Résumé
p. 387-390
Texte intégral
1Le site des Bagnoles a été mis au jour en 2006, à la suite de la réalisation d’un diagnostic archéologique. La découverte à cette occasion de structures mortuaires et de mobilier archéologique inhabituels dans le contexte du Néolithique moyen méditerranéen (Sargiano et al. 2010) et l’abandon du projet d’aménagement à l’origine de cette opération a motivé la mise en place d’un projet de fouilles programmées. Celui-ci a débuté en 2011 et s’est achevé en 2015.
2Le traitement des abondantes données issues de ces fouilles nécessitera encore plusieurs années de travail. Certaines études sont déjà engagés dans le cadre de projets de recherches (cf. chapitre 4), d’autres restent à faire. Nous avons toutefois pris le parti de publier rapidement les principaux résultats des travaux de terrain ainsi qu’une réflexion sur leur apport à la connaissance du Néolithique moyen méditerranéen afin de mettre cette documentation à la disposition de la communauté scientifique.
3Selon les données acquises à l’occasion du diagnostic de 2006, le site était marqué par une dense occupation attribuable au dernier tiers du Ve millénaire avant notre ère et par la présence de structures funéraires inédites. Cet horizon chronologique est une période clé dans l’évolution du Néolithique moyen méditerranéen. Les publications sur les ensembles fouillés correspondant à cette période sont cependant rares et les lacunes sont nombreuses. Elles touchent autant la culture matérielle que la chronologie, l’économie, les réseaux d’échanges ou encore les pratiques mortuaires. Les données disponibles sur le site des Bagnoles au terme du diagnostic de 2006 permettaient d’espérer avancer sur ces sujets.
4La fenêtre explorée entre 2012 et 2015 correspond à une surface d’environ 1,5 hectares. Les premières occupations des lieux sont attestées à partir du dernier tiers du Ve millénaire avant notre ère. Elles sont marquées par 72 structures, pour l’essentiel des épandages de mobilier peu fragmenté, préservés dans des dépressions peu profondes, vestiges probables de la topographie naturelle du site au moment de ces fréquentations. Pour ces premières occupations, les résultats conjoints des études géomorphologiques, stratigraphiques, et micromorphologiques permettent de reconstituer un milieu naturel de type plaine alluviale active. Les données paléobotaniques corroborent cette image, suggérant la présence à proximité du site de forêts riveraines méditerranéennes. La grande diversité écologique du spectre végétal évoque un paysage mosaïque.
5Un puits à eau (structure 250), une grande cuvette (structure 68) comblée de galets chauffés, céramique, outillage lithique et faune, huit structures funéraires à dépôt secondaire de crémation (structures 47/2006, 48/2006, 51, 54, 200, 201, 527, 833), quatre structures funéraires probables (structure 760/62/63 ensemble A et C, 768 et 469) et plusieurs structures mortuaires possibles constituent les principaux aménagements de l’occupation de la fin du Ve millénaire avant notre ère. Ces structures s’organisent en deux groupes, l’un situé au nord, l’autre au sud de la zone décapée. Aucune structure de stockage, aucun indice de la présence de bâtiment ne peuvent être attribués de manière certaine à cette occupation.
6Le mobilier céramique issu des épandages, du puits, de la grande cuvette et des structures funéraires présente les caractéristiques du Néolithique moyen de type Chassey. La grande majorité de ces structures n’ayant fourni aucun échantillon propre à la réalisation de mesures radiocarbone, il est difficile d’évaluer la durée de cette phase d’occupation. Les datations issues du puits et d’une des structures funéraires suggèrent toutefois une certaine profondeur chronologique. L’ensemble de ces fréquentations correspond au maximum à la durée du Néolithique moyen de type Chassey, c’est-à-dire environ trois siècles.
7Les spécificités des pratiques funéraires documentées sur le site peuvent être résumées de la manière suivante. Le corps du ou de la défunte, accompagné du mobilier funéraire, est placé sur un bûcher. Une partie parfois infime des restes crémés ainsi que du mobilier est ensuite prélevée puis déposée dans un réceptacle qui peut être un creusement adapté au volume du dépôt ou encore un vase ossuaire. Les restes humains présentent les stigmates d’une crémation à haute température et sont (délibérément ?) fortement fragmentés. Le mobilier, riche en comparaison avec d’autres assemblages funéraires de cette période, est constitué de dépôts de céramique, d’outillage lithique taillé (armatures, lames), de lames de hache et d’outillage de mouture. Outillage osseux et faune sont également attestés, mais probablement sous représentés en raison de difficultés d’identification. Globalement, la richesse relative du mobilier funéraire mis au jour aux Bagnoles suggère que les restes déposés revêtaient une certaine importance, soulignée dans certains cas par la présence d’objets inhabituels (vases cubiques, vases peints). Ce site ne représente pas la seule occurrence de ce type de dépôt funéraire et les découvertes de sépultures secondaires à crémation se sont multipliées ces dernières années dans le midi de la France. Cette pratique semble y apparaître dans le dernier tiers du Ve et perdurer au moins jusqu’au Néolithique final. Il est difficile de se prononcer sur son origine. Tout au plus est-il possible de dire que des dépôts d’ossements humains crémés sont occasionnellement signalés au Ve millénaire dans le domaine Chamblandes et en Italie septentrionale. Les dépôts secondaires de crémation et les inhumations de corps non crémés cohabitent dans le Midi au cours du dernier tiers du Ve millénaire. Ces deux types de traitements des corps partagent plusieurs points : ils s’adressent aux deux sexes ; la forme et les dimensions du réceptacle sont adaptées au volume du dépôt ; ils sont accompagnés des mêmes catégories de mobilier (outillage de mouture et malacofaune marine pour les femmes, parures, armatures, lames de silex et lames de hache pour les hommes, céramique et outillage osseux pour les deux sexes) ; les structures funéraires sont souvent rassemblées pour former des petits groupes situés en dehors de l’habitat. Ces traits communs les différencient des dépôts de corps en fosses circulaires, attestés durant la même période, mais qui semble fonctionner différemment. En effet, dans ce dernier cas les individus inhumés sont majoritairement des femmes et des enfants, le mobilier est rare, voire absent.
8La présence de structures funéraires sur le site des Bagnoles pose la question de la fonction et de l’organisation de l’espace au sein de la fenêtre explorée. La première constatation concerne l’absence de structures domestiques avérées (zones de stockage, restes de bâtiments) dans la zone occupée par les deux groupes des structures funéraires. Cette absence ne peut être imputée à l’érosion dans la mesure où de nombreuses structures peu profondes telles que les épandages de mobilier dans de grandes dépressions sont conservées. Les seuls aménagements découverts à proximité sont des structures à galets chauffés pour l’essentiel non datées, une cuvette comblée de galets rubéfiés, céramique, outillage lithique et faune et un puits à eau. Cette situation nous a conduits à formuler deux hypothèses : la première propose d’interpréter le secteur décapé comme une zone d’activités liée à un habitat proche et à la périphérie de laquelle sont relégués les morts ; la seconde suggère de voir un lien entre les sépultures et ces mêmes zones d’activités. Dans cette perspective, ces dernières seraient les vestiges d’évènements liées aux funérailles et/ou à la commémoration des défunt(e)s. La présence d’indices d’activités domestiques dans le puits (déchets de taille, restes fauniques, restes de balles de céréales) va dans le sens de la première hypothèse mais n’infirme pas la seconde. Le statut des structures à galets chauffés, souvent interprétées comme les vestiges de préparations culinaires collectives, et le cas troublant de la structure 68, dans laquelle ont été déposés pêle-mêle les restes d’au moins cinq bœufs, d’une ou de plusieurs structures à galets chauffés et d’une quarantaine de vases pourraient aller dans le sens de la deuxième proposition. Il est difficile de trancher mais il sera nécessaire à l’avenir de se pencher sur les questions d’organisation de l’espace autour des structures mortuaires.
9Si le site de Bagnoles a permis une avancée significative dans la connaissance des pratiques funéraires du Néolithique moyen, la découverte de trois puits néolithiques (structures 250, 990 et 994) qui se succèdent sur quelques siècles constitue, elle aussi, un apport considérable dans plusieurs domaines. La partie inférieure de leur comblement étant restée continuellement en dessous du niveau le plus bas de la nappe phréatique, l’ensemble des restes végétaux qui s’y trouvait a bénéficié d’une conservation en milieu humide. Cette archive, qui couvre environ trois siècles (d’environ 4200 à 3900 avant notre ère), permet, pour la première fois dans la région, de disposer de données relatives à l’environnement naturel, à son exploitation par l’être humain ainsi qu’à la place de l’agriculture et de son évolution au cours d’une partie du Néolithique moyen.
10Les trois puits néolithiques des Bagnoles viennent s’ajouter à une série de structures comparables découvertes ces dernières années sur plusieurs sites du midi de la France. Grâce à ces découvertes, nous disposons actuellement de nombreux jalons qui présentent une série d’atouts précieux, alliant l’abondance du mobilier archéologique, sa bonne conservation (mobilier céramique peu fragmenté, mobilier lithique peu patiné), un comblement relativement rapide (à condition de pouvoir exclure les curages et recreusements) et la présence en grand nombre d’échantillons à vie courte susceptibles d’être daté par le radiocarbone. C’est essentiellement sur la base de tels ensembles et des datations radiocarbones qui en sont issues qu’il a été possible de poursuivre et d’approfondir le travail de périodisation du Néolithique moyen entamé il y a quelques années. La définition des différents groupes culturels et la succession type Chassey – type La Roberte – type Mourre de la Barque en sortent renforcées. Les bornes chronologiques se précisent.
11Au-delà de ces aspects chronoculturels, la répartition des différentes phases d’occupation des lieux au Néolithique dans la fenêtre ouverte aux Bagnoles suggère une certaine mobilité des zones d’activités qui n’est pas sans rappeler celle des sites lacustres du Jura et du Plateau suisse. Les « très grands sites » du Néolithique du midi de la France ne sont peut-être que le résultat d’une telle mobilité, le déplacement aléatoire d’un hameau durant plusieurs siècles au gré de la topographie et des disponibilités en ressources naturelles.
12L’histoire du lieu ne s’arrête pas là. L’espace représenté par la fenêtre décapée est à nouveau fréquenté plusieurs millénaires plus tard, vers la fin de l’âge du Bronze : deux maisons et une fosse d’extraction de matériau de construction marquent la présence d’un hameau vers 1000 avant notre ère. Quelques siècles plus tard, à la fin de l’âge du Fer ou au début de l’Antiquité, deux enclos circulaires – possibles restes de structures funéraires partiellement arasées –, un puits et quelques trous de poteau marquent une nouvelle phase d’activités sur le site. L’endroit sera ensuite drainé et voué, jusqu’à aujourd’hui, à des activités agricoles.
Abstract
13The Les Bagnoles site was discovered in 2006, after an archaeological diagnosis revealed mortuary structures and unusual archaeological material in a Mediterranean Middle Neolithic context (Sargiano et al. 2010). The abandonment of the development project leading to this operation prompted the implementation of programmed excavations which began in 2011 and ended in 2015.
14The analysis of the abundant data from these excavations will require several more years of work. Some studies are already underway as part of research projects (cf. chapter 4), others have yet to begin. However, we decided to publish the main fieldwork results rapidly along with a reflection on their contribution to our knowledge of the Mediterranean Middle Neolithic in order to make this documentation available to the scientific community as soon as possible.
15According to the data acquired during the diagnosis in 2006, the site was characterized by dense occupation attributable to the last third of the fifth millennium before our era and by the presence of unprecedented funerary structures. This chronological horizon is a key period in the development of the Mediterranean Middle Neolithic. Paradoxically, few complexes from this period have been excavated and published and many lacunae still subsist in our knowledge of the material culture, the chronology, economy, exchange networks and mortuary practices. The data available from the site of Les Bagnoles after the 2006 assessment held promises of advancing our understanding of these topics.
16The sector explored between 2012 and 2015 corresponds to a surface of around 1.5 hectares. The first attested occupations of the site date from the last third of the fifth millennium before our era and consist of 72 structures, mainly comprising relatively intact layers of material, preserved in shallow hollows, which probably correspond to the natural topography of the site at the time of settlement. For these first occupations, the combined results of the geomorphological, stratigraphic and micromorphological studies show that this was a natural active alluvial plain type environment. The paleobotanical data corroborate this image, suggesting the nearby presence of Mediterranean riparian forests. The high ecological diversity of the plant spectrum points to a mosaic type landscape.
17A water well (structure 250), a large hollow (structure 68) filled with heated pebbles, pottery, lithic tools and fauna, eight funerary structures with secondary cremation deposits (structures 47/2006, 48/2006, 51, 54, 200, 201, 527, 833), four probable funerary structures (structure 760/62/63 ensemble A and C, 768 and 469) and several possible mortuary structures represent the main structures corresponding to the settlement from the end of the fifth millennium before our era. These structures are organized into two groups, one situated in the north, the other in the south of the excavated zone. No storage structures and no indication of the presence of buildings could be confidently attributed to this occupation.
18The ceramic material from the layers, the well, the large basin and the funerary structures present Chassey type Middle Neolithic characteristics. The vast majority of these structures did not yield suitable samples for radiocarbon dating and it is thus difficult to evaluate the duration of this occupation phase. However, the dating of the well and one of the funerary structures points to a relatively long chronological span. All of these occupations correspond at the most to the duration of the Chassey type Middle Neolithic, i.e., about three centuries.
19The characteristics of the funerary practices documented at the site can be summarized as follows. The corpse of the deceased, accompanied by funerary objects, was laid on a pyre. A tiny part of the cremated remains and the objects were then removed and deposited in a receptacle, which was either a hollow adapted to the volume of the deposit or a burial urn. The human remains present the marks of high temperature cremation and are (deliberately ?) very fragmented. The accompanying objects are rich in comparison with other funerary assemblages from this period and are made up of ceramic deposits, chipped stone tools (armatures, blades), axe blades and grinding tools. Bone tools and fauna are also present, but are probably underrepresented due to identification difficulties. Overall, the relative opulence of the funerary objects discovered at Les Bagnoles suggests that the deposited remains were of significant importance. This is underlined in some cases by the presence of unusual objects (cubic vases, painted vases). This site is not the only occurrence of this type of funerary deposit and discoveries of secondary cremation graves have multiplied in the South of France in recent years. This practice seems to have appeared in the last third of the fifth millennium and lasted until the middle of the fifth millennium before our era. It is difficult to establish its origin. At the most, we can say that fifth millennium cremated human deposits were occasionally reported in the Chamblandes domain and in Northern Italy. Secondary cremated deposits and non-cremated buried remains coexist in the South of France during the last third of the fifth millennium. These two types of corpse treatment practices have several points in common : the shape and dimensions of the receptacle are adapted to the volume of the deposit ; they are accompanied by the same categories of objects (grinding tools and marine malacofauna for women, decorations, armatures, flint blades and axe blades for men, pottery and bone tools for both sexes) ; the funerary structures are often combined to form small groups situated outside the habitat. These shared traits differentiate them from the deposition of corpses in circular pits, which is attested during the same period, but seems to operate differently. Indeed, in this latter case, the buried individuals are mostly women and children and funerary goods are rare, or even absent.
20The presence of funerary structures at the site of Les Bagnoles raises the question of the function and the organisation of space in the explored sector. Our first observation is the absence of domestic structures (storage zones, remains of buildings) in the zone occupied by the two groups of funerary structures. This absence cannot be imputed to erosion in so far as numerous shallow structures, such as layers of objects in large shallow depressions, have been preserved. The only nearby structures are structures for heating pebbles, most of which could not be dated, a hollow filled with rubified pebbles, pottery, lithic tools and fauna and a water well. This situation led us to emit two hypotheses. The first proposes to interpret the excavated sector as a zone of activities linked to a nearby habitat, with a peripheral area relegated to the dead. The second points to a link between the graves and these same zones of activity. In this perspective, the latter would represent the remains of events linked to funerary practices and/or the commemoration of the dead. The presence of indications of domestic activities in the well (lithic waste, faunal remains, remains of cereal husks) backs up the first hypothesis but does not invalidate the second. The status of the heated pebble structures, which are often interpreted as the remains of collective culinary preparations, and the puzzling case of structure 68, which contains the remains of at least five cattle, one or several pebble heating structures and about forty vases, seem to back up the second proposal. In order to settle the question, it will be necessary in the future to focus on the analysis of the organization of space around mortuary structures.
21The site of Les Bagnoles has led to significant advances in our knowledge of Middle Neolithic funerary practices, and the discovery of three Neolithic wells (structures 250, 990 and 994), which follow on from each other over a timespan of several centuries, also yields considerable information in several domains. As the lower part of the infill of these wells remained continuously below the lowest level of the groundwater table, all the plant remains were preserved in wetland conditions. This archive spans about three centuries (around 4200 to 3900 before our era), and for the first time in the region, yields data on the natural environment, its exploitation by humans and the role and development of agriculture during part of the Middle Palaeolithic.
22The three Neolithic wells of Les Bagnoles supplement a series of comparable structures discovered in recent years at several sites in the South of France. These discoveries constitute markers and yield invaluable information, owing to the abundance of archaeological finds, good preservation (relatively intact pottery, slightly patinated lithics), relatively rapid infill (on condition that we can rule out cleaning and re-digging) and the presence of abundant short-lived samples for radiocarbon dating. Such sites and radiocarbon dates have provided the basis for the in-depth work on the periodization of the Middle Neolithic which began several years ago. This has confirmed the definition of the different cultural groups and Chassey type sequencing – La Roberte type – Mourre de la Barque type and clarified the chronological markers.
23In addition to these chronocultural aspects, the distribution of the different Neolithic occupation phases in the sector excavated at Les Bagnoles suggests a certain mobility of activity zones, similar to that observed in the lacustrine sites of the Jura and the Swiss Plateau. The “major” Neolithic sites in the South of France are perhaps merely the result of this mobility, the random displacement of a hamlet for several centuries depending on the topography and the availability of natural resources.
24The history of the site does not stop there. The area represented by the excavated sector was settled again several millennia later, towards the end of the Bronze Age. Two houses and an extraction pit for building materials mark the presence of a hamlet at around 1000 before our era. Several centuries later, at the end of the Iron Age or the beginning of Antiquity, two circular enclosures – possible remains of partially levelled funerary structures -, a well and several post holes mark a new phase of activities at the site. The area was subsequently drained and used for agricultural activities, as it still is today.
Auteurs
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