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    Plan détaillé Texte intégral La langue Paroles, voix et corps À l’atelier La diction poétique Le sens d’un texte Le lecteur Bibliographie Auteur

    Être et devenir lecteur(s) de poèmes

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    La parole portée

    Fred Griot

    p. 235-242

    Texte intégral La langue Paroles, voix et corps À l’atelier 1. La parole matière 2. La parole portée 3. La parole claire La diction poétique Le sens d’un texte Le lecteur Bibliographie Bibliographie Auteur

    Texte intégral

    1Le 19 mars 2014, Fred Griot est invité à La Maison des Sciences de l’Homme du campus de Grenoble, pour prendre ou plus exactement, selon ses termes, « porter » parole. En effet, cette œuvre ne sépare pas la poésie de la voix, le discours sur l’acte poétique de l’action poétique elle-même, la présence et le désir de la présence. Voilà pourquoi cette œuvre est profondément poétique : elle n’explique pas, ne raconte pas, mais comme le revendique Christophe Hannah, elle agit.

    2La rencontre entre Fred Griot et des enseignants, des formateurs et des chercheurs en didactique de la littérature incite à repenser la place de la voix en cours de français. Cette œuvre ouvre les frontières de la poésie enseignée vers les champs de la performance, de la multimodalité, du corps et de la sonorité en poésie tout en manifestant une plus ou moins grande proximité avec les univers de Bernard Heidsieck, Julien Blaine, Serge Pey ou encore ceux qu’explore Jean-Pierre Bobillot. Et pourtant, même si ses supports sont actuels et riches, la poésie de Fred Griot refuse toute sophistication conceptuelle ; la visée et la finalité sont d’ordre artistique et performatif, et non dans la formulation d’une théorisation. Elle rappelle l’adresse du poème, offert à tous, la plasticité de ses supports (livre, web, traces diverses…) et de son genre : récits, pensées, carnets de voyages, déclamations, productions collectives, travail musical… Rencontrer Fred Griot invite également à questionner le temps et le lieu du poème, ceux de sa réception, ainsi que la porosité entre le moment de la poésie et le regard distancé, la posture métapoétique qui fait écho au texte, le draine et l’accompagne.

    3Voici des extraits des textes dits lors de cette rencontre du 19 mars, auxquels le poète a ajouté quelques réflexions écrites.

    La langue

    Image

    (mes petits moyens, extrait de book O, 2011)

    « c’est de la matière commune

    c’est écrit avec ça c’est écrit avec elle c’est la vie banale complètement c’est pas fait avec autre chose c’est agencé comme elle c’est pas agencé ça tombe comme ça même pas dirigé à peine dirigé un peu à peine

    c’est de la matière commune
    c’est fait avec de la matière commune

    de la matière commune imprévisible inattendue avec la même matière qui contient tout.

    je n’accepte de porter que mon travail d’une matière de lang. ce travail d’une terre, organique, basale, rustre, racine.

    je ne veux bien porter charge que pour ce brut là de lang creuse. de ce creuse de lang dans le creuse du corps. »

    (ce brut là, performance, 2010)

    Paroles, voix et corps

    Parole c’est émerge d’un matériau brut, puissant. mots à matière souffle respire. mots appuyés condensés pesants. la parole a un poids dans le jeté souffle flux un poids dans l’appui. dans l’appui du souffle sur l’air de l’entendre la parole est dans l’entendre. le entendre est comme une tessiture d’écoute qui se tisse. se tisse par la pression et tension du souffle tendu vers le dehors. le dehors coule le souffle dans les dedans dedans des autres. qui ne font plus qu’un, respire ensemble : c’est l’entendre.

    le entendre est du palpable. de la matière d’écoute. la matière d’écoute est du palpable fondé sur de l’entendre parlé la parole portée est lancée vers ce palpable d’écoute là.

    (Extrait de plateau, éditions publie.net, 2007 et éditions maelström, 2010).

    4La poésie, comme le poète, évidemment s’inquiète de la parole, puisque c’est sa matière première, la chose qui le travaille et qu’il va donc en retour travailler… mais, par cette matière, c’est d’abord le large monde que la poésie capte, et pas seulement son corps à elle ou celui de celui qui la produit qu’elle capte par son tissu, sa membrane verbale sensible, et qu’ensuite elle « recrache », redonne.

    5D’abord donc elle écoute, elle écoute beaucoup (et pas seulement elle-même)…

    la voix c’est dans la parole avant la parole • la langue c’est dans la parole pas dans la voix • c’est à côté accessoire • la parole c’est après la voix • la voix c’est ce qui sort ce qui habite ce qui a l’énergie • la langue c’est à côté ça sert ça sert à faire sortir la parole • ça sert à former la parole mais c’est

    pas la voix • la langue c’est pas habitée ça sert ça sue ça mécanise la voix • ça lui permet peut-être de sortir à la voix • avec la parole • mais la voix existe avant • avant la langue avant la parole même • au ventre •

    (Extrait de Vox, 2003)

    6La voix, oui c’est celle de celui qui écrit, mais au-delà, par une portée d’ordre plus générale, plus « universelle », c’est celle de tous qui est dite, portée ici. Montaigne ici : « Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition ».

    À l’atelier

    Avant les mots m’étaient des outils de transcription. Là, ils me surprennent, ils viennent. Ils ne servent pas à composer l’image ou à transcrire la vision. Ce n’est pas la vision qui les fait venir, transpirer et bouillir, ce sont eux qui la font surgir, la font naître, dans leur ivresse, depuis leur matière sonore, graphique, sémantique. Une éclosion. Depuis leur être "physique".

    Vers courts (flashs, éclats, bris d’images), vers longs (montée, façonnage, modelage plus lent, plus large, d’une image, sensation, atmosphère), ils imposent leur souffle et respiration, craquent et pètent.

    En poésie, c’est peut-être le travail de Ginsberg (Howl, Sunflower Sutra, Kaddish…) qui m’est le plus proche ces temps-ci.

    (Extrait de caps 2, 2002)

    7Je ne crois pas que le poème ne transcrive pas une émotion préexistante… car il faut bien que quelque chose mette en mouvement (mouvement qui est l’étymologie d’ailleurs « d’émotion »), mette en branle… il ne vient pas ex nihilo, ou d’une unique activité intellectuelle. il procède souvent, même si pas toujours, d’un débordement. cela explique probablement le fait que je pense, que je ressente qu’une écriture n’est pas trop mauvaise lorsqu’elle « échappe », lorsqu’elle se fait, se joue au-delà de la maîtrise, même si elle est assise sur une pratique « technique » de plusieurs années… c’est quand ça « échappe », au-delà de l’auteur, que l’on commence à toucher me semble-t-il.

    8À une période, je cherchais et travaillais une « manducation de langue », une langue travaillée, mâchée, pétrie, malaxée comme une pâte mais aujourd’hui je recherche beaucoup plus une « parole claire », simple, audible, sans dispositif volontariste et sans pour autant céder sur l’exigence… bien au contraire.

    9J’ai identifié alors quelques grandes périodes dans le travail, dans l’évolution de ce rapport à la langue, qui sont pour moi quelques points de fixation, charnières, successives dans le temps :

    1. La parole matière

    10je n’accepte de porter que mon travail d’une matière de lang. ce travail d’une terre, organique, basale, rustre, racine.

    11je ne veux bien porter charge que pour ce brut là de lang creuse. de ce creuse de lang dans le creuse du corps.

    2. La parole portée

    12assumée

    13apportée

    14porter la voix

    15porter la parole, prendre la parole, donner à entendre, donner la parole

    16trouve le point d’impact, le point où ça touche

    17trouver les moyens de dire et de partager ce qui nous entoure, nos sensations, notre "vision".

    18et par là, de comprendre ce que notre langue dit de nous, de ce que nous sommes, de ce qu’est notre monde.

    19que signifie "porter la parole", "prendre la parole", "donner à entendre"…

    20se faire comprendre, dire ce que nous vivons, ressentons, à autrui… en quoi ça circule entre ce que l’on exprime et ceux qui le reçoivent, en quoi ça « reçoit », en quoi ça « donne »

    21trouver sa langue personnelle, intime, pour exprimer au mieux ce que nous vivons. trouver le canal le plus fluide, le plus direct peut-être, entre ce que l’on ressent et la parole qui va le dire…

    22Il s’agit de faciliter et valoriser cette parole-là.

    3. La parole claire

    23par cette expression, plus précisément, j’entends une écriture du simple, du concis, de l’économie de moyens, de la limpidité et de la légèreté dans la pertinence et l’universalité du propos.

    La diction poétique

    dire un texte n’est pas une histoire de cervelle

    parole, sur scène : piston d’air et non pas joli ton d’une lecture toute intentionnée, bien dite

    sans doute rien de pire que de chercher à bien dire un txt, à lui procurer sens en y mettant un ton. il y a plutôt à donner énergie, cette énergie qui fut là lorsque les mots sont montés, lorsqu’ils ont poussé à la page. cette énergie qui est là dans le corps de l’écrivant, cette énergie d’expulsion, de débordement qui est là surgie dans le corps de respiration de l’écrivant.

    (Extrait de plateau, éditions publie.net, 2007 et éditions maelström, 2010)

    24Le « par cœur », et on ne nous l’a pas souvent dit et enseigné ainsi à l’école, c’est d’abord dire « par corps ». C’est faire entrer une parole en soi jusqu’à pouvoir la redire comme la sienne propre quasi, c’est se l’incorporer, l’incarner. tout cela c’est histoire de viande je dirais presque, en tout cas de physique. c’est tout sauf recracher mécaniquement quelque chose de pré-existant, c’est le faire sien, le faire entrer en soi, le faire vivre avec le corps, l’organe, le tube à souffle, la corde vibratoire, les bras, les mains, les scansions du corps… peut-être alors pourrait-on plutôt enseigner cet aspect par le « jeu », car les enfants jouent d’abord, tout comme l’acteur.

    Le sens d’un texte

    • dan l’aller dire laissé le sens le sens quoi le sens où le sens dan dan l’aller dire laissé alors peut-être le sens couché dan la pâte dire lang le sens alors peut-être alors de lui-même émerge suinte de la matière maléée malaxée peu à peu organiquement rythmiquement organisée

    enfin quan tou se passe bien pas souvent

    le sens le sens quoi le sens où le sens dan

    le sens vers le sens dedan et la parol dedan le sens où le sens plus le sens non le sens rien je ne sens plus le sens ce qu’il fout dan la lang je ne sens plus c’est une autre histoire une histoire qui n’est plus de sens maintenant

    c’est une autre histoire qu’une histoire de sens tou ça cette parl qui m’accompagne en marchant

    c’est une autre histoire une histoire de matière de corps dan la matière c’est une autre histoire la parol est dan le corps le corps dan la parol ok une histoire cette petite parol qui avec moi en marchant oui qui

    ce n’est plus une histoire sur quelque chose mais ce quelque chose là lui-même maintenant qui est là dedan

    (Extraits de la plui, éditions Dernier Télégramme, 2009)

    25Oui la marche, le rythme (cardiaque, circulation, soufflation, locomotion), on ne peut parler sans ce corps qui bat, palpite, a un rythme de base très marqué.

    26Quant au sens, toujours on le propose, les autres en disposent.

    Le lecteur

    27Le souci du lecteur, de l’auditeur est primordial… sans doute est-ce pour cela que, après des années de langue « difficile », dense, peu évidente à pénétrer, je me soucie aujourd’hui de cette parole claire pour réunir si possible une exigence pointue à une facilité d’écoute… pour créer la condition d’un partage possible, une lisibilité, une accessibilité, une « partageabilité »… et cela est également l’un des objets premiers de mon travail avec des musiciens.

    Bibliographie

    Bibliographie

    GRIOT, F. (1988). Pierre Fendre. Édition hors commerce.

    GRIOT, F. (1994). Désertia. Édition hors commerce.

    GRIOT, F. (2000). Caps 2, en ligne [http://www.fgriot.net/txt/caps2.php]

    GRIOT, F. (2003). Vox, en ligne [http://www.fgriot.net/txt/vox.php]

    GRIOT, F. (2007). Avec mes yeux. Anthologie bilingue : Meschonnic, Ermaz, Gellé… - édition Verlag im Wald.

    GRIOT, F. (2007). Plateau. Quelque chose d’autre que la littérature. Notes pour la bouche sur scène. Publie.net et éditions maelström, 2010.

    GRIOT, F. (2008). Rouge Kwoma (poèmes papous). 20 chants écrits d’après des peintures papous pour l’exposition et catalogue. Éditions Musée Branly des Arts Premiers.

    GRIOT, F. (2009). La plui. Limoges : Dernier Télégramme.

    GRIOT, F. (2010). Le réel, nouvel opium ? Collectif : Calleja, Adely, Dumond, Desbrusses… Poème pour catalogue exposition vidéos.

    GRIOT, F. (2012). Cargaison avec Claude Favre. Éditions Atelier de l’Agneau.

    GRIOT, F. (2013). Book O. Éditions Dernier Télégramme.

    Auteur

    Fred Griot

    Mène un travail de “lang” depuis toujours, poésie et prose, via l’écrit, le web, l’édition et la voix (seul ou avec le trio parl#). travail d’une matière organique, basale, racine. essaie de dire en parole claire. une quinzaine de livres édités (dont la plui et book 0 chez Dernier Télégramme, cabane d’hiver chez {ERR}, Cargaison chez l’Atelier de l’Agneau, plateau chez Maelström). lectures en France, Belgique, Québec, Slovaquie, Hongrie, République Tchèque, Russie… n’ayant pas abouti, écrit toujours, aggrave, enfonce le clou. et tout le reste sur www.fgriot.net.
    Poète, Lyon.

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    Griot, F. (2016). La parole portée. In N. Brillant-Rannou, C. Boutevin, & M. Brunel (éds.), Être et devenir lecteur(s) de poèmes (1‑). Presses universitaires de Namur. https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4973
    Griot, Fred. « La parole portée ». In Être et devenir lecteur(s) de poèmes, édité par Nathalie Brillant-Rannou, Christine Boutevin, et Magali Brunel. Namur: Presses universitaires de Namur, 2016. https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4973.
    Griot, Fred. « La parole portée ». Être et devenir lecteur(s) de poèmes, édité par Nathalie Brillant-Rannou et al., Presses universitaires de Namur, 2016, https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4973.

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    Brillant-Rannou, N., Boutevin, C., & Brunel, M. (éds.). (2016). Être et devenir lecteur(s) de poèmes (1‑). Presses universitaires de Namur. https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4798
    Brillant-Rannou, Nathalie, Christine Boutevin, et Magali Brunel, éd. Être et devenir lecteur(s) de poèmes. Namur: Presses universitaires de Namur, 2016. https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4798.
    Brillant-Rannou, Nathalie, et al., éditeurs. Être et devenir lecteur(s) de poèmes. Presses universitaires de Namur, 2016, https://0-books-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pun/4798.
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