Tinmal, manifeste artistique du mouvement almohade
p. 67-84
Texte intégral
1Dans l’Occident musulman l’étude de la salle de prières conduit à poser le problème de l’extension et de la mise en forme progressives des tendances hiérarchisantes qu’on y observe1. Sur ce point, la mosquée almohade est au sommet du long parcours qui nous a conduits jusqu’au Mašriq primitif, mais il faut aussi passer par l’analyse de la basilique antique et paléochrétienne pour comprendre comment la Syrie umayyade élabora certains traits fondamentaux de cette typologie.
Les tendances essentielles
2Dans la mosquée umayyade al-Aqṣā (fig. 1) est réalisée la salle de nefs longitudinales à colonnes qui fit probablement éclater le modèle de la basilique antique par la multiplication des nefs latérales. C’est la grande mosquée umayyade de Damas (fig. 2) qui préfigura le conflit entre orientations longitudinale et transversale : une nef longitudinale, vaste hall unique surélevé comme dans une basilique, vient briser le type de nefs transversales, prédominant même plus tard dans le Mašriq. Ce type damascène ne semble parvenir que d’une façon ponctuelle en Occident : nous le reconnaissons au Maghreb dans les deux oratoires les plus importants de Fès, la mosquée al-Qarawiyyīn (fig. 3) et la mosquée des Andalous. La nef longitudinale unique, quoique d’une largeur nettement réduite – influence probable de l’évolution parallèle de la nef axiale dans la mosquée à nefs longitudinales –, est coupée par des arcades.
3Ce n’est probablement qu’à une étape de construction ultérieure, au début de l’époque des ‘Abbāssides, que deux arcades transversales furent introduites dans la mosquée al-Aqṣā, à l’avant de la qibla. Ce modèle de salle de prières longitudinale, finalement basilicale, avec une nef axiale plus large, et enrichie d’un transept à l’avant de la qibla prototype du plan en T, se retrouve en deux points cardinaux de l’art musulman occidental, dans lesquels on peut dégager de la façon la plus nuancée l’évolution des structures hiérarchiques. C’est à Cordoue (fïg. 4) qu’on reproduisit ce processus de développement progressif que nous avons reconstitué dans la mosquée al-Aqṣā ; la dynastie émigrée vers l’Occident – fondamentalement conservatrice dans tous les aspects religieux – le prolongea en le retardant. Ce n’est que dans une troisième phase de construction, c’est-à-dire en plein Xe siècle, que la solution à transept de Jérusalem est admise. Ce modèle d’intersection avec des arcades longitudinales menant jusqu’à la qibla devait paraître archaïsant puisqu’il se présente dès le IXe siècle dans la nouvelle construction aglabide de la grande mosquée de Kairouan (fig. 5). À Kairouan, les nefs latérales s’arrêtent au transept à l’avant de la qibla ; cette intersection d’arcades qui rend la structure plus dense n’est utilisée que pour délimiter le secteur précédant le miḥrāb. Mais Kairouan conserve une autre caractéristique de la mosquée al-Aqṣā, déjà dépassée dans la mosquée primitive de Cordoue : la nef axiale étonnamment large. La question de savoir dans quelle mesure Jérusalem eut une influence comme “modèle sacré” se pose donc déjà lorsqu’on étudie le schéma brut des deux sanctuaires principaux de l’Occident musulman.
4Dans la mosquée al-Aqṣā, après la formation du transept à l’avant de la qibla, les arcades se croisent. Si ce schéma s’explique à Jérusalem peut-être surtout par une contrainte constructive, celle de recueillir les poussées de la coupole qui précède le miḥrāb, il devient une idée de base en Occident. Déjà dans la fondation préalmoravide de la mosquée Qarawiyyīn à Fès (fig. 6), elle s’infiltre dans le schéma damascène : la nef médiane qui, coupant plusieurs nefs transversales se trouve compartimentée par les travées, peut être comprise comme une variante à rotation orthogonale du modèle de Jérusalem. Dans la Cordoue du plein Xe siècle, les maîtres d’œuvre d’al-Ḥakam II ne considèrent pas cependant cette forme spéciale, progressivement développée, du type en T de la mosquée al-Aqṣā comme le modèle de référence obligatoire de leur plan, et ce laps de temps ne doit pas nous étonner en Espagne : au XIe siècle encore, lors de la construction de l’Aljafería à Saragosse, on reprend le modèle d’un château syrien-umayyade du désert. Ils continuent en outre à s’en inspirer en élévation, démontrant ainsi l’unité intime du plan et de l’élévation. Les systèmes monumentaux d’arcs entrecroisés apparaissent au centre de l’intersection des éléments du plan, c’est-à-dire de la maqṣūra, et matérialisent l’écho du compartiment qui précède le miḥrāb à l’entrée de la nef axiale, d’abord comme des entrecroisements plats projetés en élévation, ensuite dans les coupoles de couronnement comme un réseau spatial de nervures en étoile.
5À ce goût typiquement musulman pour les intersections compliquées qui invitent à une analyse plus profonde, s’oppose déjà très tôt le désir d’affecter aux deux orientations rivales du plan des domaines clairement délimités, et celui d’introduire l’intersection – éventuelle – uniquement comme un moyen suprême de mise en valeur. Ce n’est pas un hasard, semble-t-il, si en Occident ces structures n’ont pas été mises en évidence dans un Andalus épris du décor, mais au contraire dans l’atmosphère sévère, souvent presque monacale, de l’Ifrīqiya. La mentalité berbère, qui marqua aussi l’art des Almohades, influença-t-elle les Aglabides ? Nous percevons cette même tendance en Orient, à la même époque, à Sāmarrā. Ce qui est commun aux ‘Abbāssides et aux Almohades est leur volonté de réformes religieuses, de programmes éclairés pouvant mener à des types d’édifices proches. Les maîtres d’œuvre de la grande mosquée aglabide de Kairouan et de la mosquée d’Abū Dulaf à Sāmarrā (fig. 7) – les deux oratoires appartenant au deuxième tiers du IXe siècle – sont unis par un même désir, celui de faire apparaître le transept comme élément transversal continu à l’avant de la qibla. À Sāmarrā, aucune nef longitudinale ne pénètre l’imposant transept à deux nefs ; en revanche, dans la nouvelle construction aglabide de Kairouan, les deux traits essentiels du schéma almohade sont déjà réalisés : une nef axiale plus large et un transept se croisent à l’endroit du compartiment, couronné d’une coupole, qui précède le miḥrāb, et les nefs longitudinales normales s’arrêtent à la nef transversale.
6Étant donné les tendances évolutives proches en Orient et en Occident, il semble donc que le Maghreb, tôt déjà, révèle encore davantage les caractéristiques du type almohade. Mais après une analyse détaillée on débouche sur une interprétation plus nuancée. La mosquée d’Abū Dulaf de Samarra ne présente pas seulement l’unique parallèle au transept à plusieurs nefs de la mosquée de Hassan à Rabat (fig. 8), type particulier, hypertrophique, ce qui cependant, pour être une création monumentale tardive, ne doit pas être dissocié de l’activité architecturale des Almohades. Elle est encore le seul oratoire préalmohade dans lequel le déambulatoire en U composé du transept à l’avant de la qibla et des nefs latérales extrêmes, typique des deux constructions classiques des Almohades, de Tinmal et de la deuxième Kutubiyya, nous semble avoir été préfiguré dans une situation directement comparable.
7De même, après l’introduction du pilier en brique dans le Maghreb, le schéma d’intersection de la zone située à l’avant de la qibla, parvenu à pleine maturité dans la troisième phase de la mosquée de Cordoue, semble survivre. Sans l’influence du modèle de la mosquée à colonnes d’al-Ḥakam II nous ne pouvons nous expliquer cette compartimentation le long de la qibla de la mosquée almoravide à piliers d’Alger (fig. 9), qui paraît anachronique après la construction de la Sīdī ‘Uqba aġlabide. L’absence de transept des deux autres salles de prières almoravides importantes conservées, celles des grandes mosquées de Tlemcen et de Nédroma, accroît l’impression que l’on ne devrait pas y voir une évolution continue, linéaire et à une seule voie, du type aġlabide de Kairouan au type almohade classique.
8En ce qui concerne la réalisation du jeu de coupoles almohade, aucune voie n’apparaît toute tracée. Nous pensons que le groupe transversal des trois coupoles qui couronne la zone centrale du transept de l'agrandissement d’al- Ḥakam II à Cordoue en est le signe précurseur le plus important. L’extension décentralisée de ce groupe de voûtes caractéristique du type almohade est certes réalisée peu de temps après, mais beaucoup plus vers l’Est, au Caire au début de l’époque fâṭimide, dans les mosquées al-Azhar (fig. 10) et d’al-Ḥākim. Le groupe de coupoles clairement centripète de Cordoue relève d’une conception qui vise à monumentaliser la maqṣūra selon une forme déterminée. Du Caire, en ce début de l’époque des Fāṭimides, jusqu’aux confins du Maghreb en plein XIIe siècle, il nous manque, malgré une parenté typologique schématique, des repères chronologiques et topographiques intermédiaires ; les oratoires almoravides conservés n’ont pas de groupe de coupoles transversal. En revanche, nous saisissons concrètement l’influence des voûtes de Cordoue dans le Maroc almohade : leur ossature à nervures est encore le principe de base du plan des deux voûtes à muqarnas conservées à Tinmal. Dès l’époque almoravide nous pouvons supposer des relations intenses entre les ateliers du Maroc et ceux de l’Andalus ; il est possible, pensons-nous, que les maîtres andalous, ou influencés par l’Andalus, se soient inspirés de la disposition d’ensemble du groupe de coupoles de Cordoue. L’extension du transept sous forme de déambulatoire en U aurait été justement à Tinmal l’occasion évidente d’étendre aussi le jeu de coupoles.
9Presque deux siècles après la construction de la mosquée de Bâb al-Mardūm à Tolède, cette première “copie” de la mosquée de Cordoue que l’on peut mettre en évidence, le dernier souverain almohade important, Ya‘qūb al-Manṣūr, ranime de façon beaucoup plus dramatique le souvenir du grand sanctuaire de l’Andalus, de cette terre musulmane qu’il s’agissait de libérer de l’oppression chrétienne. Parmi les caractéristiques de l’immense mosquée jamais achevée de Hassan à Rabat (voir fig. 8), Henri Terrasse a attiré l’attention sur les supports de la salle de prières. Au lieu des piliers de brique habituels, qui correspondaient au goût almohade pour une normalisation rationnelle, comme on devait l’attendre justement sur ce grand chantier, on tailla laborieusement des colonnes en pierre, procédé qui ne trouve pas d’explication matérielle. Comme à Kairouan, les supports de la salle de prières servent aussi à définir la “copie” du modèle. Mais aucun schéma détaillé, dissimulé, incorporé au plan, ne fut probablement ni prévu ni réalisé à Rabat. Ici, à cette grande époque de la mosquée à piliers, la forêt des colonnes suffisait comme allusion dans la salle de prières. Et l’on pouvait réaliser cette caractéristique avec ampleur, parce que l’on s’alignait maintenant aussi sur les dimensions d’origine de la superficie totale de Cordoue, y compris dans sa dernière phase de construction réalisée peu avant le tournant du millénaire, sur des dimensions avec lesquelles aucune autre mosquée de l’Occident musulman ne pouvait rivaliser, même de façon approximative. De même que la mosquée al-Aqṣā influença Cordoue, celle de Cordoue influença Rabat comme modèle développé en plusieurs phases. Ce n’est plus la réduction qui est recherchée comme à Tolède. Modèle et “copie” sont sur la même échelle, et la “copie” revêt maintenant aussi le caractère monumental du modèle.
10La question du “modèle sacré” est donc présente presque comme un fil directeur tout au long de notre recherche ; nous avons essayé de montrer, pour l’Occident musulman, les maillons d’un enchaînement dont le premier, la nouvelle construction aġlabide de la mosquée de Sīdī ‘Uqba à Kairouan, se rattache au premier Islam de l’Orient, et que nous pouvions suivre jusqu’aux confins du Maghreb, jusqu’à l’étape tardive de cette époque almohade qui nous occupe particulièrement.
Vers une recherche de l'unité
11Après avoir examiné les tendances essentielles qui se sont décantées dans le type de l’oratoire almohade du milieu du XIIe siècle et qui jusqu’à présent n’avaient pas été perçues avec suffisamment d’acuité, il convient de montrer l’unité “polyphonique” inhérente à la conception de deux édifices classiques de ce groupe : la mosquée de Tinmal et la Kutubiyya (fig. 11-12). Destinée à la mémoire d’Ibn Tūmart, fondateur du mouvement almohade, Tinmal (voir fig. 12) était probablement un chantier extérieur d’un atelier de la capitale, c’est-àdire de Marrakech, et le point de rencontre d’une élite de maîtres d’œuvre : la réduction sensible de son volume – neuf nefs longitudinales au lieu des dix-sept des deux autres monuments du trio classique, c’est-à-dire de la double Kutubiyya de Marrakech (voir fig. 11) – permettait visiblement un accord particulièrement habile et soigné des parties de l’édifice, mais surtout l’accord, jusque dans les détails, des composantes du projet, c’est-à-dire des conceptions typologiques, géométriques, métrologiques et décoratives. Cela n’est apparu pleinement que dans le relevé que nous avons entrepris et complété lors d’une campagne de fouilles.
12La typologie et la métrologie, y compris dans ce qu’elles révèlent à tous les niveaux de la décoration, voire même par la volonté de nuance visible dans le soin de l’exécution, renvoient toujours à une structure hiérarchique culminant dans le miḥrāb, qui s’est déjà élaborée à l’époque préalmohade.
13Il fallait concilier le schéma général carré enveloppant et la double figure de deux triangles équilatéraux disposés en ciseaux, construite sur le long côté du bloc miḥrāb-minaret, et dont le rapport des côtés est de 1/5. Liée à la construction du miḥrāb celle-ci détermine la longueur du mur nord qui quintuple donc la largeur de la face principale du minaret. Après avoir été convertie aussi en longueur sur toute la qibla, sa hauteur fut comprimée jusqu’à l’obtention d’une diagonale d’exactement 100 e (“e” est l’unité de la coudée) dans le quadrilatère ainsi dessiné de l’enceinte. En conséquence de l’équilibre, dicté par les deux plus longues diagonales de l’édifice, des deux différentes figures géométriques fondamentales, l’enceinte n’est que très légèrement trapézoïdale, la qibla est plus large que le mur nord d’environ 1,20 m seulement. La structure de base du riwāq de la qibla – largeur des nefs latérales normales, de la nef centrale et du grand déambulatoire en U qui se compose du transept à l’avant de la qibla, des nefs latérales extrèmes et de leurs prolongements dans les riwâq/s latéraux – est dictée par le décuplement simple de la coudée dans la diagonale ou dans la diagonale déviée en orthogonale. Comme figure-type de cette conception, nous entendons le carré des supports normaux des nefs latérales, délimité par les quatre supports d’arcades qui déterminent la largeur d’une nef latérale normale et la profondeur d’un arc longitudinal. Ici, à Tinmal, un carré presque parfait enveloppe quatre piliers rectangulaires. Entre les centres des supports, on mesure en diagonale exactement 10 e. La déviation vers la direction orthogonale, reportée sur la direction transversale imposée par la qibla, est la distance entre les axes des piliers de la nef centrale, c’est-à-dire sa largeur axiale.
14Aux structures à nervures et à muqarnas des deux coupoles, très proches l’une de l’autre, correspondent des schémas géométriques analogues, voire identiques sur des traits essentiels. Au pied de la coupole, le volume spatial a déjà été corrigé en une structure régulière en plan, dans laquelle on retrouve l’unité de la coudée (e) sous la forme d’un multiple entier. Dans le miḥrāb (fig. 13), le diamètre de l’octogone de base mesure 3 e ; dans la coupole de Test (fig. 14), la diagonale du carré de base est de 10 e. Le motif central constitutif est commun aux deux voûtes. Une étoile à huit branches est le résultat de deux carrés égaux qui ont pivoté l’un sur l’autre de 45° ; dans la coupole du mihrab, leurs côtés reproduisent l’unité de la coudée (e) non multipliée et dans la coupole orientale, large de plus du double, ils atteignent la dimension de 2 e, mesure presque proportionelle à cet agrandissement. Dans la coupole est, l’étoile de la petite coupole zénithale et ses douze satellites forgent de façon très expressive l’image du ciel étoilé. Mais les figures d’étoiles prédominent aussi dans la coupole du miḥrāb. Dans la structure à muqarnas des deux coupoles, on devine clairement sept strates successives : l’eschatologie islamique parle de sept sphères célestes. Dans la grande mosquée de Cordoue, au sommet de la coupole à l’avant du miḥrāb la sphère céleste est indéniablement matérialisée par une demi-sphère suspendue. Détermine-t-elle ici, à Tinmal, la forme de la coupole déjà en tant que figure enveloppante invisible ? Annonce-t-on là, tout à fait dans l’esprit du réformateur almohade, une représentation sublimée de la divinité parfaite, perceptible seulement dans le recueillement de la pensée ?
Notes de bas de page
1 Quelques éléments bibliographiques (par ordre chronologique) : H. Basset & H. Terrasse, « Sanctuaires et forteresses almohades. I - Tinmel », Hespéris, IV, 1924, p. 9-91 ; G. Marçais, Manuel d'art musulman. L'architecure. Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne, Sicile, Paris, 1926, “L’architecture religieuse”, p. 15-39, 106117, 212-241, et 305-338 ; H. Basset & H. Terrasse, « Sanctuaires et forteresses almohades. VI - La mosquée de la Qasba », Hespéris, VI, 1926, p. 208-270 et « La tradition almohade à Marrakech », Hespéris, VII, 1927, p. 287-345 ; K.A.C. Creswell, Compendio de arquitectura paleoislámica, Séville, 1979 (Anales de la Universidad Hispalense, série “Arquitecture”, no 4) ; Chr. Ewert & J.-P. Wlsshak, « La mosquée de Tunmal et la Kutubiyya de Marrakech dans l’architecture almohade : précurseurs et parallèles », Actes des 1ères Journées nationales d'archéologie et du patrimoine, Rabat, 2001, III-Archéologie islamique.
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