Une fête maçonnique à Gaillac en 1781
p. 199-204
Texte intégral
1En dépit d’une légende tenace, la franc-maçonnerie du XVIIIe siècle n’était nullement une société secrète, et encore moins une organisation subversive complotant contre le gouvernement monarchique. Il est vrai que cette légende n’aurait pu s’accréditer sans le mystère qui entourait habituellement les occupations des initiés et leurs idées politiques. Mais il leur arrivait parfois de se manifester publiquement et de s’exprimer sur des sujets d’ordre politique, notamment lorsqu’ils s’associaient au reste de la population pour célébrer un événement heureux intéressant l’État ou la famille royale, traité de paix ou naissance princière. C’est ainsi qu’à l’instar de la plupart des loges du royaume la Parfaite Harmonie de Gaillac fêta avec un éclat particulier la naissance tant attendue du premier fils de Louis XVI, le dauphin Louis-Joseph-Xavier, né le 22 octobre 17811.
2Fondée le 1er décembre 1774, elle avait été constituée par le Grand Orient de France le 12 janvier suivant et installée le 24 avril par Saint-Jean Ancienne de Castres2. Moins aristocratique que cette dernière ou que la Parfaite Intelligence d’Albi, avec lesquelles elle entretenait d’étroites relations, elle se recrutait principalement dans la bourgeoisie des offices et des talents (53 %) et dans la noblesse d’épée et de robe (45 %)3. Parmi ses membres les plus actifs figuraient le marquis de Villeneuve, baron des états de Languedoc ; des officiers militaires comme Louis Charpentier de Cossigny, initié à la Parfaite Harmonie du Cap-Français alors qu’il servait à Saint-Domingue (vénérable en 1774 et 1777), Louis Charpentier d’Essonville, capitaine au régiment de Lyonnais-Infanterie, Étienne Gaubil, cornette de dragons (vénérable en 1781), François-Joseph Tonnac de Villeneuve, officier au régiment de Conti-Infanterie, ou Louis-Alexandre d’Yversen de Saint-Fons, chevalier de Saint-Louis, initié à Mahon dans la loge militaire du régiment de Vermandois-Infanterie ; le conseiller au parlement de Toulouse Jean-Joseph-Lazare de Combettes de Caumont (vénérable en 1780) ; les trésoriers de France Georges-Joseph Bermont d’Auriac, Jean-Jacques-Antoine Cahours de Fenols (vénérable en 1785), Louis-Nicolas Chaalons de Fontenay (vénérable en 1776) et Antoine-Pierre de Lapeyrie, dignitaire de la franc-maçonnerie toulousaine ; le juge royal Jean-Pierre-Joseph Vignial, le procureur du roi Jean-Étienne Teyssonière et le contrôleur général des Fermes Benoît Bureau ; les avocats Jean-Georges Demurs, Pierre Gaubil et Henri-Guillaume-Gabriel Montaigne (vénérable en 1786 et 1787) ; les médecins Jean-Baptiste-Gérard Archbold, adepte de l’ordre mystique des Élus Cohen, et Jean-Antoine-Édouard Fos de Laborde, futur maire de Gaillac en 1788 et député aux états généraux en 1789 (vénérable en 1778). Elle regroupait donc, à l’exception du clergé et des milieux d’affaires relativement peu représentés, l’élite de la bonne société masculine de la ville ; une élite localement très influente et largement acquise aux idées des Lumières.
3C’est du moins ce qui ressort du procès-verbal de la fête donnée le 4 décembre 1781 à l’occasion de la naissance du dauphin, dont nous reproduisons ci-dessous les principaux passages d’après la brochure conservée dans le dossier de la loge au Grand Orient4.
4« Le quatrième jour du dixième mois de l’an de la vraie Lumière 57815, la loge de la Parfaite Harmonie, extraordinairement convoquée et fraternellement réunie sous le point géométrique, dans son atelier ordinaire à l’orient de Gaillac », commença ses travaux, placés sous la direction du vénérable Gaubil et des surveillants Demurs et Charpentier d’Essonville, par la réception d’un nouveau frère servant6.
L’horizon de l’atelier s’est embelli d’un nombre extraordinaire d’étoiles vierges, et tous les frères se sont revêtus de leurs attributs et habillements destinés aux plus grandes cérémonies.
Cependant la façade extérieure du temple, décorée par des arcs de triomphe, offrait aux regards du peuple des colonnes environnées de cordons de lumière, avec leurs chapiteaux couronnés par des vases ardents, des cartouches lumineux contenant les attributs les plus respectables de la Maçonnerie, dans les entrecolonnements et sur la porte principale, gravé en lettres de feu, ce vœu général : VIVE MONSEIGNEUR LE DAUPHIN.
Ce spectacle brillant ayant attiré un concours de citoyens de tous les états, le vénérable7, saisi des transports d’une vive allégresse, tous les frères debout, armés et à l’ordre, a frappé un coup sur l’autel qui, répété successivement par les deux surveillants8, a donné le signal du commencement de la fête ; le frère terrible9 l’a donné au même instant aux frères servants placés sur les galeries, qui l’ont à leur tour annoncé au peuple par un feu roulant de mousqueterie. Les cris de joie et les vœux les plus vivement exprimés pour la prospérité de l’auguste Maison de Bourbon se sont alors élevés dans les airs pendant que les voûtes de l’atelier retentissaient d’un triple vivat en faveur de Louis XVI, notre monarque bienfaisant.
5L’orateur10 Montaigne présenta alors à ses confrères, en qui il salua « l’élite des citoyens rassemblés sous le point géométrique », les réflexions que lui inspirait l’événement qui les réunissait :
« Si, sortant de ce respectable atelier, je porte mes regards sur le monde profane, j’admire avec complaisance les transports de cette nation bienveillante, attendrie par son attachement singulier pour son roi, qui n’eut jamais d’égal que celui des Romains pour Germanicus ; je me félicite avec enthousiasme d’être né au milieu d’un peuple qui fait son bonheur de son devoir, et ses plaisirs de ses vertus. Peuple heureux et sage ! Vos voisins béniront en frémissant les jours délicieux que LOUIS vous prépare, et la postérité attendrie, dans le règne fortuné des Bourbons, reconnaîtra l’âge d’or de la France.
LOUIS méprise les lois qui enchaînent ; sa force est dans les bienfaits qui attachent sous l’étendard sacré de la liberté ; les cœurs y sont soumis par amour, et n’y sont pas opprimés par le despotisme ; l’amour de ses sujets est la force et les armes qu’il oppose à ses ennemis, et son cœur sensible et bon ne goûte dans le rang suprême que le plaisir si rare de s’y faire adorer. [...]
La nation inquiète désirait un successeur au trône, et demandait au Ciel un gage de la durée de son bonheur. Français, protégés de l’Être suprême, vos vœux sont accomplis : LOUIS revivra dans cet enfant bien aimé ; formé d’un sang que vous chérissez, il fera le bonheur de vos derniers neveux, il sera la gloire des siècles à venir. [...]
Qu’il est beau, qu’il est grand d’obtenir la vénération de ses sujets ; mais qu’il est satisfaisant, qu’il est glorieux de mériter l’amour des peuples ! Que LOUIS a bien senti cette précieuse vérité ! Né sur le trône, il a paru ne faire aucun cas du vain titre de roi ; celui de père lui a seul paru digne de son cœur. Combien il l’a bien mérité, mes frères, ce titre si glorieux de père ! Je ne vous ferai point l’histoire de sa vie ; aucun de vous n’ignore sa bonté qui signala son avènement au trône par un bienfait11, sa modération qui réforma le luxe destructeur qui engloutissait les trésors de l’État en opérant la déprédation des finances. Qui ne connaît pas sa piété ! Avec quel zèle il protège la religion sainte de ses augustes aïeux ! Sa sagesse toujours prévoyante qui, sans multiplier les impôts, fournit aux frais immenses de la guerre la plus juste12 ; sa puissance qui humilie ses ennemis sans aliéner leurs cœurs par la manière dont il l’exerce et protège ses alliés en se les assurant à jamais ; enfin son amour pour son peuple, qui l’immolant au salut des citoyens lui fait braver les soucis et les sollicitudes, et ne lui laissera goûter un moment de repos qu’à l’époque où le Français sera parfaitement heureux et libre.
Mais nous, mes frères, qui méprisons les vertus sanguinaires et la belliqueuse cruauté des héros, qui gémissons sur le sort des infortunés habitants de ce monde pervers où l’on ne peut être heureux qu’en versant le sang de ses semblables, nous devrions peut-être blâmer l’ardeur guerrière de LOUIS, quelqu’utile qu’elle soit à ses peuples et à ceux qu’il protège ; mais il ne nous appartient pas de fixer les droits des empires et de mesurer les intérêts des rois. »
Entraînés par les accents du frère orateur, et ne pouvant contenir leur zèle, tous les frères se sont levés et ont fait éclater avec la plus vive ardeur un triple vivat en faveur de Mgr le Dauphin.
Le vénérable a ensuite suspendu les travaux pour passer dans la salle du banquet où l’innocente joie, caractère distinctif des maçons, se développant dans toute sa pureté et toute son étendue, la santé du roi et de la famille royale a été célébrée debout et dans la forme la plus solennelle, pendant que le bruit redoublé de la mousqueterie se mêlait au dehors au cri des applaudissements et des vœux des citoyens ; témoignage bien sincère de leur respect et de leur amour pour le monarque qui veille à notre bonheur.
6Après la santé portée au dauphin, et « pendant que le frère trésorier distribuait des secours aux infortunés rassemblés autour du temple » l’orateur, « dont les talents connus font l’agrément de diverses sociétés qui s’empressent de l’admettre dans leur sein », chanta un couplet de sa composition :
« Au charme heureux de l’espérance
Nos cœurs s’empressent de s’ouvrir ;
Le Ciel favorable à la France
Promet le plus doux avenir ;
Que la nation attendrie
Célèbre dans cet heureux jour
Et le bonheur de la patrie
Et le triomphe de l’amour. »
7Ce délicieux épanchement de nos cœurs a été suivi de nos chants sacrés les plus gais et les plus sublimes, ainsi que des santés d’usage toujours annoncées par le feu de la mousqueterie. Celle de tous les maçons répandus sur la surface de la terre, célébrée par le cantique de l’ordre chanté par le frère de Cossigny, a terminé nos travaux dans le sein de la paix et de la parfaite harmonie.
8Ce moment ayant été fixé pour céder aux désirs qu’avait l’élite des dames de la ville d’être introduites dans la salle du festin, elles y ont été reçues avec la distinction qu’elle méritent à tant de titres ; le plus précieux est sans doute d’appartenir à nos frères. Elles ont été si vivement affectées du brillant de cette fête, que Mme Vignial, jeune dame de 19 ans, aussi distinguée par les charmes de sa figure que par les grâces de son esprit, nous a témoigné son admiration par les vers suivants, qu’elle a envoyés au vénérable.
« Madame Vignial, aux francs-maçons de Gaillac.
Enveloppés d’épais nuages,
Loin des yeux d’un monde indiscret,
Vos travaux utiles et sages
Vous dispensent mille avantages
Dans le mystère et le secret.
En vain le vulgaire raisonne,
Vos biens lui seront inconnus.
Ce n’est que l’amour des vertus
Qui rend aisé l’accès du trône.
Assis à côté du tonnerre,
Ô des mortels les plus heureux !
Vous êtes les amis des dieux.
Et les bienfaiteurs de la terre. »
9Le lendemain de la fête, la loge délibéra que les frères Vignial, d’Yversen de Saint-Fons et Chaalons de Fontenay, respectivement « mari et oncles de Mme Vignial », iraient la remercier en son nom, et qu’une copie du procès-verbal serait envoyée au Grand Orient et à tous les ateliers de la correspondance.
10On trouve d’abord dans ce texte une illustration des rapports qui s’étaient instaurés, à la fin de l’Ancien Régime, entre la franc-maçonnerie et la société « profane » : la première semble parfaitement intégrée à la seconde. À Gaillac comme dans tant d’autres villes grandes ou petites, rien de moins secret que l’existence de la loge, rien de moins dissimulé que son local, orné extérieurement d’emblèmes maçonniques ; rien de moins discret que cette fête bruyante, dont la foule massée devant le temple suit le déroulement ponctué de salves de mousqueterie. Mais la fraternité reste une société fermée, qui n’admet à ses travaux spécifiques que les seuls initiés. D’où un intense mouvement de curiosité, particulièrement vif chez les dames de la bonne société qui ne peuvent accompagner leurs maris aux « tenues » rituelles et, faute de loge d’adoption13, doivent se contenter de pénétrer à titre exceptionnel dans la salle du banquet. Cette curiosité mal satisfaite est certainement une des clés de la puissante attraction que la maçonnerie exerçait alors sur « l’élite des citoyens ». Quant au « peuple », qui ne pouvait espérer être reçu dans une association réservée aux privilégiés de la fortune, de la culture et des loisirs, il voyait probablement en elle une institution essentiellement philanthropique, vouée à l’entraide et à la bienfaisance ; vision d’ailleurs partagée par les initiés eux-mêmes.
11Ce document, et plus précisément le discours du frère Montaigne, présente également l’intérêt de souligner que dans les dernières années de l’Ancien Régime les francs-maçons, à qui leurs statuts interdisaient pourtant de parler en loge « des affaires de l’État », n’hésitaient plus à aborder ouvertement les problèmes politiques, et à critiquer certains aspects du régime ou de l’action du gouvernement. Sans doute l’orateur prend-il la précaution d’affirmer qu’il n’appartenait pas à ses confrères « de fixer les droits des empires et de mesurer les intérêts des rois » ; sans doute la cérémonie organisée pour fêter la naissance du dauphin donne-t-elle lieu à de multiples protestations d’amour pour le roi et de loyauté à l’égard de la dynastie ; sans doute Louis XVI est-il présenté comme le modèle des souverains, éclairé, paternel et bienfaisant. Mais les fleurs de rhétorique cultivées par le frère Montaigne comportent quelques épines, que révèle l’emploi du lexique politique des Lumières : citoyen, liberté, nation, patrie. L’éloge conventionnel du roi laisse ainsi transparaître le rejet de l’absolutisme, assimilé à un « despotisme » contre lequel doit être brandi « l’étendard sacré de la liberté », la dénonciation des dépenses excessives et du poids des impôts, et surtout la condamnation d’une guerre coûteuse en argent et en vies humaines : contrairement à ce que l’on admet généralement, les francs-maçons n’étaient pas unanimes à soutenir l’intervention militaire de la France aux côtés des Insurgents, même si la guerre d’Amérique leur paraissait « la plus juste ».
12L’analyse des délibérations du conseil politique de Gaillac entre 1780 et 1789 montre qu’à la veille de la Révolution l’oligarchie municipale était profondément pénétrée par l’idéologie des Lumières14. Le discours prononcé en 1781 à la Parfaite Harmonie par un avocat qui devait accéder après 1789 à diverses fonctions électives15 confirme pleinement cette constatation.
Notes de bas de page
1 Évelyne Lever, Louis XVI, Paris, Fayard. 1985, p. 375-377.
2 Louis de Lacger, Gaillac en Albigeois. Son évolution historique, Paris, A. Picard, 1924, p. 88 ; Alain Le Bihan, Loges et chapitres de la Grande Loge et du Grand Orient de France (2e moitié du XVIIIe siècle), Paris, Bibliothèque nationale, 1967, p. 90.
3 Michel Taillefer, « Les francs-maçons tarnais au XVIIIe siècle », Revue du Tarn, no 116, hiver 1984, p. 588 [voir supra p. 179-189].
4 Planche à tracer de la fête à l’occasion de la naissance de Mgr le Dauphin, célébrée dans la Loge de St Jean, sous le titre distinctif de la Parfaite Harmonie, à l’orient de Gaillac, s. l. n. d., in-4°, 12 p. (Bibliothèque nationale, Fonds maçonnique, FM2 235, fol. 18 et suivants).
5 L’ère maçonnique débute 4 000 ans avant Jésus-Christ, et l’année maçonnique le 1er mars. La « vraie Lumière » désigne la franc-maçonnerie.
6 Concierge de la loge.
7 Président de la loge.
8 Le premier et le second surveillants assurent la discipline de la loge.
9 Officier chargé de vérifier l’identité des visiteurs et de garder le temple pendant les tenues.
10 Officier chargé de prononcer les discours lors des cérémonies maçonniques.
11 Louis XVI renonça au « don de joyeux avènement », impôt fort impopulaire traditionnellement perçu lors de l’accession au trône des nouveaux rois.
12 La guerre d’indépendance des États-Unis d’Amérique.
13 Les loges d’adoption, loges féminines étroitement subordonnées aux ateliers masculins, avaient été autorisées par le Grand Orient en 1774, mais restaient très peu nombreuses.
14 Joël Cornette, « Les Lumières à Gaillac. Discours d’une élite provinciale à la veille de la Révolution », Revue du Tarn, no cité, p. 593-612.
15 Le frère Montaigne devint procureur de la commune en 1791, juge au tribunal de première instance en 1792 et juge au tribunal criminel du département en 1795. Plusieurs de ses confrères siégèrent également dans les administrations révolutionnaires : Bernent d’Auriac, maire et juge de paix (1790) ; Cahours de Fenols, administrateur du district (1791) et du département (1795) ; Charpentier d’Essonville, maire par intérim (1789), administrateur du district (1790) et du département (1791), procureur général syndic (1794), président de l’administration centrale (1795) ; Fos de Laborde, administrateur du district (1793) et du département (1796) ; Gaubil, accusateur public du tribunal criminel du département (1792) ; Teyssonière, juge au tribunal de première instance (1795) ; Tarmac de Villeneuve, maire (1791) et juge au tribunal de première instance (1792) ; Vignial, juge de paix (1790). Mais le frère Chaalons de Fontenay fut arrêté comme suspect en 1793, et le conseiller de Combettes de Caumont guillotiné en 1794 (Élie A. Rossignol, Histoire de l’arrondissement de Gaillac (département du Tarn) pendant la Révolution, de 1789 à 1800, Toulouse, A. Chauvin et fils, 1890, 504 p.).
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