Conclusion
p. 467-473
Texte intégral
1Dans cette période de changements sujette à d’âpres tensions aussi bien internes qu’externes, l’Europe s’élabore suivant les conceptions humanistes, d’abord par rapport à elle-même, en observant les éléments constitutifs de la République chrétienne mais aussi en relation avec l’autre ou les autres auxquels elle ne cesse de se confronter alors de diverses manières, en particulier avec les Turcs dont le poids ne cesse de grandir au fur et mesure des conquêtes ottomanes. Dans ce monde de conflits, une valeur transcendante s’impose chez nombre de lettrés, dont Paolo Giovio, la libertas Italiae, véritable moteur des conceptions contemporaines. Dans un pareil contexte, la guerre de Rhodes de 1522 illustre les tensions de l’époque et permet de mieux saisir les rapports existant entre l’Europe et les Turcs ainsi que les situations respectives. Forts des leçons de cette défaite chrétienne, les conseillers et autres stratèges s’appuient sur cette campagne pour trouver les moyens d’assurer la défense de la République chrétienne.
2Il ne s’agit pas de définir pour définir, mais on cherche à tirer des applications concrètes du passé. La défense de la République chrétienne apparaissant comme une priorité, il faut alors trouver les moyens de l’assurer. Ainsi, Paolo Giovio apporte sa contribution en élaborant des projets de croisade, établissant les éléments parfois très concrets à prendre en considération pour assurer le succès d’une campagne militaire devant matérialiser cette défense. Dans cet esprit, la campagne de la Préveza de 1538 apparaît comme une mise en application de tels conseils, faisant de cette entreprise une authentique croisade, même si elle prend fin à la première confrontation avec les ennemis. Toutefois, le résultat malheureux est attentivement analysé, notamment par Giovio, et sert de base à de nouvelles réflexions devant apporter le succès. Une fois encore, Giovio démontre ses qualités dans la façon dont il traite de la question. Outre la croisade à proprement parler, d’autres moyens semblent se dessiner pour lutter contre les Turcs. Giovio déploie tout son art et son savoir au service de cette cause qu’il estime cruciale. On le voit s’employer auprès des puissants et user de tous les moyens possibles pour avancer son projet de convaincre ses contemporains de la menace ottomane à l’égard de l’Europe.
3Enfin, il faut s’interroger sur les artisans de la défense de l’Europe. À quels champions Giovio compte-t-il confier cette noble tâche ? Tout d’abord, à l’homme le plus puissant de son temps, l’empereur Charles Quint, qui s’est si brillamment illustré lors de la campagne victorieuse de Tunis de 1535. Avec lui se dessine la destinée impériale liée à l’idée de croisade. Mais Giovio songe aussi au grand rival de l’empereur, le roi de France et en particulier au roi François Ier. Une indéniable tradition française lie le royaume de France à l’idée de croisade, mais les circonstances ont changé et une nécessaire amitié avec les Turcs se dessine pour résister à la pression impériale. L’affaire Rincone-Frégoso en 1541 illustre l’étroitesse de marge à laquelle la France est alors réduite. Enfin, un troisième champion représenterait même le dernier espoir de la chrétienté, il s’agit de la République de Venise, dernier gonfalonier de la croisade, point central de la marine des forces chrétiennes. Aux yeux de Giovio, Venise a tout ce dont il peut rêver : c’est un endroit protégé, un locus amoenus toujours hors d’atteinte des ennemis, dans lequel un humaniste tel que lui est de surcroît facilement en compagnie brillante. Enfin, Venise est à même de lui fournir toutes les informations que peut souhaiter un historien curieux. En effet, le système de renseignements de la Sérénissime auquel chaque Vénitien participe est de loin le plus efficace, faisant de Venise une source abondante d’éléments sur les Turcs. Et les diplomates vénitiens impressionnent fortement Giovio par leur habileté.
4Ainsi, la question turque occupe une grande part de l’œuvre de Giovio, tourmenté par l’avancée des troupes ottomanes et tentant de contrer cette menace. Il a employé des moyens, parfois très élaborés, pour essayer de toucher ses contemporains, puissants ou plus modestes, afin de les encourager à défendre la République chrétienne. Ses ouvrages consacrés à l’argument turc font de lui un expert de la question.
5Mais toute son action n’a pas été de pousser les puissants contemporains à la guerre contre les Infidèles. Cela signifierait que toute sa vie aurait été tendue vers cet objectif et que son œuvre entière aurait constitué un appel à la croisade. En réalité, les préoccupations de Giovio se révèlent avoir été bien plus variées : parfois elles ont même été extrêmement matérielles, comme le désespoir dans lequel il se trouva après avoir vu son écurie en flammes et toutes ses montures tuées à l’exception d’une vieille mule boiteuse, mais elles ont aussi été très élevées quand il réfléchissait sur la tâche de l’historien construisant des monuments pour la postérité, se sentant investi d’une certaine mission. C’est la recherche de la gloire qui doit d’ailleurs servir de stimulus pour les puissants, il l’écrit volontiers pour inciter ses correspondants à se lancer dans de nobles entreprises, comme à Ferrante Gonzaga :
Mais Votre Excellence, puisque les travaux de Mars ont pour prix particulier la véritable gloire durant le vie et après la mort, pourra juger très bientôt avoir bien employé sa noble courtoisie, car les pages chantent dans l’Histoire sacrée les courageuses et louables entreprises de Troie, Naples, de Toscane, de Provence, de Dalmatie, d’Afrique, de Belgique et de France, pour ne pas tenir le compte de celles magnifiques de votre généreux père, qui bientôt sortiront bien bien écrites et lissées sur les feuilles1.
6Ses développements sur le séjour merveilleux du Musée, dans lesquels il se montra parfois très lyrique illustrent surtout son affection pour le calme et la paix, dans un but de sérénité, par exemple le 26 juin 1550, quand il invite le cardinal Rodolfo Pio di Carpi à « goûter la fraîche et saine aménité du Musée2 ».
7Il semble surtout avoir poursuivi un double objectif : travailler pour la postérité en peaufinant son œuvre historique en la rendant la plus élaborée possible, et aider à la fameuse préservation de la libertas Italiae, fût-elle au prix de la guerre ailleurs : les Français et les troupes impériales délaissant enfin la péninsule pour aller combattre l’ennemi de la République chrétienne, les Turcs. Giovio redoute les ambitions de l’empereur qui vont contre les intérêts de la chrétienté, comme il s’en ouvre au duc de Florence, Côme de Médicis le 14 mars 1545. L’empereur est censé céder le Milanais à François Ier, mais Giovio doute qu’il le fasse véritablement ou s’il le faisait ce serait « pour sa commodité et son propre profit » :
Mais moi, je vois que cette exécution de justice connaîtra des difficultés et si jamais elle se met à la preuve, je pourrai bien dire : cette fois la prophétie s’accomplira, on adorera Mahomet en Italie. De telle sorte, excellent Seigneur, comportez-vous comme un vrai Chrétien et portez autant d’eau que vous pouvez, afin de noyer les cendres chaudes à tel point qu’aucune étincelle ne naisse pour la ruine prochaine de ce monde malhonnête3.
8Selon lui, le bon chrétien doit œuvrer à l’apaisement et rechercher la concorde, pourtant avec une certaine ironie il expose la situation de la désunion entre chrétiens au duc Ottavio Farnèse le 10 décembre 1546 :
Le pape bien qu’il soit en parfaite santé va sur ses quatre-vingt ans, âge auquel arrivent seulement deux hommes sur un million ! Il ne s’est jamais produit que le pape meure alors que le concile était ouvert depuis le concile de Clermont […] Assurément, deux papes seraient immédiatement élus, l’un par le concile et l’autre en conclave par les seigneurs cardinaux selon le mode antique. Et ce serait un brave schisme ! Et nous ne serions pas assurés que les Français, pour prouver qu’ils existent, ne voudraient pas en élire un troisième encore et avec cette désunion la Foi finirait au pont Sixte4 ! On pourrait alors espérer du religieux et très prudent empereur qu’il obtienne la suspension à un meilleur moment […] puisque les Protestants se sont moqués de Trente5.
9Avec le temps et l’expérience de la vie, Giovio se fait peut-être plus philosophe et comme les objectifs de croisade d’abord fixés sur la libération de la Terre sainte se limitent à tenter d’arrêter la progression des conquêtes ottomanes, il doute de la possible réalisation d’une grande campagne coalisée. Après la mort du duc d’Orléans, il exprime son jugement à Stefano Colonna le 17 décembre 1545 :
Et je suis encore de cette opinion qu’il [Charles Quint] ne fera jamais de guerre offensive au Turc ni ne dégainera l’épée contre les Luthériens, car ces entreprises requièrent de but en blanc le saint accord avec la France6.
10Cette opinion sur la difficulté de concorde entre empire et royaume de France, cause de l’impossibilité de l’union entre chrétiens est d’ailleurs confirmée par le toujours très bien informé Campo dei Fiori comme Giovio l’écrit à Côme de Médicis le 18 février 1546 :
Le Campo dei Fiori dit encore que Charles Quint ne fera jamais une guerre offensive et une généreuse entreprise contre les Turcs, car il faudrait faire la paix universelle pour unir toutes les forces chrétiennes pour obtenir une victoire assurée et non douteuse7.
11Cependant, Giovio ne cesse jamais d’aspirer à la paix. Il l’explique à Lelio Torelli dans une lettre du 2 juillet 1550 : « Afin que moi, je n’aie besoin d’endosser une cotte de mailles de ma vie et ne connaisse d’ennuis dans ma vieillesse, moi qui recherche la tranquillité8. » Évitant les situations conflictuelles, Giovio entend adopter une attitude de neutralité, comme il l’écrit à Girolamo Angleria le 1er octobre 1552 :
Et moi entre-temps, je mettrai mon esprit en repos comme fut celui de saint Sébastien en attendant en guise de paiement les flèches des pédants et les méchantes paroles des factieux, puisque les impériaux me trouvent trop français et les Français trop impérial. Et moi à considérer les deux, je veux être un bon ecclésiastique9.
12Il s’en remet peu à peu au destin et conseille ainsi au cardinal Alessandro Farnese en septembre 1545, alors que tous attendent les suites de la trêve avec Soliman : « Vivons, mon Seigneur, l’esprit moins en suspens, puisque souvent la Fortune frappe de sa lance de travers et l’on en reste blessé et l’on tombe, pour son malheur10 », traduisant tout son fatalisme. D’ailleurs conscient de la toute-puissance du Destin, Giovio adopte la devise Fato prudentia minor, « la prudence est moindre que le destin11 », réécriture renversant le sens du vers de Virgile Ingenium aut rerum fato prudentia maior, « l’intelligence ou la sagesse est plus forte que le destin des choses12 ».
13Cette devise exprime moins le pessimisme que la soumission d’un chrétien à la volonté divine. Il explique ainsi sa devise à son ami Giorgio Vasari dans une lettre du 19 mars 1547 : « Vous savez que ma devise est : Fato prudentia minor, pour laquelle je comprends Fato comme la Providence de Dieu, qui est arbitre de notre volonté, encore qu’elle soit libre13. » Avec cette dernière remarque, Giovio fait référence à un des éléments fondamentaux de la religion chrétienne : le libre arbitre. Cependant, son sentiment d’être dans la main du Seigneur apparaît dans des remarques comme :
Prions Notre Seigneur Dieu que Soliman meure, afin qu’il ne vienne pas du côté de Vienne, comme il en a le projet, et que le faucon des eaux marines, l’adjoint de Ceccone14, ne vienne en accord pour tourmenter le saint Docteur, Messire saint Ambroise15.
14La toute-puissance divine se double d’une claire conscience de la situation, Giovio ne s’illusionne guère sur les puissants et écrit le 27 mai 1547 à Girolamo Dandino :
Oh, Mon Seigneur, il y a tant de fous dans le monde ! C’est bien vrai ce qu’a dit le pape Martin : “Comme le monde est dirigé avec peu de raison !” Qui a la Fortune à son service ne peut que bien agir, à moins qu’il ne soit fou et têtu, et celui qui est sage [mais sans la Fortune] connaîtra toujours des années difficiles16 !
15À la suite de l’empereur Maximilien et du pape Clément VII qui se fièrent à la postérité pour accomplir la croisade, Giovio s’en remet peut-être aux générations futures. Gabriele Faerno aurait ainsi composé une inscription pour sa salle à manger dans laquelle il évoque Giovio dans sa vieillesse : « Il écrivait les hauts faits des hommes pour la mémoire des siècles futurs17. »
16Conscient du danger d’exprimer certaines vérités, comme il l’écrit à Pier Luigi Farnese, duc de Piacenza le 27 décembre 1546 : « Je me rends compte que ce n’est pas une chose sûre de publier de nombreux articles […] en ayant écrit la pure vérité sans passion18 », Giovio compte bien laisser l’appréciation de son œuvre à la postérité. Plus loin, il explique encore que les livres suivants seront fenestrati, « munis de fenêtres » et s’en remettant à la Postérité :
[…] les suivants les verront imprimés, parce que dans cette vie je ne veux pas le tourment de devoir justifier les choses incontestables. Moi, j’aurais souhaité conclure [mes livres ?] sur une sainte paix et une entreprise universelle contre Soliman. Mais Charles ne s’est jamais décidé et ne se décidera jamais. […] et si Dieu ne déteste pas la belle Italie, il trouvera le moyen de nous sauver tous, en poussant César et François à la paix véritable et non feinte pour répliquer à Soliman19.
17Les textes de Giovio sont peut-être à l’origine d’une nouvelle image des Turcs, par le sérieux de sa documentation et la rigueur de sa démarche comme il l’explique à Girolamo Angleria le 19 septembre 1550 : « Et moi, je me suis toujours montré libre et loyal, et pour aucune raison n’ai jamais écrit quelque chose d’éloigné du devoir et de la vérité […] et quand moi j’écris l’histoire, je me détache de tout ce qui pourrait altérer la pureté de la foi historique20. »
18Un point reste indéniable : malgré toutes ses projections, il semble bien qu’il n’ait pas parfaitement prévu la réception de son œuvre. L’œuvre de sa vie, l’Histoire de son temps écrite dans un latin élégant n’a semble-t-il pas rencontré le succès de l’œuvre italienne de Guicciardini. Ses choix linguistiques ont peut-être éloigné un public qui préférait des œuvres plus accessibles. C’est dans cet esprit qu’il la fait traduire : « Je fais traduire en italien l’Histoire afin que spécialement beaucoup de princes et de soldats, pas très lettrés à cette époque21, puissent en apprécier le contenu22. »
19Cette œuvre est donc connue, traduite, appréciée et parfois aussi jalousée. Certains plagiaires n’hésitent pas d’ailleurs à la piller. D’autres la dénigrent et ont certainement pesé sur sa réception, remettant en question sa fiabilité. Giovio est conscient de ce sentiment d’une partie de ses contemporains, mais il considère cela philosophiquement en écrivant quelques sentences en latin à Lelio Torelli en juillet-août 1550 : « De fait nous attendons plutôt un grand résultat d’honnête louange et gloire des suivants (de la postérité) ; même si les vivants (nos contemporains) jalousent effrontément et avec ingratitude notre noble tâche23. » Par ailleurs, Giovio sait que son œuvre est attendue :
Moi je peux vous dire qu’elle satisfera la soif et l’appétit qu’en ont les Français, Allemands et Anglais, pour ne pas citer les autres nations plus lointaines, qui me sollicitent chaque jour. Et je voudrais, comme je l’ai écrit à Votre Seigneurie, percevoir le parfum des jugements qu’en fera l’Italie, pour me vivifier les esprits dans ma vieillesse24.
20C’est un fait, certains auteurs travaillent à compléter cette somme historique en se proposant notamment d’écrire les livres manquants. Ainsi, dans une édition de la traduction italienne de l’Histoire de son temps se trouvent « six livres ajoutés à la première partie des Histoires de Monseigneur Giovio évêque de Nocera25 ».
21L’Histoire de son temps constitue une source très riche, tout comme l’ensemble de l’œuvre abondante de Giovio. Il explique d’ailleurs sa conception de l’histoire :
[…] depuis 1400 ans il ne s’est trouvé personne de si courageux esprit qui ait osé entreprendre d’écrire l’histoire de son temps, universelle pour le monde entier en y adjoignant des fragments de chorographie, miroir nécessaire pour qui veut voir et élucider le où, comment et quand des événements26.
22L’œuvre historique de Giovio est d’ailleurs tellement importante qu’il est nécessaire de choisir un axe selon lequel l’aborder, ici la question turque, un des thèmes centraux de cette époque. Sa contribution semble avant tout documentaire, en offrant une information très précise sur les Turcs.
23En revanche, un de ses textes clefs sur la question turque, à savoir le Commentario, dûment écrit en italien de cour pour en assurer une réception facile et se voulant être d’une certaine manière un prêche enflammé pour mener à bien la croisade contre les Ottomans, n’est finalement perçu que comme une histoire des sultans ottomans. On va même jusqu’à traduire le texte en latin pour le rendre accessible aux lecteurs étrangers ! Mais en fin de compte, le caractère démonstratif de cette œuvre, tenue en grande estime par le public, échappe totalement aux lecteurs. Et même si certains auteurs contemporains saluent le caractère épidéictique de l’œuvre de Giovio, c’est avant tout l’historien que l’on retient. Tel est le sort des textes qui dès qu’ils sont édités n’appartiennent plus entièrement à l’écrivain, les œuvres deviennent parfois ce qu’en fait le public !
24Giovio a écrit sur les Turcs pour alerter ses contemporains et leur offrir la possibilité d’être bien informés sur les adversaires qui les menacent alors. Par ses écrits, il permet de mieux connaître les Ottomans mais également de rentrer dans la mentalité de son temps et d’apprécier comment l’idée d’Europe contrainte de se défendre contre ses ennemis a pu se constituer alors, jetant les bases de celle d’aujourd’hui, héritière des conceptions humanistes.
Notes de bas de page
1 Giovio, 1958, p. 117.
2 Giovio, 1958, p. 163.
3 Giovio, 1958, p. 13.
4 Andare in Ponte Sisto dans l’esprit de Giovio « aller à la ruine », les abords du pont Sixte IV à Rome étaient fréquentés par des prostituées de très basse condition, voir le glossaire de Ferrero, dans Giovio, 1958, p. 303.
5 Giovio, 1958, p. 57.
6 Giovio, 1958, p. 29-30.
7 Giovio, 1958, p. 32.
8 Giovio, 1958, p. 164.
9 Giovio, 1958, p. 242-243.
10 Giovio, 1958, p. 24.
11 Zimmermann commente cette ultime devise, p. 281-282.
12 Virgile, Géorgiques, I, 416.
13 Giovio, 1958, p. 75.
14 Barberousse qui est aux ordres du « Grand François », Ceccone diminutif avec suffixe augmentatif de Franco pour François Ier.
15 Giovio, 1958, p. 53.
16 Giovio, 1958, p. 89-90.
17 Zimmermann reproduit le quatrain, p. 231.
18 Giovio, 1958, p. 62.
19 Giovio, 1958, p. 62-63.
20 Giovio, 1958, p. 174.
21 Giovio écrit a questi tempi, songe-t-il à la postérité ?
22 Lettre du 13 août 1550 à Antoine Perrenot de Granvelle, évêque d’Arras, dans Giovio, 1958, p. 170.
23 Giovio, 1958, p. 166.
24 Giovio, 1958, p. 167.
25 Giovio, 1608 a.
26 Giovio, 1958, p. 166.
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