Ville et cadre de vie dans le Tristan de Béroul
p. 335-345
Texte intégral
1Dans l'état où il nous est parvenu, le Tristan de Béroul ne nous offre que peu d'évocations de la ville et de la demeure où évoluent les différents personnages. Pourtant, bon nombre des moments-clés du roman se situent précisément en milieu urbain : la scène de la marche au suplice d'Iseut, par exemple, ou celle de la fête qui célèbre son retour auprès du roi Marc. Aussi tenterons-nous de préciser dans quel cadre de vie se situent les aventures de Tristan et Iseut et de rechercher l'ordre urbain qui transparaît dans ce texte.
2Sans doute pourrait-on s'étonner d'une pareille ambition et objecter que "sauf tardivement au Moyen Age, les individus et les groupes qui sont à l'origine des villes médiévales n'ont ni l'intention ni la conscience de créer une ville. Ils obéissent à d'autres logiques... au début du mouvement, il n'y a pas de ville, ni dans la conscience des gens ni dans leur pratique sociale"1. Mais sans prétendre découvrir à travers notre texte une prise de conscience nette du phénomène urbain, ne peut-on cependant y trouver d'utiles indications sur l'habitat et l'organisation de la cité ?
3Si l'on considère le tableau offert par le Tristan de Béroul, on aperçoit plusieurs mini-populations, côte à côte, qui semblent ne pas avoir un destin commun : le roi Marc, dans son palais, vit au milieu de ses barons, de ses familiers et de ses serviteurs, sans se mêler ordinairement au reste de la population. Les lépreux sont relégués à l'extérieur de la ville et la forêt est le refuge des fugitifs aux prises avec la justice royale et des ermites épris de solitude. Pourtant il n'y a pas de coupure absolue entre ces diverses catégories : Frère Ogrin vient acheter aux marchands les vêtements nécessaires pour le retour d'Iseut auprès de son mari et il est parfaitement informé, au fond de son ermitage, du ban que Marc a fait proclamer contre les amants2. Quant à la foule, ses réactions devant la condamnation de Tristan et Iseut la révèlent parfaitement instruite des sentiments hostiles et de la jalousie des barons envers Tristan3. Ce faisant, elle s'affirme d'ailleurs en refusant d'admettre la "vérité" que Marc et les losengiers cherchent à lui imposer et en affirmant sa sympathie pour Tristan. Mais cette dernière n'est cependant pas assez forte pour l'amener à intervenir directement pour empêcher l'exécution de la décision royale bien qu'elle ait l'idée de le faire :
"Ahi ! Tristan, si grant dolors
Sera de vos, beaus chiers amis,
Quant si seroiz a destroit mis !
Ha ! las, quel duel de vostre mort !
.........................................................
Ja ne devrion consentir
Que vostre cors fust ci destruit."4
4Toutes les catégories sociales sont alors confondues dans une même désolation :
"Pleurent li grant e li petit"5
5Le roi Marc a d'ailleurs convoqué tous ses sujets à assister à l'exécution de sa femme et de son neveu, manifestant ainsi qu'à ses yeux l'intérêt public et ses intérêts privés se confondent. En face de lui, les habitants de la cité ne sont pas véritablement acteurs dans la pièce qui se joue à propos de Tristan et Iseut car aucun d'entre eux n'a l'idée d'intervenir pour essayer de fléchir le roi, à l'exception de Dinas qui, lui, appartient au groupe des nobles. Le peuple est plutôt spectateur passionné. Il éprouve sans doute un sentiment de communauté car il blâme les félons et plaint les victimes mais en reste là. Au contraire, le lépreux, Yvain, est acteur car il tente d'infléchir le cours des événements en suggérant à Marc une vengeance plus cruelle encore que celle qu'il avait primitivement envisagée. La foule est d'ailleurs presque toujours présentée comme un groupe indifférencié, servant de toile de fond destinée à donner plus d'importance aux rôles privilégiés des protagonistes. Béroul ne précise pas les différences sociales qui doivent exister entre ses différents membres, s'éloignant donc ainsi de la réalité pour privilégier le caractère dramatique de la scène : les habitants de la cité jouant ici un rôle analogue à celui du chœur dans les tragédies antiques et commentant les événements de manière à faire mieux ressortir aux yeux du public l'horreur et le pathétique des situations évoquées. Grâce à leurs commentaires, nul ne peut ignorer que derrière la condamnation morale portée contre le comportement individuel de Tristan et Iseut se dissimule en fait une lutte pour le pouvoir à l'intérieur de la cour. Le peuple, en déplorant le sort réservé aux amants, refuse la domination culturelle et politique de la faction constituée par les barons félons et le nain Frocin mais ne met nullement en cause le pouvoir patricien dans ses racines : la souveraineté de Marc n'est jamais contestée. Nous sommes tout simplement en face de la peinture d'un pouvoir féodal. Tristan est d'ailleurs parfaitement conscient du fait qu'il a non seulement manqué à ses devoirs envers son suzerain mais encore au respect du lignage6.
6Mais la cité ne figure pas seulement dans le Tristan de Béroul comme système politique. Des indications assez précises nous permettent de nous la représenter. Il faut remarquer, tout d'abord, que l'agglomération semble assez peu importante pour l'époque. Lorsque le cortège d'Iseut se dirige vers la ville, toute la population sort à sa rencontre pour lui faire honneur :
"Tote la gent ist de la vile,
Et furent plus de quatre mile,
Qu'omes que femes que enfanz."7
7Si on compare ce chiffre à celui de la population de Paris, par exemple, on voit qu'il y a une très grande disproportion avec celle qui est évoquée dans le roman puisqu'à la fin du xiie siècle, Paris comptait 100.000 habitants8. Néanmoins, elle se situe dans une honorable moyenne puisqu'à partir de 2 000 habitants, on a affaire à une ville et non plus à une bourgade.
8De plus, Béroul nous présente les divers lieux fonctionnels que comporte la ville. Nous avons le quartier du Palais : Tristan y apporte la lettre proposant au roi de reprendre sa femme : nous apprenons à cette occasion que la demeure du roi Marc est située dans la cité et qu’elle est protégée par des douves9. Ses appartements personnels se trouvent à l'intérieur du donjon10. Nous avons peu d'indications sur son architecture mais nous pouvons l'imaginer pourvu des mêmes défenses que les places-fortes de ses vassaux qui sont susceptibles d'ébranler son pouvoir car ils possèdent de solides forteresses :
"Forz chasteaus ont, bien clos de pal,
Soiant sor roche, sor haut pui ;"11
9Situation dominante, solides remparts sont les éléments qui assurent leur puissance.
10Mais la ville est avant tout un centre religieux. La cathédrale Saint-Samson la domine12. Cette position illustre l'importance de l'Église dans la collectivité. Il s'agit d'ailleurs là d’un fait bien attesté par l'architecture où la hauteur des tours s'explique de la même façon13. L'organisme architectural est ici encore la codification spatiale du concept dominant : la hauteur de la tour - dont la symbolique est évidente atteste sa suprématie. Le retour d’Iseut est l'occasion d'une fête par laquelle va s'exprimer la vie collective : le cortège royal va progresser au milieu de la foule à travers les rues pour monter jusqu'à la cathédrale qui conservera la précieuse tunique qui y sera offerte. Les sonneries de cloches comme les tentures qui recouvrent les façades des maisons traduisent la part prise par l'ensemble de la population à la joie de son souverain. L'ordre rétabli par le fait de rendre à Iseut sa place aux côtés de son époux ne laisse personne indifférent : du plus humble des habitants jusqu'au plus haut dignitaire ecclésiastique, tous tiennent à manifester par leur présence l'importance qu'ils attachent à l'événement, semblant illustrer par là la définition que le moine Hrabanus avait formulée, présentant la cité comme "l'union étroite d'une communauté et de son église en vue d'une vie de sainteté." La cérémonie religieuse ici célébrée semble bien traduire un tel idéal.
11Mais les réalités quotidiennes ne sont pour autant nullement ignorées par le romancier puisqu'il nous dépeint un centre commercial animé avec, les achats qu'effectue l'ermite Ogrin à l'intention de la reine et Béroul n'omet ni le pittoresque ni la diversité des marchandises exposées ni le marchandage auquel se livre le saint homme14...
12L'évocation de la cité est donc faite de manière assez précise dans le roman. Mais comment s'organise l'existence à l'intérieur de cet ensemble ? Avons-nous des précisions sur l'habitat des divers personnages ?
13Nous l'avons vu, le palais du roi est entouré d'un système de défense mais on peut noter cependant que l'appropriation et la personnalisation de l'espace demeure assez restreintes. Il est, en effet, très facile de parvenir auprès du roi Marc : le forestier venu dénoncer les amants endormis ne rencontre aucune difficulté pour aborder Marc et lui parler en particulier. De la même façon, Périnis délivre aisément au roi Artur le message dont Iseut l'a chargé. Même la nuit, il est facile de s'introduire à l'intérieur du palais. Quand Tristan apporte la lettre de l'ermite Ogrin, les guetteurs signalent sa venue en sonnant du cor mais personne ne cherche à l'intercepter ni à l'empêcher de rentrer dans la grande salle du château15. Le jour du retour d'Iseut, toutes les portes de la demeure royale sont ouvertes :
"Onques porte n'i fut veee :
Qui vout entrer si pout mengier,
onc a nul n'i fist on dangier"16
14Bien entendu, l'intimité se ressent de cette facilité si largement accordée. Nombreux sont ceux qui circulent dans les appartements royaux : le nain Frocin y vient répandre la fleur de farine et Tristan et Iseut qui cherchent à s'y rencontrer en l'absence de Marc, sont vus par les trois félons, tout comme ils ont été aperçus dans le verger où ils avaient espéré trouver le refuge que la maison ne leur accordait pas17.
15C'est que l'organisation intérieure du palais du roi Marc n'est pas encore marquée par la recherche de la possibilité de s'isoler. On le sait, "les conditions d'habitation de la période du Moyen Age se caractérisent en résumé et de la façon la plus générale par une absence de division et de spécialisation de l'espace intérieur"18. C'est ce qui explique que dans la chambre royale couchent non seulement Marc et Iseut mais aussi Tristan et Perinis. Les lits sont d'ailleurs dressés dans la grande salle19. Ce n'est que peu à peu que les conditions se trouvèrent remplies pour offrir, à l'aristocratie d'abord, une plus grande intimité. "L'ensemble de la population ne devait bénéficier que tardivement et d'une façon progressive des pièces séparées et spécialisées dont disposaient les membres de l'aristocratie. Ce ne fut guère qu'au xviie siècle que furent popularisés divers éléments de confort qui étaient à la disposition des dames et des seigneurs depuis le xiiie siècle... Le goût de l'isolement, la recherche de l'intimité devait être un facteur décisif pour la modification des structures de la maison médiévale. Il s'agissait en fait de donner à chacun des membres de la communauté la possibilité de s'isoler des autres quand il en éprouvait le désir. Intimité protégée du repos nocturne, des heures de repas, du rite religieux ou civique, et en fin de compte protection de la réflexion intime. La différenciation et la spécialisation des diverses parties de l'espace intérieur devaient répondre à ces nécessités"20. On le voit, le roman de Béroul nous met en face d'un état de fait plutôt ancien. Néanmoins on peut peut-être entrevoir déjà la naissance de ce besoin d'intimité moins dans le désir d'isolement des amants, obligés de dissimuler leur amour coupable, que dans le respect manifesté par les gardes pour la demande de Tristan de le laisser se recueillir dans la chapelle avant de mourir. En effet, non seulement ils accèdent à son désir mais ils le laissent pénétrer seul dans le sanctuaire, sans avoir l'idée de l'y accompagner21.
16On peut noter que le roman nous présente une assez grande diversité de types d'habitation. A côté du palais de Marc, on trouve évoquées des demeures plus simples et moins confortables : la maisonnette de l'ermite, la cabane du forestier Orri, désignée par Iseut sous l'appellation de "boron"22. Elle bénéficie néanmoins d'une cave qui constituera pour Tristan une cachette très sûre. Quant à la misère des lépreux dans les villages où ils sont relégués, elle apparaît dans le fait qu'ils ne disposent que de "bas bordeaus" sans aucun confort23.
17En ce qui concerne les embellissements intérieurs, nous n'avons que peu d'indications. Le palais de Marc offre plusieurs types de décorations intérieures : Yvain parle de "marbre bis"24, matériau de construction à valeur ornementale, Tristan du fond de la forêt songe avec nostalgie aux tentures de soie qui recouvrent les parois25. Il y a également des peintures26.
18Mais c'est évidemment la forêt du Morrois où les amants fugitifs se sont réfugiés qui va nous présenter le type d'habitat le plus rudimentaire. Si pour une nuit, Tristan et Iseut bénéficient de l'hospitalité de l'ermite, le reste du temps, ils dorment dans les abris de feuillage construits par le héros :
"Sa loge fait : au brant qu'il tient
Les rains trenche, fait la fullie ;"27
19La protection ainsi obtenue est restreinte puisque le soleil passe à travers les interstices28. L'absence totale de mobilier, le fait qu'ils ne sont isolés du sol que par les tapis de feuilles répandus par Iseut, l'impossibilité dans laquelle ils se trouvent, pour des raisons de sécurité, de passer deux nuits de suite au même endroit, tout cela trahit évidemment la rudesse et la précarité de leurs conditions de vie.
20De ce point de vue, Tristan et Iseut pourraient sembler encore plus défavorisés qu'un autre groupe de marginaux qui connaissent, eux, une certaine sédentarité et une organisation qui n'est pas sans rappeler celle de la cité : les lépreux. Ceux-ci "représentent un groupe socialement constitué... Leur nombre, la présence au milieu d'eux d'un chef écouté, leurs allusions à un séjour permanent nous empêchaient de les considérer comme des vagabonds. Rien de tout cela ne fait difficulté s'ils viennent d'une importante agglomération où ils résident de manière constante. Pour nous donc cet ensemble de preuves fait de la troupe d'Yvain des lépreux de village."29. Il ne s'agit pas là d'un nouveau modèle social : les lépreux se contentent, en fait, de reproduire celui dont ils ont été exclus.
21Pourtant le Morrois est aussi source de joies pour les amants. D'abord, parce que la forêt leur apporte une assez grande sécurité, encore qu'ils ne soient pas complètement à l'abri de surprises, mais aussi parce qu'ils s'y sentent chez eux :
"En la forest de Morrois sont,
La nuit jurent desor un mont.
Or est Tristran si a seür
Con s'il fust en chastel o mur."30
22C'est d'ailleurs la période pendant laquelle Tristan semble avoir trouvé son domaine. On ne peut oublier, en effet, qu'au début du roman, il est question de ses difficultés matérielles et de ses dettes envers son hôte. Lorsqu'il est revenu dans le palais de son oncle, il doit sans cesse se méfier et dissimuler en raison de son amour pour Iseut. Après le retour de la reine, il demeurera, lui, un proscrit et vivra caché dans la cave du forestier. Le Morrois lui offre au contraire la possibilité de se révéler : il assure la survie de tout le petit groupe grâce à son habileté de chasseur et vit dans une atmosphère d'amitié et participent au bien-être général : Governal fait la cuisine, Iseut jonche le sol de feuillages, Tristan et Husdent vont chercher la nourriture nécessaire... De nouveaux rapports humains se sont instaurés. Ebauche de la cité idéale ?
23En fait, il n'en est rien. L'indépendance et la sécurité dont jouissent les fugitifs dans le Morrois ne sont pas complètes. Il leur faut sans cesse se déplacer et leur peur, quand ils découvrent que le roi Marc est venu pendant leur sommeil le montre bien31. L'amaigrissement d'Iseut, l'état pitoyable des vêtements, tout révèle le caractère difficile de leur existence. Seul le philtre leur permet de supporter de pareilles conditions et lorsqu'il perd son pouvoir, la prise de conscience est immédiate.
24C'est que l'habitat fait partie de l'héritage culturel. Tristan et Iseut réalisant soudain leur situation éprouvent un sentiment de malaise car ils ne sont pas dans le milieu qui devrait être le leur normalement. Le philtre a entraîné momentanément une désociabilisation, ce que montre bien le monologue de Tristan :
"Ha ! Dex," fait-il, "tant ai traval !
Trois anz a hui, que riens n'i fal,
Onques ne me failli pus paine
Ne a foirié n'en sorsemaine.
Oublĭé ai chevalerie,
A seure cort et baronie.
Ge sui essilié du paĭs,
Tot m'est failli et vair et gris,
Ne sui a cort a chevaliers.
Dex ! tant m'amast mes concles chiers,
Se tant ne fuse a lui mesfez !"32
25A son tour, Iseut prend conscience du fait qu'à la cour sa vie conviviale est assez grande alors que dans la forêt, elle est isolée ; son rapport réel avec ses semblables est dès lors réduit au minimum33.
26Ainsi, dans le Tristan de Béroul, voyons-nous la peinture d'une vie urbaine embryonnaire qui ne produit pas encore un système politique différent. Les habitants en demeurent au niveau du constat et de la critique. Ils ne remettent pas en cause le système féodal. Le roman pose aussi le problème de l'épanouissement de l'individu au sein de la collectivité. Surtout, il établit la différenciation entre le logement et l'habitat, soulignant la signification culturelle qui s'y attache. Reflet de la société de son temps, le roman la dépasse en amorçant une réflexion qui est toujours d'actualité. On assiste à l'élaboration lente d'un ordre urbain qui a déjà ses marginaux.
Notes de bas de page
1 Yves BAREL : La ville médiévale. Grenoble, Presses Universitaires de Grenoble, 1975, p. 56.
2 Beroul : Le Roman de Tristan éd. E. Muret, revue par L.M. Defourques, 4° éd. Paris, Champion, 1947 ; roman traduit de l'ancien français par Pierre Jonin, Paris, Champion, 1974, v. 1370-1376.
3 id. v. 1077-1082 et 1142-44.
4 id. v. 844-847 et 858-9.
5 id. v. 830.
6 id. v. 2309-2316
7 id. v. 2957-59.
8 Lewis MUMFORD : La Cité à travers l'histoire. Collection Esprit "La cité prochaine", Paris, édition du Seuil, 1964, p. 332.
9 Béroul o.c. v. 2353-54.
10 id. v. 3150-54.
11 id. v. 3144-5.
12 id. v. 2972-73.
13 Lewis MUMFORD o.c. p. 350, PL. 17 et 20.
14 Béroul o.c. v. 2733-44.
15 id. v. 2456.
16 id. 3000-3003.
17 id. v. 581-598.
18 Lewis MUMFORD o.c. p. 365.
19 Béroul o.c. v. 680.
20 Lewis MUMFORD o.c. p. 363.
21 Béroul o.c. v. 939-941.
22 id. v. 2824.
23 id. v. 1204.
24 id. v. 1202.
25 id. v. 2182-84.
26 id. v. 549.
27 id. v. 1290-91.
28 id. v. 1827-28.
29 Pierre JONIN : Les personnages féminins dans les romans français de Tristan au xiie siècle, étude des influences contemporaines, Annales de la Faculté des Lettres, Aix-en-Provence, n° 22, éditions Ophrys, Gap, 1958, pp. 130 et 134.
30 Béroul, o.c. v. 1275-78.
31 id. v. 2089-2100.
32 id. v. 2161-71.
33 id. v. 2201-2216.
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