De vair et de quelques couleurs
Note sur une page du manuscrit de Paris, bibl. nat., fr. 24315
p. 109-118
Texte intégral
"Elle portait, à l'un de ses poignets, sept bracelets de verre, aux couleurs du spectre. Le bleu, qu'elle me donna la veille de mon départ, scella notre connivence amoureuse."
Maurice Chapelan1.
1Excuserait-on une étude qui, d'emblée, confesse le double défaut de peu concerner la littérature, et de déborder le Moyen Âge ? L'article que voici n'a d'autre ambition que de faire connaître quelques lignes retrouvées, au cours d'autres recherches, dans un manuscrit du temps de François Ier. Au mieux cette présentation permettra-t-elle de mesurer, par comparaison, l'évolution d'une symbolique des couleurs, et, peut-être, de préciser une mode.
2Le manuscrit de Paris, Bibl. nat., fr. 24315 est un petit in-folio de 160 feuillets de papier, relié de maroquin vert et orné sur les deux plats des armes des d'Urfé. Ceux-ci portaient : "de vair au chef de gueules" : leurs livres arboraient, par homonymie, leurs couleurs. Parmi beaucoup d'autres, ce volume séjourna durant plus de deux siècles à La Bastie, avant d'entrer, par achat, en 1777, deux années après la mort de la dernière marquise d'Urfé, dans la bibliothèque du duc de La Vallière2.
3La couleur et l'ornement de la reliure sont une marque d'appropriation de l'ouvrage par Claude d'Urfé. Celui-ci (1501-1558), grand-père d'Honoré, l'auteur de L'Astrée, avait épousé Jeanne de Balsac, fille de Pierre de Balsac et d'Anne de Graville. Anne mourut en 1540 et Jeanne hérita de ses livres : ainsi s'explique l'émigration de la bibliothèque, de la Normandie vers le Forez.
4Anne, fille de l'amiral Louis Malet de Graville, aimait la littérature3. Le manuscrit coté fr. 24315 rassemble des compositions poétiques variées des xve et xvie siècles (George Chastelain, Jehan Trotier, Jean Molinet, Pierre Fabri, etc.), Le Triomphe des Normans de Guillaume Tasserie, mais l'on y chercherait en vain des pièces à forme fixe provenant des Palinods.
5Le folio 1 de l'ouvrage subsiste après des pages arrachées : c'est le dernier feuillet d'un cahier dont les sept autres ont disparu. Il est plus mince mais de même filigrane que les feuillets suivants.
6Le verso est demeuré vierge. Au recto, dans la partie supérieure de la page, un huitain de décasyllabes : "Si tu veulx bien sçavoir qui est le nom / De celle là qui porte le regnon / De surmonter les femmes en savoir..." ; c'est une énigme dont V.-L. Saulnier a fourni la clef : Anne de Graville4.
7Dans la partie inférieure de la page, au-dessous de la copie de cette énigme, figurent les quelques lignes qui nous intéressent. Nous les reproduisons telles quelles. En particulier, nous n'usons pas des deux points, le signe orthographique moderne annonçant une explication (ou promettant une réponse) : la barre oblique employée (la plupart du temps) dans le manuscrit nous paraît mieux traduire l'équivalent symbolique, et pour ainsi dire, l'envers psychologique des couleurs.
8La copie de ce texte se situe entre 1515 (avènement du roi François Ier) et 1540 (décès d'Anne de Graville).
Les colleurs deschifrees du temps du Roy
Françoys de France premier de ce nom.
Le Jaulne / descharge
Le Jaulne doré / desespoir
Viollet / Amour
Blanc / Foy
Rouge / Cruaulté / Incarnat / Follye
Verd / Esperance
Verd-brun / Esperance morte
Bleu / Temps perdu
Gris / Travail
Tanné / Ennuy
Noir / Fermeté.
9Outre les couleurs franches qu'elle inventorie, cette liste évoque des nuances de teintes. Le jaune doré fait songer à la fleur de souci. Cette fleur, l'étymologie de son nom rappelle seule qu'elle est apparentée avec le tournesol ; mais sa couleur la rend comparable à la lumière solaire. C'est d'un jaune doré qu'elle apparaît, lumineusement peinte, dans le manuscrit de Vienne du Coeur d'amour épris de René d'Anjou : la fleur emblématique orne naturellement l'écu et surtout le heaume de l'adversaire de Coeur, Souci5.
10L'incarnat, cité (sans doute à la suite d'un repentir) sur la même ligne que le rouge, le Second Traicté du blason (du héraut Sicille ?) en donne la définition suivante : "Incarnai est une couleur moult belle et gaye. Elle approche fort du rouge, mais elle est ung peu plus chargee et traict fort sur le blanc. L'incarnal en fleurs ressemble moult à la rose et à la girofflee. Ceste couleur est composee d'ung beau rouge et d'un peu de blanc."6.
11Le verd-brun (on écrivait aussi, au xvie siècle, verbrun), c'est-à-dire le vert foncé, assourdit la luminosité du vert et ternit sa gaieté printanière ; il donne à l'espérance un goût de terre et une teinte de fin d'automne.
12La langue de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance ne connaît pas encore l'adjectif de couleur marron, apparu tardivement : au xviiie siècle, semble-t-il. Elle emploie, substantivement ou adjectivement : tanné, c'est-à-dire brun comme le tan. Tanner est synonyme d'ennuyer, de tourmenter, lasser, fatiguer : il est naturel que la signification du tanné se résume à l'ennuy.
13L'aide-mémoire ci-dessus reproduit mentionne douze teintes, sans être pour autant un blason des mois de l'année. En fait ce nuancier sommaire interprète les couleurs "selon les vertus mondaines"7 et, plus précisément, compose un lexique des emblèmes amoureux.
14Certaines des significations qu'il regroupe sont communes. Ainsi du vert qui, déchiffré, désigne l'espérance : c'est la teinte dont se pare la livrée du printemps8. D'autres équivalences perpétuent des figures attestées dans la poésie lyrique du xve siècle, comme le vert sombre ou le tanné dont se vêt un coeur qu'abandonne l'espérance.
15Le bleu veut dire : temps perdu, alors qu'il était, pour la tradition, l'emblème de la loyauté9. À la rigueur, le point de vue du moraliste sur le comportement amoureux peut rendre compte du changement d'interprétation : la duplicité, la fausseté, l'hypocrisie tournent en dérision l'engagement de la parole et détruisent une convention. A l'époque même du Blason de Sicille, Antoine de La Sale, à la fin de Jehan de Saintré, révélait une pareille imposture10. Pour en revenir au tableau des couleurs du temps de François Ier, la modification, de Loyauté à Temps perdu, demeure toutefois curieuse, moins par sa signification que par la généralisation dont celle-ci fait l'objet.
16D'autres traductions s'écartent franchement de la symbolique habituelle. C'est le cas du noir, qui maintenant signale la fermeté. Sicille disait bien que c'était la couleur de la tristesse, et justifiait cette acception : "car elle est, précisait-il, plus loing de clarté que nulz des aultres eslémens"11. Dans le code vestimentaire, le noir donnait le spectacle d'un coeur endeuillé12. Dans le blason des tempéraments, il correspondait à l'humeur mélancolique ; dans celui des saisons, il représentait l'hiver ; sable était l'émail qui désignait la planète Saturne13. Mieux que les autres couleurs, celle-ci permet par conséquent d'apprécier le changement de l'interprétation symbolique entre le xve et le xvie siècle.
17Si l'on consulte alors la poésie du temps de François Ier, on n'est pas surpris de constater qu'elle tire parti des emblèmes dont le manuscrit d'Urfé, d'autre part, donne la liste. L'oeuvre de Clément Marot fournirait d'assez nombreux exemples de la symbolique neuve.
18Dans l'Elégie I14, l'anniversaire de la rencontre et l'annonce du congé (au mois de mai)15 suscitent la crainte de voir l'espérance et la joie tourner en deuil et en peine :
"S'ainsi n'advient, à tel moys de l'année
Bien me duyra couleur noire ou tannée.
A ung tel moys, qu'on doibt dancer et rire,
Raison vouldra que d'ennuy je souspire,
Veu qu'en ce temps fut faicte l'alliance
Dont je perdray la totalle fiance."16.
19Encore reconnaîtrait-on ici la trace de valeurs connues de l'âge précédent. Plus proche du goût nouveau, le jeu auquel se livre, sur le chromatisme emblématique, l'Epistre VII17. La foi, et, pour mieux dire, l'attente amoureuse, est suggérée par le blanc18, dont le poète aimerait qu'il fût changé en noir :
"Brief, pour le moins, tout le temps de ma vie
D'une aultre aymer ne me prendroit envie.
Et par ainsi quand ferme je seroys,
Pour prendre noir le blanc je laisseroys :
Car fermeté c'est le noir par droicture,
Pource que perdre il ne peult sa taincture."19.
20Clément Marot compose encore un rondeau sur le langage de "ces trois tristes couleurs, / Gris, tanné, noir"20, dont les valeurs sont énumérées dans le couplet central :
"Car le noir dit la fermeté des cueurs,
Gris le travail, et tanné les langueurs ;
Par ainsi c'est langueur en travail ferme,
Gris, tanné, noir."21.
21Compte tenu de la tristesse que suggèrent ces trois teintes, et de la souffrance que suppose leur conjonction, on est assez loin malgré tout de l'ancienne valeur du noir ; quant au gris de l'espoir, il n'est plus qu'un emblème oublié...22.
22Le titre du tableau transcrit au manuscrit d'Urfé assigne au mode de déchiffrement proposé une sorte de terminus a quo. Cette référence au règne de François Ier équivaut sans doute à l'affirmation de la nouveauté du code, et, par là, suggère la rupture avec le détail de l'emblématique mis au point par Sicille.
23En tout cas Rabelais, pour sa part, rejette le Blason de l'âge précédent. Prenant à parti son public de lecteurs, au sujet des "couleurs et livrée" (blanc et bleu) de Gargantua, le conteur s'emporte :
"Qui vous meut ? Qui vous poinct ? Qui vous dict que blanc signifie foy et bleu fermeté ? Un (dictes vous) livre trepelu, qui se vend par les bisouars et porte-balles, au tiltre : le Blason des couleurs. Qui l'a faict ? Quiconques il soit, en ce a esté prudent qu'il n'y a poinct mis son nom. Mais, au reste, je ne sçay quoy premier en luy je doibve admirer, ou son oultre-cuidance ou sa besterie..."23.
24Et de fournir, dès le chapitre X de Gargantua, son interprétation des deux couleurs choisies, en un développement autrement plus argumenté, il est vrai, que n'importe quel paragraphe du modèle dénigré.
25Sans être aussi rigoureuse ni sévère que Rabelais, l'époque modifie l'emblématique traditionnelle, en substituant au besoin de nouvelles valeurs aux significations médiévales24.
26Quant à l'aide-mémoire que nous avons eu sous les yeux, nous ne saurions identifier son modèle. Mais nous ne serions pas étonné que celui-ci fût originaire d'Italie. On connaît un sonnet, attribué à Nicolò da Correggio, où l'on entrevoit quelques-unes des interprétations nouvelles qu'adopte la Renaissance française :
"Si como il verde importa speme e amore
Vendetta il rosso, il turchin zelosia,
Fermezza il nero e in cor melanconia,
E'l bianco mostra purità di core,
El giallo haver extrutto ogni suo ardore,
E chi veste morel secreto sia,
Taneto poi fastidio e fantasia
E'l beretin travaglio pena e errore..."25.
27Au service de l'emphase ou de la discrétion, le langage des couleurs comme traduction de l'expérience affective procède d'un jeu sérieux, qui consiste à rechercher l'accord de l'intérieur avec l'extérieur, du sentiment avec la figure, de l'apparence avec l'intimité, en partie par imitation des impressions que produit la nature sur la sensibilité. Dans la première moitié du xvie siècle, la grammaire de ce lexique et la coloration du sentiment amoureux changent. Ainsi se justifient, noir sur blanc, dans les actes d'un colloque sur la couleur au Moyen Age, ces quelques pages pointillistes...
Notes de bas de page
1 Mémoires d'un voyou, Grasset, 1972, p. 214.
2 cote : olim 2926 ; Lavalière n° 65. Voir Claude Longeon, "Catalogue des livres de la bibliothèque de la Maison d'Urfé", Documents sur la vie intellectuelle en Forez au xvie siècle, Centre d'Etudes foréziennes, 1973, p. 143-157 (n° 57 p. 152), et André Vernet, "Les manuscrits de Claude d'Urfé (1501-1558) au château de La Bastie", Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, année 1976, p. 81-97.
3 dès après décembre 1524, Nicolas de Coquinvilliers lui fait présent d'un recueil de pièces palinodiques présentées au Puy de la Conception de Rouen : Paris, Bibl. nat., fr. 25534. Voir Cl. Longeon, art. c., n° 13, et A. Vernet, art. c., p. 84.
4 "Dans le cercle des palinods rouennais. Richard de La Porte, Adrien de Saint-Gelais, Nicolas Boyssel et quelques autres auteurs de la Renaissance, d'après un manuscrit non étudié" [ms. La Porte, coll. privée]. Bulletin du bibliophile, 1952, p. 143-158, 182-196 et 239-251. Spécialement : p. 189, n. 2.
5 Vienne, Bibl. nat., Codex Vindobonensis 2597, fol. 18v° et 21v°. Voir M.-Th. Gousset, D. Poirion, Fr. Unterkircher, Le Coeur d'amour épris, Philippe Lebaud éditeur, 1981, p. 44 et 48.
6 voir Le Blason des couleurs en armes, livrees et devises, par Sicille, herault d'Alphonse V, roi d'Aragon, publié et annoté par Hippolyte Cocheris. Paris, Auguste Aubry, 1860, in-12 ; p. 89. Sur l'auteur de ce Second Traicté (et le doute au sujet de son identité), voir p. xv.
Les lexicographes attribuent généralement à Rabelais (Pantagruel) la première attestation dans la langue française du mot incarnat (de l'italien incarnato). Si le mot n'apparaît pas dans le premier Traité de Sicille, rédigé, semble-t-il, entre 1435 et 1458 (éd., p. xvii-xviii), son emploi en français (du moins sous la forme incarnal) est antérieur à 1532.
7 L'expression est du héraut Sicille ; éd. Cocheris, p. 56.
8 voir Le Blason des couleurs, éd. c., p. 66, 110 et 118. Il est vrai, toutefois, que dans la tradition poétique, le vert, couleur du renouveau - la reverdie - et pour ainsi dire du printemps de l'amour, pouvait aussi dénoncer la nouvelleté, c'est-à-dire l'inconstance. Voir Huizinga, L'Automne du moyen âge, Payot, 1975, p. 145-146.
Sur la livrée que porte, au mois de mai, le coeur désaccordé, voir Charles d'Orléans, Rondeaux 39 et 404 ; A. Planche, "Charles d'Orléans, l'exclusion et ses métaphores", Senefiance, n° 5 (1978) p. 401-418, notamment p. 414.
9 Sicille, commentant cette couleur (Azur) : "(...) en vertus se dit Loyaulté" (éd. c., p. 38).
10 "Et comment, ma dame, avez vous cuer de porter ceinture bleue ? Couleur bleue signiffie loyaulté, et vraiement vous estes la plus desloialle que je cognoisse ; plus ne la porterez." Lors ly osta et desceingny celle ceinture, puis la pleya et mist en son sain". Éd. J. Misrahi et Ch. A. Knudson, Genève, Droz, 1957, p. 298. Le parcours sentimental de la Dame des Belles cousines pourrait se résumer au mensonge d'une couleur, le bleu, qui donne le change.
Dans notre tableau du manuscrit d'Urfé, le jaune (descharge, au sens juridique du terme) est en somme le vert (espérance) d'où l'on ôte le bleu (temps perdu).
11 Le Blason, éd. c., p. 43-44.
12 par exemple : Eustache Deschamps, Le Miroir de mariage, XVII, v. 1650 ; Oeuvres complètes, éd. Queux de Saint-Hilaire et G. Raynaud, IX, p. 57. Evoqué par Huizinga, o. c., p. 338.
13 Le Blason, éd. c., p. 57, 58 et 66.
14 Éd. Y. Giraud, Garnier-Flammarion, 1973, p. 253-255. Élégie II dans le recueil de 1534 ; voir V.-L. Saulnier, Les Élégies de Clément Marot, nouvelle éd. augmentée, S.E.D.E.S., Paris, 1966, p. 145.
15 v. 21-27.
16 v. 31-36.
17 Des Jartieres blanches. Éd. Y. Giraud, o.c., p. 57-58.
18 v. 4-10 et v. 25 : "voulenté franche".
19 v. 15-20.
20 Rondeau XIX. Éd. Y. Giraud, o. c., p. 321.
21 v. 6-9. Les trois teintes sont mentionnées dans l'ordre même de la liste présentée par le manuscrit d'Urfé.
Huguet, à l'article Tanné, cite quelques vers d'un Bugnyon :
"Voyla pourquoy je tien pour les couleurs
Gris et tanné, tesmoins des grans doleurs
Cruellement que ma vie supporte..."
(Erotasmes, sonnet 9).
22 cf. :
"Je souhaytë avoir la jouyssance
D'une pour qui le gris me fault porter
Pour demonstrer que vis en espérance..."
(Anciennes poésies françaises, I, 310 ; cité par Huguet, art. Gris). Voir A. Planche, "Le gris de l'espoir", Rom., 94 (1973), p. 289-302.
23 Gargantua, chapitre IX. Éd. J. Plattard, Paris, Les Belles Lettres, 1966, p. 35-36.
24 Pour une esquisse du symbolisme des couleurs dans la poésie du xvie siècle après Clément Marot, voir Maurice Scève, Délie (1544) : "Si le blanc pur est foy immaculée / Et le vert gay est joyeuse espérance..." (dizain 254) ; Amadis Jamyn, Oeuvres poétiques, éd. Ch. Brunet, Paris, 1878, I, p. 128-131 (Du gris ; Du Noir ; Du bleu et de l'orangé ; Du Jaune). D'Aubigné, dans Les Tragiques, fait grand usage du rouge (douleur et cruauté) et du noir (mort et péché). Voir Henri Weber, La Création poétique au xvie siècle en France, Paris, Nizet, p. 687-694. À noter que le noir comme emblème du péché, dans les chants des Tragiques, renoue avec la tradition morale du Moyen Âge. Cf. par exemple : "Pechiés amers, noir comme poivre..." (ABC Plantefolie, v. 30).
25 cité par Giulio Bertoni, L'"Orlando furioso" e la Rinascenza a Ferrara, Modena, Orlandini, 1919, p. 221.
Auteur
Université de Paris IV La Surbonne
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