Jean Clottes, le bouquetin et les Pyrénées
Introduction
p. 15-19
Texte intégral
1Cet ouvrage doit son existence à une émission de radio. En 1996, Jean Clottes, préhistorien, conservateur général du Patrimoine honoraire, fut invité sur France-Inter par Daniel Schick pour évoquer son dernier ouvrage : Les Chamanes de la Préhistoire1. Le point d’orgue de l’émission « À titre provisoire » consistait en un jeu de rôle mettant en scène un chamane (J.C.) et un jeune en voie d’initiation (D.S.) parcourant la grotte de Niaux. Jean joua parfaitement le jeu et, avec son accent inimitable, sut rendre accessibles à tous, souvent de façon fort amusante, de nombreuses informations scientifiques. En fin d’émission, répondant à la question de l’animateur, J. Clottes dessina un bouquetin en précisant :
2Il a un sexe, c’est donc un mâle ; il a de longues cornes, c’est donc un vieux mâle. Voilà comment je me représente : en un vieux bouquetin mâle (prononcer « viyeux bouqueuting mââle »).
3Quelques jours plus tard, retrouvant Jean à Toulouse, lors d’une réunion de travail où plusieurs des auteurs et des co-directeurs de cet ouvrage étaient présents, nous l’avons taquiné sur son jeu de rôle et sur sa propension à être ce vieux bouquetin mâle : il en reprit alors le dessin. Non sans espièglerie, l’une d’entre nous (V.F.) y ajouta ses lunettes ce qui enchanta l’assemblée, le « vieux bouquetin mâle » compris. Qui aurait pu croire alors que ce croquis rapide esquissé sur un coin de table conduirait à un ouvrage de quelque 1000 pages réparties en deux volumes…
4Car, après cet épisode, les années passèrent mais le vieux bouquetin mâle à lunettes veillait au grain. L’une d’entre nous (A.A.) avait eu l’idée de conserver ce dessin et de l’afficher au-dessus de son bureau ce qui l’amena à croiser régulièrement le regard amusé mais insistant d’un « Clottes bouquetinisé ». C’est ainsi que germa au fil du temps l’idée de lui offrir un ouvrage consacré à son animal fétiche, idée qui fut accueillie avec enthousiasme par trois autres co-directeurs.
5Rendant à César ce qui appartient à Jean Clottes, il était impensable de publier cet ouvrage sans que ce croquis occupe une place de choix : le lecteur le découvrira donc à la fin de cette introduction générale.
Le bouquetin et les Pyrénées
6Depuis les temps les plus anciens, le bouquetin peuple les deux versants des Pyrénées. En s’adaptant à cet environnement, une forme typiquement pyrénéenne Capra pyrenaica est même apparue, il y a déjà plusieurs millénaires. Particulièrement présent pendant la Préhistoire, il a été largement consommé, utilisé et représenté au Paléolithique récent, notamment par les Magdaléniens. Nombre de ces figurations sont mondialement connues, comme c’est le cas de l’un des bouquetins peints du Salon Noir de la grotte de Niaux ou celle de la sculpture sur dent de cachalot de la grotte du Mas d’Azil. Sa riche histoire se poursuit artistiquement au cours du Moyen Âge, notamment dans le livre de chasse du Comte de Foix, Gaston Febus (également écrit Gaston Phœbus). Elle est, de nos jours, toujours d’actualité : de récents programmes de repeuplement ont été mis en place par la région Occitanie pour le versant nord des Pyrénées où le bouquetin, victime de chasses intensives, avait disparu depuis le début du xxe siècle.
7Le bouquetin des Pyrénées est l’un des animaux les plus emblématiques de ce massif montagneux. Pour autant, il n’a jamais fait l’objet d’un ouvrage général de portée scientifique, accessible à tous, dans lequel on disposerait à la fois des informations complètes sur son origine, son éthologie, sa paléo-histoire et son rôle souvent majeur pour les populations humaines qui se sont succédé dans ces montagnes depuis la Préhistoire. Le but de cet ouvrage est de mieux faire connaître le bouquetin des Pyrénées et la place qu’il a tenue dans l’histoire des Pyrénéens. Pour autant, parce qu’il est dédié à J. Clottes, nous avons choisi de consacrer une place centrale à la Préhistoire et particulièrement à l’iconographie paléolithique.
L’ouvrage
8Il rassemble plus d’une centaine d’auteurs spécialistes français, espagnols, portugais, italiens, belges ou australiens et se décline en 2 volumes : l’un généraliste sur le bouquetin de la Préhistoire à nos jours (tome I), l’autre spécialisé sous la forme d’un inventaire des figurations paléolithiques de bouquetins (tome II : Inventaire des représentations du Paléolithique pyrénéen).
Tome I
9Il est divisé en trois parties : une évoque les caractères distinctifs, le comportement et l’évolution du bouquetin des Pyrénées ; une autre, son rôle et sa place au sein de la Préhistoire pyrénéenne et la dernière, son histoire, de l’époque médiévale à sa réintroduction actuelle dans les Pyrénées.
10La première partie aborde tout d’abord la zoologie et l’éthologie du bouquetin. Elle permet ainsi de définir ce taxon, de présenter les différentes formes de bouquetin et la spécificité de la forme ibérique, d’évoquer le dimorphisme sexuel chez le bouquetin et d’aborder son éthologie (comportement, habitat, régime alimentaire…). L’ensemble de ces données permet au lecteur de bien cerner ce qu’est un bouquetin et offre le cadre naturaliste sur lequel s’appuie l’analyse des figurations préhistoriques.
11Suit un chapitre consacré à l’origine et l’évolution du bouquetin avec l’apport des données relatives à son ADN permettant de traiter de la question de la forme caucasienne. On y présente également la distribution et les effectifs du bouquetin à travers la Préhistoire et l’Histoire dans les Pyrénées. La présence de la forme Pyrenaica (et celle du bouquetin des Alpes) dans des zones proches des Pyrénées, est évoquée à travers les sites (Aquitaine, Languedoc, Asturies, Andalousie notamment) appelés dans l’inventaire des figurations.
12La deuxième partie est axée sur la consommation, l’utilisation et la représentation du bouquetin pendant la Préhistoire, en privilégiant le Paléolithique récent, en particulier pour les deux derniers thèmes abordés. En effet, avant l’apparition de l’Homme moderne sur la scène européenne, il n’y a, à ce jour, ni trace de représentation, ni évidence d’utilisation des parties osseuses du bouquetin dans la confection d’un quelconque outillage ou parure.
13Néanmoins, un premier chapitre présente brièvement l’essentiel des informations archéologiques sur les occupations humaines dans les Pyrénées du Paléolithique ancien au début du Néolithique. Trois courts textes (Paléolithique ancien et moyen ; Paléolithique récent et final, Mésolithique et début du Néolithique) donnent ainsi les principales clefs chrono-culturelles nécessaires pour aider le lecteur à situer dans le fil du temps les informations données dans les chapitres suivants et mieux comprendre qui sont les auteurs et les sociétés à l’origine de la consommation et de la représentation de l’animal.
14Le bouquetin a été, selon les périodes, l’un des gibiers majeurs des populations pyrénéennes. Une synthèse des données disponibles sur sa présence et sa consommation alimentaire est proposée dans le second chapitre, ainsi que sa consommation à visée technique, mettant en jeu l’utilisation de ses os, dents, cornes, peau, tendons… pour fabriquer des objets au travers d’exemples datant du Paléolithique récent jusqu’au Néolithique.
15Un quatrième chapitre, le plus important de cette partie, aborde enfin le bouquetin en tant qu’animal représenté et pensé. Pour ce faire, une sélection de figurations de bouquetins de quelques sites paléolithiques majeurs des Pyrénées – tels qu’Enlène, La Vache, Niaux pour le versant nord et Altamira, El Castillo, La Garma pour le versant sud2 – est présentée tout en renvoyant pour plus de détails à l’inventaire complet du volume 2 comptant 90 sites. Viennent ensuite des textes courts évoquant certains des thèmes ou pièces particulières des Pyrénées paléolithiques comme les « bouquetins vus de face » ou la dent de cachalot sculptée de deux bouquetins du Mas d’Azil.
16Les groupes préhistoriques pyrénéens se sont déplacés dans et hors de leurs territoires. Ils ont aussi pu tisser des liens avec d’autres groupes de régions proches. De fait, dans certains domaines de leur culture matérielle ou spirituelle, il est manifeste que si les personnes ne se sont pas elles-mêmes déplacées, leurs idées ou les images qu’ils ont créées ont pu le faire par la parole ou par les objets. Ceci est particulièrement observé dans l’art mobilier du Magdalénien entre le versant nord des Pyrénées et la région périgourdine. Cet éclairage est donné par la présentation de quelques cas issus de régions plus ou moins proches de la chaîne pyrénéenne avec lesquelles des relations ont parfois pu se nouer à l’époque préhistorique. Des grottes telles que Chauvet-Pont d’Arc, Cosquer, Lascaux pour le côté nord ou celles de Tito Bustillo, Las Caldas, El Parpallò pour le côté sud ont été retenues pour illustrer cet aspect dans le volume général.
17La richesse et la diversité des données réunies appelaient une analyse synthétique des représentations de bouquetin dans le bestiaire paléolithique. L’un des derniers textes de ce chapitre s’y consacre à travers l’évocation de leur répartition chronologique et géographique, de leurs associations entre elles et avec d’autres figurations et de l’existence de possibles styles chronologiques et/ou régionaux. Il ouvre vers une réflexion sur la valeur symbolique de la figure du bouquetin et son éventuelle évolution au cours du Paléolithique.
18Enfin, il était intéressant de clôturer ce chapitre par une ouverture vers les représentations de bouquetins de la Préhistoire récente. Après une brève introduction générale, trois courts textes sont proposés : l’un sur les représentations rupestres des sites espagnols post-paléolithiques, l’autre sur celles des sites de l’âge du Bronze du Valcamonica, le dernier sur celles des périodes prédynastiques égyptiennes.
19La dernière partie aborde la dimension écologique qui touche l’histoire du bouquetin dans les Pyrénées en évoquant à la fois la rareté de ses représentations dans le bestiaire médiéval – seuls trois cas ont été identifiés à ce jour à l’occasion de la rédaction de ce chapitre – puis sa disparition du versant nord entre les xixe et xxe siècle. Le dernier chapitre, dédié au programme actuel de réintroduction, clôt ce volume sur cette note positive.
Tome II
20En complément du volume général, ce second tome propose un inventaire inédit des représentations de bouquetins dans l’art paléolithique des Pyrénées et zones limitrophes (provinces espagnoles de Huesca, Navarre, Guipuscoa, Biscaye et Cantabrie). Pas moins de 49 sites et 336 figures ont été décomptés en visant à l’exhaustivité dans l’art pariétal et, pour rester dans un cadre éditorial raisonnable, en sélectionnant les figurations de bouquetins les plus marquantes de l’art mobilier.
21Au-delà de son intérêt iconographique, cet inventaire a vocation à devenir un outil de travail pour les spécialistes et les enseignants et a donc été structuré dans cet objectif. Il est disponible sous la forme d’une base données (https://www.huma-num.fr) et d’un livre numérique (https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pup), potentiellement imprimable (Print on Demand).
22Chaque site avec figuration de bouquetin fait ainsi l’objet d’une fiche synthétique présentant :
Le site, abordant sa localisation et sa topographie, l’historique des recherches qui y ont été conduites et les principaux résultats obtenus ;
L’art préhistorique du site résumant les informations d’ordre général : type d’art (pariétal ou mobilier), techniques, thèmes et bestiaire, nombre d’entités graphiques, répartitions, etc. ;
Les représentations de bouquetin qui y sont identifiées précisant leur nombre, leur localisation dans la grotte, les supports et techniques utilisés, leurs caractéristiques stylistiques, leur place dans les compositions et leurs associations ;
Le bouquetin emblématique du site détaillant une ou deux figures représentatives.
23Suit alors l’inventaire proprement dit des figurations de bouquetin du site. Chaque figure est décrite dans une fiche énonçant successivement :
Nom du site, le numéro de fiche, le type d’art
Culture
Identifiant : no inventaire muséal ou de fouille ou, à défaut, no figure dans une publication
Localisation dans la grotte en précisant : le lieu (salle, diverticule…) et si besoin, lorsque les informations sont disponibles, la couche et le mètre carré de fouille
Support utilisé en précisant : la matière, la catégorie puis le type d’objet
Technique(s) mise(s) en œuvre
Dimensions (de la figure) : en mm, donnant la longueur x la hauteur et, pour l’art mobilier :
Dimensions (du support) : en mm, donnant la longueur x largeur x épaisseur
Bouquetin représenté en précisant s’il est : complet, partiel (protomé, avant-train, arrière-train, sans pattes, acéphale, ligne cervico-dorsale) ou segmentaire (tête, encornure, pattes, queue)
Profil ou vue : droit ou gauche, face ou dos
Genre : mâle, femelle ou indéterminé
Description des cornes : nombre, longueur, avec ou sans anneaux, simple ou double courbure (autant d’indications permettant d’identifier un mâle d’une femelle et un bouquetin des Pyrénées d’un bouquetin alpin),
Style de la figure pouvant être : naturaliste, schématique ou stylisé
Composition/association avec d’autres figures (afin de mieux cerner le rôle et les connexions du bouquetin avec les autres figures du bestiaire paléolithique)
Description : une courte description de la figure accompagnée d’une photo et/ou d’un relevé
Principales références bibliographiques : citées par auteurs et disponibles in extenso dans la bibliographie générale de fin d’ouvrage, classées dans la fiche par dates de publication pour donner une indication directe sur l’histoire des recherches autour de cette figure
Le ou les auteurs de la fiche, désignés ici par leurs initiales et renvoyant à la liste détaillée des participants en fin d’ouvrage.
24Une seconde partie est consacrée aux figurations de bouquetins hors Pyrénées. En effet, nous avons rappelé que les groupes préhistoriques des Pyrénées n’ont pas vécu confinés dans leurs montagnes ou dans les vallées qui les entaillent et qu’ils ont été en relation constante avec d’autres, vivant plus loin au Nord, comme au Sud ou à l’Ouest. Ces liens ont pu, dans certains cas, être suffisamment étroits et denses pour que nous en retrouvions la trace, de part et d’autre, à la fois dans les productions matérielles (partage de traditions techniques, notamment) mais aussi culturelles (partage de thèmes particuliers ou de conventions graphiques). Partant, il nous a semblé utile de présenter – à travers la seule fiche de présentation du site – certaines des figures de bouquetin les plus marquantes des zones hors Pyrénées. Elles sont issues de 41 sites qui, vers le nord, couvrent le Poitou-Charentes, le Périgord, le Quercy, la vallée du Rhône et l’Italie et vers le sud, les Asturies, le Portugal, la Meseta centrale, l’Andalousie et la Communauté valencienne.
25Pour des raisons pratiques, les sites les plus éloignés des Pyrénées ont été associés de façon arbitraire aux deux grands ensembles définis au nord et au sud de la Chaîne. Ainsi, le lecteur trouvera-t-il la grotte Paglicci (Italie) associée aux sites non pyrénéens du côté nord, tandis que la grotte de La Pileta (Andalousie), par exemple, est associée à ceux du côté sud. Ce découpage artificiel permet de retrouver facilement tous les sites évoqués sur les cartes dressées pour chaque versant et chaque côté. En effet, ces cartes ouvrent chacun des 4 ensembles de fiches classés, pour les sites pyrénéens et assimilés, par versant (nord puis sud des Pyrénées) puis, pour les sites hors Pyrénées, par orientation au-delà du versant nord puis au-delà du versant sud. Dans chaque ensemble, les sites sont ordonnés par département (France) ou province (Espagne) dont la progression se fait d’Est en Ouest puis par ordre alphabétique. Pour faciliter l’utilisation de l’inventaire, la numérotation des sites est continue : chaque site possède donc un numéro unique que l’on retrouve en tête de sa fiche de présentation et dans les cartes. Dans le même ordre d’idée, les sites traités dans le tome II sont signalés par le sigle dans l’ouvrage. Enfin, pour que le vocabulaire scientifique employé dans chaque spécialité ne constitue pas un obstacle pour le néophyte, les termes suivis d’une * sont définis dans un glossaire placé en fin de chaque volume.
26Notre projet était d’aller au-delà d’une Histoire Naturelle du bouquetin des Pyrénées, pour embrasser aussi les liens étroits tissés entre l’Animal et l’Homme, depuis la Préhistoire et jusqu’au temps présents. Nous espérons que cet ouvrage permettra aux lecteurs de (re)découvrir le bouquetin et les Pyrénées, mais plus encore les relations nouées entre l’un et l’autre au fil du temps. La place occupée par le Bouquetin dans l’iconographie paléolithique, comme sa présence chez Gaston Phoebus, trahissent sans doute, au moins en partie, le rôle tenu par cet animal dans les imaginaires culturels dont la Montagne Pyrénées aura été de tout temps le creuset.
27Formons enfin le vœu que Jean Clottes trouve dans ces pages auxquelles ont contribué tant de ses collègues, émules et amis, une peinture à la fois pointilliste, encyclopédique, et vivante de celui dont il a fait, peut-être après certains Magdaléniens, son fétiche !
Notes de bas de page
1 Jean Clottes et David Lewis-Williams, 1996 – Les Chamanes de la Préhistoire : transe et magie dans les grottes ornées, Seuil, Paris.
2 Nos plus vifs remerciements vont à Roberto Ontañón Peredo qui a dressé dans les premiers temps la liste des sites versant sud et hors versant sud ainsi que celle de leurs auteurs.
Auteurs
Chargée de Recherche au CNRS, UMR 7209 – Archéozoologie, Archéobotanique : Sociétés, Pratiques et Environnements (AASPE), CNRS-MNHN, Museum national d’Histoire naturelle, 75005 Paris, France – aline.averbouh[at]mnhn.fr
Chercheuse indépendante, UMR 5199 – De la Préhistoire à l’actuel : culture, environnement et anthropologie (PACEA), CNRS-Univ. Bordeaux-MC, Université de Bordeaux, 33615 Pessac, France – valerie.feruglio[at]u-bordeaux.fr
Archéologue, Dr., chercheur indépendant, UMR 5199 - De la Préhistoire à l’actuel : culture, environnement et anthropologie (PACEA), CNRS-Univ. Bordeaux-MC, Université de Bordeaux, 33615 Pessac, France – frederic.plassard[at]wanadoo.fr
Chercheur indépendant, ancien professeur des universités, membre associé du Centre de Recherche et d’Étude pour l’Art Préhistorique (CREAP, Centre Cartailhac), Maison de la Recherche, Campus du Mirail, 31058 Toulouse Cedex, France – georges.sauvet[at]sfr.fr
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Fonctions, utilisations et représentations de l’espace dans les sépultures monumentales du Néolithique européen
Guillaume Robin, André D'Anna, Aurore Schmitt et al. (dir.)
2016
Bouquetins et Pyrénées
I – De la Préhistoire à nos jours : offert à Jean Clottes, conservateur général du Patrimoine honoraire
Aline Averbouh, Valérie Feruglio, Frédéric Plassard et al. (dir.)
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Aline Averbouh, Valérie Feruglio, Frédéric Plassard et al. (dir.)
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