1 Lettre de Leibniz à De Volder, C. I. Gerhardt, Philosophischen Schriften von Gottfried Wilhelm Leibniz, Berlin, 1875-1890, vol. II, p. 278-279 (abréviation : Gii 278-279).
2 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, Phänomenologie der Erkenntnis, Darmstadt, 1964, p. 434 (traduction française : Ernst Cassirer, La philosophie des formes symboliques. 3. La phénoménologie de la connaissance, Paris, Minuit, 1972, p. 410 [traduit de l’allemand par Claude Fronty]).
3 Omodaka Hisayuki, Beruguson no kagakuron (Théorie des sciences chez Bergson), Tōkyō, 1979, p. 23.
4 Ibid.
5 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, p. 45 (traduction française, p. 52).
6 Ibid., p. 173 (traduction française, p. 172).
7 Ibid., p. 174 (traduction française, p. 173).
8 Ibid., p. 179 (traduction française, p. 178).
9 Ibid.
10 Ibid., p. 178 (traduction française, p. 176-177).
11 Ibid., p. 335 (traduction française, p. 326).
12 Ibid.
13 Ibid., p. 179 (traduction française, p. 178).
14 Ibid., p. 185 (traduction française, p. 183).
15 Ibid., p. 169 (traduction française, p. 168).
16 Ibid.
17 Ibid.
18 I. Kant, Kritik der reinen Vernunft, B 47-48.
19 Ibid., B 50-51.
20 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, p. 56-57 (traduction française, p. 62).
21 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Erster Teil, Die Sprache, Darmstadt, 1964, p. 149 (traduction française : Ernst Cassirer, La philosophie des formes symboliques. 1. Le langage, Paris, Minuit, 1972, p. 151 [traduit de l’allemand par Ole Hansen-Love et Jean Lacoste]).
22 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Zweiter Teil, Das mythische Denken, Darmstadt, 1969, p. 34 (traduction française : Ernst Cassirer, La philosophie des formes symboliques. 2. La pensée mythique, Paris, Minuit, 1972, p. 44 [traduction de l’allemand et index par Jean Lacoste]).
23 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, p. vi (traduction française, p. 8).
24 Ibid., p. 166 (traduction française, p. 166).
25 Ibid.
26 Ibid.
27 Alain, Préliminaires à l’esthétique, Paris, Gallimard, 1939, p. 93.
28 Alain, Vingt leçons sur les beaux-arts, dans Les arts et les dieux, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1958, p. 562.
29 Ibid., p. 554.
30 Giv 230, no. 17 ; cf. Lettre de Leibniz à Arnauld, Gi 73.
31 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, p. 179 (traduction française, p. 178).
32 Ibid.
33 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Zweiter Teil, p. 17 (traduction française, p. 29).
34 Ibid.
35 Ernst Cassirer, Philosophie der symbolischen Formen, Dritter Teil, p. 47.
36 Nishida Kitarō, Nishida Kitarō zenshū (Œuvres complètes de Nishida Kitarō), vol. 4, Tōkyō, Iwanami Shoten, 1949, p. 109 (abréviation : NKZ).
37 NKZ 4, 315.
38 NKZ 4, 242-243,253.
39 NKZ 12, 11.
40 NKZ 12, 10.
41 NKZ 12, 13-14.
42 Gendai Nihon shisō taikei (Le système de la pensée japonaise contemporaine), vol. 22, Nishida Kitarō, Tōkyō, Chikuma Shobō, 1968, p. 69.
43 Ueda Shizuteru, Ningen no shōgai to iu koto (Nishida Kitarō. La vie d’un homme), Tōkyō, Iwanami Shoten, 1995, p. 151.
44 Ibid.
45 Ibid.
46 Ibid.
47 Ibid.
48 NKZ 4, 230-233.
49 NKZ 4, 231.
50 NKZ 6, 347 (« Je et tu », dans Nishida Kitarō, L’éveil à soi, Paris, CNRS Éditions, 2003, 298 p. ; p. 95-144 ; p. 99 (trad. Jacynthe Tremblay).
51 NKZ 1, 4 (« Recherches sur le bien », dans Bernard Stevens, Invitation à la philosophie japonaise. Autour de Nishida, Paris, CNRS Éditions, 2005, p. 105 [traduit par Bernard Stevens]).
52 NKZ 4, 319.
53 NKZ 6, 148.
54 NKZ 6, 235 (« Le temporel et l’intemporel », dans Nishida Kitarō, L’Éveil à soi, p. 56).
55 Henri Bergson, L’évolution créatrice, Paris, PUF, 142e édition, 1969, p. 9 ; voir Henri Bergson, La pensée et le mouvant, Paris, PUF, 79e édition, 1969, p. 12.
56 Gilles Deleuze, Le bergsonisme, Paris, PUF, 1966, p. 24.
57 Miyake Gōichi, Jikanron (Traité du temps), Tōkyō, Iwanami Shoten, 1976, p. 29.
58 Edmund Husserl, Zur Phänomenologie der Intersubjektivität, Martinus-Nijhoff, 1973, 3 Teil, p. 340 ; Renato Christin, Phänomenologie und Monadologie, Studia Leibnitiana, xxii/2, Franz Steiner Verlag, 1990, p. 163.
59 Miyake Gōichi, Jikanron, p. 27.
60 Ibid., p. 30.
61 Lettre de Leibniz à De Volder, Gii 253.
62 Ibid.
63 Voir Principes de la nature et de la grâce, fondés en raison, § 6 ; Monadologie, § 75, 82.
64 Monadologie, § 66.
65 Ibid., § 67.
66 Ibid.
67 Ibid., § 68.
68 Wakakuwa Midori, Bara no iconologi (L’iconologie des roses), Tōkyō, Seidosha, 1984, p. 346.
69 Alain, Vingt leçons sur les beaux-arts, dans Les arts et les dieux, p. 561-562.
70 Ibid., p. 559.
71 Ibid.
72 Ibid.
73 Ibid., p. 495.
74 Voir Katsumi Mimaki, La Réfutation bouddhique de la permanence des choses (Sthirasiddhidusana) et la preuve de la momentanéité des choses (Ksanabhangasiddhi), Paris, Institut de civilisation indienne, 1976.
75 Il est significatif que la philosophie occidentale porte un intérêt croissant à la notion platonicienne de chôra — qui a aussi inspiré Nishida dans la formation de sa « logique du lieu ».Voir sur ce point Yoneyama Masaru, « Creative Chora and The Aesthetics of Place », dans Grazia Marchiano et Raffaele Milani (éd.), Frontiers of Transculturality in Contemporary Aesthetics, Torino, Edizione Trauben, 2001. Sur les interprétations de la chôra par Heidegger et Derrida, voir Simone Regazzini, « Lo spazio come Urphänomen e la questione di chora nel pensiero di M. Heidegger », dans Eidos, rassegna semestrale di filosofia, Genova, il melangolo, 1/2001.
76 Shimizu Hiroshi, Seimeichi toshite no ba no ronri (La logique du lieu comme une connaissance de la vie), Tōkyō, Chūō Kōkan Sha, 1996, p. 83.
77 Alain, Éléments de philosophie, Paris, Gallimard, 1941, p. 331.
78 Alain, Sentiments, passions et signes, Paris, Gallimard, 1935, p. 134.
79 Hiromatsu Wataru et Yoshida Hiroshi, Bukkyō to kototeki sekaikan (Bouddhisme et la conception « événement-central » du monde), Tōkyō, Asahi Shuppansha, 1979.