1 R. Boylesve, Voyage aux Iles Borromées, op. cit., p. 54-55.
2 Ibid., p. 24.
3 R. Boylesve, Voyage aux Iles Borromées, op. cit., p. 19.
4 Id., Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 258.
5 M. Piguet, Émile Gérard-Gailly. Un humaniste au xxe siècle, Gimbrett, 1993, p. 18.
6 Ghislaine est l’un des prénoms de la mère d’Émile Gérard-Gailly. M. Piguet, Émile Gérard-Gailly…, op. cit., p. 11.
7 Y. Aublet et J. Gy, Dans la tourmente de la Grande Guerre : Deauville, Trouville et le canton, Cabourg, Les Cahiers du Temps, 2004, p. 10-11.
8 Y. Aublet et J. Gy, Dans la tourmente…, op. cit., p. 46-47.
9 Ibid., p. 50.
10 Ibid., p. 51.
11 Ibid., p. 60.
12 Y. Aublet et J. Gy, Dans la tourmente…, op. cit., p. 23.
13 M. Piguet, Émile Gérard-Gailly…, op. cit., p. 20.
14 Ibid., p. 20.
15 H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit., p. 816.
16 M. Piguet, « La guerre de 1914-1918 dans la vie et l’œuvre de René Boylesve », Les Heures Boylesviennes, n XVI (1981), p. 5.
17 R. Boylesve, Mon Amour, op. cit., p. 75-76.
18 É.Gérard-Gailly,« ExamendedeuxEssais », Les Heures Boylesviennes, n VII (1972), p. 17.
19 Albalat, Souvenirs de la vie littéraire, op. cit., p. 107.
20 É. Gérard-Gailly, « Examen de deux Essais », art. cit., p. 17.
21 Chauvigné, Le Jardin secret de René Boylesve, Paris, Éditions Ferenczi et Fils, 1927, p. 161.
22 G. Marchais, « René Boylesve et la poésie », art. cit., p. 16.
23 Ibid., p. 16.
24 É. Gérard-Gailly, « Examen de deux Essais », art. cit.
25 R. Boylesve, Les Bonnets de Dentelle, op. cit., p. 156.
26 R. Boylesve, La Becquée, op. cit., p. 52-53.
27 Id., Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 332.
28 Id., Feuilles Tombées, op. cit., 1927, p. 162.
29 Id., Sainte-Marie des Fleurs, op. cit., p. 202.
30 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 301.
31 Ibid., « Le P’tiot », p. 66.
32 É. Gérard-Gailly, « Examen de deux Essais », art. cit., p. 18.
33 R. Boylesve, Réflexions sur Stendhal, Paris, Le Divan, 1929.
34 R. Boylesve, Réflexions sur Stendhal, op. cit., avant-propos, p. 7-9.
35 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 216.
36 Cité par Gilbert sigaux : R. Boylesve, L’Enfant à la Balustrade, op. cit., 1961, préface, p. 19.
37 Chauvigné, Le Jardin secret…, op. cit. Cité par l’abbé G. Marchais, « Des rives de la Creuse au bord du Claint », art. cit., p. 17.
38 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 225.
39 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 293.
40 Ibid., p. 231-232.
41 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 232.
42 Id., Le Bonheur a Cinq Sous, Paris, Calmann-Lévy, 1917. Édition adressée à Jean-Louis Vaudoyer (signée B.), juillet 1917.
43 Saint Fridolin est donné pour être l’apôtre de l’Allemagne. Le nom fut bien entendu, tant en 1870 qu’en 1914 employé assez couramment… par dérision.
44 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Le Prince Bel-Avenir et le chien Parlant », p. 332.
45 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Le Prince Bel-Avenir et le chien Parlant », p. 12.
46 Billy, La Littérature Contemporaine, Paris, Armand Colin, 1927, p. 78.
47 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Leur Cœur », p. 309.
48 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Les deux aveugles », p. 53.
49 Ibid., « Le Rayon de soleil », p. 85.
50 Ibid., « Un miracle », p. 101.
51 Ibid., « Le prisonnier », p. 165.
52 Ibid., « Amélie ou une humeur de guerre », p. 198.
53 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Leur Cœur », p. 309-310.
54 Ibid., « Les pommes de terre », p. 137.
55 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Maternité », p. 250-251.
56 Ibid., « Ça me rappelle quelque chose »,p.188-189.
57 Maciste est le pseudonyme de l’acteur italien Bartolomeo Pagano, acteur du film de Giovanni Pastrone Cabiria de 1913.
58 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 239-240.
59 Ibid., p. 229. Boylesve connaît Blanche depuis déjà longtemps. Ce dernier lui dédicacera le 3e volume de la série des « Cahiers d’un artiste » qui paraîtra chez Émile-Paul en 1917. « À René Boylesve, j’offre ce troisième volume, où l’éternelle comédie humaine se joue au milieu du drame. Son ami. J.-É. Blanche. » Il brossera également à l’huile sur toile, en 1917, le portrait de Boylesve.
60 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 241.
61 R. Boylesve, Feuilles Tombées, op. cit., 1947, p. 240-241
62 Id., Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « L’homme jeune », p. 122.
63 R. Boylesve, Le Bonheur a Cinq Sous, op. cit., « Les six jours », p. 200.
64 Ibid., « Le permissionnaire », p. 240-241
65 R. Boylesve, Tu n’es plus rien, Paris, Albin Michel, 1917.
66 G. Truc, Introduction à la lecture…, op. cit., p. 19-20.
67 É. Gérard-Gailly, « Hommage à deux fondateurs disparus », Les Heures Boylesviennes, n Xi (1975), p. 2.
68 R. Boylesve, Tu n’es plus rien, op. cit., p. 41.
69 Ibid., p. 12.
70 R. Boylesve, Tu n’es plus rien, op. cit., p. 42.
71 Ibid., p. 16.
72 Ibid., p. 21.
73 Loc. cit.
74 R. Boylesve, Tu n’es plus rien, op. cit., p. 66.
75 Ibid., p. 82.
76 Ibid., p. 108.
77 Ibid., p. 33-34.
78 Ibid., p. 84.
79 Ibid., p. 108.
80 Discours de Réception à l’Académie Française, op. cit., p. 28.
81 H. de Régnier, Les Cahiers…, op. cit., p. 738. Paul Adam souhaitait alors se présenter au fauteuil du marquis de Vogüé. Il ne l’obtiendra pas. Il se présentera en 1919 au fauteuil de Rostand. Sans succès. La chance sourira à Boylesve.