1Cet essai s’appuie sur plusieurs années et projets de recherche qui ont aussi donné lieu à des publications d’articles dans plusieurs revues, comme Otrante et TV/Series mais aussi dans des ouvrages publiés aux Presses universitaires de Rennes, avec en particulier PostHumains, frontières, évolutions, hybridités (2014) et Subjectivités numériques et posthumain (2020). Mes recherches sur les figures du posthumain ont en effet commencé en 2009 et restent associées à Elaine Després et à son arrivée sur un support de post-doctorat après sa thèse dirigée par Jean-François Chassay à l’UQAM. Cette rencontre a ensuite donné lieu au montage de plusieurs projets sur le posthumain, projets interdisciplinaires et internationaux, dont celui initié par Pierre Cassou-Noguès, et repris par Arnaud Regnauld en collaboration avec la Corée du Sud. Une dynamique s’enclencha alors et le groupe de collègues et d’universités impliqué·es n’a cessé de s’élargir. Les ami·es du fantastique y ont aussi trouvé leur place. Cette recherche est donc avant tout le fruit d’une dynamique collective qui réunit régulièrement collègues français·es et canadien·nes et qui gravite autour des universités de Paris 8 St Denis, Rennes 2, Paul Valéry Montpellier 3, Lille 3, Brest et l’université du Québec à Montréal.

2Je tiens ici à remercier tout·es ces collègues et ami·es pour la richesse des échanges qui nous ont réuni·es : Sylvie Bauer, Isabelle Boof-Vermesse, Jean-François Chassay, Elaine Després, Bertrand Gervais, Gaïd Girard, Sarah Hatchuel, Gwen Le Cor, Denis Mellier, Monica Michlin et Arnaud Regnauld. Précieuses furent les relectures de Gaïd Girard, David Roche et surtout celle de mon alter ego en sériphilie : Elaine Després, qui s’est par ailleurs chargée d’améliorer les illustrations. Merci, enfin à Figura et au NT2 pour leur invitation à la conférence-midi où j’ai pu débattre de ce livre avec Elaine Després en 2019.