Chapitre 13. Le triomphe de l’écrit et les nouvelles images
p. 201-211
Texte intégral
1Dès les deux dernières décennies du xixe siècle le don d’ex-voto peints dans les sanctuaires provençaux se réduit considérablement. Le nombre annuel d’ex-voto déposés, alors qu’il était de trente à quarante dans les années précédentes, ne dépasse plus cinq, à l’exception des années de guerre. Le relais de l’image votive est pris par l’écrit : les plaques de marbre en remerciement à la Vierge se multiplient. Dans les sanctuaires où étaient traditionnellement déposés des tableaux votifs, le nombre des plaques est parfois si considérable que la place est insuffisante à l’intérieur pour les accueillir. Ainsi à Notre-Dame de la Garde à Marseille, les murs de la terrasse située devant la basilique et dominant la ville en sont tapissés1. Mais on trouve aussi ces plaques votives dans des chapelles latérales de nombreuses églises paroissiales provençales.
2Cela apparaît comme une rupture majeure dans les formes de pratiques votives. Dans une société désormais largement alphabétisée, l’écrit, plus sobre, moins démonstratif, succède à l’image. Le donateur reste dans une certaine réserve dans l’affichage de son don : ce n’est plus son image, visible aux yeux de tous, qui est apposée sur les murs, mais une simple dédicace gravée dans le marbre, où le nom se réduit le plus souvent à des initiales. Le clergé, de son côté, sensible à la dignité du lieu, apprécie la sobriété et l’uniformité des plaques votives.
3Toutefois un lien de continuité fort existe entre le tableau votif et la plaque de marbre. Il consiste d’abord dans la nature de la démarche votive, qui reste la même : un remerciement à la Vierge, ou à un saint, pour une grâce, une protection, une guérison que le donateur estime avoir obtenue. Mais même dans la forme, on ne peut totalement opposer écrit et image, car les ex-voto peints, surtout ceux du xixe siècle, comportaient généralement une part d’écrit, souvent mis en valeur au bas de l’image ou par un fond coloré. Et il y a même quelques exemples, autour de 1900, d’ex-voto peint où l’écrit prend plus de place que l’image, comme celui de l’abbé Jaubert en 1906 (ph. 1). La représentation iconographique se limite à celle de la Vierge dans des nuages. Point de scène humaine ; celle-ci est remplacée par une phrase qui indique les circonstances de la protection mariale : « Dans la nuit du treize Décembre 1906, perdu dans la neige, je l’ai invoquée. Elle m’a sauvé. Abbé Jaubert. Manosquin ».

Ph. 1. Notre-Dame de Romigiers à Manosque. Carton, 62 x 47 cm.
D’autres images
4À défaut de faire réaliser un tableau votif traditionnel, le donateur peut aussi avoir recours à d’autres images. Ainsi il peut utiliser une image pieuse pour la représentation céleste, en y ajoutant simplement une légende ou en l’intégrant dans une composition personnelle. Ici l’image est entourée par une broderie au point de croix représentant une guirlande de fleurs, et un court texte très comparable à ceux que l’on peut lire sur les plaques de marbre : « août 1890 Reconnaissance à N.D. de V. m.-t. c. cannes » (ph. 2). La broderie, activité féminine très fréquente à cette époque, est un moyen pour la donatrice de s’impliquer personnellement dans la réalisation du don votif.

Ph. 2. Notre-Dame de Vie à Mougins. Broderie, 47 x 37 cm.
5La commercialisation, dans la seconde moitié du xxe siècle, de canevas à broder a donné lieu à toute une série d’ex-voto constitués d’une image, pieuse ou non, brodée, que l’on complète par une légende manuscrite, qui permet d’identifier le don, comme sur cet exemple où le texte figure sur un papier collé en bas à gauche de la broderie de la Vierge à l’enfant : « En remerciement à Notre-Dame des Anges qui nous protège et veille sur nous. Le Luc 1er décembre 1961 » (ph. 3).

Ph. 3. Notre-Dame des Anges à Pignans. Broderie, 53 x 28 cm.
6Le développement de la photographie offre un nouveau type d’image utilisable dans l’ex-voto. Il y a quelques exemples de photographies d’accident automobile ou maritime, mais c’est le portrait que l’on voit le plus souvent, associé à une simple légende ou à un dessin, comme la photo de ce jeune garçon, placée au centre d’une guirlande de roses (ph. 4). Le texte manuscrit au-dessous de la photographie, « Oh ! Notre Dame de Valcluse protège toujours notre petit Bernard Bénis le nous toujours Merci Divine Mère 1948 », nous indique qu’il s’agit d’un ex-voto à caractère propitiatoire, c’est-à-dire qu’il place l’enfant sous la protection de la Vierge pour l’avenir, à la différence des ex-voto gratulatoires, qui la remercient pour une grâce reçue.

Ph. 4. Notre-Dame de Valcluse. Papier, 32 x 25 cm.
7Dans la seconde moitié du xxe siècle le don d’ex-voto imagés ne concerne plus qu’une poignée de grands sanctuaires provençaux. Ce petit nombre de dons se caractérise par une grande diversité des formes : dessins, aquarelles, huile sur toile, canevas brodés, photographies ou photo-montages, mais aussi des compositions hybrides, sous verre, associant l’écrit, quelques éléments imagés et parfois des objets, comme des fleurs séchées ou un petit crucifix. En fait, il n’y a plus de modèle dominant qui structure ces représentations, même si l’on peut penser que certains donateurs s’inspirent d’un ex-voto particulier déjà déposé dans le sanctuaire. À cette diversité des formes et des supports correspond une grande variété des représentations qui renvoie, sans lien toujours explicite, à l’hétérogénéité des motifs invoqués pour la remise de l’ex-voto. À l’instar des plaques de marbre qui se limitent à une mention votive, à une date et à des initiales, la moitié de ces ex-voto imagés ne nous indiquent pas ce qui a motivé le don, ni par l’image, ni par l’écrit. C’est le cas de ce tableau qui montre la chapelle de Notre-Dame de Bon Port, avec pour seule légende « En reconnaissance à Notre Dame de la Garoupe 1974 »2. Ou encore, dans le même sanctuaire, d’une petite aquarelle représentant la mer et le ciel, avec le seul mot « Merci ».
Des ex-voto atypiques
8Parmi les ex-voto où le motif de la grâce est indiqué, on ne s’étonne pas de rencontrer les classiques cas de guérison, mais qui s’expriment parfois sous une forme très éloignée des canons des tableaux votifs traditionnels. Ainsi ce dessin de pied, avec comme légende « Merci Bonne Mère de nous avoir rendu gros pépé avec ses deux jambes 1972 » (ph. 5). Dans ce cas l’image votive ne comprend ni espace céleste, ni espace humain, mais la simple esquisse du membre guéri ou conservé. Si ce n’est l’inscription, à la formulation d’ailleurs assez étonnante, cet ex-voto fait penser aux dons d’effigie du membre guéri, en bois, en métal ou en cire qui ont été en vogue dans les temps anciens.

Ph. 5. Notre-Dame de Bon Port à La Garoupe. Papier, 24 x 18 cm.
9Si leur composition, esquissée en deux espaces, se rapproche plus du modèle traditionnel, certaines images laissent dubitatifs sur le motif du don. Ainsi, en 1978, ce jeune homme, de dos, avançant sur un chemin bordé d’arbres qui débouche sur un grand bâtiment au sommet duquel on peut lire « U.E.R. Droit » (ph. 6). On peut penser qu’il s’agit d’un étudiant qui remercie la Vierge d’accéder à des études juridiques. À moins qu’il n’invoque son aide pour la réussite à ses examens !

Ph. 6. Collégiale Saint-Paul à Hyères. Bois, 30 x 23 cm.
10Plus atypique encore, est ce tableau de 1954, qui semble avoir été déposé au sanctuaire pour remercier la Vierge d’une vocation ecclésiastique tardive, comme le laisse entendre une légende peinte au bas du tableau, sur un encadré de fond bleu : « Du Barreau à la Chaire 1914 – Lille – 1933. Ex-voto R.S. Antibes 1947 – 1954 » (ph. 7). Un chemin ascendant, avec des marches, mène à une Vierge à l’enfant située en haut au centre de la composition, et les nuages qui entourent habituellement l’espace céleste sont ici bizarrement répartis, isolant deux scènes humaines, montrant à gauche un avocat, plaidant au tribunal, et à droite un prêtre en chaire dans une église remplie de fidèles. Parcours d’une vie, marquée par l’éloquence, d’abord au service de la justice, puis de Dieu.

Ph. 7. Notre-Dame de Bon Port à La Garoupe. Carton, 60 x 45 cm.
11Au sanctuaire de la Garoupe où les ex-voto récents sont assez nombreux, plusieurs ont un caractère propitiatoire. Un tableau représente la plage d’Antibes, avec la mer, le sable, les parasols ; il est un des rares à porter la mention « ex-voto », complétée de la dédicace suivante « Puisse mon époux partager encore longtemps notre amour éternel 1994 ». Tel autre sous-verre est constitué d’une page écrite à la main en gros caractères, entourée d’une frise de fleurs, avec la représentation d’un soleil ; on y lit « Offrande à Notre-Dame de la Garoupe en souvenir de deux pensionnaires de la maison de retraite de Coteau. Protégez notre établissement et aidez-nous à réussir la construction de notre nouvelle maison afin qu’il y règne amour, entente, paix, sérénité. Du plus profond de nos cœurs. Merci à Notre-Dame de la Garoupe le 15 août 1995 ». Une aquarelle représente une vue extérieure de la chapelle, avec au premier plan une procession ; c’est un des rares cas récents d’iconographie qui privilégie le religieux sur le profane, puisque non seulement elle montre l’édifice sacré, mais qu’aussi elle l’associe à une cérémonie religieuse ; la légende confirme la tonalité pieuse de cet ex-voto à la fois gratulatoire et propitiatoire, et sa conformité à la théologie catholique, la Vierge n’intervenant que comme intercesseur des prières humaines auprès du Christ : « Très miséricordieuse Mère de Dieu, obtiens-nous de Jésus les grâces que nous lui demandons : la protection de notre santé, la foi, l’avenir de notre fille. Le 26 juin 1996. Merci pour tous les vœux déjà exaucés. Protège Antibes. Merci AR pour FB ». Beaucoup plus laconique est ce cri du cœur de grands-parents, inscrit dans un cadre comportant la photo de deux jeunes enfants : « Merci à Notre-Dame pour nos deux petits fils ».
12À Notre-Dame de la Garde à Marseille la variété des supports votifs récents est encore plus large, selon l’enquête de Félix Reynaud3. Ainsi en 1985 deux icônes ont été offertes en ex-voto. L’une a été remise par une Roumaine résidant en Suisse pour remercier de diverses grâces ; l’autre est le don d’une grecque, à la suite de l’arrangement d’une affaire d’héritage familial. Une mosaïque de cuirs représentant un Christ aux outrages fut donnée en 1978 pour remercier la Vierge de diverses grâces par un Arménien venu à Marseille, qui comme d’autres de ses compatriotes exerçait le métier de cordonnier. Certains dons sont des réemplois : le donateur décide de donner un tableau qu’il possède déjà, en choisissant celui qui lui semble le plus adéquat. Le choix se porte alors facilement sur une marine, puisqu’il y en a beaucoup dans le sanctuaire, même quand la grâce n’a aucun rapport avec le monde de la mer : c’est le cas de cette aquarelle marine offerte en 1983 pour remercier d’une réussite à un examen. Le donateur peut aussi réaliser lui-même le tableau, en reproduisant des motifs courants, comme une tête de Christ, ou une vue du sanctuaire pour remercier aussi bien d’un divorce évité que d’un ensemble de protections reçues au long de la vie. Dans quelques cas le peintre se lance dans une représentation symbolique, comme un paysage avec champ de blé, sensé évoquer la parabole du semeur, remis en 1988 par une mère pour remercier la Vierge de l’avoir aidée à bien élever ses deux filles.
13Un tableau de septembre 2004 apparaît comme un mixte des formes traditionnelles et innovantes de ces images votives (ph. 8). Côté tradition nous avons à la fois une représentation de la Vierge à l’enfant dans le ciel et une scène humaine ; nous avons également le motif invoqué pour l’action de grâce, « Reconnaissance à Notre-Dame de Bon Port pour ma guérison ». Mais à cette grâce rendue, s’ajoute une demande « Bonne mère protégez ma barque », et de fait la scène humaine ne montre nullement un malade guéri, mais une vue de la ville d’Antibes, avec au premier plan une petite embarcation, naviguant toutes voiles blanches déployées. Enfin l’écrit, en lettres cursives noires ombrées de gris, occupe autant de place que l’image sur la composition.

Ph. 8. Notre-Dame de Bon Port à la Garoupe. Bois, 20 x 30 cm.
De l’ex-voto à l’image in memoriam
14Dans le sanctuaire de la Garoupe, qui domine la mer au Cap d’Antibes, les ex-voto marins sont nombreux. Mais dans les dernières années du xxe siècle on y a déposé plusieurs images que l’on pourrait qualifier d’ex-voto souvenir, concernant des hommes de la mer. Julien Baudino, ancien pilote du port, ancien conseiller municipal et président de la corporation des marins a droit à une grande photo de navire, avec son portrait en médaillon. Deux pilotes, sauveteurs en mer, sont honorés par un don original. C’est dans une bouée de sauvetage, portant les indications de lieu et de date, que figure, sur fond de paysage du cap d’Antibes, le portait photographique en couleurs de Marcel Gilli, pilote du port, sur lequel il arbore toutes ses décorations (ph. 9). Pour Antoine Rizzo, patron pêcheur, également membre des sauveteurs en mer, c’est une barre de bateau, avec sa photo au centre, qui porte son souvenir sur les murs de la chapelle, accompagnée d’une inscription précisant son nom, sa fonction, et la mention de deux années qu’il faut sans doute lire comme celle de sa naissance et celle de son décès (1924-1991).

Ph. 9. Notre-Dame de Bon Port à la Garoupe. Bouée marine et montage photographique.
15Avant une réfection récente, les murs de la chapelle de la Garoupe étaient recouverts d’une structure en grillage de fer sur laquelle étaient accrochés les ex-voto. Les espaces libres entre les tableaux avaient été utilisés par des visiteurs pour un accrochage « sauvage ». Il s’agissait la plupart du temps de petits cadres comportant une photographie, parfois un dessin, et une légende. Cependant nombre de ces dons relevaient plus du souvenir de disparus que d’une action de grâce pour protection ou guérison.
16Ainsi, un sous-verre présentait côte à côte une photographie en noir et blanc d›une femme assez âgée et un texte manuscrit rédigé sur des lignes tracées au crayon : « Maman tu est [sic] partie un bon matin du moi [sic] de Juillet le 9 Juillet 1995, le jour ou [sic] notre Dame regagnait son santutaire [sic] maman tu nous a tant donner [sic]. Tu restera [sic] dans nos cœurs à jamais on t’aime - maman ». Un autre cadre contenait un portrait photographique en couleur d’une femme d’une soixantaine d’années, avec dans le coin en bas à gauche, superposée, la photo d’identité d’un homme. En haut et en bas de la composition, du ruban adhésif plastifié jaune portant une inscription écrite à la titreuse : « Armande, mon amour ! Ici tu seras moins seule 1929-1991 ». Un autre sous-verre dans un cadre noir montrait la photographie en couleur d’un homme d’un certain âge, en tricot de corps, tenant deux chiens dans ses bras, accompagnée d’une légende manuscrite : « Les souffrances de la vie sont terminées pour toi, soit [sic] heureux pour l’éternité. Merci à Notre-Dame de Bon Port ». Une autre composition était constituée d’un dessin d’enfant montrant une maison, deux enfants et des fleurs ; au-dessus (dans le ciel ?) la photo d’une jeune femme collée par des cœurs adhésifs en couleur, et entourée d’une légende tracée d’une main enfantine : « maman tu nous manques je t’aime très fort Anthéa 3 juin 2003 » et d’une écriture encore plus maladroite, « Anthony ».
17Ces quatre dons faits par des pèlerins au sanctuaire renvoient à la mémoire d’un disparu ; les donateurs sont des proches : enfants, conjoint ou compagnon. Ils sont aussi, très probablement, les auteurs de l’objet remis. Celui-ci est composite, associant toujours photographie (complétée dans un cas par un dessin d’enfant) et l’écrit, de la main du donateur. L’objet remis au sanctuaire est donc réalisé sans frais, avec ce que l’on a sous la main ; toutefois il est toujours mis sous verre et dans un cadre, réutilisé ou acheté pour la circonstance, mais en bon état. Si le don n’exige pas un gros investissement financier, il n’est pas non plus fait à la va-vite : le texte est toujours personnalisé, et a dû demander parfois un effort, quand le donateur n’a pas une grande familiarité avec l’expression écrite, comme l’atteste parfois une orthographe hésitante. Les ex-voto du sanctuaire ont sans doute servi de modèle pour la rédaction de ces dédicaces, ce qui explique la présence fréquente de la datation, ou une expression courante sur l’ex-voto comme « Merci à Notre-Dame de Bon Port ».
18Même si il est beaucoup plus rare qu’auparavant, le don d’un ex-voto imagé n’a pas disparu en Provence. Il procède toujours, comme celui des ex-voto du passé, d’un choix personnel, sans lien avec une cérémonie religieuse, et il exprime la confiance du donateur dans le recours céleste. Mais derrière cette persistance, que d’évolutions ! L’ex-voto contemporain n’est plus nécessairement une action de grâces, liée à une protection précise que le donateur estime avoir reçue dans un grave danger. On remet des ex-voto pour des circonstances qui auraient jadis semblé futiles. Plus encore, la démarche exprime souvent un remerciement indifférencié, voire une demande de protection. Certains dons vont même plus loin, échappant à toute motivation purement votive, pour devenir actes mémoriels : mémoire d’un proche, d’une personnalité, voire d’une collectivité ou d’une œuvre. Il y a là une véritable dilution du sens du message votif traditionnel.
19Ce qui caractérise l’image votive contemporaine c’est donc sa très grande diversité dans les supports, bien que le tableau reste présent, comme dans les significations. Il y avait auparavant un code simple et précis qui régissait l’exvoto peint, il a aujourd’hui volé en éclats : la co-représentation sur le même tableau du protecteur céleste et du donateur dans la scène de danger est maintenant tout à fait exceptionnelle. L’évolution des techniques, et notamment le recours à la photographie, peut partiellement l’expliquer. Mais cette mutation est plus profonde, puisqu’à la déstructuration du contenu iconique s’ajoute, parfois, la perte de la signification votive.
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