1 Esquenazi Jean-Pierre, Les séries télévisées, l’avenir du cinéma ?, op. cit., p. 119.
2 Carrazé Alain, Les séries télé, op. cit., p. 239. À noter que la question était plutôt qui a tiré sur J.R., le personnage n’étant pas mort.
3 Créée par Quinn Martin, 1959-1963, ABC. La série est connue en France sous le titre Les Incorruptibles.
4 Fait rarissime, il a fallu deux pilotes pour que la série soit commandée pour une saison. En fait, NBC n’était pas convaincue par le premier pilote mais la chaîne accorda une seconde chance au programme. Liardet Didier, Anthologie des séries : Les séries américaines, op. cit., p. 222.
5 Le 11 janvier 2014, la série a atteint le chiffre de 12 000 épisodes diffusés sur NBC. Communiqué de NBC : http://www.thefutoncritic.com/news/2013/01/09/as days of our lives celebrates its 12000th episode this week nbc renews the iconic daytime drama through september 2014 498505/20130109nbc03/(consulté le 29 septembre 2014).
6 Liardet Didier, Anthologie des séries : Les séries américaines, op. cit., p. 151.
7 Ce type de récit est souvent repris dans d’autres séries comme Jacques Baudou le montre en comparant The Fugitvie et The Pretender (Le Caméléon) autour de l’idée de « réparateur de destinées ». Baudou Jacques, « L’évolution des structures narratives dans les séries américaines », dans Rocambole, Bulletins des amis du roman populaire, Daniel Compère (dir.), no 46, 2009, p. 57-64.
8 Séquence disponible via ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=Js8bjD9jM3k.
9 Winckler Martin, Les miroirs de la vie : Histoire des séries américaines, op. cit., p. 71.
10 Créée par James L. Brooks et Allan Burns, 1970-1977, CBS.
11 « Adaptée pour la télévision à la suite du succès du film de Robert Altman, à qui la Palme d’or fut décernée à Cannes en 1970, cette comédie extraordinaire située dans un hôpital militaire en Corée dans les années 1950 étrillait toutes les guerres, à commencer par celle que menaient alors les Américains au Vietnam. » Winckler Martin, Petit éloge des séries télé, op. cit., p. 42.
12 Séquence disponible via ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=XvqyY3muiW8.
13 Edgerton Gary R., The Columbia History of American Television, op. cit., p. 324.
14 Le choix de nom MTM semble faire directement référence à la femme de Grant Tinker, Mary Tyler Moore qui est une actrice américaine notamment de série télévisée. Stempel Tom, Storytellers to the Nation, op. cit., p. 157.
15 Thompson Robert J., Television’s Second Golden Age, op. cit., p. 47. Citation en anglais : « Celebrated as one of the giants in television history, Tinkel’s principal contribution to the medium was to do what few executives have had the courage to do : to gather together talented creative people and to leave them alone. »
16 Ibid., p. 65. Citation en anglais : « they were talking about giving us carte blanche to do whatever we wanted within that genre, […] the likes of which I had never heard from a network before ».
17 Esquenazi Jean-Pierre, Les séries télévisées l’avenir du cinéma ?, op. cit., p. 72.
18 Ronald D. Moore, bible de Battlestar Galactica, op. cit., p. 34.
19 Martin Winckler l’explique dans un livre : « Utilisé dans les séries-feuilletons depuis Hill Street Blues (Capitaine Furillo) et St Elswhere, ce type de construction scénaristique associe deux niveaux de narration : un récit complet A à l’intérieur de chaque épisode et un ou des récits secondaires B, à suivre sur plusieurs épisodes et un ou des récits secondaires B, à suivre sur plusieurs épisodes, voire sur toute la durée de la série. Dans les séries dramatiques, les récits B sont de tonalité plus légère (voire franchement comique) afin de libérer le spectateur des tensions induites par le récit A. » Winckler Martin, Les miroirs de la vie : Histoire des séries américaines, op. cit., p. 24.
20 Colonna Vincent, L’art des séries télé ou comment surpasser les Américains ?, op. cit., p. 242.
21 Winckler Martin, Les miroirs de la vie : Histoire des séries américaines, op. cit., p. 88.
22 Baudou Jacques, « L’évolution des structures narratives dans les séries américaines », art. cit., p. 57-64.
23 Dans le même temps, Dallas modifie aussi les codes de la narration avec un casting important et des intrigues qui s’entremêlent sur plusieurs épisodes. Selon Robert J. Thompson, le succès de Dallas popularise les trois intrigues parallèles du feuilleton. Colonna Vincent, L’art des séries télé ou comment surpasser les Américains, Paris, Édition Payot et Rivages, 2010, p. 241. Alfu va dans ce sens dans « Dallas : célèbre rez-de-chaussée du petit écran », dans Rocambole, Bulletins des amis du roman populaire/sous la direction de Daniel Compère, no 46, 2009, p. 65-78.
24 Stempel Tom, Storytellers to the Nation, op. cit., 228.
25 Edgerton Gary R., The Columbia History of American Television, op. cit., p. 309. Citation en anglais : « Hill Street Blues the must-see show on prime time for the 18-49, high-income and well-educated audience that was threatening to defect to cable an pay TV. »
26 Créée par Joshua Brand et John Falsey, 1982-1989, NBC.
27 Thompson Robert J., Television’s Second Golden Age, op. cit., p. 80. Citation en anglais : « From testicular cancer to excessive flatulence, the writers of St. Elsewhere used the guise of clinical jargon to talk about parts and dysfunctions of the human body that could never have gotten by the standards department in any other context. »
28 Winckler Martin, Les miroirs de la vie : Histoire des séries américaines, op. cit., p. 159.
29 L’un des médecins récurrents de la série, le docteur Robert Caldwell (Mark Hamon) meurt du sida pendant la sixième saison. Le docteur Wendy Armstrong (Kim Miyori) se suicide à la fin de la seconde saison : « Wendy s’est suicidée et est devenue le premier membre du casting figurant au générique d’ouverture en tant que cadavre avant la fin de l’année. » Anonyme : http://blogs.indiewire.com/pressplay/returning-to-st-eligius-st-elsewhere-30-years-later-part2 (consulté le 5 octobre 2014). Citation en anglais : « Wendy took her own life and became the first cast member in the opening credits to leave as a corpse before the year was over. »
30 Winckler Martin, « Les médecins du grand au petit écran », Les Tribunes de la santé, 2006/2 no 11, p. 23-30. DOI : 10.3917/seve.011.30.
31 Thompson Robert J., Television’s Second Golden Age, op. cit., p. 96. Citation en anglais : « All of St. Elsewhere is revealed as the autistic fantasy of the child, and, in the final image of the series, the inspiration for that fantasy is shown sitting on TV. »
32 Créée par Barbara Avedon et Barbara Corday, 1982-1988, CBS.
33 Créée par John Sacret Young et William Broyles Jr, 1988-1991, ABC.
34 Thompson J. Robert, Television’s Second Golden Age, op. cit., p. 112. Que nous pouvons traduire par « vont-ils le faire ou non ? »
35 Ibid., p. 113. Traduction en anglais : « They’d read letters from viewers or they’d discuss the show’s slipping ratings, its high incidence of reruns, or its poor showing at the Emmy Awards. »
36 Ibid., p. 113. Citation en anglais : « this was a series about two detectives who knew they were characters in a TV show. »
37 Winckler Martin, Séries télé De Zorro à Friends : 60 ans de téléfictions américaines, op. cit., p. 58.
38 En français, Le rêve était presque parfait.
39 Nous avons évoqué le parcours d’Orson Welles à la radio, il a enregistré une série radiophonique intitulée The Shadow. On retrouve de nombreux extraits à cette adresse : https://archive.org/details/RkoOrsonWelles-TheShadow-RadioRecodings (consulté le 28 septembre 2014).
40 En français, Atomic Shakespeare.
41 C. Ahl Nils et Frau Benjamin (dir.), Dictionnaire des séries télévisées, op. cit., p. 207-208.
42 Winckler Martin, Petit Christophe (dir.), Les séries télé, Montréal, Éditions Larousse, 1999, p. 33.
43 Thompson J. Robert, Television’s Second Golden Age, op. cit., p. 117. Citation en anglais : « In a final self-reflexive joke at the end of the episode, David and Maddie return to their office only to find a network executive supervising its dismantling. Still in character, they go to see a producer, who astutely tells them why they were cancelled. »
44 Créée par David Davis et Lorenzo Music, 1972-1978, CBS.
45 Créée par Barry Kemp et Sheldon Bull, 1982-1990, CBS. Elle produit par la MTM.
46 Séquence disponible via ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=McVWkGWMHKI.
47 Je remercie Sarah Hatchuel d’avoir attiré mon attention sur cet exemple dans son passionnant livre Rêves et séries américaines La fabrique d’autres mondes, Aix-en-Provence, Rouge Profond, 2015, p. 50-51.
48 Carrazé Alain, Les séries télé, op. cit., p. 166. Les premières sorties de compilations en cassette étaient des séries classiques comme Le Fugitif, Zorro, Le Saint, etc.
49 Ibid., p. 151.
50 Ibid., p. 216. TiVo est enregistreur numérique à disque dur qui permet de conserver un programme diffusé à l’antenne et même de zapper les publicités.
51 Jenkins Henry, La culture de la convergence, op. cit., p. 22.
52 Ibid., p. 39.
53 PDG De Time Warner qui possède la chaîne HBO.
54 De La Valette Phalène, « “Game of Thrones” et les bienfaits du piratage », dans Le Point, 17/04/14, URL : http://www.lepoint.fr/series-tv/game-of-thrones-vive-le-piratage-17-04-2014-1813772_2115.php (consulté le 5 septembre 2014).
55 Créée par Kevin Williamson, 1998-2003, The CW.
56 Jenkins Henry, La convergence culturelle, op. cit., p. 154-155.
57 Ce court documentaire revient sur le site de la série et sur son fonctionnement : https://www.youtube.com/watch?v=uzPLlv6WwtU (consulté le 12 octobre 2014).
58 Cette série est aussi la première à proposer des sites de tourisme pour l’école fictive de la fiction, les restaurants, etc. Brooker Will, « Television out of time : Watching cult shows on download », in Reading Lost, Roberta Pearson (ed.), New York, I.B. Tauris, 2009, p. 51-72.
59 Sepulchre Sarah, « La constellation transmédiatique de Breaking bad », in ESSACHESS. Journal for Communication Studies, vol. 4, no 1 (7)/2011, p. 175-186.
60 On peut toujours le consulter à cette adresse : http://www.savewalterwhite.com (consulté le 10 octobre 2014).
61 Sepulchre Sarah, « La constellation transmédiatique de Breaking bad », art. cit., p. 175-186.
62 Jenkins Henry, La culture de la convergence, op. cit., p. 158.