1 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 270.
2 G. Marchais, « Des rives de la Creuse au bord du Claint », art. cit., p. 46 et 54.
3 É.Gérard-Gailly, « Le Premier Amour- René Boylesve et Louise Renaut », art.cit., p. 6.
4 Chauvigné, Le Jardin secret…, op. cit., p. 40-41.
5 Ibid., p. 42.
6 Ibid., p. 15.
7 Ibid., p. 44.
8 Ibid., p. 45.
9 Ibid., p. 46.
10 Ibid., p. 47.
11 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 46.
12 Ibid., p. 70.
13 É. Gérard-Gailly, « La mort et les obsèques d’Alice Mors-Boylesve », Les Heures Boylesviennes, n° XXXVI (2008), p. 22 sqq.
14 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 271.
15 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1927. Introduction de Charles du Bos, p. 13.
16 Marc Aurèle, Pensées, Paris, La Pléiade, 1962, livre IV, p. 1154.
17 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 27. Betty est présente, au moins épisodiquement au 27 de la rue des Vignes et, dans le monde, aux côtés de Boylesve. Henri de Régnier l’y rencontre et l’écrit : « L’autre soir, je dînais chez Boylesve avec Mme Halpérine » (jeudi 5 mai 1921) ; « Hier, chez Boylesve, qui finit une grippe, je retrouve Marcelle C. [sans doute Marcelle Chaumeix] et Betty H. On cause pédérastes. il n’est guère de femme qui ne s’interesse à ces messieurs et n’avoue pour eux un certain goût » (dimanche 12 février 1922) ; « Aujourd’hui, chez [quelques mots biffés, on devine « M.-L. B. », vraisemblablement Marie-Louise Bousquet]. Boylesve et Betty Halpérine » (mercredi 11 octobre 1922). H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit., p. 775, 783 et 789.
18 Chauvigné, Le jardin secret…, op. cit., p. 12 sqq.
19 J.-L. Vaudoyer, Souvenirs de la rue…, op. cit., p. 60.
20 R. Boylesve, Le Meilleur Ami, op. cit., p. 10.
21 R. Boylesve, Mon Amour, op. cit., p. 31-32. Voir d’autres détails sur le fermier général La Popelinière et sur la destruction des arbres du parc en juin 1923 dans F. Lefèvre, « Une heure avec… », art. cit., p. 180-181.
22 R. Boylesve, Souvenirs du jardin détruit, op. cit., p. 86.
23 Ibid., p. 5.
24 R. Boylesve, Souvenirs du jardin détruit, op. cit., p. 81.
25 Ibid., p. 66.
26 Ibid., p. 65.
27 Ibid., p. 86.
28 R. Boylesve, Souvenirs du jardin détruit, op. cit., p. 86.
29 Préface de René Boylesve pour les Souvenirs du jardin détruit citée par E. Jaloux, « L’Esprit des livres », 2e série, De Pascal à Barrès, Paros, Plon, 1927, p. 153. Cette préface ne figure ni dans l’édition Ferenczi, ni dans celle plus récente chez Salvy.
30 H. Bordeaux, Souvenirs sur Proust et Boylesve, op. cit., p. 134.
31 F. Lefèvre, « Une heure avec… », art. cit., p. 175-186.
32 M. Martin du Gard, Les Mémorables, op. cit., p. 347.
33 Chauvigné, Le Jardin secret…, op. cit., p. 198.
34 H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit., p. 781.
35 Voir la notice de Jacques-Alexandre Bixio (1808-1865) dans l’Encyclopédie Larousse, vol. I, p. 247, 1922.
36 R. Dumesnil, L’Époque réaliste et naturaliste, Paris, Tallandier, 1945. Cité dans H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit.,p. 950, n. 12. Voir aussiJ. Claretie, La vie à Paris -1898, Paris, Bibliothèque Charpentier, 1899. Le chapitre IX donne des indications plus étendues sur ce fameux dîner et fait état d’une date de création différente : 1856, tout en indiquant qu’il « existait avant son baptême ».
37 R. Boylesve, « Premières réflexions sur l’œuvre de Marcel Proust », art. cit., p. 63-79.
38 Gide, Journal, op. cit., t. 1, p. 1248.
39 F. Lefèvre, « Une heure avec… », art. cit., p. 184.
40 M. Martin du Gard, Les Mémorables, op. cit., p. 402-403.
41 Voir ici, chapitre XI.
42 É. Gérard-Gailly, « Le Diagnostic », Les Heures Boylesviennes, n° XXII (1989), p. 5.
43 É. Gérard-Gailly, « Le Diagnostic », art. cit., p. 6-7.
44 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 274-275.
45 Ibid., p. 275.
46 G. Marchais, René Boylesve, témoin de l’agonie de la bourgeoisie terrienne », Les Heures Boylesviennes, n° IV (1972), p. 58. Là encore, c’est tout l’ensemble du chapitre iii, « la mort de Courance », extrêmement documenté, qu’il faudrait citer ici. Dans ces lignes est bien décrite la longue agonie du domaine de la tante Félicie, Mariesophie Clémence Janneau : la Barbotinière. Y sont relatées les tergiversations de René, les tiraillements occasionnés par Marie, les « manœuvres » de ceux chargés de la gestion du domaine en l’absence des propriétaires : une véritable tragédie.
47 M. Martin du Gard, Les Mémorables, op. cit., p. 327.
48 Ibid. Les pages 498 à 516 de ces chroniques narrent avec humour et brio les péripéties de cette élection longtemps indécise.
49 M. Martin du Gard, Les Mémorables, op. cit., p. 515.
50 A. Chauvigné, Le jardin secret…, op. cit., p. 200.
51 Voyage que fit en réalité des Gachons sans Boylesve. Voir ici, p. 128, n. 22.
52 Rébénacq. Les Basses-Pyrénées sont aujourd’hui dénommées Pyrénées-Atlantiques. Voir ici, p. 343.
53 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 68-69.
54 C’était donc le 9 janvier 1926.
55 Vraisemblablement Émile Gérard-Gailly.
56 Au n° 55 selon Émile Gérard-Gailly. Le bulletin de décès porte toutefois le n° 59.
57 J.-L. Vaudoyer, Souvenirs de la rue…, op. cit., p. 64-65.
58 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 70.
59 D. Mornet, Histoire de la littérature…, op. cit., p. 161.
60 Adaptation moderne par Maurice Donnay de la pièce d’Aristophane.
61 R. Boylesve, Tu n’es plus rien, op. cit.
62 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 36-37.
63 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 273-274.
64 M. Piguet, Émile Gérard-Gailly…, op. cit., p. 75 sqq.
65 M. Piguet, Les Heures Boylesviennes, n° XXIII (1990) et É. Gérard-Gailly, Notes sur René Boylesve, Paris, Albert, 1937.
66 Albalat, Souvenirs de la Vie Littéraire, op. cit., p. 108.
67 H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit., p. 493.
68 J.-L. Vaudoyer, Souvenirs de la rue…, op. cit.
69 J. des Gachons, « souvenirs de la trentième année », art. cit., p. 57-58.
70 É. Gérard-Gailly, « Les Logis parisiens… », art. cit., p. 16.
71 J.-L. Vaudoyer, Dédié à l’Amitié et au Souvenir, Paris, Plon, 1947, p. 69.
72 G. Marchais, « René Boylesve et la poésie », art. cit., p. 20.
73 É. Gérard-Gailly, « Les Logis parisiens… », art. cit., p. 17.
74 Voir ici, p. 88.
75 J.-L. Vaudoyer, Dédié à l’Amitié…, op. cit., p. 68.
76 E. Lefort, La Touraine de René Boylesve, op. cit.
77 E. Lefort, La Touraine de René Boylesve, op. cit., préface de J.-L. Vaudoyer, p. 6.
78 Ibid. Cette lettre figure dans A. Chauvigné, Le jardin secret…, op. cit., p. 170 à 173.
79 J.-L. Vaudoyer, Dédié à l’Amitié…, op. cit., p. 69.
80 M. Piguet, Émile Gérard-Gailly…, op. cit., p. 169.
81 Voir ici, p. 198 sqq. ainsi, in fine, que la liste des ouvrages de Boylesve.
82 É. Gérard-Gailly, « Hommage à deux fondateurs disparus », art. cit., p. 3.
83 H. Bordeaux, Souvenirs sur Proust et Boylesve, op. cit., p. 133.