1 M. Barceló, « La arqueología extensiva y el estudio de la creación del espacio rural », dans Idem, Arquelogía medieval en las afueras del medievalismo, Editorial Crítica, Barcelone, 1988, p. 195-274 et surtout p. 195 : « La arqueología espacial o extensiva implica la movilización de toda la información, incluida la escrita, para identificar, relacionar y entender todas las trazas de los asentamientos desaparecidos y de los entornos por ellos producidos, también desaparecidos. Se comprende fácilmente que la arqueología extensiva sólo sea practicable mediante un complejo de técnicas y procedimientos que van desde la fotografía aérea […], y la teledetección […], los análisis de palinología […] y zoorarqueología […] hasta la medición de pendientes para determinar los perímetros de irrigación […] y el análisis de topónimos […] ».
2 Pour une approche générale sur les évolutions en cours dans les campagnes de l’Europe chrétienne, on peut consulter quelques travaux comme M. Amoux, Le temps des laboureurs : travail, ordre social et croissance en Europe, xie -xive siècles, A. Michel, Paris, 2013 et G. Duby, L’économie rurale et la vie des campagnes dans l’Occident médiéval. II : France, Angleterre, Empire, ixe -xve siècles. Essai de synthèse et perspectives de recherches, Flammarion, Paris, 1977. Concernant ces questions sur les espaces aragonais et navarrais, lire M. Bourin et S. Boisselier (dir.), L’espace rural au Moyen Âge : Portugal, Espagne, France ( xiie -xive siècles). Mélanges en l’honneur de Robert Durand, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2002 ; C. Laliena, Sistema social, estructura agraria y organización del poder en el Bajo Aragón en la Edad Media (siglos xii - xv ), Instituto de Estudios turolenses, Teruel, 1987 et J. J. Larrea, La Navarre du ive siècle au xiie siècle…
3 AHG, Saint-Sernin, H. 1, fol. 121a et DMA, no 3 [1084-1085].
4 DMA, no 4 [1084-1085].
5 DMA, no 69 [Vers 1120].
6 M. E. Ibarburu, « La iglesia fortificada de San Saturnino del Cerco de Artajona (Navarra) », Príncipe de Viana, no 37/142-143 (1976), p. 151-196 et J. Sesma Sesma, M. I. Tabar Sarrías, C. Blanco López, A. C. Sánchez Delgado, A. Laborda Martínez, S. Remírez Vallejo et O. Sola Torres, « La intervención arqueológica en el interior de la iglesia de San Saturnino de Artajona (Navarra) », Trabajos de arqueología Navarra, t. 23 (2011), p. 275-542.
7 J. F. Utrilla Utrilla, « La economía aragonesa en la segunda mitad del siglo xi : crecimiento agrícola e intercambios comerciales », dans. E. Sarasa Sánchez (éd.), Sancho Ramírez, rey de Aragón…, p. 81-106.
8 P. Bonnassie, La Catalogne…, p. 30.
9 A. Ubieto Arteta, « Sobre demografía aragonesa del siglo xii », Estudios de la Edad Media de la Corona de Aragón, vol. VII (1962), p. 578-598.
10 A. Ubieto Arteta, « Sobre demografía aragonesa… », p. 578-598.
11 Les églises édifiées étaient abondantes dans la seconde moitié du xie siècle comme celles d’Arto, Barós, Binacua, Busa, El Castellar, Guasillo, Iguácel, la cathédrale de Jaca, Lasieso la paroisse de Roda, Santa María de Belsué, Samitier, San Adrián de Sasave, San Bartolomé de Muro de Roda, San Caprasio, Santa Cruz de la Serós, l’église de San Juan de la Peña, San Vicente de Labuerda, San Victorián de Sobrarbe, etc. Pour les châteaux, on se contentera de citer ceux d’Aínsa, Ayerbe, Benabarre, Graus, Loarre, Marcuello, Montañana, Montearagón.
12 C. Laliena, « La articulación del espacio aragonés… », p. 89.
13 Sanche Ramire accorda des libertés de déplacement à ses vilains pour aller vers Jaca : CDCH, no 42 [1079]. Les monarques aragonais concédèrent surtout de multiples fueros et des chartes de peuplement pour attirer des populations.
14 J. Carrasco, « Los inicios de la vida urbana en el Reino de Pamplona bajo la unión dinástica con Aragón (1076-1134) », dans F. J. García Turza et I. Martínez (dir.), Actas de la reunión científica “El fuero de Logroño y su época” : Logroño, 26-28 de abril de 1995, Ayuntamiento de Logroño, Logroño, 1996, p. 145-165.
15 DERRVE (vol. I), no 5 [1087] : il s’agit de la construction et du peuplement d’un château à Artasona, dans la région d’Ayerbe, ordonné par Sanche Ramire et l’infante Pierre aux frères Sancho et Pipino Aznárez.
16 Des communautés plus réduites existaient également comme des mozarabes, des juifs, et même un petit groupe de lusitains dans les terres aragonaises : DSRII, no 60 [1083] : A. Ubieto Arteta, « Immigración medieval de lusitanos al Altoaragón », Argensola, t. 90 (1980), p. 249-261.
17 Sur le thème de la servitude dans le royaume d’Aragon et de Pampelune aux xie -xiie siècles, on peut consulter les travaux de J. J. Larrea, « La condición del campesinado navarro-aragonés entre los siglos ix y xii : una revisión crítica », En la España medieval, no 29 (2006), p. 383-409 ; C. Laliena, « La formación de la sociedad cristiana en el Pirineo central aragonés en los siglos viii-ix », dans Ph. Sénac (dir.), Frontières et espaces…, p. 69-74 ; F. Miranda, « La población campesina del reino de Pamplona en el siglo xi. Variantes léxicas y ecuación conceptual », Príncipe de Viana. Anejo, no 8 (1988), p. 117-128 et E. Sarasa, M. P. Pérez, A. Sesé, M. Tausiet et J. E. Yus, « Aragón en torno al año Mil : estructura social, comportamientos económicos y respuesta cultural », Catalunya i França meridional a l’entorn de l’any Mil – La Catalogne et la France Méridionale autour de l’an Mil, Barcelona, 2-5 juliol 1987, Generalitat de Catalunya, Barcelone, 1991, p. 140-149.
18 C. Laliena et Ph. Sénac, Musulmans et chrétiens…, p. 108 ; C. Laliena, « Feudalización… », p. 209 et Ph. Sénac, La Frontière et les hommes…, p. 331. Dans ces travaux, l’usage du vocabulaire dans les textes montre un usage croissant de villano aux dépens de mezquino. Cette évolution sémantique serait un symptôme des progrès de la nouvelle servitude.
19 C. Laliena, « La formación de las estructuras señoriales en Aragón (ca. 1083-ca. 1206) », dans E. Sarasa et E. Serrano (dir.), Señorío y feudalismo en la Península Ibérica, Institución Fernando el Católico, Saragosse, 1993, p. 556 et Idem, « La sociedad aragonesa en la época de Sancho Ramírez (1050-1100) », dans E. Sarasa (dir.), Sancho Ramírez, rey de Aragón…, p. 72.
20 L. H. Nelson, « Land Use in Early Aragon : The Organization of a Medieval Society », Societas. A Review of Social History (Oshkosh Wisconsin), no 3 (1973), p. 115-128.
21 J. A. García de Cortázar, « Poblamiento y organización social del espacio vasco en la Edad Media », dans Congreso de Historia de Euskal Herria, vol. II, Instituciones, economía y sociedad (siglos viii - xv ), Editorial Txertoa Argitaldaria, San Sebastián, 1988, p. 421-443.
22 J. A. García de Cortázar, « Les communautés villageoises du nord… », p. 55-77.
23 J. M. Lacarra, « Dos tratados de paz y alianza entre Sancho el de Peñalén y Moctádir de Zaragoza (1069 y 1073) », dans Idem, Colonización, parias, repoblación y otros estudios, Anúbar Ediciones, Pampelune, 1982, p. 77-94 et Idem, « Aspectos económicos de la sumisión de los reinos de taifas (1010-1102) », dans Idem, Colonización, parias…, p. 41-76.
24 J. M. Lacarra, « Aspectos económicos de la sumisión… », p. 48.
25 La vie économique antérieure, de maigre pertinence, n’exigeait pas de monnayages autochtones. Mais les exemples d’usage d’une monnaie locale ou de transactions entres les royaumes utilisaient surtout des pièces musulmanes, comme à l’intérieur des royaumes chrétiens. La monnaie avec le titre d’imperator, attribuée à Sanche III le Grand, devait être bien plus considérée qu’un simple monnayage propre au royaume de Sanche Ramire ou à ses successeurs. Cf. C. Justé Simonena et E. Ramírez Vaquero, La moneda en Navarra, Gobierno de Navarra, Pampelune, 1987, p. 46-49.
26 C. Bourret, Les Pyrénées centrales du ixe au xixe siècle : la formation progressive d’une frontière, Pyré-Graph, Aspet, 1995. Dans cet ouvrage, C. Bourret n’envisage pas les Pyrénées de manière figée, mais comme un espace permettant d’étudier les différents destins historiques de ces régions. Il met en évidence les solidarités et les complémentarités du versant français avec les vallées aragonaises et catalanes, le Val d’Aran et l’Andorre, des hautes vallées avec le piémont pyrénéen et les plaines voisines. L’auteur utilise le terme de « civilisation pyrénéenne » pour décrire les enjeux culturels et religieux, les solidarités et les échanges, les déplacements des hommes dans cet espace.
27 Vita Hludovici Imperatoris, éd. G. H. Pertz et G. Waitz, Monumenta Germaniae Historica. Scriptores, Impensis Bibliopolii Hahniani, Hanovre, vol. II, 1889, p. 604-648 et spécialement p. 608. M. Zimmermann, « Le concept de Marca Hispánica et l’importance de la frontière dans la formation de la Catalogne », dans Ph. Sénac (dir.), La Marche Supérieure d’al-Andalus…, p. 29-49.
28 Roger de Hoveden, Chronica, éd. W. Stubbs, Gesta Regis Henrici Secundi et Gesta Regis Ricardi Benedicti abbatis, 2 vols, Longmans, Londres, 1867.
29 P. Gautier Dalché, « L’image des Pyrénées au Moyen Âge », dans Ph. Sénac (dir.), Frontières et espaces pyrénéens…, p. 15-37.
30 Cette idée que les Pyrénées forment une barrière naturelle est exprimée dans l’ouvrage de P. Camena D’Almeida, Les Pyrénées. Développement de la connaissance géographique de la chaîne, Armand Colin, Paris, 1993, p. 18-20.
31 Ph. Sénac (dir.), Frontières et espaces pyrénéens…, p. 13. Cet ouvrage réunit de nombreux travaux sur la question de la frontière au niveau des Pyrénées.
32 De nombreuses recherches se sont intéressées à la question des voies de communication transpyrénéennes. On peut citer les travaux d’A. Beltran, « El puerto de Palo y la vía romana que lo atravesia », Caesaraugusta, no 6 (1955), p. 127-140 ; E. Lambert, « Les routes des… », p. 417-436 ; Idem, « Les relations entre la France et l’Espagne… », p. 319-328 ; M. A. Magallón Botaya, La red viara romana de… ; C. Sánchez Albornoz, La vía romana de Zaragoza… ; P. Tucoo-Chala (dir.), Les communications dans la péninsule Ibérique au Moyen Âge. Actes du Colloque tenu à Pau les 28 et 29 mars 1980, Éditions du CNRS, Paris, 1981 ; et J. F. Utrilla Utrilla, « Los itinerarios medievales y la identidad hispánica… », p. 357-391.
33 A. Magallón Botaya, « Las vías romanas en Aragón », dans Idem, Caminos y comunicaciones en Aragón, Instituto Fernando El Católico, Saragosse, 1999, p. 51.
34 Voir J. Tolan, « Reliques et païens : la naturalisation des martyrs de Cordoue à Saint-Germain (ixe siècle) » dans Ph. Sénac (dir.), Aquitaine-Espagne ( viiie -xiiie siècles), Centre d’Études Supérieures de Civilisation Médiévale, Poitiers, 2001, p. 39-55.
35 B. Boloqui, Los Caminos de Santiago en Aragón. Ruta del Camino Jacobeo del Ebro a su paso por la provincia de Zaragoza, Patronato de Turismo Diputación Provincial, Saragosse, 2004.
36 L. Vázquez de Parga, J. M. Lacarra et J. Uría Ríu, Las peregrinaciones a Santiago de… et J. Carrasco Pérez, « El camino navarro a Compostela : los espacios urbanos (siglos xii-xv) », dans J. I. Ruiz de la Peña Solar (dir.), Las peregrinaciones a Santiago de…, p. 103-170.
37 Chronique de Saint-Maixent…
38 C. Laliena, « Una revolución silenciosa… », p. 481-502.
39 CSJP (vol. II), no 69 [22/08/1036], p. 19-20 et DCRRI, no 7 [1036] : ego Ranimirus, gratia Dei prolis Sancioni regis, accepi uxorem nomine Gisberga, filia comitis Vernardi Rodegeri et comitisse matris eius nomine Guarsinde.
40 CSJP (vol. II), no 69 [22/08/1036], p. 19-20 et DCRRI, no 7 [1036] : quam dederunt mici Ricardus episcopus uigorritane ciuitatis, et pro consules lauitanensi Garsea Forto et Gielme Forto fratres uterini.
41 CSJP (vol. II), no 69 [22/08/1036], p. 19-20 et DCRRI, no 7 [1036] : idest castellum nomine Atares, cum omnibus sibi adiacentibus, viullulis, terris cultis et incultis, ex fiscum regalis nomine Senebue, cum omnibus sibi adiaçentibus viculis, et Tena, et aliis terris cultis et incultis, et villa qui vocatur Aries cum omnibus sibi pertinentibus, villis et terris cultis et incultis, et castrum qui vocatur Serracastellum, cum suas villas et cum suis terminis, et alium castrum qui vocatur Lupera, cum omnibus territoriis sibi adiaçentibus.
42 F. J. Villalba Ruiz de Toleda, « Notas acerca del estudio de las vías de comunicación en la España cristiana durante los siglos x y xi », dans V. A. Álvarez Palenzuela (dir.), Estudios de Historia Medieval en Homenaje a Luis Suárez Fernández, Universidad de Valladolid, Valladolid, 1991, p. 535-547.
43 A. Ubieto Arteta, « Los caminos que unían a Aragón con Francia durante la Edad Media », dans P. Tucoo-chala (dir.), Les communications dans la péninsule Ibérique…, p. 21-27, et surtout p. 24.
44 F. J. Villalba Ruiz de Toleda, « Las vías de comunicación en el reino de Pamplona a partir de la documentación del monasterio de Leire », dans Medievo Hispano. Estudios in memoriam del Prof. Derek W. Lomax, Sociedad Española de Estudios Medievales, Madrid, 1995, p. 391-411.
45 Aymeric Picaud, Liber sancti Jacobi, éd. et trad. J. Vieillard, Le guide du pèlerin de Saint-Jacques de Compostelle : texte latin du xiie siècle, J. Vrin, Paris, 1984.
46 CDSR, no 47 [03/1078].
47 A. Durán Gudiol, El hospital de Somport entre Aragón y Béarn (siglos xii y xiii ), Guara, Saragosse, 1986.
48 CHSCS, no 2 [03/1100].
49 CDAIAP, no 25 [02/1108], no 26 [13/02/1108], no 60 [08/1115], no 63 [vers 1115], no 102 [04/04/1116-05/04/1121], no 153 [05/1125], no 170 [03/1127], no 235 [01/03/1131], no 239 [07/1131] et no 252 [11/05/1132].
50 CDAIAP, no 188 [1109-1127].
51 DPSCS, no 1 [1120].
52 A. Ubieto Arteta, Los Caminos de Santiago en Aragón, Gobierno de Navarra, Saragosse, 1993.
53 F. Desvois et M. J. Munro-Landi (dir.), Le vagabond en Occident, sur la route, dans la rue, vol. I, Du Moyen Âge au xixe siècle, L’Harmattan, Paris, 2012.
54 J. Carrasco Pérez, « Los inicios de la vida urbana en el reino de Pamplona… », p. 145-167.
55 Ces dernières années, le développement et la morphologie urbaines ont été l’objet d’importantes avancées historiographiques. Nous nous contentons ici de renvoyer à quelques travaux : R. Betrán Abadía, La forma de la ciudad. Las ciudades de Aragón en la Edad Media, Delagación en Zaragoza del Colegio Oficial de Arquitectos de Aragón, Saragosse, 1992 ; J. F. Esteban Lorente, « Urbanismo en Aragón », dans A. Ubieto Arteta (dir.), Estado actual de los estudios sobre Aragón : actas de las primeras jornadas, Universidad de Zaragoza, Saragosse, 1978, p. 1073-1076 ; G. Guitart Aparicio, El paisaje en las poblaciones aragonesas, Ayuntamiento de Zaragoza, Saragosse, 1979 ; J. M. Lacarra, « El desarollo urbano de las ciudades de Navarra y Aragón en la Edad Media », Pirineos, no 15-16 (1950), p. 5-21 ; A. J. Martín Duque, « El fenómeno urbano medieval en Navarra », dans J. A. Solórzano Telechea et B. Arízaga Bolumburu (dir.), El fenómeno urbano medieval entre el Cantábrico y el Ebro, Asociación de Jóvenes Historiadores de Cantabria, Santander, 2002, p. 9-51 et A. Zarate, El mosaico urbano : organización interna y vida en las ciudades, Editorial Cincel, Madrid, 1984.
56 M. Balard et S. Roux (dir.), Le monde des villes au Moyen Âge : xie -xve siècles, Hachette, Paris, 2004 et J. Heers, La ville au Moyen Âge en Occident : paysages, pouvoirs et conflits, A. Fayard-Pluriel, Paris, 2010.
57 CDCH, no 110 [04/1112] : don Humfrede carnicero et ad vestra muliere donna Holdiardes et ad vestros filios.
58 CDCH, no 110 [04/1112] : Et testimonia don Iohannes de monte Pesteller et suo filio Ponce et don Arnalde de Fredelez et don Arnolfe carnicero et Sancio Portere et Bonec et Lolle et Guigelme Iohannes de Iacca et don Gorfande Seller.
59 J. M. Lacarra, « Le pèlerinage de Saint-Jacques : son influence sur le dévelopement économique et urbain du Moyen Âge », Bulletin de l’Institut Français en Espagne, no 46 (1950), p. 218-221.
60 J. M. Lacarra, Historia del Reino de Navarra en la Edad Media, Caja de Ahorros de Navarra, p. 570.
61 J. Passini, « Morphologie et évolution de quelques villes du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle », Mélanges de la Casa de Velázquez, t. 16 (1980), p. 113-124.
62 M. I. Falcon Pérez, « Desarrollo urbano de las ciudades de Aragón (siglos xi-xv) », dans F. Sabaté i Curull et C. Guilleré (dir.), Morphologie et identité sociale…, p. 69-96.
63 A. Naval Mas, Huesca : desarollo del trazado urbano y de su arquitectura, 2 vols, Universidad Complutense, Madrid, 1980 ; M. I. Falcon Pérez, « Zaragoza desde la Reconquista hasta el último cuarto del siglo xv », Evolución histórico-urbanística de la ciudad de Zaragoza, vol. I, Colegio Oficial de Arquitectos de Aragón, Saragosse, 1982, p. 13-23 et J. L Corral-pablo Rico, « Evolución del urbanismo en Tarazona. Aproximación a su estudio », Cuadernos de Aragón, t. 14-15 (1981), p. 214-217.
64 S. de Moxo, Repoblación y sociedad en la España medieval, Ed. Rialp, Madrid, 1979.
65 CDPIAN, no 24 [1096] et no 25 [1096].
66 DMH, no 1 [1100].
67 E. Ramírez Vaquero, « The First Urban Oligarchic Networks in Navarre : Pamplona, 1100-1328 », dans M. Asenjo-González (dir.), Urban History 19 (1100-1800), Oligarchy and Patronage in Late Medieval Spanish Urban Society, Turnhout, Brepols, 2009, p. 117-152.
68 DERRVE (vol. I), no 71 [1120].
69 DERRVE (vol. I), no 73 [14 avril 1121] : Ego Bonet de Bordel et uxor mea Lucia.
70 J. M. Lacarra, « Acerca de la atracción de pobladores en las ciudades fronterizas de la España cristiana (siglos xi-xii) », En la España medieval, t. 2 (1982), p. 485-498.
71 CDPIAN, no 86 [1100].
72 À Huesca, la présence aux côtés du roi Pierre Ier de merinos d’origine mozarabe, comme Domingo d’Alquézar, Cipriano ou David en constitue un indice.
73 L. Torres Balbas, Ciudades hispano-musulmanas, 2 vols, Ministerio de asuntos exteriores, Madrid, 1985.
74 J. M. Lacarra, « La fecha de la conquista de Tudela », Príncipe de Viana, no 7-22 (1946), p. 45-54.
75 DERRVE (vol. I), no 48 [03/1116].
76 CDAIAP, no 120 [04/1123] et DERRVE (vol. I), no 91 [04/1123].
77 DERRVE (vol. I), no 118 [22/04/1125].
78 CDAIAP, no 161 [1124-1125] et DERRVE (vol. I), no 80 [1121].
79 CDAIAP, no 93 [1119] et CDCP, no 134 [1119] et DERVVE (vol. I), no 60 [1119].
80 CDAIAP, no 91 [03/1119].
81 J. M. Lacarra, « La restauración eclesiástica en las tierras conquistadas por Alfonso el Batallador, 1118-1134 », Revista portuguesa de História, vol. IV (1947), p. 263-286.
82 M. Marin, « Des migrations forcées : les ulama d’al-Andalus face à la conquête chrétienne », dans M. Hammam (dir.), L’Occident musulman et l’Occident chrétien au Moyen Âge, Université Mohammed V Faculté des lettres et des sciences humaines, Rabat, 1995, p. 43-60. On peut également lire B. P. Maldonado, « Tudela ciudad medieval. Arte islámico mudéjar, contribución al estudio de las ciudades hispano-musulmanas », Awraq : Estudios sobre el mundo árabe e islámico contemporáneo, no 1 (1978), p. 29-45.
83 C. Laliena et Ph. Sénac, Musulmans et chrétiens…, p. 132-133.
84 J. M. Lacarra et A. Martín Duque, Fueros derivados de Jaca. II. Pamplona, Diputación foral de Navarra, Pampelune, 1975 : Volo constituere civitatem in mea villa que dicitur Iaka.
85 D. Buesa Conde, Jaca : Dos mil años de historia, Departamento de Cultura del Casino, Jaca, 1982.
86 Les facteurs de développement de cette agglomération ont été étudiés par L. H. Nelson, « The foundation of Jaca (1076) : urban growth in early Aragon », Speculum, vol. LIII (1978), p. 688-708 et J. Passini, « La structure urbaine de Jaca aux xie et xiie siècles », Mélanges de la Casa de Velázquez, t. 24 (1988), p. 71-97.
87 CDSAF, no 59 [1072] : cet acte montre que les excédents agricoles des terres environnantes commencèrent à être commercialisés dans la future cité.
88 J. M. Lacarra et A. Martín Duque, Fueros derivados de Jaca. II…, p. 25.
89 A. J. Martín Duque, « La fundación del burgo… », p. 317-327.