1 Giuseppe Fiorini Morosini, « François de Paule à Tours et l’origine de l’ordre des Minimes en France », Bolletino ufficiale dell’Ordine dei Minimi, t. 46, n° 1, 1998, p. 161-178.

2 S. Francesco di Paola, chiesa e società del suo tempo. Atti del convegno internazionale di studio, Paola, 20-24 maggio 1983, Rome, Curia generalizia dell’ordine dei Minimi, 1984.

3 L’eremita Francesco di Paola viandante et penitente. Atti del Convegno internazionale di studio, Paola, 14-16 settembre 2000, Rome, Curia generalizia dell’ordine dei Minimi, 2006.

4 Convegno di studi sulla IV Regola dei Minimi nel V Centenario della sua approvazione (1506-2006), Rome, Vatican, 24-26 mars 2006, Giuseppe Fiorini Morosini (dir.), Rome, Curia generalizia dell’ordine dei Minimi (à paraître). Le présent volume réunit les communications des colloques de Tours et de Beauregard-l’Évêque (20-23 septembre 2007).

5 Yvonne Labande-Mailfert, « Charles VIII et François de Paule », dans S. Francesco di Paola, chiesa e società, op. cit., p. 223.

6 Voir sur ce point la thèse de Bernard Chevalier, Tours ville royale (1356-1520). Origine et développement d’une capitale à la fin du Moyen Âge, Paris-Louvain, Vander-Nauwelaerts, 1975, livre III, chap. 5, où l’auteur évoque l’hésychasme. Voir aussi sa communication : « Saint François de Paule à Tours », dans S. Francesco di Paola, chiesa e società, op. cit., p. 184-208.

7 Avant la mort de François, Bourdichon avait pris des croquis de l’ermite, Robert Fiot, « Jean Bourdichon et saint François de Paule », Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. LV, 1961.

8 Voir la thèse de Marcel Girault, Le Chemin de Regordane, thèse de l’université de Tours, 1980. Robert Sauzet, Les Pèlerinages du diocèse de Nîmes, enquête dirigée par Alphonse Dupront, EHESS, 6 section, 1966.

9 Pierre Blet, Le Clergé de France et la monarchie. Étude sur les assemblées du clergé de 1615 à 1666, Rome, Éd. de l’Université grégorienne, 1959, t. I, p. 235-242. Robert Sauzet, Contre-Réforme et Réforme catholique en Bas-Languedoc. Le diocèse de Nîmes au xvii^e siècle, Paris-Louvain, Publications de la Sorbonne, 1979, p. 61-2.

10 Frédéric Meyer, art. « Minimes » et « Minimesses », dans Guide pour l’histoire des ordres et des congrégations religieuses, Daniel-Odon Hurel (dir.), Turnhout, Brepols, 2001, p. 181-189.

11 Yves Krumenacker, L’École française de spiritualité. Des mystiques, des fondateurs, des courants et leurs interprètes, Paris, Le Cerf, 1998.

12 Dominique Julia, L’Éducation en France du xvi^e au xvii^e siècle, Paris, SEDES, 1976, p. 241-242. Les religieuses (dites de Saint-Maur, du nom de leur noviciat parisien) furent établies à Alès et à Nîmes avec l’espoir, assez chimérique, de convertir effectivement les enfants de « nouveaux catholiques » restés irréductiblement protestants après la révocation de l’édit de Nantes. Voir sur ce point R. Sauzet, Contre-Réforme. op. cit., p. 451-452 et 487.

13 Louis Dony d’Attichy, Histoire générale de l’ordre sacré des Minimes, Paris, Sébastien Cramoisy, 1624, p. 318. Denis Crouzet, Les Guerriers de dieu, la violence au temps des troubles de religion vers 1525-1610, Seyssel, Champ Vallon, 2002, p. 421-422.

14 Benoist Pierre, Le Père Joseph. L’Éminence grise de Richelieu, Paris, Perrin, 2007, p. 293-294.

15 Benoist Pierre, La Bure et le Sceptre. La congrégation des Feuillants dans l’affirmation des états et les pouvoirs princiers (vers 1560-vers 1660), Paris, Publications de la Sorbonne, 2006, p. 275-276 et 394-395. R. Sauzet, Contre-Réforme, op. cit., p. 224-226. Fabienne Bliaux, « Minimes et Minimesses à Amiens et à Abbeville au xvii^e siècle », Bolletino ufficiale dell’Ordine dei Minimi, Rome, 1998, n° 1-2, p. 179-192. Au titre des convergences historiographiques, j’évoquerai les travaux de Françoise Hildesheimer et notamment son article : « Au cœur religieux du ministériat. La place de Dieu dans le Testament politique de Richelieu », RHEF, t. 84, n° 212, 1998, p. 21-38.

16 Lettres citées par Antoine Dondé, Les Figures et l’abrégé de la vie, de la mort et des miracles de saint François de Paule ; Paris, F. Muguet, 1671, p. 147. Robert Fiot, « Saint François de Paule et la réforme des réguliers », RHEF, t. 65, n° 174, 1979, p. 165. Jean-Marie Le Gall, Les Moines au temps des réformes : France, 1480-1560, Seyssel, Champ Vallon, 2001, p. 51.

17 Joël Fouilleron, « Mémoire religieuse ou religion de la mémoire ? Les Minimes de Béziers et leurs livres 1609-1670 », Liame. Bulletin du centre d’Histoire moderne et contemporaine de l’Europe méditerranéenne et de ses périphéries, 1999, n° 3, p. 1-147.

18 B. Chevalier, « Saint François de Paule à Tours », dans S. Francesco di Paola, chiesa e società, op. cit. Dans sa thèse, Bernard Chevalier évoque la lettre de saint François datée du 23 mars 1505, citée par A. Dondé, op. cit., p. 151-152. Robert Sauzet, « Le milieu dévot tourangeau et les débuts de la Réforme catholique », RHEF, 1989, t. LXXV, n° 194, p. 159-166.

19 Voir M. Venard, « Les Minimes dans la réforme catholique, avant et après le concile de Trente », dans L’eremita Francesco di Paola viandante et penitente, op. cit., p. 364.