1 Gotthold Ephraïm Lessing, Laocoon [1766], A. Courtin (trad.), Paris, Hermann, 1990, p. 47.
2 Georges Didi-Huberman, Ninfa dolorosa : essai sur la mémoire d’un geste, Paris, Gallimard, 2019, p. 84.
3 Laurent Guido, « De l’art mimique à la Scream Queen : Fay Wray et les canons gestuels de l’horreur au cinéma », dans Christophe Damour (dir.), Jeu d’acteurs : corps et gestes au cinéma, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, 2016, p. 97.
4 Ibid., p. 90.
5 Ibid., p. 97-98.
6 Jacques Aumont, Du visage au cinéma, Paris, Cahiers du cinéma, 1992, p. 106.
7 Claudio Meldolesi, cité dans Eugenio Barba & Nicola Savarese, L’Énergie qui danse : dictionnaire d’anthropologie théâtrale, Montpellier, L’Entretemps, 2008, p. 249.
8 Lire par exemple : Georges Banu, L’Enfant qui meurt : motif avec variations, Montpellier, L’Entretemps, 2010.
9 George Steiner, cité dans Eugenio Barba & Nicola Savarese, L’Énergie qui danse, op. cit., p. 248.
10 Ibid.
11 Ibid.
12 Gotthold Ephraïm Lessing, Laocoon, op. cit., p. 50-51.
13 Ernst Gombrich, AWBI, p. 280.
14 Virgile, L’Énéide, Paul Veyne (trad.), Paris, Albin Michel, 2012, p. 79.
15 Ibid., p. 80.
16 Gotthold Ephraïm Lessing, Laocoon, op. cit., p. 47.
17 Ernst Gombrich, AWBI, p. 172.
18 Heinrich Wölfflin, L’Art classique, Paris, Gérard Monfort, 1989, p. 115-116.
19 Virgile, L’Énéide, op. cit., p. 79.
20 Pour une analyse détaillée de cette séquence, voir Christophe Damour, « Les références à la Pietà dans le cinéma hollywoodien », Ligeia, nº 77-78-79-80, « Peinture et cinéma », Patricia-Laure Thivat (dir.), juillet-décembre 2007, p. 111-119 ; et Christophe Damour, « La Déploration, de Sarah Bernhardt à Al Pacino. Permanence et migration d’une posture codifiée (arts visuels, théâtre, cinéma) », Cinémas, vol. 25, nº 1, « L’acteur entre les arts et les médias », Serge Cardinal (dir.), automne 2014, p. 17-37.
21 Jean-Michel Palmier, L’Expressionnisme comme révolte, Paris, Payot, 1978, p. 135.
22 Kasimir Edschmid [1919], cité dans Lotte Eisner, L’Écran démoniaque [1952], Paris, Éric Losfeld, 1981, p. 15.
23 Pierre Trainar, Éthique et pathétique : considérations sur l’expressionnisme allemand, illustrées par un choix de poèmes de Georg Trakl, Toulouse, Bibliothèque interuniversitaire de Toulouse, 1982, p. 10.
24 Mel Gordon, « German Expressionist Acting », The Drama Review, vol. 19, nº 3, septembre 1975, p. 42-50.
25 Lotte Eisner, L’Écran démoniaque, op. cit., p. 148.
26 Ilse Garnier & Pierre Garnier, L’Expressionnisme allemand, Paris, Éditions A. Silvaire, 1962, cité dans Catherine Mounier, « L’expressionnisme dans l’œuvre d’Eugene O’Neill », dans Denis Bablet & Jean Jacquot (dir.), L’Expressionnisme dans le théâtre européen, Paris, Éditions du CNRS, 1971, p. 331.
27 Hervé Aubron, « Un cri sans fin (l’expressionnisme, le sublime et nous) » dans Jacques Aumont & Bernard Benoliel (dir.), Le Cinéma expressionniste : de Caligari à Tim Burton, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2008, p. 169-190.
28 Jacques Fieschi, « Le corps expressionniste », Cinématographe, nº 22, décembre 1976, p. 7-10.
29 Pierre-Alban Delannoy, La Pietà de Bentalha : étude du processus interprétatif d’une photo de presse, Paris, L’Harmattan, 2005, p. 48-52.
30 Marguerite Yourcenar, En pèlerin et en étranger, Paris, Gallimard, 1989, p. 28.
31 Georges Didi-Huberman, Ninfa dolorosa, op. cit., p. 107.
32 Georges Banu, « L’enfant qui meurt : traumatisme personnel et symbolique collective », dans Georges Banu, L’Enfant qui meurt : motif avec variations, op. cit., p. 10.
33 Nathalie Nezick, « Le Travelling de Kapo ou le paradoxe de la morale », Vertigo, nº 17, 1998, p. 163.