Table des matières
Le parfait chevalier : entre terre et ciel
- Définir l’essence chevaleresque
- Le Dit, première esquisse du chevalier idéal
- La senefiance onomastique
- Le « catéchisme » du parfait chevalier
- Amors et amie, guides et bâtisseurs du chevalier
- La dame à la source de la chevalerie
- Symboles chrétiens et laïcisation de l’amour
- Le parfait chevalier peut-il exister ?
- La psychomachie houdanesque
- Le règne d’Avarice
- Un dangereux borjon
- Cras et lart d’enfer
Une caricature comique d’Arthur et de l’enfer
- Un prologue novel
- Un horizon d’attente trompeur
- Arthur, Keu et Guenièvre : la redistribution des rôles
- Gauvain, le soleil noir
- Tournois truqués, duels inachevés, guerre empêchée
- Une errance sans gloire
- Le départ en quête : Érec et Énide en négatif
- Épreuves et catastrophes
- La résistance à la coutume
- La danse magique des fées
- Des demoiselles silencieuses, un chevalier loquace
- Le monde courtois
- Les portraits : la dame et le travesti
- Un couple courtois bancal
- De la Joie d’Érec à la contre-joie de Méraugis
- Le Songe d’Enfer, un pèlerinage à l’envers
- Le prélude ironique
- Des vices vertueux
- La règle du désordre
- Le festin infernal
Le chevalier houdanesque, un être en devenir
- Les « enfances Méraugis »
- Une amitié virile idéale
- La rupture
- L’irruption d’une figure tutélaire : Lidoine
- L’absence de référent paternel
- Un nice ignorant et emporté
- De la difficulté à manier le verbe
- Un monde de signes
- L’« adolescence » du personnage-chevalier
- L’initiation sexuelle : à la découverte de soi
- Plus acesmez qu’une popine
- L’initiation féerique : la conscience suspendue
- L’initiation par le sang : un combat identitaire
- L’entrée dans l’âge adulte
- Le choix de l’anonymat
- Une tonsure aux complexes senefiances
- Nom retrouvé, nom proclamé
- La balance des pouvoirs
- L’émancipation du héros masculin
- L’amor selon Raoul de Houdenc
- La transmission des talents
Du personnage à la personne
- L’ambiguïté du monde courtois face à l’argent
- Les vices vertueux du Songe d’Enfer
- La réponse littéraire : une noblesse à la largesse exemplaire
- Un exemple ambigu : Gorvain et les chevaliers d’Escavalon
- Le brouillage des valeurs
- Beauté et laideur
- La remise en cause du principe d’origine platonicienne
- Beauté éphémère et laideur permanente
- Camus, cort, boçu, et… cortois
La promotion de l’individu
- Le droit à une vie privée
- L’indépendance du chevalier
- L’absence de lignage
- Le refus de l’autorité royale
- Les quêtes personnelles
- La valorisation de la femme
- La dame, unique aspiration du chevalier houdanesque
- Lidoine, la magistra
- Tribunal et jeu-parti
- La satire comique du Songe d’Enfer
- La transposition de la société d’ici-bas
- Satire ou dédramatisation ?
- Une fable véridique
- Songe et non mensonge
- Du nominalisme au scepticisme : l’influence hérétique
- Le paradoxe doctrinal houdanesque