Remerciements
p. 5-6
Texte intégral
1Il m’est agréable de remercier ceux qui, par leur soutien, leur conseil ou leur entourage ont participé à l’élaboration de ce livre. Ma dette intellectuelle est grande à l’é-gard de trois personnes : Jacques Chiffoleau qui a accepté de diriger mes recherches dans le cadre d’une thèse de Doctorat à l’Université Lumière - Lyon II ; Dominique Iogna-Prat qui m’a introduit dès 1993 dans le monde des « clunisiologues » et m’a offert, dans le cadre des Ateliers clunisiens et du Centre d’Études médiévales d’Auxerre, une tribune de choix où j’ai pu proposer mes premières hypothèses, les confronter et les corriger ; Alain Guerreau qui n’a jamais ménagé son temps pour me faire part de ses remarques. La lecture de son Féodalisme fut pour moi une révélation à partir de laquelle il m’a semblé que la société de l’Occident médiéval devenait compréhensible. Nos fréquentes discussions autour des communautés médiévales, de l’espace seigneurial, des chartes du Mâconnais, de ses collines, de ses villages et de sa microtoponymie ont profondément façonné ma lecture des textes clunisiens et leur mise en scène dans ces quelque six cent pages.
2Aux différentes étapes de son écriture, ce livre a bénéficié de la lecture attentive de plusieurs personnes dont je sais gré des nombreuses remarques : Michel Parisse, qui présidait le jury de ma thèse, Nicole Bériou, François Menant, Jacques Chiffoleau et Dominique Iogna-Prat qui en étaient membres ; et, à d’autres moments, Jean-Louis Gaulin, Alain Guerreau, Maria Hillebrandt, Barbara Rosenwein, Julien Théry, Cécile Treffort, Jean-Pierre Van Staevel et Isabelle Vernus.
3Ce livre n’aurait pas vu le jour sans un certain soutien logistique. À cet égard, je tiens à remercier chaleureusement la municipalité de Cluny et le Centre d’Études médiévales d’Auxerre qui ont participé financièrement aux frais de publication. En amont, mes remerciements vont à la Mission historique française en Allemagne, à ses directeurs successifs Patrice Veit et Pierre Monnet, à Joseph Morsel, directeur des recherches médiévales, qui m’ont accordé trois bourses pour séjourner à l’Institut für Frühmittelaterforschung de Münster, l’antre clunisien Outre-Rhin. Otto Gerhard Oexle, directeur du Max-Planck-Institut für Geschichte, a soutenu mes recherches à deux reprises en m’accueillant dans le paradis pour historiens qu’il dirige à Göttingen. Au cours de ces séjours germaniques, j’ai pu profiter des précieux instruments de travail élaborés par les historiens de Münster, comme l’index des chartes de Cluny que Maria Hillebrandt et Franz Neiske achèvent de mettre au point, ou les bases de données sur les coutumiers d’Ulrich et de Bernard établies par Burkhard Tutsch. À Münster puis à Dresde, j’ai également grandement profité des discussions avec les spécialistes du « Cluny après Cluny » que sont Gert Melville, Jörg Oberste et Florent Cygler.
4Michel Petitjean, directeur du Centre Georges Chevrier pour l’Histoire du Droit, a accepté avec bienveillance de faire quelques recherches dans l’index « matières » des chartes de Cluny encore inédit. Hélène Tomaszczyck, secrétaire du musée d’Art et d’archéologie de Cluny, m’a ouvert grand les portes et les tiroirs des Archives municipales de Cluny et a considérablement facilité la naissance de ce travail.
5La cartographie de ce livre a été réalisée grâce à l’aide et aux conseils de Ghislaine Macabéo qui m’a initié aux joies du dessin assisté par ordinateur. Quant à la mise en page, elle est l’œuvre de Dominique Augerd, assistante-ingénieur CNRS, qui a bien voulu insérer ce lourd travail parmi ses obligations à l’UMR 5648. Toute ma reconnaissance va à Pierre Guichard, directeur de l’UMR 5648, et Jean-Michel Poisson, responsable de la collection d’Histoire et d’archéologie médiévales, pour avoir accueilli mon livre et l’avoir soutenu auprès des Presses universitaires de Lyon.
6Enfin, je tiens à remercier tous mes amis, avec une attention particulière pour Catherine Fillet qui a assuré la « maintenance » de mes fréquents séjours parisiens et à tous ceux qui ont partagé et subi mes inquiétudes et sautes d’humeur. Je pense tout particulièrement à mes parents et à Michel Comperon.
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