1 Voir Lacambre Jean, « Un Style international en 1850 : à propos de l’exposition Delaroche », Revue du Louvre et des musées de France, no 56,/1984, p. 337-340 ; Allard Sébastien, « Quelques réflexions sur Paul Delaroche et son influence en Europe », dans Les Artistes étrangers à Paris : de la fin du Moyen Âge aux années 1920, éd. par M.-C. Chaudonneret, Bern, Lang, 2007, p. 193-201 ; Nerlich France, La Peinture française en Allemagne 1815-1870, Paris, Maison des sciences de l’homme, 2010 ; Bann Stephen, « Paul Delaroche’s German Reception », dans Dialog und Differenzen, 1789-1870, deutsch-französische Kunstbeziehungen, éd. par I. Jansen, F. Kitschen et G. Ho, Berlin, Deutscher Kunstverlag, 2010, p. 139-151 ; Paccoud Stéphane, « The “historical genre” as an international Style : the influence of Paul Delaroche on Jósef Simmler and polish history painters », dans European History Painting in the 19th century – Mutual Connections, Common Themes, Differences, éd. par O. Rafał et B. Wojciech, Cracovie, Universitas, 2011, coll. « Ars Vetus et Nova », p. 155-175.
2 L’objectif de ma thèse de doctorat, La Réception de Paul Delaroche en Allemagne, dirigée par Bénédicte Savoy (TU Berlin), s’inscrit dans le projet ArtTransForm – Formations artistiques transnationales entre la France et l’Allemagne. Il s’agit de mettre en évidence des exemples de transferts culturels entre Delaroche et l’Allemagne et de retracer sa réception artistique et textuelle dans ce pays.
3 Voir Boime Albert, The Academy and French Painting in the Nineteenth Century, New Haven, Yale University Press, 1986, p. 56-58 ; Hauptman William, « Delaroche’s and Gleyre’s teaching ateliers and their group portraits », Studies in the History of Art, vol. 18, p. 79-119, ici p. 80-82 ; Martin-Fugier Anne, La Vie d’artiste au xixe siècle, Paris, Audibert, 2007, p. 47-48.
4 Bann Stephen, « Essor et déclin d’une réputation », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, éd. par C. Allemand-Cosneau et I. Julia, catalogue d’exposition, Nantes, musée des Beaux-Arts, Montpellier, musée Fabre, Paris, RMN, 1999, p. 18-35.
5 Voir Allard Sébastien et Chaudonneret Marie-Claude, Le Suicide de Gros : les peintres de l’Empire et la génération romantique, Montreuil, Gourcuff Gradenigo, 2010. Voir aussi le texte de Clémentine Garcia dans ce volume.
6 Voir Martin-Fugier A., La Vie d’artiste…, op. cit., p. 47 ; Boime A., The Academy…, op. cit., p. 56 ; Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 252 : liste des élèves de Delaroche ayant concouru pour le Prix de Rome.
7 Voir le texte de Nina Struckmeyer dans ce volume.
8 L’atelier personnel de Delaroche se trouve depuis la même année au 7, rue de la Tour-des-Dames, dans un hôtel construit par l’architecte Constantin. Voir Julia Isabelle, « Biographie », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 251.
9 Cette liste des élèves est incomplète : Goddé Jules, Œuvre de Paul Delaroche reproduit en photographie par Bingham accompagné d’une notice sur la vie et les ouvrages de Paul Delaroche par Henri Delaborde et du catalogue raisonné de l’œuvre par Jules Goddé, Paris, Goupil, 1858.
10 Le projet ArtTransForm a permis de révéler la présence de ces artistes dont on n’avait guère la trace. Parmi les élèves allemands de Delaroche avant 1835, on trouve : Bernhardt, Josef ; Bouterwek, Friedrich August ; Eybel, Adolf ; après 1843 : Fay (Fey), Joseph ; Seel, Richard ; Martin, Paul ; Nahl, Karl ; Weyde, Julius ; Donner von Richter, Otto ; Heilbuth, Ferdinand. Voir Pariser Lehrjahre – Ein biographisches Lexikon deutscher Maler in Paris, 1793-1843, éd. par F. Nerlich et B. Savoy, Berlin, Boston, De Gruyter Verlag, 2013.
11 Voir le texte de Cédric Lesec dans ce volume.
12 « Nach genauer Zählung finde ich unter den dreytausend Nummern des Katalogs nur neunundzwanzig jener heiligen Gemälde verzeichnet, während allein schon derjenigen Gemälde, worauf Scenen aus Walter Scotts Romanen dargestellt sind, über dreyßig gezählt werden. Ich kann also, wenn ich von französischer Malerey rede, gar nicht mißverstanden werden, wenn ich die Ausdrücke “historische Gemàlde” und “historische Schule” in ihrer natürlichsten Bedeutung gebrauche. Delaroche ist der Chorführer einer solchen Schule. Dieser Maler hat keine Vorliebe für die Vergangenheit selbst, sondern für ihre Darstellung, für die Veranschaulichung ihres Geistes, fur Geschichtsschreibung mit Farben. » Heine Heinrich, « Salon de 1831 », Historisch-kritische Gesamtausgabe der Werke, éd. par M. Windfuhr, t. XII/1, Hamburg, Hoffmann und Campe, 1980, p. 9-62, ici p. 34-35 (allemand), p. 424-447, ici p. 440-441 (français).
13 Selon France Nerlich, l’article d’Heinrich Heine sur Delaroche « nous permet de saisir une fois de plus l’importance de ce peintre dans la réflexion esthétique de l’époque et son impact majeur dans les débats artistiques sur la peinture d’histoire en Allemagne », Nerlich France, « Heinrich Heine et la peinture du temps présent. Ou comment rompre avec le romantisme allemand grâce à Paul Delaroche », dans Heinrich Heine und die Kunstkritik seiner Zeit, éd. par R. Häfner, Heidelberg, Universitätsverlag Winter, 2010, p. 101-132 ; voir aussi Bann Stephen, « Une nouvelle vision de l’histoire », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 36-67.
14 Voir Berlin, PrAdK, Nr. 152, f° 144 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 17 septembre 1833.
15 Voir Berlin, GStA PK, I. HA, Rep. 76 Ve, Sekt. 17, Abt. V, Nr. 1, Bd. 2, f° 4-11 : Johann Gottfried Schadow au ministère, Berlin, le 22 janvier 1833.
16 « diese Mängel […] sind es, die in Paris und nicht in Rom ihre strengsten Richter finden werden, wie überhaupt jede Verletzung äußerer Form dort strenger als anderswo gerügt wird. » Berlin, PrAdK Nr. 152, f° 133 : Carl Joseph Begas à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Berlin, le 9 septembre 1832. Sur Carl Begas, voir Robert Skwirblies, « Carl Joseph Begas », dans Pariser Lehrjahre – Ein biographisches Lexikon deutscher Maler in Paris, 1793-1843, éd. par F. Nerlich et B. Savoy, Berlin, Boston, De Gruyter Verlag, 2013, p. 14-19.
17 Ibid.
18 Berlin, PrAdK, Nr. 152, f° 148-149 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 23 novembre 1833.
19 L’œuvre est présentée à l’exposition de la Société des amis des arts à Berlin en 1834 : « Die ganze Anordnung des Bildes, die Gruppierung und die Haltung der Hauptmassen zeugt von hohem Talente und grosser Einsicht. Die einzelnen Figuren sind nicht neben einander gestellt sondern greifen lebendig in die Handlung ; sie drängen sich nicht einzeln hervor, sondern wirken grossartig nur auf den Gesammtzweck hin. Das Verständnis der Zeichnung ist unübertrefflich ; wir entsinnen uns nicht in neuerer Zeit etwas ähnliches gesehen zu haben ; besonders die Gestalt des Orestes ist vollendet zu nennen. » Anonyme, « Ausstellung des Vereins der Kunstfreunde im Preussischen Staate », Museum, Blätter für bildende Kunst, II, 1834 (12), Berlin, le 24 mars 1834, p. 91-94, ici p. 93-94.
20 Voir Berlin, PrAdK, Nr. 152, f° 140-141 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 26 avril 1833 ; ibid., f° 148-149 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 23 novembre 1833.
21 Ibid., f° 140-141 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 26 avril 1833.
22 Voir Renié Pierre-Lin, « Delaroche par Goupil : portrait du peintre en artiste populaire », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 172-199, ici p. 173-176.
23 Voir Brunei Georges, « Delaroche et le projet de la Madeleine », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 87-102.
24 Voir Berlin, PrAdK, Nr. 152, f° 150 : Christian Daniel Rauch à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Berlin, le 14 janvier 1834.
25 Berlin, PrAdK, Nr. 152, f° 151 : Bouterwek à l’Académie des beaux-arts de Berlin, Paris, le 23 février 1834.
26 Voir Brunel G., « Delaroche et le projet… », art. cit., p. 97-100.
27 « Monsieur Bouterwek, mon élève, a obtenu les trois médailles d’or accordées aux artistes à la suite des Expositions du Louvre. Ces justes récompenses méritent, j’espère, la protection de M. le ministre. Ce jeune artiste est plein de confiance et d’un grand savoir. », lettre citée par Auvray Louis, « Bouterweck, sa vie et ses œuvres », Revue artistique et littéraire, 1870, t. XVIII, p. 171-176, 206-215, 260-271, ici p. 210.
28 Voir Ebeling Jörg, « Jacob Ignaz Hittdorf und die preußische Gesandtschaft », dans Dialogund Differenzen…, op. cit., p. 43-56.
29 Voir Pecht Friedrich, Kunst und Kunstindustrie auf der Weltausstellung von 1867 : Pariser Briefe, Brockhaus, Leipzig, 1867 ; Pecht Friedrich, Geschichte der Münchener Kunst im neunzehnten Jahrhundert, Munich, Verlags-Anstalt für Kunst-und Wissenschaft, 1888 ; Pecht Friedrich, Deutsche Künstler des neunzehnten Jahrhunderts : Studien und Erinnerungen, 4 t., Nördlingen, Beck, 1877-1885 ; Bringmann Michael, Friedrich Pecht (1814-1903). Maßstäbe der deutschen Kunstkritik zwischen 1850 und 1900, Berlin, Gebrüder Mann Verlag, 1982.
30 Pecht Friedrich, Aus meiner Zeit, Lebenserinnerungen von Friedrich Pecht, 2 t., Munich, Bruckmann, 1894, t. I, p. 167-215.
31 « Friedrich Pecht 02072 », Matrikelbuch 1809-1841, http://matrikel.adbk.de/050rdner/mb_1809-1841/jahr_1833/matrikel-02072 (consulté le 01/10/11) ; Pecht F., Aus meiner Zeit…, op. cit., p. 153-166.
32 Ibid., p. 167.
33 Eduard Avenarius, libraire-éditeur, est propriétaire d’un cabinet de lecture. « Après avoir travaillé plusieurs années en qualité de commis chez F. A. Brockhaus à Leipzig, il fonde en 1836 dans cette ville, avec Georg Hartmann Friedlein, une librairie de littérature allemande et étrangère, à l’enseigne « Avenarius et Friedlein », dissoute dès le 31 mars 1837, date à laquelle F. A. Brockhaus devient sociétaire de l’entreprise. Après la fusion, Avenarius s’installe à Paris avec pour objectif la diffusion de la littérature allemande à l’étranger et la propagation en Allemagne de la littérature étrangère, notamment française. Le siège parisien de la société « Brockhaus et Avenarius, successeurs de Bossange père, Libraire du Roi, est au 60 [à partir de 1841 au 69] rue Richelieu. » Jeanblanc Helga, Des Allemands dans l’industrie et le commerce du livre à Paris (1811-1870), Paris, CNRS Éditions, 1994, p. 215 ; voir aussi « Avenarius, Eduard Ludwig Friedrich », dans Neue Deutsche Biographie, t. I, 1953, p. 466.
34 Louis-Jules Étex, « peintre français […], est élève d’Ingres. Il débuta au Salon de 1833 et fut, quelques années plus tard, chargé par le gouvernement de copier la Madone de Saint-Sixte de Raphaël, à Dresde, pour la cathédrale d’Agen. Après un nouveau voyage en Saxe, un autre en Italie, Étex a donné aux divers salons annuels, depuis 1838 », Bitard Adolphe, Dictionnaire général de biographie contemporaine, français et étrangère, Paris, Dreyfuss, 1878, p. 441.
35 Voir Pecht F., Aus meiner Zeit…, op. cit., p. 172.
36 « Ich fand einen kleinen Mann mittleren Jahren, dessen scharfgeschnittener Kopf eine gewisse Ähnlichkeit mit Napoleon hatte, auf die er sich nicht wenig zu guthe that […]. Er malte in einem durch seine kahle Nüchternheit merkwürdig von den heutigen abstechenden Atelier gerade an drei riesigen Bildern aus der Geschichte Karls des Großen für das Museum zu Versailles. », ibid., p. 172-173.
37 Ibid., p. 173.
38 « Inzwischen trat ich nun in das Atelier Delaroches wirklich ein und fand mich da in einem unglaublich wüsten, von zwei großen Atelierfenstern beleuchteten Raum, unter einem halben Hundert oft noch sehr grüner Jungen, die da in vier Reihen dicht aufeinander gedrängt sitzend im Schweiße ihres Angesichts ein Modell abmalten oder zeichneten. [… ] Das Atelier Delaroches hatte den Ruf, wie das größte auch das wildeste zu sein und enthielt jedenfalls die begabtesten, aber auch die ausgelassensten Schüler von allen. », ibid., p. 177.
39 Martin-Fugier A., La Vie d’artiste…, op. cit., p. 48.
40 « Nach altem Herkommen empfingen sie den Neuling nichts weniger als verbindlich, sondern es begann sofort ein Kreuzfeuer von Witzen über ihn, und sein Zerrbild ward auf alle Staffeleien gezeichnet. Ich lachte über die Witze und freute mich der Karikaturen. Das hatte zur Folge, daß die Neckerein bald aufhörten, die bei den anderen oft wochenlang fortdauerten, wenn diese sich erhitzten, ja zur unbändigen Qualerei des Neulings ausarteten, der dem alten Brauch zufolge erst geduckt werden mußte. » Pecht F., Aus meiner Zeit…,op. cit., p. 177.
41 Voir Mai Ekkehard, Die deutschen Kunstakademien im 19. Jahrhundert. Künstlerausbildung zwischen Tradition und Avantgarde, Köln-Weimar-Wien, Böhlau, 2010, p. 132-142.
42 « Trotz des unaufhörlichen Lärms arbeitete man sehr fleißig, und der uns dreimal wöchentlich besuchende Delaroche war ein sehr strenger, aber vortrefflicher Lehrer, wenn er auch der großen Verschiedenheit der Individualitäten seiner Schüler wenig Rechnung trug. », dans Pecht F., Aus meiner Zeit…, op. cit., p. 179.
43 « Denn hier handelte es sich ja bloß um den Schulsack, zunächst um die Kenntnis des menschlichen Körpers und die Fähigkeit, ihn mit Feinheit wiederzugeben. », ibid.
44 « obwohl er uns über die Behandlung der Komposition vortreffliche Dinge sagte, besonders uns vor allem Theatralischen und Absichtlichen wie vor der Pest warnte », ibid, p. 180.
45 Selon Isabelle Julia l’organisation de l’atelier Delaroche était semblable à celle de tous les ateliers : cinq heures de travail par jour et le maître corrigeant les travaux deux fois par semaine. Julia L, « Biographie », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 251.
46 Pecht F., Aus meiner Zeit…, op. cit., p. 179-180.
47 Ibid., p. 180,184 ; titre de l’œuvre exposée au Salon : Piété et distraction, voir Les Catalogues des Salons des beaux-arts, t. IV, 1841-1845, éd. par P. Sanchez et X. Seydoux, Paris, Échelle de Jacob, 2000, « Salon de 1841 », p. 187, no 1543.
48 Voir Pecht F., Aus meiner Zeit…, op. cit., p. 181-183 ; Wagner Richard, Samtliche Briefe, Briefe der Jahre 1830-1842, éd par G. Strobel et W. Wolf, Leipzig, Deutscher Verlag für Musik, 1967, t. I, lettre no 115, Richard Wagner à Ernst Benedikt Kietz, Paris, le 23 octobre 1840.
49 Il existe un portrait de son maître Delaroche : Ernst Benedikt Kietz, Portrait de Paul Delaroche, lithographie, 40 x 30 cm, Nantes, bibliothèque municipale, fonds Labouchère. Voir Julia I., « Biographie », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 247.
50 Bonnet Alain, « Une histoire illustrée : l’hémicycle de l’École des beaux-arts par Paul Delaroche », Histoire de l’art, no 33/34, mai 1996, p. 100-113 ; Allemand-Cosneau Claude, « L’Hémicycle de l’École des beaux-arts de Paris ou l’histoire figurée de l’art », dans Paul Delaroche. Un peintre dans l’histoire, op. cit., p. 104-129.
51 « Um meine Herbstnachrichten fortzusetzen drängt es mich zunächst, Ihnen etwas über Delaroche’s neuestes Gemälde zu berichten, welches gestern zum ersten Male, und zwar nur den Professoren und den Schülern gezeigt wurde. » Die Schüler Delaroches seien in einem solchen Maße begeistert gewesen, « daß sie den endlich ebenfalls in den Saal tretenden Delaroche in Jubel und Enthusiasmus fast zu erdrücken drohten ; – er selbst [Delaroche] war so ergriffen, daß er sich der Thränen nicht erwehren konnte, unter welchen er eine rührende und herzliche kleine Rede hielt, worin er schließlich seine Schüler zu Muth und Ausdauer anfeuerte. » Wagner Richard, Sämtliche Schriften und Dichtungen. Volksausgabe, 16 t., Leipzig, Breitkopf & Härtel, 1911, t. XII, p. 123.
52 Schlagenhauff Annette, « Delaroches “Hémicycle” vor dem Berliner Publikum. Der Kunsthändler Louis Friedrich Sachse und sein Einsatz für den künstlerischen Austausch zwischen Berlin und Paris », dans Jenseits der Grenzen. Französische und deutsche Kunst vom Ancien Régime bis zur Gegenwart. “Kunst der Nationen”, éd. par U. Fleckner, M. Schieder, M. Zimmermann, Köln, DuMont, 2000, t. II, p. 168-181.
53 Sur l’impact de cette œuvre dans le débat allemand, voir Nerlich France, « L’Hémicycle des Beaux-Arts – une leçon magistrale », dans Nerlich F. La Peinture française en Allemagne…, op. cit., p. 224-229.
54 Berlin, PrAdK Pers. Bk 337 : Martersteig.
55 Ibid. ; voir aussi Mardersteig Fritz, Friedrich Wilhelm Martersteig : ein Weimarer Historienmaler, 1814-1899, Weimar, 1952, p. 9.
56 Voir “Ihre Kaiserliche Hoheit” Maria Pawlowna – Zarentochter am Weimarer Hof, catalogue d’exposition, Weimar, Schloßmuseum, Weimar-Münich, Stiftung Weimarer Klassik und Kunstsammlungen-Deutscher Kunstverlag, 2004, p. 147,155.
57 Paris, BnF, Mss. FR Nouv. Acq. 16800, f° 64 : l’archiduchesse Marie Pavlovna de Saxe-Weimar-Eisenach à Paul Delaroche, Weimar, le 28 janvier 1841.
58 Voir Paris, AMN, X-Salons, 1844 ; Les Catalogues des Salons des beaux-arts, t. IV, 1841-1845, éd. par P. Sanchez et X. Seydoux, Paris, Échelle de Jacob, 2000, « Salon de 1844 », p. 159-160, no 1274.
59 « Allein es ist mir gelungen, mehr denn je Hr. Delaroches ganze Zufriedenheit zu erlangen […]. Das fortwährende Zusammenlehen mit Hr. Delaroche übt auf mich den wohltätigsten Einfluß in jeder Hinsicht aus », cité par Mardersteig F., Friedrich Wilhelm Martersteig…,op. cit., p. 11.
60 Voir Berlin, PrAdK Pers. Bk 337 ; Mardersteig F., Friedrich Wilhelm Martersteig…,op. cit., p. 9,12.
61 Weimar, ThHStA, HA A XXV1315, Korr. D 366, Delaroche à Marie Pavlovna, Paris, le 28 septembre 1841, f° 1, verso.
62 Paris, Bibliothèque nationale de France, Mss. FR Nouv. Acq. 16800, f° 166 : l’archiduchesse Marie Pavlovna de Saxe-Weimar-Eisenach à Paul Delaroche, Weimar, le 21 mars 1844 ; voir aussi Bann S., « Paul Delaroche’s German Reception », art. cit., p. 150.
63 Mardersteig F., Friedrich Wilhelm Martersteig…, op. cit., p.15-16.
64 Une correspondance entre la cour de Weimar et Delaroche est conservée jusqu’à 1850 : voir Weimar, GSA 113/80, Paul Delaroche au conseiller Gustav Adolf Schöll, Craon, Château de Craon, le 25 septembre 1850.
65 Cité par M. C. H., « Paul Delaroche », The Fine Arts Quaterly Review, t. II, janvier-mai 1864, p. 299.
66 « Wie er sich selbst in allen Kreisen der Kunst bewegt, so duldet er [Delaroche] auch bei seinen Schülern die verschiedenartigsten Richtungen, er geht dem Historienmaler wie dem Genremaler mit Rat und Tat an die Hand, sobald er nur ein entschiedenes Talent zu dem ein oder anderen Fache bemerkt und zwar erst dann, wenn ein Schüler durch gründliche Studien nach der Natur eine Basis gelegt hat, auf welcher sich ein haltbares Gebäude aufbauen lässt. [… ] Er ist nicht allein Leuten von ausgesprochenem Talente zugänglich, sondern gibt auch minder Begabten freundlichen Rat, wenn es ihnen nur darum zu tun ist, etwas Tüchtiges zu lernen. », Müller Wolfgang, « Laienbriefe über die Kunst in Frankreich, An meine Freunde in Düsseldorf, IV, Paris, 14. April 1842 », Rheinische Zeitung für Politik, Handel und Gewerbe, no 133, le 13 mai 1842.