Le combat idéologique contre l'Université et la création des Institutos de Ciencias au Mexique dans la première moitié du XIXe siècle
p. 143-149
Texte intégral
1Parler de l'Université dans le Mexique postindépendantiste nous amène à aborder non seulement son rôle éducatif mais aussi sa fonction sociale ainsi que les événements socio-politiques qui en ont jalonné et déterminé l'existence et le fonctionnement.
L'Université de Mexico
2L'Université de Mexico avait été créée pendant la Colonie, en 1551, et accueillait des élèves, qui provenaient en général des classes aisées de la société de Nouvelle-Espagne (il va sans dire que tous les étudiants étaient de sexe masculin). A l'exclusion de tout autre établissement d'enseignement supérieur, l'Université pouvait conférer des diplômes et des titres. Une fois diplômés, les jeunes gens pouvaient prétendre occuper les postes enviés de l'administration civile et ecclésiastique et par là conserver une position sociale confortable ; en ce sens, il est permis d'affirmer que l'Université servait à perpétuer la stratification et l'organisation sociale coloniales1.
3Outre les enseignements de Rhétorique et de Grammaire, de Théologie et de Médecine (cette dernière chaire fut fondée plus tardivement vers la fin du XVIe siècle seulement), les cours les plus fréquentés étaient ceux de droit civil et de droit canon.
4La préoccupation des professeurs, dans leur majorité des clercs, n'était nullement orientée vers la recherche scientifique, et l'enseignement qui y était dispensé ne reflétait aucun des grands courants intellectuels ou culturels européens2. En fait, deux des plus grands soucis de l'administration coloniale étaient de défendre l'orthodoxie religieuse : de former de bons chrétiens d'une part et, d'autre part, de se donner les moyens de reproduire indéfiniment cette structure figée et archaïque.
5Le second grand centre universitaire de Nouvelle-Espagne, fondé plus tardivement en 1792, fut l'Université de Guadalajara, qui représenta un pôle d'attraction important pour la partie occidentale du territoire en offrant une alternative aux jeunes gens désireux de se préparer aux carrières du Droit, de la Théologie ou de la Médecine.
6Telle qu'elle avait été prévue, l'Université -de Mexico ou de Guadalajara- ne permettait pas l'accès à l'enseignement supérieur de jeunes gens d'origine modeste ; les éléments les plus doués intellectuellement avaient cependant la possibilité de poursuivre leurs études dans des établissements appelés colegios, dotés de fonds propres (généralement des donations de riches mécènes) et administrés également par des religieux. Ces établissements, qui à l'origine étaient comparables à des pensions pour étudiants pauvres, devinrent au fil des années, des annexes de l'Université, au sein desquelles avaient lieu régulièrement certains cours ou les réunions du corps enseignant. Fait non négligeable, les colegios étaient généralement dotés de bibliothèques importantes en ce qui concerne le nombre et la nature des ouvrages.
7Ainsi organisé, ce système étendait à un substrat quantitativement plus important l'influence culturelle et intellectuelle d'une élite au pouvoir temporel et spirituel.
8Il existait d'autres institutions culturelles qui avaient été créées pendant la colonie sous le coup de l'impulsion et du renouveau intellectuel de la nouvelle politique bourbonnienne3 ; il s'agissait d'Académies scientifiques, littéraires ou artistiques dont la fonction était de produire un savoir rationnel et pratique ; on y favorisait l'étude et la divulgation de disciplines telles que l'économie politique, le droit mexicain -à la place du droit romain-, certaines techniques agricoles et industrielles4. Le but poursuivi à travers ces établissements était d'engager le pays sur la voie du progrès non seulement matériel mais aussi culturel et intellectuel.
9Au cours du XVIIIe siècle, le courant philosophique et culturel des Lumières éveilla chez les Mexicains les plus cultivés une soif de savoir inassouvie par les enseignements de type religieux, scolastique et arbitraire de l'Université ; dans le même temps, les modèles politiques et juridiques de nations européennes telles que la France ou la Grande-Bretagne suscitèrent la formation de foyers de réaction à l'encontre de la domination espagnole et de la vice-royauté. Cette réaction naquit avec la nécessité de détruire le contexte idéologique et culturel des structures coloniales5.
10Un nouveau type d'homme apparaissait dont les expectatives et les appétits n'étaient pas satisfaits par l'ordre ancien. La volonté des créoles, généralement réprimée, de participer au gouvernement du pays, d'agir, de travailler, de donner une solide éducation à leurs enfants, exacerba le besoin de liberté, c'est-à-dire la possibilité de réalisation des énergies individuelles. La somme de ces volontés cristallisa, à partir de 1810, au travers du mouvement indépendantiste qui amena au premier plan des préoccupations nationales la question de la reconstruction nationale, des mesures urgentes à adopter en vue du développement économique et, par voie de conséquence, de la politique éducative adéquate. Cette politique éducative du nouvel Etat allait devoir prendre en considération les aspirations de prospérité et de modernité de la société mexicaine et appliquer les réformes nécessaires à cet effet.
Un enseignement scientifique pour une société progressiste
11L'adoption de programmes d'études à dominante scientifique était l'une des exigences de l'époque ; les sciences étaient synonymes, pour qui saurait les comprendre et les appliquer, de progrès. Bien sûr, les intelligences devraient-elles être capables de discerner quels en seraient les bénéfices, pour la nation et pour l'individu : un système éducatif qui prendrait en compte tous ces paramètres serait l'instrument idéal de la transformation des mentalités, non seulement en instruisant les hommes, mais aussi en en faisant des citoyens capables et utiles.
12La Real y Pontificia Universidad de México ainsi que l'Université de Guadalajara, connurent, à partir de l'Indépendance, les vicissitudes consécutives aux bouleversements socio-politiques ; pour les partisans de l'émancipation du territoire américain de la tutelle péninsulaire, amis du progrès matériel et intellectuel, la fermeture de l'Université représentait un moyen efficace de transformer les mentalités en soustrayant les esprits de l'influence cléricale et en les dispensant des connaissances inutiles ; les conservateurs, idéologiquement proches de l'Eglise, voyaient au contraire dans l'Université un instrument au service de leurs intérêts.
13L'éducation, en tant que fonction sociale, est constamment déterminée par la société quelle sert. Or, les promoteurs de cette nouvelle société mexicaine, animés par leur foi dans le pouvoir des sciences et du rationalisme avaient depuis longtemps dénoncé les failles et les carences de l'ancien régime. Le système éducatif, notamment, ne présentait pas les caractéristiques souhaitées pour en faire un agent de progrès, bien au contraire. En souhaitant la fermeture de l'Université en tant qu'institution éducative cléricale, les progressistes mexicains ne s'attaquaient pas à la religion catholique mais au fanatisme religieux, au dogmatisme, à l'obscurantisme qui avaient été autant d'instruments de contrôle spirituel et de facteurs de retard social et économique. Les observateurs avertis étaient unanimes : le Mexique se devait d'atteindre un niveau de développement et de civilisation comparable à celui des nations européennes tout en conservant une identité culturelle propre.
14Au sortir du processus indépendantiste, l'entreprise de construction nationale exigeait la disparition des éléments constitutifs d'une organisation politique et sociale anachronique et inadaptée aux nouvelles circonstances ; l'enseignement supérieur, tel qu'il avait fonctionné jusqu'alors, était élitiste et contraire aux innovations et aux progrès intellectuels et matériels ; il constitua donc la pierre d'achoppement entre les défenseurs de l'enseignement religieux et du maintien de l'Université d'une part et les partisans d'un enseignement basé sur les sciences, l'expérimentation, la démocratisation de l'enseignement supérieur d'autre part.
15L'Université s'était de tout temps identifiée avec les intérêts conservateurs et sa disparition devint l'un des points les plus importants du programme de régénération sociale des progressistes mexicains pour qui l'éducation devait être un moyen efficace de combattre les consciences rétrogrades, de dégager les esprits du joug religieux et de former des citoyens productifs. A partir de l'Indépendance, l'existence de l'Université fut assujettie à l'alternance au pouvoir des libéraux et des conservateurs : dès qu'ils occupaient la magistrature suprême, les premiers se hâtaient d'en déclarer la fermeture ; de retour à la tête du pays, les seconds dictaient les mesures nécessaires à son rétablissement.
16De toute évidence la fermeture de l'Université n'aurait été qu'une vaine mesure si elle ne s'était accompagnée de la fondation d'établissements qui non seulement allaient se substituer à cette institution obsolète mais surtout allaient contribuer à la mise en oeuvre d'un vaste programme économique en formant les spécialistes-ingénieurs, techniciens, hommes de terrains-dont le pays avait besoin.
17Relativement tôt -dès 1827- on assista à la création d'établissements d'un genre nouveau dont les plans d'études faisaient enfin la part belle aux disciplines scientifiques notamment les sciences physiques, la chimie, les sciences naturelles et les mathématiques. Ceci constituait une transformation radicale des habitudes scolaires en introduisant des disciplines propres à développer l'esprit d'observation et les facultés de raisonnement des élèves.
18L'étude et l'enseignement des sciences devenait la base de la culture de l'honnête homme de la même façon que quelques décennies plus tôt, être instruit revenait à bien connaître les classiques grecs et latins.
19L'apparition et le succès d'idées nouvelles et progressistes, la désintégration consécutive du régime colonial et le déclin du contrôle spirituel exercé jusqu'alors par l'Eglise s'accompagnèrent de la création d'institutions qui venaient pallier aux insuffisances académiques de l'Université. Sous le nom de Institutos, ces établissements, parfois subventionnés dans un premier temps par des fonds privés, contribuèrent, sous l'impulsion de leur directeur, des laïcs ou des clercs éclairés, à la démocratisation du savoir et à l'accomplissement d'une plus grande justice sociale. A ce titre, on incita de jeunes indigènes, sélectionnés par voie de concours, à venir étudier dans ces établissements aux frais des municipalités ou du gouvernement des états6.
20Pour des raisons évidentes -difficultés financières, absence de professeurs suffisamment formés-, toutes les capitales d'état ne furent pas le siège d'Institutos. En outre, l'obédience politique des gouverneurs des états fut déterminante pour la naissance d'une certaine conscience éducative et l'installation et le bon fonctionnement consécutifs de ce genre d'établissement. Parmi les Institutos qui furent créés, ceux de Guadalajara, de Zacatecas et de Oaxaca7 furent les établissements les plus florissants non seulement parce qu'ils permirent l'introduction massive et bénéfique de disciplines scientifiques négligées par l'administration coloniale mais aussi parce qu'ils jouèrent un rôle décisif dans le rayonnement des idées libérales.
21En d'autres termes, l'idéologie des libéraux, qui aspiraient à gouverner le Mexique, devait se perpétuer en faisant des adeptes : les établissements scolaires serviraient donc de pépinières de futurs libéraux, épigones des premiers réformateurs. Les professeurs qui y exerçaient leur art n'étaient pas tous des laïcs, mais ils se distinguaient par leurs idées libérales qu'ils se faisaient fort de promouvoir, par leur action éducative. La fondation des Institutos, émancipés du contrôle ecclésiastique, allait contribuer à consolider le processus de construction nationale en brisant les monopoles, en expurgeant la culture, en modifiant les mentalités. Le développement des sciences et leur vulgarisation créèrent chez l'homme libéral le sentiment, qu'il allait promptement disputer à Dieu, de maîtriser la nature et son destin. Pour la première fois au Mexique, les autorités civiles intervenaient dans le processus de formation, non seulement de ses agents, mais aussi des futurs cadres de la nation.
22Dès leur apparition, les Institutos essuyèrent les plus vives critiques en particulier de la part du clergé qui se rendit vite compte que ces établissements, où le savoir dispensé devait conduire à un savoir-faire spécifique et utile, représentaient un réel danger pour son pouvoir. Les effectifs d'étudiants inscrits dans les Institutos se ressentirent gravement des campagnes cléricales menées contre des écoles qui, prétendaient-elles, étaient des repaires d'impies et menaient les élèves à leur perte.
23Au demeurant, l'enseignement dispensé dans les Institutos n'était guère supérieur à celui de l'Université ; toutefois, il s'agissait d'une véritable éducation en ce sens où elle accueillait les innovations et était ouverte sur le monde. Comme jamais auparavant, le fonctionnement des Institutos semblait permettre d'asseoir le développement national sur les bases stables d'une société réformée et du progrès scientifique et technique.
L'organisation formelle du système éducatif
24La création des Institutos était la concrétisation du désir de faire disparaître l'obscurantisme et le dogmatisme du système éducatif ; afin de donner force et cohérence à cette entreprise, il devenait indispensable que cette volonté généralisée prenne corps par le biais d'une organisation éducative officielle. De toute évidence, un tel mouvement de rénovation sociale et éducative ne pouvait avoir lieu sans une planification formelle, sans un programme précis qui proposerait des solutions aux difficultés existantes conformes à l'esprit progressiste.
25A cet égard on ne peut passer sous silence l'oeuvre du cabinet de Valentín Gómez Farias8 qui, en 1833, tenta de faire appliquer une série de lois qui avaient en partie pour but de mettre l'éducation supérieure au service de la nation. Dans cette perspective on décida de la fermeture de l'Université qui n'avait su apporter de solutions aux grands problèmes nationaux. L'influence de la pensée de José Luis Mora, l'un des plus éminents représentants du courant libéral de son époque, lut déterminante ; l'action politique, déclarait-il, devait aller dans le sens du développement, du progrès, de la laïcisation et de la démocratisation de l'éducation ; quant à l'Université, il convenait de la faire disparaître car elle était "inutile, irreformable et pernicieuse"9.
26Ces réformes, qui représentent la dernière opportunité du groupe libéral pour obtenir le contrôle de l'éducation au cours de la première moitié du XIXe siècle, ne devaient pourtant pas être menées à terme : le violent mécontentement soulevé parmi les conservateurs et le clergé par les mesures libérales fut la cause de la destitution de Gómez Farias. Durant les années qui suivirent, les conservateurs s'employèrent à annuler les réformes libérales et à restituer à l'Eglise ses prérogatives perdues10.
27Un immense mouvement d'inquiétudes intellectuelles était pourtant amorcé et les résultats de la gestion libérale ne seraient que différés.
28La fermeture périodique des institutions éducatives héritées de la Colonie11 mit en évidence l'insatisfaction grandissante d'une partie de l'opinion publique à leur endroit. L'Université ne se remit jamais complètement des coups que lui porta le mouvement de réformes et ses compétences, ainsi que le niveau de ses enseignements, faiblirent beaucoup. La substitution de l'Université, en tant qu'institution éducative, par les Institutos marque assurément les débuts d'une éducation stratégique destinée à faire disparaître progressivement les structures coloniales.
Notes de bas de page
1 Lorenzo Mario Luna, "La Universidad : historia académica", Universidad de México, n° 420, vol. XLI, janvier 1986, p. IX.
2 Leonardo Gómez Navas, Política educativa de México, México, Ed. Patria, 1968, p. 46.
3 Lorenzo Mario Luna, op. cit., p. X.
4 La Escuela de Grabados (fondée en 1778), la Academia de Artes de San Carlos (1781), le Jardín Botánico (1788) et le Real Seminario de Minería (1792).
5 Abraham Talavera. Liberalismo y Educación, México, SEP/Setentas, 1973, t. II, p. 12.
6 Deux des plus célèbres furent sans doute Benito Juárez et Ignacio M. Altamirano.
7 L’Instituto de Ciencias de Oaxaca fut fondé en 1827 sur l'initiative de particuliers et reçut ultérieurement l'aide financière du gouvernement de l'état de Oaxaca ; outre la grammaire et la philosophie, on y enseignait le droit canon, privé et public, la médecine et la chirurgie ; dans l'enceinte de l'établissement fonctionnait également une école primaire. En 1827 également, le congrès de l'état de Chihuahua décréta la fondation de la Maison d'Etudes de Chihuahua qui prendrait plus tard le nom de Instituto Científico y Literario. Le gouverneur de l'état de México décida l'ouverture de l'Instituto Científico y literario de Tlalpan en 1827. Dans le même temps, l'état de Zacatecas assistait à la disparation du colegio de San Luis Gonzaga transformé et appelé dès lors Instituto Científico y Literario de García. En 1827. la capitale de l'état du Jalisco célébrait la fondation de l'Instituto de Ciencias del Estado. Dans un premier temps, l'établissement dispensa un enseignement préparatoire et supérieur. Les études supérieures menaient aux professions de médecin-chirurgien, d'avocat, d'ingénieur et d'architecte, de pharmacien et de chimiste.
8 Valentín Gómez Farias était alors vice-président de la République. Le général Santa Anna se trouvait à la tête du pouvoir exécutif.
9 José Luis María Mora, Ensayos, ideas y retratos, México, U.N.A.M., 1979, p. 127.
10 Signalons la tâche de Manuel Baranda, ministre de la Justice et de l'Instruction Publique sous Santa Anna et qui, en 1843, entreprit de réformer les études préparatoires et supérieures en tentant de réaliser la "difficile combinaison entre ce qu'il était nécessaire de détruire et ce qu'il fallait construire" : l'étude des sciences reçut l'approbation officielle et Baranda fit en sorte que les colegios de la capitale n'aient rien à envier aux institutions européennes. Malgré un désir évident de modernité, l'Université ne fut pas fermée car elle représentait un "souvenir permanent des hommes les plus illustres".
11 En dépit de ses carences, l'Université de México exista jusqu'en 1857, date à laquelle Comonfort en décida la fermeture. Le président Zuloaga annula cette mesure mais en 1861 Juárez décréta la disparition de l'Université.
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