Remerciements
p. 19-21
Texte intégral
1J’exprime ma sincère gratitude envers l’ancien président Alpha Oumar Konaré qui a bien voulu rédiger une préface à cet ouvrage. C’est en 2013 que je l’ai connu personnellement. Il présidait le Panel de haut niveau de l’Union africaine (UA) pour l’Égypte, établi à la suite du coup d’État militaire intervenu dans ce pays au début de juillet. Je travaillais alors à Bamako comme conseiller spécial du Haut représentant de l’UA pour le Mali et le Sahel, l’ancien président burundais Pierre Buyoya. Parce que j’avais longuement travaillé sur ce pays et suivi pendant plusieurs années ses questions politiques, la Commission de l’UA m’a demandé d’accompagner le président Konaré et les autres membres du panel dans leur mission en Égypte comme personne-ressource. Depuis lors, j’ai gardé un rapport professionnel et personnel étroit avec lui, rapport nous permettant d’échanger souvent sur les questions de gouvernance, de sécurité et de développement en Afrique. Qu’il ait accepté de rédiger cette préface malgré son emploi du temps que je sais trop chargé – et qui plus est avec des mots généreux à mon égard – est pour moi un grand honneur.
2Plusieurs amis et collègues ont bien voulu lire et commenter des parties des premières moutures de cet ouvrage. Je voudrais citer les suivants : Moda Dieng, Jacques François Aylestock, Paul-Simon Handy, David Zounmenou, Said Adejumobi, Sergine Gakwaya, Chantal Mutamuriza, Ntole Kazadi, Giles Yabi, Abdoulaye Bane, Hugues Penda et les deux évaluateurs anonymes des PUM. Je remercie Mamoudou Gazibo, Stephen Brown et Ismaïla Madior Fall pour leurs commentaires généreux sur la quatrième de couverture de cet ouvrage. Je remercie également mon ami Boubacar Abdourahmane Issa, de la Direction Affaires politiques et Gouvernance démocratique de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), pour son appui et ses encouragements.
3J’ai bénéficié de nombreux échanges intéressants avec des leaders politiques et des parlementaires africains, notamment lors des différentes sessions du Parlement panafricain en Afrique du Sud entre 2007 et 2012 et à l’occasion de mes nombreuses visites dans différents pays africains. J’ai également profité d’échanges stimulants sur divers aspects de cet ouvrage avec les participants à différents colloques universitaires en Afrique, en Amérique du Nord et en Europe, lesquels échanges m’ont beaucoup aidé à peaufiner mes réflexions et rendre plus cohérents mes raisonnements. Que tout le monde trouve ici l’expression de mes sincères gratitudes pour l’enrichissement de mon travail grâce à leurs critiques et commentaires constructifs.
4Ma thèse de doctorat en science politique, soutenue à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en juin 2010, est à l’origine de cet ouvrage. Cette thèse portait sur la même thématique, avec le Bénin, le Ghana et la Guinée comme « pays d’étude ». Bien qu’elle constitue moins de 50 % du présent ouvrage, je tiens tout de même à remercier la professeure Chantal Rondeau, maintenant à la retraite, qui l’a dirigée avec rigueur, passion et compréhension. Je remercie également les trois autres membres du jury de soutenance, en l’occurrence Jean-Pierre Beaud (UQAM), Stephen Brown (Université d’Ottawa) et Aristide Nononsi (Université McGill).
5C’est aussi l’occasion pour moi de réitérer mes remerciements et ma gratitude envers l’ambassade de Guinée au Canada et le gouvernement du Québec, l’ambassade ayant facilité l’obtention d’une « bourse d’exemption » auprès du ministère québécois de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Cette bourse a sensiblement réduit les frais de scolarité durant mon programme de doctorat.
6La publication de cet ouvrage a été grandement facilitée par une subvention accordée à l’éditeur par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). J’exprime mes sincères remerciements pour cette subvention dont l’objectif principal est d’appuyer la production du savoir francophone sur une thématique qui l’intéresse, sans porter de jugement sur le contenu du livre. Celui-ci et tous les arguments avancés dans le livre n’engagent bien évidemment que moi.
7Je ne pourrais terminer ces mots sans remercier mon épouse pour son soutien moral inlassable et son assistance – ô combien valeureuse – pour les recherches documentaires durant mon travail sur cet ouvrage. Merci beaucoup, ma chérie.
8 Last but not least, je me dois d’exprimer ma gratitude à l’équipe des PUM, notamment à Nadine Tremblay, directrice de l’édition, pour son professionnalisme de haut niveau et son appui logistique inestimable à la réalisation de cet ouvrage.
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