Introduction
p. 11-18
Texte intégral
1CE LIVRE EST LE FRUIT de deux inspirations. Celle, d’abord, de Colette Pétonnet qui m’a appris à arpenter les rues de la capitale en long et en large, à les observer comme s’il s’agissait d’autant d’actrices, chacune avec sa personnalité propre, le regard ethnologique fixé sur tout ce qui nous entoure. Celle, ensuite, de Jane Jacobs dans son ouvrage Le déclin et la survie des grandes villes américaines qui m’a enseigné l’importance des yeux : ceux du commerçant, éternel voyeur de la vie citadine, ceux des passants qui font du lèche-vitrines, tous ces yeux qui regardent, qui se regardent et qui dévisagent tous les inconnus que l’on croise dans les rues de la grande ville. Ces deux auteurs m’ont également poussée à réfléchir sur la nature de l’« urbain ».
2Mais alors, pourquoi la rue ?
3Parce que la rue est là. C’est la présence obscène (ce qui se place devant la scène) de nos métropoles. Dès qu’on franchit la porte de l’immeuble, de la boutique, du commerce, ou le seuil du parking ; dès qu’on descend du trottoir, on y est. La rue est face à nous ; elle compose l’arrière-fond du théâtre urbain. Elle est le sine qua non de l’urbain. Le support des commerces de proximité, des bâtiments administratifs ou politiques, des institutions, des espaces verts, des places, des squares, de tout ce dont est composée la ville.
4Elle est aussi synecdoque : elle est elle-même, par extension, le trottoir, la place, le square, le quartier, la périphérie, ainsi que tout ce dont se constitue la grande ville. C’est dans tous les sens du terme une voie (voix) de communication : un lieu de trafics de tous genres, de commerces, de relations sociales, de relations de production, de production elle-même parfois, y compris de l’espace – espace public mais aussi espace privé. Là où l’on commerce est aussi là où l’on communique. Un élément fondamental de la ville, donc, et surtout fondateur.
5Une remarque s’impose immédiatement à qui prend connaissance du présent ouvrage, c’est la diversité des angles d’approche et des thèmes évoqués pour étudier la rue et par extension la ville : le public et le privé, la violence, la production et la reproduction, la communication, les diasporas, les passages, les frontières, les formes de la ville, le mouvement, le brassage, la cohabitation, la centralité et la périphérie, la vie de rue, les rues de la ville. Chacun de ces points de focalisation est un des morceaux du puzzle urbain, chacun a besoin de l’autre ; sans cela, nous perdrions une partie de la richesse des analyses.
6J’avais précisément souhaité que ce livre fût à l’image de la rue des métropoles cosmopolites ; et qu’à l’hétérogénéité des êtres correspondît – pourquoi pas – celle des disciplines : anthropologie, ethnologie, sociologie, urbanisme, architecture, histoire… Mais toute cette diversité n’en comporte pas moins des thèmes récurrents, des constantes qui semblent se retrouver dans des sujets pourtant tout à fait différents, comme si les chercheurs, chacun à sa manière, faisaient surgir un leitmotiv, une problématique se rejoignant d’un texte à l’autre.
7L’essai de Jean-Loup Gourdon peut servir de réflexion générale, son niveau d’abstraction embrassant les textes qui suivent. Gourdon s’affirme « urbanologue », un néologisme qui en dit certainement long sur son approche de la rue : urbaniste mais en même temps empreinte des sciences sociologiques et anthropologiques, sa vision cherche à aller à l’essence des choses, à pénétrer au plus profond.
8Pour Bernard Doumerc, Patrick Cabanel ou encore Jésus-Maria Osès, la rue est le lieu de signes identitaires, religieux pour le premier, politique pour les suivants. Bernard Doumerc décrit, à travers l’exemple de la Venise médiévale, le rôle de la rue dans l’émergence même de la ville. Venise présente une double voie de communication : l’eau et la rue. Pour l’historien, il faut distinguer entre la ville et la cité : c’est la conscience de cette dernière qui permet aux gens de se rendre compte de la nécessité de la rue. La rue pour Bernard Doumerc est « l’élément créateur de l’urbanité ». À travers cet exemple, l’historien donne à voir le rôle des autorités locales dans la structuration de la ville. Il insiste sur la permanence des scènes extérieures, sur la primauté du public sur le privé, sur l’importance de la vie collective dont la rue est le théâtre. Chaque groupe, aristocrates, magistrats, marchands, se sert de la rue pour défendre ses intérêts, chacun s’exhibe dans la rue.
9L’architecture catholique a multiplié dans la rue les calvaires, croix de mission, oratoires, statues de la Vierge, autant de signes et de rappels de l’ancienne domination politique de l’Église catholique en France. Les cloches sont comme l’affirmation sonore de cette domination. Durant les processions, la rue devient momentanément un lieu de culte, espace religieux et espace public ne font plus qu’un le temps du parcours. P. Cabanel le rappelle, il a fallu attendre la Troisième République pour assister à une laïcisation au moins relative de la rue.
10Pour J.-M. Osès, les masses se sont installées dans les espaces publics. La rue du Pays basque espagnol devient un théâtre de la violence quotidienne, avec les tags accusateurs sur les façades, le terrorisme au quotidien.
11Laurence Rouleau-Berger décrit la violence et la souffrance de la rue, espace ouvert considéré comme scène primitive, lieu de contradiction dans lequel les formes de socialisation et de désocialisation se recouvrent et se côtoient, que les violences y soient bruyantes ou muettes.
12L’utilisation de la rue à des fins politiques est explicite dans plusieurs communications. La rue n’est pas qu’un espace de « commerce », elle est aussi ce lieu où s’exerce la politique urbaine, où par des aménagements divers les pouvoirs municipaux et autres essaient d’infléchir le devenir social de la ville.
13La rue est aussi perçue comme forme et configuration. Nous saisissons ici l’importance de l’infrastructure urbanistique. Elle est plus que le support de la ville, elle est son préalable même. Elle influence, elle détermine souvent le caractère, la vocation d’un espace : son décor, son ambiance, ses limites, ses manques.
14Daniel Filâtre décrit le rôle des politiciens locaux dans leurs tentatives pour peser sur la démographie des villes moyennes à travers la construction de pôles universitaires annexes susceptibles d’attirer une population d’étudiants. Nous nous trouvons ici, encore une fois, dans le domaine polysémique de l’utilisation de la politique pour affecter l’évolution de nos villes ainsi que pour créer une identification de la part d’une population particulière à telle ville et à ses rues ou à tel quartier. Mais D. Filâtre constate que la présence des étudiants ne correspond pas nécessairement à l’image que l’on s’en fait : rien de plus aléatoire et fugace, en apparence, que le rapport des étudiants et de la ville. En réalité, il y a relativement peu d’étudiants dans les villes moyennes. La création d’antennes universitaires est l’œuvre de responsables politiques locaux persuadés que l’enseignement supérieur de masse doit devenir une sorte de service de proximité, dont on espère qu’il va contribuer à enrayer le déclin démographique et économique de la ville moyenne. Dans l’analyse de Filâtre, l’espace public urbain est pensé comme le reflet de l’équilibre entre les groupes sociaux qui conquièrent les espaces ou au contraire les délaissent, voire les ignorent.
15Danièle Provansal étudie plus particulièrement la ville cosmopolite de Barcelone et ce qu’elle appelle sa « porosité ». Elle rejette une conception figée et réductrice des relations urbaines interethniques et promeut une approche susceptible de prendre en compte les fluidités et la croissance anarchique de la ville. Le cosmopolitisme barcelonais se manifeste entre autres choses par les drapeaux aux balcons, le marché de « la boqueria » et d’autres types d’« ethnic business » qui négocient le partage de l’espace et l’emboîtement des personnes.
16Annie Benveniste évoque elle aussi les structures urbaines en abordant la banlieue parisienne. Ses cités ont été construites pour être vues de loin ; elles sont à l’opposé de la rue, le symbole d’un « urbanisme moderne » qui semble avoir voulu abandonner la notion même de rue. L’intérieur des cités est traversé par des coursives, des « rues privées ». Les résidents des grands ensembles annexent des espaces qu’ils transforment en passages, réinventant spontanément ces « rues » dont les conceptions nouvelles avaient prétendu les priver.
17Enfin, Jean-François Laé permet à un SDF, Robert, de faire entendre sa voix et en même temps il essaie de donner du sens à cette parole. Laé fait remarquer les personnages que l’auteur du récit rencontre dans la rue, boulanger, hôtelier, pompiers, grutiers, patron de la Soupe Populaire. En d’autres termes, l’itinéraire et la réflexion autobiographique de Robert révèlent un cosmopolitisme évident et une exposition non seulement aux intempéries climatiques mais aussi aux rapports de toutes sortes que suscite la rue. Le cheminement de Robert dans la rue est aussi celui d’un silence au milieu de la foule et de la rumeur : Laé explique que lorsque la communication devient impossible, trop douloureuse aussi, on coupe les ponts, on disparaît.
18Chez Lamia Missaoui, Hervé Sciardet ou Laurent Gaissad, par exemple, la rue est un lieu de transactions, de relations sociales et d’interactions, plus particulièrement d’ordre « commercial ». Que ce soit le simple marché aux puces ou le marché du sexe ou des stupéfiants, on « commerce » dans les rues de nos grandes villes. Pour Hervé Sciardet, un des traits majeurs tient au fait que le marché aux puces est largement ouvert sur la rue ; c’est le lieu du « donnant-donnant », de l’échange élémentaire, de formes sociales non exclusives. Mais n’est-ce pas fondamentalement le même constat que l’on trouve chez Laurent Gaissad ? Que l’on vende du sexe ou ces objets hétéroclites que l’on trouve aux puces, ne s’agit-il pas dans les deux cas de transactions commerciales ? Il est vrai que lorsqu’il s’agit de sexe, les choses se passent à couvert, plus ou moins clandestinement (même si, comme Gaissad le montre, souvent le plus visible devient justement « invisible »). Les codes qui régissent la mise en place de la « camelote » sont dans les deux cas bien précis et connus de chacun des intéressés, marchands, propriétaires de stands et public des acheteurs, dans un cas, prostitués et clients dans l’autre. Les autorités locales sont tout aussi informées, qui décident des aménagements réguliers de certains endroits de la ville qu’elles estiment « trop » commerçants. Dans l’enquête de Lamia Missaoui, nous avons affaire, là encore, au commerce qui prend ici la figure d’une « économie informelle ». La spécificité des opérateurs commerciaux, leur hétérogénéité, l’accessibilité des lieux de la ville et aussi des produits, tout ce que l’auteur appelle la « division fonctionnelle de la ville », jouent un rôle important dans le trafic des psychotropes sur le pourtour méditerranéen entre Italie, France et Espagne. Non seulement la ville et ses différents coins et recoins (souvent les plus touristiques !) tolèrent les différences individuelles, mais ils les « récompensent ».
19Pour Adamkiewicz, les jeux et sports récréatifs de la rue sont un phénomène qu’il faut insérer dans un contexte plus global des nouvelles utilisations de la ville. Ces pratiques, que l’auteur qualifie d’autonomes et d’individuelles se font hors contexte institutionnel. Elles impliquent un autre rapport à son corps, un autre rapport aux autres usagers de la métropole et un autre rapport à l’urbain. Ces pratiques mettent en scène de nouveaux acteurs qui agissent pour d’autres motifs que ceux qui participent traditionnellement aux sports d’équipes et qui surtout investissent la rue, les places, les squares de la ville, sans pour autant forcément se mettre en spectacle.
20Pour Florence Bouillon, la rue est un lieu d’exposition de soi, par contraste avec le squat qui se présente comme un sas entre la rue et le logement autonome. Pour le squatter, la rue est à la fois une menace (intempéries climatiques, ramassage des policiers, vols, agressions) et une ressource (à travers la mendicité, la récupération, la vente de fleurs, etc.). Encore une fois, elle est une scène ; et le squat, une espèce d’entre-deux entre la déchéance totale de la rue sans abri et le logement légal, normatif. Précaire, illégal, rarement commode, il se présente en revanche comme une source de sociabilité et de protection, parfois le lieu de mise en commun des maigres ressources des uns et des autres et l’occasion d’un réapprentissage des codes et règlements de commensalité propres à la vie collective.
21D’autres contributions montrent que la rue a une urbanité profonde et intrinsèque : le brassage, les diasporas, le mouvement, les interactions, les réseaux, toute la densité des interconnexions y concourent. Chantal Bordes-Benayoun examine ainsi la dialectique ou le paradoxe ouverture/fermeture à l’œuvre dans les rues et quartiers de la ville. Elle explore l’idée du local par rapport au global. Dans certains espaces de la ville, l’étranger ou l’immigré ou tout simplement « l’Autre » peut se glisser sans problème : c’est « l’entrée libre » des espaces de la grande ville. Ch. Bordes-Benayoun parle d’un apprivoisement mutuel. Dans le même temps, il existe aussi des quartiers ou des rues que caractérisent leur privatisation, leur captation par un groupe particulier à l’exclusion plus ou moins tacite des autres. En fait, la ville n’est ni un ghetto (luxueux ou misérable) ni un lieu universel, mais elle constitue une « série d’agencements », ce qui renvoie aux fluidités et porosités dont parle Danielle Provansal.
22Samuel Bordreuil, lui, se focalise sur la sociabilité de la rue, la multiplicité de ses usages, son caractère fluide. Pour autant, les relations de rue ne sont ni sans règles, ni sans codes de comportement. Elles sont « socialisées » à travers les acteurs et la production de lien social. Bordreuil interroge également la notion d’urbanité : quelle en est la tonalité, quelle est la différence entre convivialité et urbanité ? La ville est décrite comme « promesse de relations » : Samuel Bordreuil souligne sa dimension d’ouverture, son hospitalité, sa transitivité. Son texte offre une forme d’analyse goffmanienne de la sociabilité de la rue.
23Mais d’autres appropriations, d’autres marquages retiennent l’attention : pour Anny Bloch-Raymond, tagger, graffer, c’est encore s’approprier la rue, la marquer de son sceau. L’utilisation du graff ou du tag est une forme d’action politique à l’adresse du passant. C’est une manière de laisser une trace de son passage, une forme de révolte qui vise à exister, provoquer, interpeller.
24En fin de compte, la rue est l’élément le plus simple, comme le suggère Jean-Loup Gourdon, mais aussi le plus riche en significations et en situations. Le cas du SDF nous ramène au Gavroche de Victor Hugo, cet enfant de la rue qui considère la rue comme son chez soi. Hugo (en l’occurrence, Gavroche) parle « d’entrer dans la rue » comme l’on « entre » chez soi.
25Ce livre, bien évidemment, ne saurait être exhaustif. La ville, l’urbain, le « post-urbain » sont toujours en pleine mutation. Néanmoins, il revient aux chercheurs de saisir au mieux de leurs capacités les changements en cours et d’analyser leurs significations profondes pour la vie quotidienne des citadins-citoyens que nous sommes pour la plupart devenus. Ce n’est pas un hasard si les recherches en anthropologie urbaine connaissent aujourd’hui un tel essor1.
26Un mouvement récent, aux États-Unis, prétend « Se réapproprier les rues » (« Reclaim the streets »). Il vise à permettre à des gens de toutes sortes, SDF, clochards, vendeurs ambulants, mais aussi artistes, étudiants, flâneurs…, de réinvestir les rues. C’est l’espace public lui-même qui est en cause : jusqu’à présent, on entendait par cette expression que l’espace de la ville n’appartient à personne. Aujourd’hui, nous abordons la question de l’appropriation de l’espace de manière inversée : l’espace public appartient à tous. Claire Parin parle de l’« allégorie de la rue chez Jane Jacobs » ; je préfère pour ma part invoquer une synecdoque ; mais n’est-ce pas la même chose ? Si la rue, comme Jean-Loup Gourdon l’affirme, est l’élément le « plus simple », n’est-elle pas aussi le plus complexe ? La rue – et donc la ville – est diversité, brassage, polysémie, creuset, perte, zone d’ombre, clarté et transparence.
27Terminons par l’extrait d’un poème de Charles Baudelaire, À une passante :
La rue assourdissante autour de moi hurlait,
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d’une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l’ourlet.
28Cette strophe magnifique suffit à résumer le chaos, l’agression, la sensualité, le lyrisme et l’éphémère de la rue.
Notes de bas de page
1 Anne Raulin, Anthropologie urbaine, Armand Colin, 2001 ; Jean-Loup Gourdon, La rue : essai sur l’économie et la forme urbaine, La Tour d’Aigues, Éditions de l’Aube, 2001 ; Colette Petonnet, On est tous dans le brouillard : ethnologie des banlieues, [Galilée, 1982]
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Ce livre est cité par
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- Cachado, Rita d’Ávila. (2008) A Rua. DOI: 10.4000/books.etnograficapress.1478
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