Les structures et leur attribution culturelle
p. 101-116
Texte intégral
1Les vestiges mis au jour lors du diagnostic de 2006 et des décapages réalisés entre 2012 et 2015 correspondent exclusivement à des creusements. Aucune structure en élévation n’a été détectée. On ne peut exclure la présence de constructions en pierre ou en terre dans l’emprise du décapage. S’il y a eu de telles constructions, elles ont été détruites par l’érosion ou par les travaux agricoles et n’ont laissé aucune trace.
2De manière générale, le contraste entre le remplissage des creusements et le sédiment encaissant était extrêmement faible sur l’ensemble de la zone décapée, probablement en raison d’une forte bioturbation et du lessivage des composantes organiques suite aux battements de la nappe phréatique (chapitre 3). Il a considérablement gêné non seulement le repérage des structures, mais également la distinction de niveaux au sein du comblement de celles-ci.
5.1 Les types de structures et leur répartition
3L’éventail des structures en creux est relativement large. Selon leur forme globale, on peut distinguer deux grands groupes de structures : les structures linéaires et les structures non linéaires.
5.1.1 Structures linéaires
4Fossés rectilignes : les grands fossés rectilignes font partie des structures les plus évidentes lorsqu’on observe les photos aériennes et le plan du décapage (fig. 60 et 61, en rouge). Il s’agit de structures linéaires qui peuvent atteindre plusieurs centaines de mètres de longueur pour des largeurs comprises entre 0,5 et 3,5 m. Ils ont des parois évasées et des fonds concaves. Nous avons pu dénombrer huit fossés orientés nord-nord-ouest/sud-sud-est (fossés A-F, L et I) et trois fossés orientés ouest-sud-ouest/est-nord-est (fossés G, H et K)1.
5Mis au jour à différentes étapes de la fouille, chacun de ces fossés peut porter plusieurs numéros de structure. Le fossé A présente la particularité d’être bordé vers l’ouest par une rangée de trous de poteau (alignement 5) avec laquelle il forme probablement un système de clôture. Les fossés d’orientation nord-nord-ouest/sud-sud-est suivent la déclivité du terrain et devaient servir à drainer la partie haute du secteur, au sud du décapage. Le fossé E, comblé dans les années 1980, matérialise par ailleurs une limite cadastrale. Les fossés orientés ouest-sud-ouest/est-nord-est sont globalement orthogonaux aux précédents et marquent probablement des limites de parcelles.
6Fossés/enclos circulaires : deux fossés à profil en V forment des structures circulaires (structures 4 et 498 ; fig. 61, en vert) assimilables à des enclos d’environ 7 m de diamètre. Aucune interruption n’a été observée malgré le fait que ces deux structures ont été entièrement dégagées. Dans un cas (structure 4), deux trous de poteau (structures 1 et 2) au centre de l’enclos pourraient avoir supporté un système de couverture. Ces structures ont été testées de manière ponctuelle dans le but d’en préciser la forme et la datation.
7Alignements de structures en creux (fig. 61, en bleu) : cinq alignements orientés sud-ouest/nord-est ont été dégagés. Il s’agit d’un alignement de trous d’arrachage d’une haie qui marquait jusque dans les années 1980 une limite cadastrale (alignement 1), de deux alignements de trous de plantation d’âge indéterminé (alignements 2 et 4) et de deux alignements non datés de trous de poteau/piquets (alignements 3 et 5).
5.1.2 Les structures non linéaires
8Ce groupe rassemble la grande majorité des structures repérées sur le site. Il s’agit de structures en creux de différentes formes et profondeurs. Au sein de ce groupe, 39 trous de plantation ou d’arrachage n’ont été fouillés qu’exceptionnellement. Ils n’ont pas fait l’objet d’étude particulière. Les trous de plantation se présentent sous la forme de creusements rectangulaires ou carrés d’environ 1 m de côté, à parois verticales et fond rectiligne (voir par exemple les structures 804 et 1032) ; les trous d’arrachage d’arbres sont de grandes structures (2-3 m de diamètre) aux contours irréguliers et au remplissage hétérogène constitué de remblais modernes.
9Les autres structures constituent l’essentiel de la documentation fournie par le site. Elles présentent des formes et des dimensions peu standardisées (fig. 62).
Les trous de poteau
10Si l’on ne tient compte que du diamètre, de la profondeur et de l’orientation des parois, il est possible d’isoler un groupe de 742 creusements de petit diamètre (inférieur à 50 cm) à parois subverticales (fig. 62, carrés gris et 63). Il s’agit de structures d’origine clairement anthropique généralement qualifiées de « trous de poteau », interprétation corroborée par la présence dans ce groupe de plusieurs creusements constituant deux plans de bâtiments (bâtiments 1 et 2). Les trous de poteau des alignements 3 et 5 (fig. 61) étant postérieurs à l’occupation néolithique, ils n’ont pas été fouillés.
Cuvettes et dépressions
11Un deuxième groupe de 215 structures est caractérisé par des dimensions moyennes à grandes (diamètre supérieur à 50 cm), des parois inclinées et un fond concave (fig. 62, carrés rouges et verts). Au sein de ce groupe, il est possible de distinguer des structures peu profondes (5 à 10 cm) qui peuvent être de grandes dimensions (de l’ordre de 2 à 3 m de diamètre) et que nous avons regroupées sous le terme « dépressions », de structures globalement plus profondes (de l’ordre de 10 à 20 cm pour des diamètres avoisinant le mètre) que nous appellerons ici « cuvettes ». Le seuil entre dépressions et cuvettes a été fixé à un rapport profondeur/ diamètre de 0,09 : en dessous, les structures sont qualifiées de dépressions (fig. 62, carrés rouges et 64), au-dessus, de cuvettes (fig. 62, carrés verts et fig. 64, en bas). Ce seuil est parfaitement arbitraire puisqu’il y a une continuité entre ces deux types.
12Cette distinction est toutefois utile dans la mesure où elle permet d’isoler un groupe de 73 structures à la fois de grandes dimensions et très peu profondes. Ces dépressions sont concentrées dans la partie nord-est du décapage où elles peuvent représenter dans certains secteurs la majeure partie de la surface décapée. Malgré cette densité exceptionnelle, nous n’avons jamais observé de recoupements entre plusieurs de ces structures. Certaines d’entre elles étaient quasiment dépourvues de tout mobilier. D’autres présentaient sur leur surface des accumulations de galets ou de mobilier archéologique souvent peu fragmenté. De telles configurations permettent d’avancer que ces structures ne sont pas le résultat de creusements anthropiques, mais représentent plutôt des vestiges de la surface antérieure à l’occupation néolithique ou contemporaine de cette occupation, préservée dans la partie basse du secteur décapé. Elles correspondent aux anomalies topographiques naturelles du § 3.1.
13Les structures qualifiées de cuvettes, au nombre de 142, sont pour la plupart des creusements de dimensions modestes (de 10 à 30 cm de profondeur pour un diamètre généralement compris entre 50 et 150 cm). Si certaines d’entre elles peuvent être d’origine naturelle, vestiges d’anciens reliefs (à l’instar des dépressions), elles semblent être en majorité des creusements anthropiques à en juger par leurs proportions et l’inclinaison de leurs parois. Leur comblement est constitué de sédiment et de mobilier archéologique. Celui-ci est généralement peu abondant, très fragmenté et disposé en vrac dans le remplissage. Il ne présente pas d’agencement particulier, à la différence du mobilier des dépressions.
Les fosses cylindriques
14Ce groupe rassemble 28 structures de profondeur variable, de taille moyenne (diamètre compris entre 50 et 150 cm) qui présentent des parois verticales ou subverticales. Leur profondeur est très variable et permet de distinguer deux grands types : 24 fosses cylindriques avec une profondeur globalement comprise entre 10 cm et 1 m (fig. 62, carrés bleu clair et 65) et quatre puits qui s’individualisent clairement par des profondeurs supérieures à 2,5 m (fig. 62 carrés noirs et 66).
Les structures de type silo
15Six creusements de taille moyenne de l’ordre de 1 m de diamètre à l’embouchure pour une profondeur comprise entre 50 et 70 cm (fig. 62, carrés jaunes et 67) ont la particularité de présenter un élargissement vers le fond. En l’absence de restes liés à leur fonction primaire, il est impossible de dire s’il s’agit vraiment de structures de stockage.
Les structures à galets chauffés
16Le dernier groupe rassemble 13 structures peu profondes (entre 0 et 10 cm de profondeur), de taille moyenne (entre 50 cm et 1,5 m de diamètre) qui présentent un remplissage plus ou moins compact de galets chauffés à l’exclusion de tout bloc calcaire et outillage de mouture (fig. 62, carrés roses et 68).
17La grande majorité des structures non linéaire fouillées se rapporte à un de ces types. Les rares structures qui échappent à cette classification (comme par exemple le grand creusement polylobé 888) seront décrites ultérieurement au cas par cas.
5.1.3 Répartition spatiale des différents types de structures
18D’une manière générale, on peut constater (toujours en ne tenant compte que des structures non linéaires fouillées) que les trous de poteau, les dépressions et les cuvettes sont les trois types de structures les mieux représentés sur le site (fig. 69). Les silos, fosses cylindriques, puits et fosses à galets chauffés sont nettement plus rares. Plus largement, il n’y a sur le site que peu de creusements d’une profondeur supérieure à 30 cm (fig. 62). Cette situation peut être liée à la nature du lieu (milieu humide peu propice au creusement de fosses et au stockage en sous-sol), à la position du décapage par rapport à d’éventuelles zones de stockage ou encore à l’érosion (voir chapitre 3).
19Globalement, les structures fouillées couvrent l’ensemble de la zone décapée (fig. 70) même si leur densité peut varier localement. Les cuvettes, les fosses cylindriques et les silos sont répartis de manière uniforme sur l’ensemble du décapage. Par contre, les dépressions se concentrent dans le secteur nord-est. Cette répartition préférentielle est vraisemblablement liée à des facteurs taphonomiques. Le secteur nord-est du décapage correspond en effet à la partie basse du site, moins touchée par les labours (voir chapitre 3). Il n’est donc pas surprenant que ce type de structure qui a une profondeur très réduite y soit mieux conservé.
5.2 Datation des structures
20Les structures ont pu être datées dans les cas suivants :
leur remplissage a livré au moins un élément de datation : céramique, lithique ou datations radiocarbone ;
elles n’ont livré aucun élément de datation, mais faisaient partie d’un ensemble daté (ainsi, la totalité des trous de poteau qui constituait le bâtiment 1 a été attribué à l’âge du Bronze sur la base de la datation radiocarbone d’un charbon de bois provenant de l’un d’entre eux) ;
elles n’ont livré aucun élément de datation mais présentaient des affinités avec des structures ou des ensembles de structures datés (une sépulture à crémation dépourvue de mobilier a été attribuée au Néolithique en raison de sa proximité avec un groupe de sépultures à crémation néolithiques ; le bâtiment 2 a été attribué à l’âge du Bronze à cause de sa ressemblance avec le bâtiment 1). Lorsqu’une structure a livré des éléments qui correspondent à plusieurs périodes, c’est normalement l’élément le plus récent qui date.
21Il peut sembler hasardeux d’attribuer à une occupation le remplissage d’une structure sur la base de la présence d’un seul élément datant. L’hypothèse de mobilier en position secondaire est finalement tout aussi probable.
22Cependant, il s’agit dans ces cas pour l’essentiel de structures relativement pauvres en information. Leur attribution à une des occupations du site n’a qu’une valeur indicative (en particulier, en ce qui concerne l’extension de ces occupations). Dans les cas où le niveau d’information fourni était plus élevé (bâtiment, puits, sépulture, silo), l’attribution chrono-culturelle a été discutée de manière critique en faisant appel à d’autres critères : présence de remontages ou d’appariements céramiques, état de conservation du mobilier archéologique (poids/tesson par exemple), présence de vases fragmentés sur place, multiplication des datations radiocarbone…
23De la sorte, 263 structures ont pu être attribuées à une des phases d’occupation du site : 176 au Néolithique s.l., 36 à l’âge du Bronze, trois au début de l’âge du Fer, 13 à la fin de l’âge du Fer ou au début de la période romaine et 33 aux périodes postérieures, Moyen Âge et périodes moderne et contemporaine.
5.2.1 Le Néolithique moyen
24Sur les 176 structures néolithiques, 139 sont attribuables au Néolithique moyen. Elles sont réparties sur l’ensemble du décapage. Il s’agit pour l’essentiel de cuvettes ou de dépressions peu profondes (91) souvent riches en mobilier archéologique. On dénombre par ailleurs 13 fosses cylindriques, cinq silos, trois puits, quatre fosses à galets chauffés et 11 structures à vocation mortuaire avérée ou probable. 12 structures non fouillées mais attribuées au Néolithique moyen sur la base d’objets diagnostiques découverts en surface sont de type indéterminé. Aucun trou de poteau n’a pu être attribué à cette période.
25Un rapide coup d’œil sur les valeurs calibrées des 12 datations radiocarbone réalisées sur des échantillons à vie courte provenant de cinq structures (fig. 71) suggère que l’occupation du site s’échelonne entre le dernier tiers du Ve et le début du IVe millénaire avant notre ère, période qui correspond dans la région à deux groupes culturels : le Néolithique moyen de type Chassey et le Néolithique moyen de type La Roberte.
26Dans le but d’élargir ces résultats aux ensembles non datés par le radiocarbone, nous avons intégré les principaux ensembles clos du site des Bagnoles (26 ensembles qui ont livré au minimum deux descripteurs céramiques) dans une version actualisée de l’AFC que nous avons proposée en 2014 (van Willigen et al. 2014 ; fig. 12). Celle-ci comprend maintenant 105 ensembles clos ou stratifiés et 87 descripteurs céramiques (annexe 7). Nous retrouvons sur la projection des individus dans le plan des deux premiers facteurs (fig. 72) l’effet Guttman observé précédemment (voir chapitre 2). Le premier axe factoriel rend compte de la chronologie. Les ensembles clos de la fin du Ve millénaire sont à droite, ceux du IVe millénaire sont dans la partie gauche de la figure. Les limites entre les quatre groupes (Néolithique moyen type Chassey, type La Roberte et Mourre de la Barque ainsi que le Néolithique final type Goulard) mises en évidence sur l’AFC de 2014 ont été reportées sur cette version actualisée. Les ensembles des Bagnoles, marqués par des points rouges, de répartissent dans les deux premiers groupes : 23 ensembles se trouvent dans la partie de la parabole qui correspond au type Chassey, 3 dans le groupe de points qui correspond au type La Roberte.
27En conséquence, on peut supposer que le Néolithique moyen des Bagnoles correspond à au moins deux occupations successives attribuables respectivement au Néolithique moyen de type Chassey (4300-4000 avant notre ère) pour la plus ancienne et au Néolithique moyen de type La Roberte (4000-3700 avant notre ère) pour la plus récente.
28Au total, 72 structures ont livré au moins un caractère spécifique du Néolithique moyen de type Chassey et 14 structures refermaient au moins un caractère spécifique du Néolithique moyen de type La Roberte. Les premières sont réparties dans le secteur nord-est, les secondes sont limitées à la partie sud-ouest du décapage (fig. 73).
29La principale occupation du site correspond donc au Néolithique moyen de type Chassey. Elle est matérialisée par des épandages dans les anomalies topographiques, un puits à eau, quelques cuvettes et huit structures mortuaires. La seconde occupation est plus récente de quelques siècles. Elle peut être attribuée au Néolithique moyen de type La Roberte et correspond à plusieurs silos et creusements cylindriques dont deux puits à eau situés dans la partie sud de la zone décapée.
5.2.2 L’âge du Bronze et le début de l’âge de Fer
30L’âge du Bronze est représenté par 36 structures, le début de l’âge du Fer par trois structures. Cet ensemble est concentré dans la partie sud-ouest du décapage (fig. 74, carrés verts). Dix d’entre elles (dont deux trous de poteau) ont livré du mobilier archéologique datant, une (un des trous de poteau du bâtiment 1) a été datée par le radiocarbone, les 28 autres (il s’agit de trous de poteau) n’ont livré aucun élément datant et ont été datées indirectement, sur la base de leur appartenance au bâtiment 1 ou 2.
31Au total, nous avons donc pour cette période 31 trous de poteau, une structure polylobée, quatre cuvettes et dépressions peu profondes, deux fosses cylindriques et une structure de type indéterminé. Aucun silo et aucune structure à galets chauffés n’a pu être attribué à cet horizon.
5.2.3 L’Antiquité
32Les 13 structures attribuées à la fin de l’âge du Fer ou au début de la période romaine sont localisées dans la partie nord du décapage (fig. 74, carrés bleus). Elles ont toutes livré du mobilier datant, à l’exception de deux trous de poteau que nous avons attribués à cette période en raison de leur position au centre de l’un des deux enclos circulaires.
33Dans le détail, il s’agit de deux enclos circulaires, trois trous de poteau, un puits, deux cuvettes, trois fosses cylindriques et un silo.
5.2.4 Moyen Âge et périodes modernes et contemporaines
34Les 33 structures correspondant à ces occupations sont réparties sur l’ensemble de la zone décapée. Nous avons affaire pour l’essentiel à des vestiges d’activités agraires : trous de plantation ou d’arrachage et fossés de drainages parfois associés à des clôtures orientées nord-nord-ouest/ sud-sud-est.
5.3 Conclusions
35Une fréquentation humaine du site antérieure au dernier tiers du Ve millénaire est probable. Elle est suggérée par la présence de mobilier archéologique très fragmenté et émoussé déposé dans l’horizon 2c2 de la stratigraphie du site (cf. § 3.1) et d’un grain de céréale carbonisé issu du remplissage du puits 994 et daté par le radiocarbone dans la première moitié du Ve millénaire avant notre ère. Les premières occupations marquées par des structures et du mobilier archéologique ne sont avérées qu’à compter du dernier tiers du Ve millénaire avant notre ère. Attestées sur l’ensemble du décapage, elles constituent la première et la principale phase d’occupation de la zone explorée et correspondent au Néolithique moyen de type Chassey. La seconde phase d’occupation, datée du début du IVe millénaire, est attribuable au Néolithique moyen de type La Roberte. Elle est limitée à la partie sud du décapage. Dans ces deux cas, le décapage n’a permis d’explorer qu’une partie des occupations dont il est impossible de préciser l’extension.
36L’âge du Bronze et le début de l’âge du Fer sont localisés dans la partie sud-ouest du décapage. Cet horizon est marqué en particulier par la présence de deux bâtiments. L’Antiquité est attestée dans la partie nord du décapage essentiellement par la présence de deux enclos circulaires. Les périodes postérieures (Moyen Âge et périodes moderne et contemporaine) sont représentées par des traces d’activités agricoles.
Notes de bas de page
1 Auxquels il faut rajouter trois segments de fossés découverts dans les tranchées de diagnostic situées au nord de l’aire décapée entre 2012 et 2015.
Auteurs
Antéa Archéologie ; Université de Bourgogne depuis 2017, archéologie, responsable adjoint
LAMPEA
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