Conclusion
p. 383-393
Texte intégral
1Dans un contexte français où pour de nombreux individus la question n’est pas tant d’arbitrer entre des alternatives résidentielles potentielles, mais tout simplement de pouvoir accéder à un logement décent, une publication portant sur les choix résidentiels peut surprendre. Cette problématique n’est pourtant pas déplacée et les contributions ont pu montrer que, même en situation de fortes contraintes, des marges de manœuvre pour la construction de possibles alternatives, voire le refus d’orientations résidentielles apparemment toutes tracées, pouvaient apparaître. L’ouvrage permet donc d’insister sur la complexité d’une notion, celle de choix résidentiel, qui ne gomme pas les pesanteurs sociales, économiques et familiales qui orientent pour une grande part les destinées résidentielles, sans pour autant contester aux individus et aux ménages un degré d’autonomie plus ou moins fort face aux structures déterminantes. Ainsi tous les parcours ne sont pas préétablis, tous les changements de résidence ne sont pas modélisables, et des bifurcations peuvent parfois contredire le sens commun qui voudrait qu’il existe en tous lieux et tous milieux un univers résidentiel économiquement et socialement rationnel.
2Cette complexité explique sans doute les débats disciplinaires en cours sur la façon la plus pertinente d’interpréter ou de modéliser ces processus. Les textes synthétiques de Didier Cornuel et d’Yves Grafmeyer illustrent les fossés apparents qui peuvent parfois s’installer entre les divers cadres théorico-disciplinaires, ici de l’économie et de la sociologie. D’un côté, une approche reposant sur une représentation d’un individu rationnel, qui arbitrerait en vue d’un « choix optimal de valeur de satisfaction » entre les coûts de la localisation, du statut d’occupation, du bien immobilier ou des différentes caractéristiques « hédoniques » de ce bien. De l’autre côté, s’oppose une vision plus nuancée, qui intègre ce choix dans « d’autres sphères de la vie sociale », qui tente d’identifier les interdépendances entre les éléments du choix plus que les éléments eux-mêmes, bref qui essaie de démêler les « multiples déterminants objectifs et subjectifs » qui commandent les choix sans que ceux-ci ne puissent être « décidés a priori ».
3Reste que l’opposition n’est pas si tranchée et les deux postures se complètent plus qu’elles ne s’affrontent pour comprendre les mécanismes du choix du logement. Ces mécanismes dépendent, sans aucun doute, des contraintes économiques, mais celles-ci ne sont pas les seules à intervenir et d’autres facteurs orientent les décisions. De ce point de vue, les diverses contributions confirment nombre de résultats de recherche épars, et l’un de leurs intérêts est de nous les présenter de façon cumulative, à partir d’études empiriques décrivant la façon dont ces choix s’organisent dans divers contextes géographiques et au sein de milieux sociaux variés.
4Les études de cas italiens (M. Bottai), espagnols (J. Leal) et britanniques (J. Ogg) illustrent ainsi les sensibilités des choix résidentiels aux contextes socio-historiques, ce que d’autres qualifient de déterminismes « macro » ou encore « structurels », notamment si on les confronte aux situations françaises et canadiennes plus largement étudiées dans le livre. La place du logement social ou de l’accession à la propriété dans les politiques nationales du logement met bien en évidence l’influence des effets structurants sur les logiques résidentielles individuelles ou collectives. À la lecture des articles décrivant ces contextes, il est clair que le choix de devenir propriétaire en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, ne s’inscrit pas dans les mêmes modèles culturels, et qu’il s’effectue de façon tout autre en France, même si l’accession à la propriété y est aussi aujourd’hui largement majoritaire.
5Les conjonctures socioéconomiques n’orientent pas de façon identique la plus ou moins forte propension « historique » des ménages à devenir propriétaires. D’une part, l’accession à la propriété n’agit pas de façon similaire sur les comportements résidentiels : par exemple, contrairement à ce qui se produit en France, elle ne bloque pas la mobilité résidentielle des Britanniques. D’autre part, les limites d’une politique du « tout accession » ne s’inscrivent pas dans les mêmes registres selon les pays. Alors que la flexibilité et la précarité dans l’emploi deviennent la norme dominante des sociétés salariales occidentales, incitant les ménages à devenir propriétaires pour se garantir contre les aléas des parcours professionnels, les politiques du logement ne parviennent plus à réduire les écarts entre la hausse des prix de l’immobilier et les niveaux de revenus. Ce sont sans doute les jeunes ménages des pays de propriétaires qui sont le plus affectés par ces décalages. Mais si en Italie et en Espagne les retards à la décohabitation sont en partie compensés par le rôle que joue la famille dans un contexte de faible intervention de l’État dans la gestion du logement, en Grande-Bretagne, ils provoquent de grandes incertitudes sur la capacité d’un système reposant sur le « tout accession » à garantir un toit à tout un chacun. Et l’on sait combien ce débat est également présent en France, où l’intervention de l’État reste pourtant plus affirmée comparativement au Royaume-Uni et aux pays du sud de l’Europe.
6Au-delà de ces éléments structurants qui introduisent des variations contextuelles dans la détermination des choix résidentiels, les contributions permettent aussi de confirmer le rôle d’autres facteurs qui interviennent dans la plupart des situations nationales ou locales.
7L’importance des déterminismes sociaux et culturels était déjà connue et se trouve une nouvelle fois vérifiée. Tout d’abord, les caractéristiques démographiques des individus, telles que l’âge, produisent des attentes résidentielles évolutives au cours du cycle de vie et « structurent les choix résidentiels des habitants » : l’ancienneté de résidence, la présence d’enfants dans le ménage ou le fait d’être propriétaire contrecarrent, par exemple, les projets de déménagement (J.-Y. Authier et J.-P. Lévy). Pour autant, l’effet de l’âge n’introduit pas une linéarité dans les parcours résidentiels et les études de cas présentées ici donnent à voir – âge et position dans le cycle de vie familiale étant identiques – une diversité de trajectoires résidentielles qui, pour beaucoup d’entre elles, s’éloignent des modèles communément reconnus.
8Ainsi, les travaux sur les ménages solos au Canada montrent que le passage de la location à la propriété ne s’inscrit pas nécessairement dans un projet familial et stabilisé (D. Rose) et peut aussi toucher des individus en situation contrainte (un divorce par exemple) et dans l’attente/espoir d’un changement (une remise en couple par exemple) (A. Germain et al.). Constat d’importance dans la mesure où ces situations se généralisent dans un contexte d’effritement de la famille nucléaire et de précarité conjugale. La réalité d’un parcours linéaire rythmé par les grandes séquences d’un cycle de vie familiale, de la location à la propriété, d’un petit à un grand logement, est d’autant plus remise en cause que l’on découvre l’influence des habitus nourris « par le milieu où l’on a grandi et vécu par la suite, par la forme physique de ces lieux mais aussi par les pratiques sociales et spatiales qui lui sont associées » (A. Fortin et C. Després). Rien d’étonnant alors à observer, comme en Espagne, des déménagements à proximité des quartiers d’origine, où résident toujours la famille et les amis (J. Leal) ; rien d’étonnant encore à constater que des sédentarités contraintes de certains habitants de quartiers de centre-ville peuvent provoquer de l’attachement au lieu et des changements radicaux de perspectives résidentielles (J.-Y. Authier et J.-P. Lévy) ; rien d’étonnant enfin à voir, comme au Canada, des aînés s’installer dans un grand périurbain, parce que c’est le lieu de l’enfance ou de l’origine familiale (A. Fortin et C. Després).
9Ensuite, comme le soulignent nombre d’auteurs, les choix résidentiels sont socialement constitués, ce qui signifie que tous les individus ne sont pas égaux face au champ des possibles résidentiels. La disparité des revenus et les positions sociales sont bien sûr au cœur de cette inégalité. Elles distinguent les individus « à l’absence de choix » ou aux « petites marges de manouvre » de ceux s’inscrivant dans une « logique d’ascension sociale » ou de « reproduction sociale » (C. Bonvalet).
10Cette dernière question est aujourd’hui d’importance car elle conduit les familles à associer plus étroitement que par le passé les choix résidentiels aux choix éducatifs. Ces arbitrages « entre la qualité du logement et la qualité des établissements » (A. van Zanten) s’inscrivent dans des stratégies complexes qui vont de la constitution d’un entre soi à l’ouverture vers les autres. Elles ne sont donc pas sans incidence sur les peuplements des quartiers de résidence. Reste que « la décision d’opter pour un changement de résidence afin d’améliorer les conditions de scolarisation des enfants est, de toute évidence, fortement conditionnée par les ressources économiques des familles » (A. van Zanten). Elle provoque en conséquence une coupure dans les choix de localisation résidentielle des différentes catégories sociales. Ainsi, si les choix résidentiels sont socialement constitués, ils le sont aussi territorialement, par les habitus et les expériences certes, mais surtout par les champs des possibles envisageables économiquement dans un contexte de fortes tensions foncières.
11L’approche économique modélise les choix de localisation sous la forme d’une « fonction de préférence » dans laquelle « espace et proximité du centre sont en concurrence dans les choix individuels » (D. Cornuel). Selon cette représentation, la probabilité d’habiter à proximité du centre serait proportionnelle à l’importance des revenus, tandis que les besoins d’espace expliqueraient que « les ménages comptant peu de personnes soient localisés dans les zones plus centrales, alors que les familles sont plutôt en périphérie ». Cette logique est conforme à ce que l’on observe dans les périurbanisations de la plupart des agglomérations. En région parisienne, plus la distance au centre est élevée « moins le choix est conforme aux souhaits initiaux » (M. Berger), ce qui exprime des contraintes de localisation moins fortes pour les familles de cadres que pour celles des couches moyennes et populaires ; ce processus s’inscrivant dans une recherche de plus en plus généralisée et « interclassiste » d’une maison et d’un accès à la propriété, observée aussi bien en France, au Canada et en Italie, qu’en Espagne et en Grande-Bretagne.
12La représentation économique reflète donc un degré de réalité, mais ce degré n’est que partiel. Comme le souligne Yves Grafmeyer, comprendre les choix de localisation impose également de s’interroger sur le rôle de la « structuration sociale » en « s’attachant à mettre en relation les préférences exprimées par les individus avec les normes et les valeurs qui orientent leurs pratiques, avec leur appartenance sociale, avec leurs liens interpersonnels ». Ce qui revient à considérer que les plus fortunés peuvent autant être contraints dans leur choix de localisation résidentielle par leurs normes et leurs valeurs que le sont les plus démunis par leur niveau de revenus. Ce qui explique que tous les individus appartenant aux couches supérieures ne s’installent pas dans les quartiers les plus chics et à proximité des écoles plus socialement homogènes : selon leur vision de l’intégration, certains préfèrent « opérer une double clôture, à la fois urbaine et scolaire », quand d’autres « choisissent de vivre dans des zones d’habitat caractérisées par un mélange social » (A. van Zanten) ; ce qui explique également l’apparition en Espagne « de nouvelles zones bâties autour des quartiers périphériques populaires, d’une mosaïque sociale plus complexe, où la proximité de la famille est un élément de choix plus important que le prestige du lieu de résidence » (J. Leal) ; ce qui explique enfin que la périurbanisation n’est pas uniquement le fait d’anciens résidants de centre-ville déportés par la spéculation foncière, mais constitue également un phénomène « d’ancrage spécifique ou d’attachement générique à la campagne de résidants issus de ces milieux » (A. Fortin et C. Després).
13Ne pas réduire le choix de localisation à un simple calcul économique des individus structuré par les revenus et le type des ménages permet surtout d’éclairer ce qui se joue derrière l’installation résidentielle, en intégrant la multiplicité des facteurs mobilisés par les acteurs : du milieu social et des ressources familiales aux revenus, des réseaux aux expériences, de l’histoire de vie aux rapports de domination. Il devient ainsi possible de comprendre les raisons pour lesquelles des familles portugaises se regroupent à la périphérie de Toronto en accédant à la propriété par l’intermédiaire de réseaux d’agences immobilières « ethniques » (C. Texeira) ; de ne pas réduire l’installation à une question de localisation, en l’insérant dans une trajectoire résidentielle signifiante d’un parcours d’insertion dans une société d’accueil (M. Garcia et F. Dansereau) ; d’interpréter cette localisation à travers le prisme des rapports de couples, lorsque les projets résidentiels sont communs, mais surtout distincts et que le lieu d’installation reflète les inégalités de genre en œuvre dans la société globale (C. Vignal) ; de mettre à jour les systèmes complexes qui se cachent derrière le choix ou le non choix d’une localisation résidentielle au regard de celle de l’emploi, lorsque les individus doivent arbitrer entre la pendularité ou la bi-résidence en fonction d’une volonté différenciée de maintenir des réseaux sociaux par un ancrage local, ou de provoquer de nouvelles expériences pour enrichir leurs sociabilités (V. Kaufmann).
14Finalement, les choix résidentiels apparaissent être une question d’arbitrage entre différentes ressources : spatiale, économique, sociale et familiale. Les individus (et les ménages) agencent dans une certaine mesure cette pluralité de déterminants, arbitrent et, le cas échéant, composent (ou ne composent pas) avec les aspirations des autres membres de leur entourage. L’interférence de nombreuses variables structurantes dans la construction du choix, telles que l’âge, les revenus, la position dans le cycle de vie familiale, la position sociale, la taille du ménage, les contextes locaux et socio-historiques, produit, au total, une multiplicité d’arbitrages qui sont autant de révélateurs des différentes facettes de la vie des individus. On voit bien alors les raisons pour lesquelles la notion de choix résidentiel ne peut être réductible à un processus univoque, modélisable en tous lieux et pour tous milieux sociaux, quels que soient les individus en jeu.
15C’est sans doute sur ces derniers points que l’ouvrage apporte les éclairages les plus nouveaux. La multiplicité des facteurs à prendre en compte et, en corollaire, le fait qu’il n’existe pas un, mais des processus de construction, montre que loin d’être toujours donnés, les choix résidentiels comportent en eux-mêmes une part d’incertitude. Ils ne sont jamais définitivement fixés et peuvent être sans cesse revus. Les cadres sociaux, géographiques et économiques dans lesquels les projets se réalisent imposent toujours une part d’aléatoire et conduisent même parfois à des « non choix » : s’éloigner pour pouvoir accéder à la propriété d’une maison (M. Berger) ; rester car l’on ne peut partir (J.-Y. Authier et J.-P. Lévy) ou rester car l’on ne veut pas partir, quitte à vivre dans un environnement peu adapté à la vieillesse (S. Lord) ; accepter des navettes longues pour ne pas se couper de ses ancrages (V. Kaufmann) ; ne pas déménager pour préserver la proximité des réseaux familiaux, quitte à provoquer une rupture conjugale (A. Vignal) ; favoriser la proximité familiale au détriment de la position sociale (J. Leal) ; vivre et acheter seul, mais dans l’espoir d’une rencontre (A. Germain et al.). Autant de choix spécifiques et instables, qui n’engagent pas que les individus directement concernés mais de plus en plus fréquemment des tiers, par exemple des réseaux ethniques (M. Garcia et F. Dansereau) ou familiaux (S. Lord, C. Vignal), agissant parfois comme de véritables « intermédiaires » entre l’individu, les acteurs institutionnels ou le marché (C. Texeira). Ces choix, incertains, paradoxaux, mettent en évidence des réalités complexes interférant avec les modes de vie et les formes d’intégration sociale, familiale et professionnelle, qui dépassent le seul champ du résidentiel pour s’inscrire dans « un choix de vie » avec tout ce que cela comporte d’incertitudes futures.
16Dès lors, comment intégrer l’aléatoire, l’incertain ou le paradoxal pour progresser dans la connaissance de ce processus sociétal aux incidences fortes sur la constitution des territoires ou l’équité spatiale et sociale ?
17Une des voies possibles serait d’aborder l’incertitude des choix résidentiels dans la globalité du processus de décision. Comment s’articulent les choix résidentiels des ménages avec les autres dimensions de leur vie quotidienne, avec les autres choix (familiaux, professionnels, éducatifs…) auxquels ils sont confrontés ? Comment l’environnement social influence-t-il les décisions individuelles et familiales ? Les contextes urbains agissent-ils sur les modes de décision des différentes catégories de ménage ?
18Au-delà de la globalité territoriale, sociale et familiale du choix, il serait également utile de saisir les incertitudes à des moments stratégiques du cycle de la vie familiale et professionnelle, en prolongeant les études sur les aînés et les personnes seules, les jeunes en précarité, la mise en couple, la séparation, la retraite, en comparant les modes de décision de catégories de population identiques habitant dans des contextes urbains différenciés.
19L’étalement urbain des familles ou le maintien dans les centres-villes des personnes seules montrent avec force l’incidence socio-territoriale des choix résidentiels. C’est pourquoi il semble indispensable aujourd’hui d’intégrer la question des choix résidentiels dans les grands débats sociétaux sur la ville durable, où cette question est cruellement absente. On a vu dans cet ouvrage les liens de plus en plus étroits qui existent entre la mobilité résidentielle et la mobilité quotidienne, entre la mobilité professionnelle lointaine et les déménagements complexes des familles. Peut-on agir sur le périurbain et ses impacts environnementaux en agissant sur les choix résidentiels, et comment ? Peut-on faire évoluer les choix résidentiels par des politiques de logement et d’aménagement adaptées ? En dehors du logement, comment l’action urbaine, de la destruction à la construction, de la réhabilitation au renouvellement, a-t-elle un impact sur les processus individuels et collectifs de construction du choix résidentiel ?
20Une autre question mériterait d’être approfondie. Elle concerne les « non choix » dans la décision résidentielle. Ces non choix, dont l’importance a été soulignée à plusieurs reprises dans cet ouvrage, résultent des contraintes économiques, sociales et environnementales de plus en plus fortes qui pèsent sur les marges de manœuvre résidentielles des ménages. Face à ces contraintes, dont on peut craindre qu’elles augmentent avec la crise de l’immobilier, les choix résidentiels ne seraient-ils pas finalement de plus en plus encadrés ?
21Enfin, pour prolonger les analyses présentées dans ce livre, il serait sans doute utile aussi d’élargir la réflexion sur les « choix résidentiels » à d’autres contextes historiques ou géographiques (à l’exemple des pays « en voie de développement »).
Auteurs
Professeur de sociologie à l’Université Lumière Lyon 2, directeur adjoint du Groupe de recherche sur la socialisation (GRS-CNRS, UMR 5040).
Directrice de recherche, Institut national d’études démographiques (INED), Paris.
Directeur de recherche CNRS, membre du Centre de Recherche sur l’Habitat (ENSAPVS) et directeur du Laboratoire Architecture, Ville, Urbanisme, Environnement (LAVUE, UMR CNRS 7218), Paris.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Aux origines du socialisme français
Pierre Leroux et ses premiers écrits (1824-1830)
Jean-Jacques Goblot
1977
L'Instrument périodique
La fonction de la presse au xviiie siècle
Claude Labrosse et Pierre Retat
1985
La Suite à l'ordinaire prochain
La représentation du monde dans les gazettes
Chantal Thomas et Denis Reynaud (dir.)
1999
Élire domicile
La construction sociale des choix résidentiels
Jean-Yves Authier, Catherine Bonvalet et Jean-Pierre Lévy (dir.)
2010