prend position à l’ouest, à l’emplacement exact de sépultures plus anciennes dont les creusements se recoupent et conduisent à la remobilisation des restes osseux alors redéposés en réduction dans les nouvelles tombes (par exemple SP3228/3225, fig. 3). Le second groupe concerne les tombes qui s’installent plus à l’est, sur le tracé d’un ancien fossé4. Ce groupe de sépultures est bien circonscrit dans un espace délimité par deux murs chaînés (MR3210 et 3211, fig. 3) spoliés durant le ve ou le vie siècle de notre ère et initialement contemporains de l’ensemble sépulcral daté du iie siècle. Il est probable que cet espace ait été réutilisé après son abandon comme enclos funéraire comme cela est souvent le cas pour des ruines antiques. Le respect de l’intégrité des murs de l’ancienne construction témoigne de sa visibilité au moment de sa réutilisation (Pecqueur et al. 2015 : 297). Le second groupe concerne les tombes qui s’installent plus à l’est. Celles-ci sont apparues directement sous le couvert végétal et ont donc subi quelques perturbations (la partie sommitale du comblement et les niveaux d’ouverture ayant disparu). La plupart d’entre elles s’installent sur le tracé d’un ancien fossé et aucune limite matérielle délimitant un espace associé à ces sépultures n’a été identifiée. De plus, aucune organisation particulière (en rangée par exemple) entre les sépultures elles-mêmes ne semble se dessiner. La question des liens entre ces deux groupes reste posée. La présence de l’énorme substruction ENS3353 masque peut-être l’existence d’une continuité physique entre ces deux pôles funéraires contemporains qui n’en formeraient alors qu’un. Notons qu’aucun reste osseux n'a été mis au jour dans les comblements de cet ensemble fossoyé qui a livré en revanche de nombreux restes architecturaux exclusivement dédiés aux sépultures comme des fragments de dalles de lauze (utilisée pour les sépultures SP3241 et SP3344 par exemple) ou des fragments d’amphores africaines servant de réceptacle pour les sépultures d’individus très jeunes (SP3271) ou bien encore de petits blocs calcaires rapidement mis en forme et utilisés dans la confection de coffrage (SP3347). L’extension septentrionale de la nécropole reste inconnue. Plusieurs mentions ont été faites concernant des sépultures situées immédiatement au nord de l’emprise de fouille dont au moins une tombe sous tegulae le long de la RN8 (Bottin, Bonnaud 1909 : 157-158) et plusieurs tombes antiques ainsi qu’une villa et ses dépendances détruites depuis (Martina-Fieschi, Ribot 1999 : 548). Ces dernières devaient probablement constituer la limite nord de la nécropole bordant la voie VOI3001.
3La dernière phase d’utilisation de la nécropole durant la fin de l’Antiquité est en partie contemporaine de l’aménagement d’un chemin au sud5 et voit quelques sépultures s’aligner selon ce nouvel axe viaire au cours du ve s. Ce sont ainsi a minima, quatre phases d’inhumations qui ont été identifiées comme en témoignent les recoupements entre plusieurs sépultures (SP3196, SP3199 et SP3192) ainsi que la présence d’un individu supplémentaire en réduction dans l’une d’entre elles (SP3199) et provenant d’une probable tombe plus ancienne en partie détruite (FS6005). Le mobilier des comblements ayant été aussi remobilisé et les écarts-types des datations radiocarbones restant malgré tout souvent considérables, l’évolution et la chronologie de ces espaces restent encore assez floues.
2. Que disent les corps ?
4Sur les 62 individus, la moitié sont des adultes, dont neuf de sexe masculin (28,1 %) et onze de sexe féminin (34,3 %)6. Il est impossible de dire si ce déséquilibre hommes/femmes (sex-ratio de 0,82) est significatif, car le nombre d’individus de sexe indéterminé (douze) reste très important (37,5 %). Ce pourcentage d’interminés assez élevé s’explique par le nombre conséquent d’individus en position secondaire pour lesquels les os coxaux sont soit absents soit très fragmentés. Même si la part de femmes est légèrement plus importante et que l’on s’éloigne donc un peu du schéma d’une population naturelle, la représentation des deux sexes reste relativement équilibrée. Toutefois, ces données sont à considérer avec prudence en raison du faible effectif et de la proportion importante des individus de sexe indéterminé.
5La répartition adulte - immature est quant à elle équilibrée et l’espérance de vie à la naissance (32,40 ans) ainsi que les quotients de mortalité des individus décédés avant 20 ans (500 ‰) et avant 15 ans (467,74 ‰) restent comparables à ce que l’on peut observer pour une population préjennérienne connue à l’espérance de vie à la naissance comprise entre 25 et 35 ans. Notons un déficit des effectifs de la classe [0] et une surreprésentation des classes [5-9] et [10-14], néanmoins ces décomptes restent assez proches des limites théoriques admises (fig. 5). La population exhumée semble donc correspondre à une population « naturelle » et les variations de la courbe peuvent être liées aux faibles effectifs, cependant un évènement de surmortalité n’est pas à exclure (fig. 6).
Fig. 6. Répartition des individus par classe d’âge démographique.
Classe d’âge | Nombre d’individus |
[0] | 5 |
[1-4] | 12 |
[5-9] | 8 |
[10-14] | 4 |
[15-19] | 2 |
[20-29] | 1 |
Adulte | 30 |
Total | 62 |
Vanhove, Archeodunum.
3. Et la paléopathologie ?
6L’étude paléopathologique conduite sur les individus retrouvés en position, où dont les restes sont identifiés avec certitude (n = 40), a permis de mettre en évidence quelques traits potentiellement intéressants. Toutefois, eu égard au caractère réduit des effectifs, aussi bien en fonction du groupe d’âge (23 adultes et 17 individus jeunes) que du sexe pour les adultes (8 hommes, 10 femmes, 5 individus de sexe indéterminé) ainsi qu’aux biais, aussi bien théoriques que méthodologiques, bien connus et inhérents à toute étude sur les restes ostéo-archéologiques (Gandia 2020), ces résultats doivent être considérés avec une certaine retenue.
7Tout d’abord, le fait que le taux féminin de lésions carieuses soit plus important que le taux masculin (80 % contre 57 %), pourrait indiquer des divergences sexuées de régime alimentaire ou d’accès à la nourriture. Si l’étude des marqueurs d’activités et de postures montre qu’aussi bien les hommes que la quasi-totalité des femmes (9 sur 10) ont pu avoir une activité physique intense, « de force », certaines divergences en termes de schémas et de taux d’atteintes pourraient évoquer le fait que les hommes aient pu davantage être concernés par certains types de tâches et notamment, peut-être, le levage et le port de charges lourdes. Des enthésopathies identifiées au sein du groupe des individus jeunes (10-14 ans et 5-9 ans) pourraient évoquer que certains d’entre eux ont pu avoir une activité physique relativement intense, débutée précocement. Un élément caractéristique de cet échantillon est que près de 90 % des individus chez qui l’observation est possible, aussi bien jeunes qu’adultes, présentent des facettes « d’accroupissement » évoquant le recours fréquent à une position stressante et/ou des activités ou habitudes comportementales particulières.
8Il est en outre particulièrement intéressant de noter que le taux de traumatismes féminin est plus élevé que le taux masculin (40 % contre 25 %) et que seules les femmes présentent des polytraumatismes osseux ou des atteintes articulaires (mono ou poly-articulaire). Si ces éléments évoquent que certains individus ont pu être engagés dans des activités ou comportements impliquant un certain degré de risque accidentogène, ils mettent également en lumière de possibles divergences sexuelles en termes d’activités pratiquées et/ou d’exposition à ces risques.
9Un autre aspect intéressant de cet échantillon et que, parmi les individus jeunes, un cas de scorbut (périnatal) et quatre cas de « syndrome carentiel généralisé » ont pu être diagnostiqués ; éléments indiquant que certains individus de ce groupe, y compris adulte (mère de l’enfant scorbutique a minima) ont pu souffrir de carences, notamment alimentaires, sévères. En outre, au sein des individus adultes, les trois quarts des sujets chez qui cela est observable présentent des hypoplasies linéaires de l’émail dentaire évoquant que ceux-ci ont pu souffrir d’épisodes de stress majeurs durant les premières années de leur vie.
10Enfin, on notera qu’un cas d’hyperostose diffuse idiopathique a été identifié chez un individu adulte de sexe masculin dénotant, sinon d’un statut social « élevé », au moins d’un accès aisé à la nourriture et un régime alimentaire riche.
11Le profil qui se dessine pour cet échantillon est celui d’une classe plutôt laborieuse au sein de laquelle une certaine division sexuelle des tâches pouvait exister. En outre, tandis qu’un individu (a minima) a pu jouir d’un statut particulier et d’un régime alimentaire riche, au moins durant une période, certains individus ont pu connaître des temps difficiles et un accès limité à la nourriture. Cet aspect ne permettant pas pour autant de conclure à de réelles inégalités et/ou au fait que ces individus n’appartiennent pas au même groupe ou classe sociale.
4. Que nous apprennent les pratiques funéraires ?
12Malgré une lisibilité relative des limites de fosses sépulcrales, l’examen des squelettes et de leur environnement immédiat dans la tombe a permis la détermination des espaces de décomposition pour la quasi-totalité des sépultures. Seule une tombe (SP3406) pour laquelle trop peu d’éléments nous sont parvenus n’a pu être caractérisée. Ainsi, une décomposition des corps en espace vide a été identifiée pour 17 sépultures. Pour les douze inhumations restantes, c’est une décomposition en espace colmaté qui a été reconnue.
13L’attitude des individus est très stéréotypée : tous sont orientés, allongés sur le dos avec les membres inférieurs en extension et les membres supérieurs le long du corps ou fléchis. La plupart semblent avoir été inhumés habillés et/ou enveloppés dans une enveloppe textile et cinq d’entre eux (quatre femmes et un immature âgé de 10 à 14 ans) portaient des éléments de parure, pour l’essentiel, des bagues, des boucles d’oreille et des épingles en alliage cuivreux attribuées à des éléments de coiffe. Pour une dizaine d’individus, des éléments de surélévation du crâne en matériau périssable ont pu être restitués.
14La particularité de cet ensemble réside surtout dans la pluralité des architectures mises en œuvre dans les tombes qui présentent presque autant de cas spécifiques que de structures (fig. 7). On retrouve aussi bien des inhumations en fosse simple que des couvertures aménagées (planches de bois et/ou en tuiles et/ou dalles de lauze) et/ou des fonds aménagés (planches en bois), des contenants rigides pérennes, non pérennes ou mixtes (bâtière, coffrage de pierres ou en dalles de lauze, en bois, coffrage mixte, amphore-cercueil) qui peuvent être accompagnés de calages. Ces architectures sont souvent incomplètes, probablement altérées par les réouvertures successives des tombes, ce qui diffère de ce que l’on rencontre habituellement ailleurs dans le sud-est de la France, comme sur les sites de « Favary » à Rousset (Ancel à paraître), « Richeaume XIII » à Puyloubier (Mocci et al. 2011) ou « Cadarache » à Saint-Paul-lès-Durance (Pouyé et al. 1994) dans les Bouches-du-Rhône.
15D’autres éléments remarquables ont été repérés comme la « dissimulation » du visage de certains individus (des fonds d’amphore semblent recouvrir les crânes de deux très jeunes individus) (fig. 8), les traitements différentiels de certains dépôts secondaires et le dépôt à deux reprises d’un bloc crânio-facial volontairement séparé du reste de l’amas osseux pour être placé à l’envers contre le crâne du dernier individu inhumé (pratique documentée à Malbosc à Montpellier, Hérault) (Blaizot et al. 2008 : 74) (fig. 9) ou bien encore l’absence de mobilier d’accompagnement. Ce dernier est pourtant encore bien attesté pour cette période même s’il est généralement plus abondant dans les tombes du début du ive s. que dans celles du début du ve s. puis tend à disparaître complètement dans la seconde moitié du ve s. (Ancel à paraître).
Conclusions et perspectives
16Les premières études de cette population inhumée durant la fin de l’Antiquité dépeignent des individus issus d’une classe laborieuse ayant exercé différentes activités et travaux au cours de leur vie, peut-être débutés précocement, et ayant connu pour certains des épisodes de stress carentiels, notamment alimentaires. Cependant, de nombreuses interrogations restent en suspens et trouveront peut-être des réponses grâce aux analyses ADN réalisées dans le cadre de l’ANR ANCESTRA7. Est-ce que l’organisation en deux groupes reflète une réalité sociale ou une spoliation postérieure ? La longue utilisation de la nécropole correspond-elle à une occupation longue de la même population ? Les dépôts secondaires présents dans certaines tombes indiquent-ils un lien de parenté entre les individus d’une même sépulture ? La diversité des pratiques funéraires témoigne-t-elle de pratiques familiales/sociales différenciées ?
Bibliographie
Ancel à paraître Ancel M.-J., Les nécropoles de l’Antiquité tardive in Thirault E. et al., Rousset « Favary », Rapport Final d’Opération, à paraître.
Blaizot et al. 2008 Blaizot F., Raux S., Bonnet C., Henry E., Forest V., Ecard P., Jorda C., Macabeo G., L’ensemble funéraire rural de Malbosc (Montpellier, Hérault) ; pratiques funéraires de l’Antiquité tardive, Revue archéologique de Narbonnaise, 4, p. 53-99.
Bosc-Zanardo 2022 Bosc-Zanardo B. (dir.), Ollioules, Quartier Quiez (Var), Rapport final d’opération, SRA Provence-Alpes-Côte d’Azur – Archeodunum, 1856 p.
Bottin, Bonnaud 1909 Bottin C., Bonnaud L., Les villages gallo-romains à l’ouest de Toulon, sur le territoire des communes d’Ollioules, Sanary et Six-Fours, Bulletin de l’Académie du Var, p. 149-178.
Conche, Ben Chaba 2018 Conche F., Ben Chaba L., Quartier Quiez. Provence-Alpes-Côte d’Azur, Var, Ollioules. Rapport final d’opération de diagnostic archéologique. Nîmes : Inrap Méditerranée, 147 p.
Gandia 2020 Gandia D., Profils paléopathologiques et archéologie préventive : apports d’un outil original et application à des ensembles diachroniques, Thèse de doctorat, Université d’Aix-Marseille (ADES, UMR 7268) / Archeodunum SAS, 3 vol., 1118 p.
Martina-Fieschi, Ribot 1999 Martina-Fieschi D., Ribot H., 090 – Ollioules, in Brun J.-P., Carte archéologique de la Gaule – Var (S3), Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 984 p.
Mocci et al. 2011 Mocci F., Granier G., Dumas V., Opération archéologique programmée triannuelle 2010-2012. Richeaume XIII (Puyloubier, Bouches-du-Rhône), Rapport intermédiaire d’opération 2011. SRA PACA, Aix-en-Provence, 2011, 110 p.
Pecqueur et al. 2015 Pecqueur L., Gleize Y., Gaultier M., Les sépultures hors du cimetière dans le paysage entre le ve et le xviiie siècle, in Gaultier M., Dietrich A., Corrochano A., Rencontre autour des paysages du cimetière médiéval et moderne. Actes du colloque des 5 et 6 avril 2013 au Prieuré Saint-Cosme (La Riche), FERACF, 370 p. (60e supplément à la RACF), p. 294-307.
Pouyé et al. 1994 Pouyé B., Allouis M.-F., Bonifay M., Bouville C., Calvet A., Lopez A., Lopez C., Une nécropole de l’Antiquité tardive à Cadarache (Saint-Paul-lès-Durance, Bouches-du-Rhône), Archéologie médiévale, tome XXIV, 1944, p. 51-135.
Notes de bas de page
1 Au sud de l’emprise de fouille, en vert sur le plan du site.
2 Au nord-est de l’emprise de fouille, en bleu sur le plan du site.
3 Au centre-nord de l’emprise de fouille, en rouge sur le plan du site.
4 En orange sur le plan du site.
5 En violet sur le plan du site.
6 Un individu immature [15-19] ans a également pu bénéficier d’une diagnose sexuelle et fait partie du décompte.
7 Projet coordonné par Mélanie Pruvost, chargée de recherche au CNRS, PACEA UMR 5199, ayant pour objectif la caractérisation du peuplement de la France grâce à l’ADN ancien, depuis le Néolithique et jusqu’au haut Moyen Âge.
Auteurs
Archeodunum SAS, Colomiers, France
Archeodunum SAS, Colomiers, France
CNRS, Aix Marseille Université, EFS, ADES, UMR 7268, Marseille, France
Archeodunum SAS, Colomiers, France
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