1Je tiens à remercier les professeurs Jean-Robert Pitte et Fukuda Ikuhiro qui ont suivi ce projet depuis le début, parfois envers et contre tout, et dont les remarques et suggestions ont toujours été précieuses. Je remercie aussi tous les parents et amis qui m’ont soutenu et encouragé dans cette recherche, notamment Hélène Baumert pour sa relecture du manuscrit final, et surtout ma femme, Shôko, pour sa compréhension face à une vie forcément compliquée et pour m’avoir très souvent servi de guide.

2Pour ce livre, qui fut d’abord une thèse, je tiens à remercier l’UFR de géographie de l’Université Paris-Sorbonne, le laboratoire ENEC (UMR 8185 CNRS), la Maison franco-japonaise (UMIFR 19 CNRS-MAE), la Chancellerie des universités de Paris et le Collège doctoral franco-japonais pour les aides matérielles et l’encadrement scientifique apportés tout au long du travail. Je voudrais particulièrement exprimer ma reconnaissance à l’Université Waseda de Tôkyô qui m’a accueilli en échange pendant trois ans et à l’Université de Nagoya (en particulier l’unité « Mei-Writing »).

3Cet ouvrage n’existerait pas sans les professionnels du saké. À ce titre, je les remercie pour leur disponibilité et leurs nombreuses explications. Je leur suis surtout reconnaissant pour l’intensité des rencontres offertes auxquelles les pages de ce livre ne peuvent rendre toute la richesse. Il est impossible de les citer tous mais je pense particulièrement à M. Yusa, M. Wakabayashi et M^me Obata. Je remercie aussi tous les fabricants qui ont consacré un peu de leur temps pour répondre à mes enquêtes et qui ont bien souvent ajouté des encouragements à leurs réponses. Leur situation n’est pas toujours facile et les conséquences du tremblement de terre du 11 mars 2011 ont pour certains d’entre eux été très dures. Puisse ce livre rendre hommage à leur travail.