Chapitre 8. Le nouveau visage du monde agricole
p. 153-163
Texte intégral
1Le secteur de l’agriculture voit sa part dans la vie économique diminuer en termes de produit et de forces de travail mobilisées. Cette perte d’influence, certes graduelle, s’explique par une mutation : l’agriculture occupe maintenant une place nouvelle liée à l’émergence d’une autre logique de production. Nous consacrerons la première section à la décrire avant de situer l’évolution du produit agricole par rapport aux nouvelles orientations de la production, et, de décrire les modifications dans les structures comme dans la répartition des revenus.
Section I – La place nouvelle de l’agriculture1
2L’agriculture n’est plus l’activité prépondérante à la fin du XIXe siècle même si le poids du monde rural reste encore important, "un monde s’efface lentement" (Robert Laurent). Cette lente évolution renferme de réels progrès dès 1850, s’amorce, à cette date, un changement de logique que la crise agricole profonde des années 1880 n’entame pas.
§ I – A PARTIR DE 1850 UNE NOUVELLE LOGIQUE
3C’est bien vers 1850 qu’apparaft une certaine fracture : on passe d’une agriculture de subsistance à une agriculture marchande. On a vu que si la Révolution Française avait libéré l’agriculture des entraves féodales ou de leurs restes, elle n’avait pas produit de changements dans les techniques agricoles ; il faudra attendre la "Révolution ferroviaire", véritable levier de l’unification des marchés et du désenclavement des campagnes, pour assister à la banalisation des échanges et à la formation d’un réel marché national2. Durant la période 1850-1880 la population urbaine croît fortement (40 % environ), la force de travail rurale et agricole diminue ; s’ensuit un renversement dans la structure de la consommation : une consommation urbaine et marchande se substitue à une auto-consommation rurale. Avec les transformations du mode de vie, la demande solvable est non seulement modifiée dans son volume mais bouleversée dans sa structure, l’agriculture devait répondre à ce changement en aval. Parallèlement, vers 1860, après plusieurs années de protection douanière, le libre-échange semble triompher ; sous l’emprise de cette nécessité, on assigne à l’agriculture des objectifs de rendement, voire de rentabilité.
§ II – LA CRISE AGRICOLE DES ANNEES 1880.
4Durant les années 1880, une profonde crise agricole caractérisée par une baisse générale du niveau des prix (agricoles) tend à laminer le revenu de l’agriculture. Cette baisse des prix que l’on a pu expliquer par la faiblesse de la demande solvable – elle-même liée à la diminution de la masse monétaire due à un ralentissement de la production aurifère – ou par un développement trop brutal de l’offre mondiale, sera l’occasion d’un réaménagement de perspective : le libéralisme sera abandonné. Sous la pression des industriels on revient à la protection : en 1885, Méline, Ministre de l’Agriculture (et petit entrepreneur des Vosges) laissera son nom à l’histoire en rétablissant les droits de douane. Le début du siècle voit un renversement de tendance quant aux cours des produits agricoles, explicable par deux effets joints : la découverte de nouvelles mines d’or, l’accroissement du pouvoir d’achat des classes populaires. Le redressement des prix se poursuit jusqu’en 1913 et autorise le rétablissement des profits des exploitants.
5Deux périodes donc : les campagnes sont d’abord à leur apogée avant de subir un premier ébranlement à la fin du siècle.
Section II – L’évolution du produit agricole et les orientations nouvelles des productions
6L’étude du produit de l’agriculture fait apparaître au cours de la période 1850-1914 deux phases (une période de croissance suivie d’une crise durable) mais ceci ne peut pas cacher que le modèle de production de l’ancien régime s’éteint, ce qui transparaît dans les orientations nouvelles du secteur.
§ I – LES DEUX PHASES : CROISSANCE ET CRISE
7Les quelques données suivantes sur l’évolution du produit agricole révèlent bien deux périodes : une phase de croissance puis un effondrement à la fin du siècle3 :
Années | Produit agricole global (semences déduites) – millions de francs courants – | Produit végétal global (semences déduites) | Produit animal global |
1845-1854 | 8 830 | 6 785 | 2 045 |
1855-1864 | 12 182 | 9 547 | 2 635 |
1865-1874 | 14 036 | 10 641 | 3 395 |
1876-1884 | 14 541 | 10 611 | 3 930 |
1885-1894 | 13 897 | 9 906 | 3 991 |
1895-1904 | 13 596 | 9 746 | 3 850 |
1905-1914 | 18 118 | 12 786 | 5 332 |
8Un certain nombre de facteurs expliquent l’essor de l’agriculture sous le Second Empire et les débuts de la Troisième République : "La pénurie de main-d’oeuvre entraîne une montée des salaires, l’accroissement de la demande fait monter les prix à la production ; l’enrichissement des agriculteurs permet l’application des techniques nouvelles, enfin l’adoption du libre-échange stimule les exportations"4. En définitive une demande Interne et externe en expansion stimule une croissance intensive. Ces facteurs de croissance se consolident l’un l’autre, ainsi la croissance des débouchés et des salaires des journaliers et domestiques rend possible ou Induit la mécanisation : on voit apparaître les faucheuses, les moissonneuses et les batteuses. Cette technicisation se fait avec des rythmes différents selon les réglons, les cultures et la taille des exploitations. La faux remplace la faucille ; la charrue, l’araire. La productivité du travail5 devient de plus en plus notable :
Années | Produit final par agriculteur masculin actif base 100 en 1700 |
1835-1844 | 158 |
1845-1854 | 165 |
1855-1864 | 189 |
1865-1874 | 208 |
9La dépression de la fin du siècle s’explique, en premier lieu, par une série de crises spécifiques. Le vignoble est touché par le phylloxéra qui, combiné avec d’autres maladies réduira de 30 % la superficie et de 44 % la valeur de la production. La sériciculture6 fut atteinte par des maladies dont la fameuse pébrine. Enfin la concurrence étrangère tend à mettre en péril la situation des producteurs d’oléagineux et à faire régresser l’élevage du mouton. Ce dernier élément est le fait de toute l’agriculture européenne soumise aux pressions de l’agriculture extensive des pays nouveaux (Canada, Australie, Etats-Unis). La déflation des prix entretient, en second lieu, la stagnation de la production nationale et pousse à l’amélioration des rendements et à la recherche de gains de productivité. Si l’on constate des progrès dans la mécanisation (le parc de batteuses passe de 100 000 à 230 000 unités entre 1862 et 1892, celui de faucheuses de 9 400 à 38 700 pour les mêmes années) ils apparaissent très lents, comme si le monde agricole ne pouvait se réveiller d’un engourdissement7.
10La reprise se manifestera à la fin du siècle. Les prix agricoles marqueront une tendance ascendante : de 1895 à 1905 les céréales verront leur prix s’accroître de 27 %, le vin de 67 %, mais pour ces productions ils ne retrouvent pas leur niveau d’avant la dépression. En 1912, le produit net de l’agriculture aurait régressé de 357 millions de francs, il a diminué de 32 % par rapport à son niveau de 1882.
§ II – LES ORIENTATIONS NOUVELLES DU SECTEUR AGRICOLE. LA FIN DU MODELE DE PRODUCTION D’ANCIEN REGIME.
11On décèle dans la période des transformations notables dans les productions végétales et l’essor d’élevage, conçu maintenant comme une véritable spéculation. Deux phénomènes qui montrent que les mécanismes de production de l’ancien régime ainsi que leurs dysfonctionnements ont disparu.
A – Les transformations dans les productions végétales.
12La principale direction des progrès agricoles est liée à la recherche de l’accroissement des surfaces cultivées, surfaces gagnées sur les fôrets, les marais, les landes. La jachère va lentement et progressivement diminuer (6,75 millions d’hectares en 1840 ; 2,6 en 1913). Les terres incultes et les landes reculeront de 9 millions d’hectares (1840) à 3,8 (1913). La production céréalière va se développer d’abord du fait des surfaces plus Importantes ; en 1862 il y avait 7,5 millions d’hectares en blé, soit deux fois plus par rapport au début du siècle, chiffre qui ne sera jamais dépassé. Ensuite par l’intensification : la production du blé doublera de 1831 à 1907, année record, car viendra le temps de la diversification céréallère8. L’ouverture de l’agriculture française entraînera le recul de certains oléagineux. Le développement des nouvelles industries textiles étranglera les vieilles productions comme le lin et le chanvre, mais l’industrie sucrière favorisera la production de betteraves. On assiste, enfin, plus généralement, à la croissance des produits destiné à la consommation humaine (les surfaces destinées à la culture de la pomme de terre tripleront de 1820 à 1914). Tout ceci est le symptôme d’un cours nouveau : l’agriculture assure maintenant une production alimentaire suffisante et répondant, en volume, aux besoins les plus vitaux des consommateurs. Les crises d’ancien régime (pénurie de produits) relèvent bien du passé, même s’il est encore proche9.
Années | Production de blé (en millions de quintaux) |
1831 | 51,3 |
1850 | 66 |
1900 | 86,6 |
1907 | 103,8 |
B – L’essor d’une spéculation nouvelle : l’élevage.
13L’élevage était jusqu’au début du XIXe siècle considéré comme "un mal nécessaire" (R. Laurent), auxiliaire des cultures. L’animal était une force productive et partant, n’entrait pas ou peu dans la consommation alimentaire. Une orientation nouvelle apparaît : l’élevage devient une spéculation à part entière (on fait de l’élevage pour en retirer un revenu). La "révolution ferroviaire" autorise la commercialisation de la viande comme du lait, et structure mieux la filière agricole en reliant les centres de production aux marchés de consommation. On enregistrera ainsi un important accroissement des surfaces en herbage et en prairies artificielles, et, un développement de l’élevage bovin (le cheptel passe de 9 à 15 millions de têtes de 1850 à 1910)10. Les spécialisations régionales s’affirment, elles restent encore presque inchangées aujourd’hui. Le Nivernais et le Charolais font de l’élevage de race bouchère, la Basse-Normandie assure à la région parisienne, la viande, le beurre, le fromage, mais, concurrencée par des régions du Centre, elle se cantonnera dans la production laitière, et, son sous-produit, le veau. Le mouton occupait jadis une place prépondérante dans les régions de montagne et le Midi, la disparition des jachères et des landes tend à faire régresser le cheptel ovin. Les nouvelles races sont introduites pour améliorer la production bouchère et laitière (un symbole : en 1882, on crée la société des caves de Roquefort).
14L’extension d’une spéculation nouvelle témoigne là encore que l’on quitte définitivement la vieille agriculture de l’ancien régime. Le règne de la marchandise s’étend et provoque même un élan dans ce secteur hier encore Impérméable à la logique marchande. II faut maintenant nourrir les villes et répondre aux exigences de la consommation populaire.
Section III – Les modifications dans les structures et dans la répartition des revenus
15Deux phénomènes vont maintenant retenir notre attention : l’évolution des structures productives (liées au mode d’exploitation) et les tendances de la répartition des revenus agricoles sur cette longue période.
§ I – L’EVOLUTION DES STRUCTURES
16Les caractéristiques des modes d’exploitation témoignent que perdure en France un "monde paysan".
A – Les modes d’exploitation
17Trois modes d’exploitation se discriminent :
- le faire-valoir direct par le propriétaire de la ferme, qu’il s’agisse d’une petite exploitation familiale ou d’une exploitation avec une main-d’oeuvre salariée.
- le fermage : un propriétaire loue l’usage de la terre contre le versement d’une rente ; le fermier possède des instruments de travail et son cheptel.
- le métayage. Cette fois le propriétaire fournit la terre et les moyens de production, le cultivateur apporte à cette association sa seule force de travail, le produit sera partagé entre les deux contractants.
18Il apparaît extrêmement difficile d’avoir une idée de la place de chacune de ces formes d’exploitation agricole pour toute la seconde moitié du XIXe siècle. Une enquête de 1882 donnait les résultats suivants : le faire-valoir direct représentait 80 % des exploitations mais seulement 60 % de la superficie, le fermage et le métayage réunis le reste, mais le fermage s’avère deux fols plus important que le second. Le faire-valoir direct se trouvait être le mode d’exploitation du Sud, du Sud-Est et du Nord-Est, le fermage, plutôt celui des pays de culture avancées : Nord, Centre, Bretagne, Normandie et Ouest du Bassin Parisien. Quant à l’évolution, il semble que l’on puisse déceler un recul du métayage, une stabilité du fermage et une progression des propriétaires ne cultivant que leur exploitation.
B – Les classes sociales et le monde paysan11.
19A la veille de la première guerre mondiale on serait tenté de qualifier les structures sociales dans les campagnes françaises en disant que la paysannerie est une, mais divisible. II y a certes une couche supérieure "le capitaliste des champs", employant de façon permanente un prolétariat rural (Nord, Bassin Parisien). Mais ces riches ont souvent l’habileté de se maintenir sur la frontière entre bourgeoisie et monde paysan12. D’après l’enquête de 1906, il y aurait approximativement 1 300 000 exploitations de type capitaliste employant jusqu’à 5 salariés13. A côté, près de 2,5 millions d’exploitations familiales (faire-valoir direct, fermage et métayage confondus) souvent inférieures à 10 hectares, faiblement intégrées dans le jeu du marché. Globalement de faibles rendements caractérisent ce type de production14, d’où des revenus bas mais suffisants pour "accrocher" le paysan à son exploitation.
§ II – LES TENDANCES DANS LA REPARTITION DES REVENUS
20L’évolution des revenus semble suivre les tendances des prix et des productions, aussi pouvons-nous, là encore, délimiter deux périodes.
21Durant la phase de croissance le revenu brut des agriculteurs n’a pu s’accroître. Les salaires ont augmenté fortement, de même que, mais sans doute dans une proportion moindre, les prélèvements fiscaux. Tendance Identique pour le fermage. Alors que durant toute la première moitié du XIXe siècle le fermier devait subir les crises cycliques, la rente demeurant le revenu porteur, on voit maintenant croître le revenu des exploitants qu’ils soient propriétaires ou simplement fermiers.
22Les chiffres reflètent d’abord la bonne santé de l’agriculture avant 1880, ensuite le poids plus supportable de la rente foncière (les fermiers volent leur situation progresser plus notablement que les exploitants-propriétaires).
23La période de longue crise ne pouvait qu’exacerber le conflit d’intérêt entre le locataire de la terre et le propriétaire. Il tourne à l’avantage du fermier, et, l’on a pu parler de "grande déroute du rentier du sol". Plusieurs facteurs objectifs rendent compte de la tournure finale de cette véritable lutte économique de classe. On citera notamment l’exode rural, puisqu’il diminue le nombre de locataires concurrents potentiels, et la profondeur de la crise qui devient un prétexte pour payer avec retard les loyers. Les propriétaires verront fondre la valeur réelle de leur capital avec la baisse du prix moyen de la terre cultivable (il sera en 1914 toujours inférieur à son niveau de 1851). On comprend ainsi le désengagement progressif de capitaux de la sphère agricole et la dilatation de certains portefeuilles de valeurs mobilières. Dernier effet : Note15 l’achat de la terre devient possible pour le fermier.
Conclusion du chapitre 8
24A la veille de la première guerre mondiale, l’agriculture française n’est plus celle du XIXe siècle. La surpopulation chronique a cessé. Le milieu apparaît plus homogène : "les artisans à domicile, petits commerçants, ouvriers des établissements Industriels ruraux, qui collaboraient activement au travail de la terre ont disparu ou, en tous cas sont fortement moins nombreux du fait de la "déruralisation" de l’industrie. Il s’est produit une "paysannisation" de la population rurale en même temps que ses effectifs fondaient avec l’exode rural"16. H. See remarquait qu’un certain équilibre s’était maintenu en France entre l’agriculture et l’industrie, il assure à la société et à l’économie française une "plus forte stabilité et, somme toute, une condition plus heureuse" (145). Ceci indique que l’industrialisation, et son corollaire spatial, l’urbanisation, n’ont pas détruit une agriculture encore insuffisamment productive mais la recomposent lentement.17
25A la fin du siècle, tout se passe comme si les courants de l’opinion conservatrice s’accordaient pour "souhaiter que se perpétue une paysannerie aussi nombreuse et aussi stable que possible. Personne ne tenait à ce que la concurrence étrangère et le progrès technique vinssent chasser les paysans du village, personne ne tenait à ce que le développement de la grande Industrie les attirât dans les villes"18 et Méline pu écrire un ouvrage, publié en 1919, "Le salut par la terre" !
Notes de bas de page
1 On pourra consulter les résumés fournis par J. Lesourd et G. Gérard dans leur "Nouvelle Histoire Economique et Sociale", et retenir les données présentées par les professeurs Garrigou-Lagrange et Pénouil dans "Histoire des faits économiques de l’époque contemporaine", Dalloz. Le lecteur plus intéressé se reportera à l’étude de Robert Laurent dans "H.E.S." et 1’ "Histoire de la France rurale", tome 3, Seuil.
2 R. Laurent, étude citée, p. 620.
3 J.C. Toutain "Le produit de l’agriculture française de 1700 à 1958", Cahiers de l’I.S.E.A., série A.F. n° 2, 1961 p.11.
4 "Histoire de la France rurale", Tome 3, p. 221.
5 On se reportera au tableau issu des travaux de J.C. Toutain "Le produit de l’agriculture française de 1700 à 1958", Cahiers de l’ISEA n° 115, 1961.
6 L’élevage des vers à soie.
7 "Histoire du monde rural", tome 3 p. 398.
8 Au cours de la période, la production de seigle diminuera et la surface cultivée chutera de 1,5 millions d’hectares entre 1850 et 1900.
9 La dernière crise agricole d’ancien régime, due essentiellement à une mauvaise récolte de blé et de pommes de terre, date des années 1846-1847.
10 En se reportant au tableau du précédent paragraphe, on s’apercevra que le produit animal occupe une place croissante – bien que non déterminante – dans le produit agricole global.
11 Eugène Weber dans "La fin des terroirs. La modernisation de la France rurale. 1870-1914" (Fayard. Editions Recherches. Paris 1983) brosse un tableau des sociétés rurales et des facteurs de son évolution.
12 "Histoire de la France rurale", tome 3 p. 489.
13 250 en emploieraient plus de 50.
14 On a souvent exagéré la faible productivité de l’agriculture française, elle peut soutenir la comparaison avec d’autres pays européens. Sur ce point A. Milward et S.B. Saul "The Development of the Economies on Continental Europe – 1850-1914", Allen and Unwin, Londres 1977.
15 "Histoire de la France rurale", tome 3 page 489.
16 "Histoire du monde rural", tome 3 p. 457.
17 "Esquisse..." page 510.
18 M. Gervais, C. Servolin, J. Weil "Une France sans paysan", Seuil, p. 43.
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