1 Présentation de cette diversité documentaire dans Les sources de l’histoire du cheval dans les archives publiques françaises, Archives nationales, 1993,182 p.
2 Archives nationales, KK 34. 1380-1390 et KK 35 (1399-1403 et 1411-1413). Ed. Leproux 1995 et Billaud 1996.
3 Notte 1997-1998 et 1999.
4 Picard 1906. Cf aussi Canat de Chizy 1859 et Cherrier-Leveque 1995.
5 Lalou 2007, notamment t. 1, p. 97 sqq.
6 Lalou 2007, t. 1, tableau p. 172.
7 Chapelot 2001, p. 49-50.
8 Lalou 1994, p. 496-500.
9 Sur la base de 18 setiers par muid et de 8 pintes par setier, chaque pinte valant 0,931. (Fourquin 1964, p. 54).
10 Sur l’organisation de l’Hôtel les travaux les plus récents sont Moufflet 2007, Lalou 2007,1.1, p. 82 sqq. et Lalou 1996a. On peut aussi utiliser Viard 1894 ; Lehugueur 1897-1931 ; Ritter 1907 ; Rey 1965, p. 22 sqq.
11 Moufflet 2007.
12 Lalou, Suc 2006 éditent le texte des huit ordonnances de l’Hôtel données de 1291 à 1316.
13 Ritter 1907, p. 155.
14 Lalou 2007, t. 1, p. 82.
15 Lalou 1996a, p. 152. Texte de cette ordonnance : Lalou, Suc 2006 : ordonnance 7, articles nos 22, 23, 24, 25 et 26.
16 Viard 1894, p. 473.
17 Sur la situation à l’époque de Philippe le Bel : Lalou 2007, t. 1, p. 83 sqq. et sur celle à la fin du xive-début xve siècles : Rey 1965, p. 116-132.
18 Lalou 1996a, p. 149-150.
19 Viard 1940, p. XXXV et no 3292.
20 Liste et biographie des maîtres de l’Ecurie dans Anselme 1733, t. VIII, Chapitre quinzième, p. 463 sqq.
21 Leproux 1995, p. 16-17.
22 Cazelles 1958a, p. 159-160, avec les références.
23 Godefroy 1649, qui reprend, t. 1, p. 653-658 trois récits contemporains de cette entrée.
24 Anselme 1663, p. 227. De nombreux récits d’entrées royales sont repris et commentés dans Guenée et Lehoux 1968.
25 Lalou, Suc 2006 : ordonnance 1, art. no 34 sqq.
26 Ibid., no 37.
27 Ibid., no 41.
28 Ibid., no 135-136.
29 Lalou, Suc 2006 : ordonnance 8 et Lalou 1996a, note 2, p. 150.
30 Viard 1894, p. 480-482 et p. 617-618 pour l’écurie.
31 Lalou 2007, p. 85.
32 Ibid.
33 Vallet de Viriville, 1859a, p. 32.
34 Lalou 2007, p. 84-85.
35 Bautier 1976.
36 Centre national de ressources textuelles et lexicales sub v° « Palefroi », « destrier » et « Roussin » (http://www.cnrtl.fr/etymologie/).
37 Wace, Le Roman de Rou, Holden éd. 1970, vers 774, p. 42.
38 Lalou 2007, p. 83.
39 Deschamps 1887, t. V, p. 95-96.
40 Picard 1906, p. 338. Sur les types de chevaux achetés par Philippe le Hardi : Cherrier-Leveque 1995, p. 108-110 et sur leurs prix, ibid., tableaux 1 et 2.
41 Bautier 1978, p. 24. Voir aussi Renouard 1965 et Pinto 2005.
42 Vallet de Viriville 1859a, p. 32 et 1859b, p. 172.
43 Chartier 1858, t. III, p. 304.
44 Bryant 1986, p. 513.
45 Ibid., p. 515 ; cf. Guenee et Lehoux 1968.
46 Lalou 2007, t .1, p. 87-88.
47 Ibid., p. 514, Tableau I. Sur les entrées royales : Anselme 1663, p. 220-229 ; Godefroy 1619, notamment p. 51 sqq. et p. 147 sqq. ; Godefroy 1649, t. 1, p. 634-1003.
48 Sur la représentation du roi de France dans les Grandes chroniques : Hedeman 1991, qui reproduit un grand nombre de miniatures illustrant de tels manuscrits entre 1274 et 1422.
49 BnF, ms. fr. 2813.
50 Delachenal t. II, 1916, p. 208. Le choix des montures offertes à l’empereur s’explique probablement par son état de santé : il lui était difficile de monter à cheval et il avait dû faire une partie du trajet vers Paris en litière.
51 bid., p. 210.
52 Ibid., p. 211. Quelques jours plus tôt l’empereur était entré dans Cambrai, qui se situait en terre d’empire, sur un cheval blanc.
53 Ibid., p. 211-213. On note que le roi est sur un palefroi, le cheval le plus noble et majestueux, le plus coûteux aussi, alors que l’empereur et son fils sont sur des destriers.
54 Ibid., p. 220.
55 Lachaud 2006, p. 89. Cf. aussi Mérindol 1993, notamment p. 306-311.
56 Depeyrot 2009. Pour une époque postérieure : Cazaux 2002 : voir notamment le chapitre IV, p. 107 sqq. : « Les musiciens de l’Écurie » ; cf. aussi Bonime 1978 et 1980.
57 Bautier 1978, p. 39 sqq.
58 Ibid., p. 30.
59 bid., p. 62.
60 Notte 1997-1998 qui édite le compte de ce haras pour l’Ascension 1299.
61 Bautier 1978, p. 62
62 Pro operibus parci Fulleie et domorum ibidem en 1302 (Fawtier 1954, no 15970-15987) ; Œuvres faites à la Feuillie en 1319-1320 (Maillard 1961, t. I, nos 7715-7760). Cf. aussi la mention d’un compte de travaux à La Feuillie en mai 1323 (Viard 1917, no 3143).
63 Maillard 1961, t. I, nos 8079-8093 (Il est mentionné l’achat de fers pour un étalon seulement, ibid., nos 8079-8080) et nos 8094-8104.
64 Ibid., no 8094.
65 Maillard 1961, t. 1, no 8102.
66 Bautier1978, p. 62.
67 Hunger 1927. Cet auteur ne donne pas la référence de ce compte. Il est conservé à la BnF, ms. fr. 6538, no 5 (Cf. Cazelles 1984, no 178, p. 70).
68 Picard 1906, p. 334. Voir aussi Cherrier-Lévêque 1995, p. 114.
69 Picard 1906, p. 334-335.
70 Leproux 1995, p. 36. Sur les achats de chevaux par l’Écurie : Leproux 1995, p. 36-37 et Billaud 1996, p. 18-21.
71 Viard 1940, no 89.
72 Ibid., nos 2346 et 2493.
73 Leproux 1995, nos 406-414, nos 561-563, nos 916-918, nos 1316-1321, nos 1571-1580 et nos 1604-1606 ; Billaud 1996, nos 339-351, nos 626-643, nos 1099-1109, nos 1738-1751. L’écurie de Philippe le Hardi achète aussi beaucoup de chevaux à cette foire de Compiègne (Picard 1906, p. 318).
74 Delisle 1874, no 329. Cf. aussi Leproux 1995, nos 34-39, nos 564-571, nos 919-911, nos 1322-1333, nos 1581-1589 ; Billaud 1996, nos 352-403, nos 644-659.
75 Cf. en 1386 pour « l’armee et passage de la mer qui se deut faire en Engleterre es mois de septembre et odobre » (Leproux 1995, nos 1334-1336). L’écurie de Philippe le Hardi achète aussi beaucoup de chevaux à Paris (Picard 1906, p. 316-318).
76 Cherrier-Lévêque 1995, p. 137-138, 140 et 142-144.
77 Viard 1940, no 151.
78 Chartier 1858, t. III, p. 301. L’écurie de Philippe le Hardi achète aussi des chevaux espagnols en France et d’autres en Espagne (Picard 1906, p. 317-318).
79 Cherrier-Lévêque 1995, p. 126-129.
80 Billaud 1996, p. 19.
81 Cherrier-Lévêque 1995, p. 111 et tableau 3.
82 Sur ce sujet : Leproux 1995, p. 34-35.
83 Leproux 1995 et Billaud 1996, passim.
84 Delisle 1874, nos 330 et 703.
85 Cherrier-Leveque 1995, p. 118-123.
86 Cf. Notte 1999, p. 474-476. Sur le restor pratiqué par Philippe le Hardi : Cherrier-Lévêque 1995, p. 119.
87 Viard 1940, nos 553, 1093, 1132, 2009, 2143, 2899, 4130, 4487, 4528, 4628, 5025, 5458, 5730, etc.
88 Ordonnances, t. V, p. 462.
89 Ordonnances, t. VI, p. 6. Crévecoeur est un ancien hameau de l’actuelle commune de La Courneuve en Seine-Saint-Denis.
90 Ibid., p. 77-78.
91 Ibid., p. 78-79.
92 Ibid., p. 108.
93 Ibid., p. 177.
94 Ibid., p. 639.
95 Ordonnances, t. VII, p. 95.
96 Ibid., p. 124. Il s’agit de la paroisse de Saint-Léger-de-Gassenville, jointive de Saint-Denis et disparue dans l’Ancien régime.
97 Ibid., p. 677-678.
98 Ordonnances, t. VIII, p. 317.
99 Ibid., p. 497. Faubourg médiéval de Paris, actuellement incorporé dans les ve et xiie arrondissements.
100 Ordonnances, t. IX, p. 58-59.
101 Ibid., p. 51-52.
102 Ibid., p. 113-114.
103 Ibid., p. 142-143.
104 Ibid., p. 113-114. L’exemption de Saint-Marcel-les-Paris porte de même « seize chartées de feure de segle, bonnes & suffisons, & teles que ont acoustumé bailler les autres Villes composées à Nous, en tele saison & à tant de foiz que requis en seront de par Nous » (Ordonnances, t. VIII, p. 497) et il en est de même pour celles de Suresnes, Puteaux et Chennevières-sur-Marne (Ordonnances, t. IX, p. 142).
105 Ibid., p. 121-122.
106 Ordonnances, t. VIII, p. 429-430.
107 Ces deux lieux de séjour de Charles V et de sa femme sont dans la paroisse de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) (Fig. 3). Le premier, créé par Charles V et où ce dernier est mort en 1380, est en bord de Marne et à l’extrémité sud-est de l’enclos du bois de Vincennes, le second est à quelque distance au nord-est du bois de Vincennes.
108 Ordonnances, t. IX, p. 47-48.
109 Ibid., p. 49.
110 Ordonnances, t. VI, 1741, p. 701-703 : « [...] quod in ipsis Villis & Parrochiis, aut aliqua earumdem, seu ab aliquibus vel aliquo habitancium ipsarum, nulla blada, avene, legumina, equi, quadrige, vina, fena, culcitre, pulvinaria, carnes vel animalia, aut alie municiones quecunque, & quocunque sint, [...] exceptis tamen du ntaxat straminibus pro dictis equis Sejourni nostri tantumdem, de cetero capiantur, saisiantur, aut etiam arrestentur ». L’expression qui, au début du texte, désigne le lieu qui bénéficie de ces prises est intéressante : ubi equi nostri custodiuntur Sejourni, où Sejourni « est un adjectif qui se rapporte à equi » dit l’éditeur de l’acte.
111 Leproux 1995, no 1257.
112 Charentonnel ou Charentonneau, lieu-dit de l’actuelle commune de Maisons-Alfort, Val-de-Marne.
113 Leproux 1995, nos 867, 868 et 869 et nos 871-874. Cf. aussi ibid. en 1386, nos 1260-1262 et en 1387, no 1536.
114 Ibid., nos 387, 547, 902, 1306, 1558 ; Billaud 1996, nos 79, 264, 569, 931, 1052, 1717.
115 Ibid., nos 866 et 869.
116 Ibid., no 1518.
117 Ibid., nos 524 et 1522.
118 Ibid., no 1520.
119 Ibid., no 525.
120 Ibid., no 861.
121 Ibid., no 1244.
122 Ibid., no 1529.
123 Ibid., no 864.
124 Ibid., no 1258.
125 Ibid., no 865.
126 Ibid., nos 1534-1536.
127 Ibid., nos 1247-1256. Chalons-en-Champagne au Moyen Âge et dans l’Ancien Régime, devenu Chalons-sur-Marne de la fin du xviie siècle à 1997, puis de nouvau Chalons-en-Champagne depuis cette date, département de la Marne.
128 Ibid., nos 1524-1528.
129 Billaud 1996, nos 673-751.
130 Dans le cas de l’avoine, le muid vaut 12 setiers, le setier 21 boisseaux, le boisseau de Paris valant 13 litres (Fourquin 1964, p. 52-53).
131 Cf. notamment Leproux 1995, nos 529-532.
132 Ibid., no 1244. Autre paiement pour le même motif à un autre voiturier par eau dont l’origine n’est pas indiquée ; ibid., no 1246.
133 Ibid., nos 1518-1519 et 1521.
134 Rey 1965, p. 120, sans référence.
135 Voir notamment Fourquin 1964, carte dépliante III qui montre le réseau d’approvisionnement de Paris à la fin du Moyen Âge par les voies terrestres et fluviales. Une thèse récente examine l’ensemble des relations entre Paris et les petites villes des vallées fluviales de la Seine et de ses affluents au xve siècle et met en perspective ce qui suit : Guittonneau 2014. Je remercie Élisabeth Lalou qui m’a signalé ce travail.
136 Viard 1940, nos 583, 1131, 1463, 2225, 2750, etc.
137 Billaud 1996, nos 231 à 237, 531 à 537, 899 à 903, 1024-1028, 1194-1200 (Achats à « Jehan Toustain, mareschal, demourant a Abbeville »).
138 Ibid., nos 538, 904-905, 1029-1030, 1203-1205 (Achats à « Jaquemart de Vaulz », ferron ou maréchal, « demourant a Buis en Henault ». Buis-en-Hainaut, Belgique, canton de Flobeck, commune de Wodeck).
139 Leproux 1995, p. 37.
140 C’est à dire tondre les chevaux malades.
141 Ibid., no 27. Cf. aussi ibid., nos 384, 544, 898, 1302 et 1555 ; Billaud 1996, nos 76, 261, 566, 929, 1049 et 1714.
142 Viard 1940, no 2978 et 4949.
143 Leproux 1995, p. 38-45.
144 Ibid., p. 36. Cf. ibid., nos 1352, 1400, 1524, 1611 pour la première origine et nos 473 et 480 pour la seconde.
145 Lot et Fawtier 1932, p. CLVI : Pro cementaria stabulorum regis novorum, et de domibus regis retegendis. Sur ces travaux : Guérout 1949, p. 149-150.
146 Ibid., p. 181.
147 Id.
148 Lalou, Suc 2006, ordonnance 2, no 71.
149 Guerout 1950, p. 104 et 122.
150 Ibid., p. 108 ; Guérout 1996, p. 274.
151 Rey 1965, p. 118-120. Sur les écuries du palais : Guérout 1996, p. 273.
152 Billaud 1996, nos 1211-1263.
153 Ibid., 1432-1532.
154 Douët d’Arcq 1863-1864, t. II, p. 393-407 : voir p. 394.
155 Guérout 1996, p. 273-274.
156 Lurine 1844, p. 304, sans référence.
157 Leproux 1995, nos 32, 389, 1367.
158 Ibid., nos 1590-1594.
159 Ibid., no 863.
160 Billaud 1996, nos 1560-1571.
161 Sauval 1724, t. III, p. 657.
162 Ibid., t. II, p. 222. Jaillot 1772, p. 26.
163 Leproux 1995, nos 32 et 389.
164 Ibid., nos 1367 et 1369-1373.
165 Ibid., nos 1590-1594.
166 Sauval 1724, t. II, p. 187.
167 Leproux 1995, p. 19 et Billaud 1996, p. 25.
168 Ibid., no 863.
169 Ibid., no 1523. Autre livraison de foin de Rouen en 1400, 1402, 1403, 1404 : Billaud 1996, nos 244, 915, 1038, 1208.
170 Ibid., no 1037.
171 Cf. Lorentz et Sandron 1996, plan des ports de Paris, p. 195.
172 Sauval 1724, t. III, p. 419 et 658.
173 Pleybert 2001.
174 Roblin 1951, p. 109.
175 Ibid., p. 161 et p. 216-217.
176 À la Révolution, il existe deux communes : Conflans-Charenton à l’ouest et Charenton-Saint-Maurice à l’est (Fig. 4). En 1860, la partie ouest de Conflans-Charenton, essentiellement constituée de Conflans, a été absorbée par Paris et ce qui restait du territoire de la commune a pris le nom de Charenton. Quant à la commune de Charenton-Saint-Maurice, elle avait transformé son nom en Saint-Maurice à l’époque de Louis-Philippe.
177 Chapelot 1996, p. 59-60 et Chapelot 2001, p. 48-49 ; Lalou 1996b, p. 198.
178 Chapelot 1996, p. 62-63.
179 Lalou 2007, t. I, p. 72.
180 Charentonnel ou Charentonneau, lieu-dit de l’actuelle commune de Maisons-Alfort, Val-de-Marne.
181 Merlet et Moutie 1857-1858, t. II, p. 73 et note ibid. p. 73-74, p. 126-127 (Je remercie Élisabeth Lalou pour cette information).
182 Delisle 1891.
183 Chapelot (O.) et Rieth 2005 d’après Arch. dép. Pas-de-Calais, A 2, f° 11v°.
184 Ibid, et Chapelot (O.) et Rieth 2006 ; Cf. aussi Richard 1887, p. 291 ; Hartmann 1909, p. 30-31.
185 Historiens de France, t. XXI, p. 486 ; Lalou 1996b, p. 196 et 210.
186 Lebeuf 1883-1893, t. II, p. 365. Bercy est une ancienne seigneurie établie sur la rive droite de la Seine en aval de sa confluence avec la Marne. Devenue commune en 1790, elle a été incorporée dans le XIIe arrondissement de Paris en 1860.
187 Chapelot 2001, passim.
188 Leproux 1995, p. 18-19.
189 Historiens de France, t. XXI, p. 226 sqq.
190 Plus largement, l’Index mansionum du t. XXI du Recueil des historiens de France, qui réunit des textes couvrant les années 1226-1328, ne contient, p. 500 sqq., pour aucun de ces toponymes et pour celui de Conflans la moindre mention d’un séjour royal dans un lieu de ce nom avant 1306 (Historiens de France, t. XXI, p. 501, s. v° Carrières-Charenton).
191 Historiens de France, t. XXI, p. 238 g et k.
192 Ibid., t. XXI, p. 239 a.
193 Ed. Pérard 1664, p. 484.
194 Historiens de France, t. XXI, p. 416.
195 Lalou 2003, tableau p. 27.
196 Historiens de France, t. XXI, p. 251-260.
197 Lalou 2003.
198 Historiens de France, t. XXXI-XIII.
199 Lalou 1994.
200 Viard 1940, no°5660 (3 décembre 1301) : Egidius Granche, pro merreno empto a Symone et Roberto Evroudi, fratribus, pro operibus domus scutiferie Regis apud Quarrerias, 600 l. p.
201 C’est aussi l’opinion de Viard 1940, p. XLI.
202 Langlois 1899, no 2198, p. 274.
203 Ibid., p. 361.
204 Anselme 1733, t. VIII, p. 464-465.
205 Fawtier 1953-1956.
206 Fawtier 1930.
207 Guérout 1950, p. 23 sqq.
208 Guérout 1949, note 4, p. 181.
209 Guérout 1950, p. 58-59 ; Viard 1940, p. XXXII-XXXIII et no 1018 ; Anselme 1733, t. VIII, p. 464.
210 Sur le contexte des travaux à cette époque Chapelot 2001, p. 37-39.
211 En 1385 travaux faits « en l’ostel du dit sejour seant aux Quarrieres lez Charenton » selon le titre d’un chapitre du compte de l’Ecurie de cette année (Leproux 1995, p. 162).
212 Ibid., no 388 : paiement pour des travaux de maçonnerie « en l’ostel du séjour du Roy a Charenton » en 1383.
213 Ibid., nos 390 et 391 : paiements pour des travaux faits « es réparations de l’Ostel du sejour du pont de Charenton » et « es jardins du sejour du dit pont de Charenton » en 1383.
214 Chapelot 2003.
215 Du Cange 1883-1887, t. VII, col. 400 c.
216 Notte 1999, note 98, p. 487.
217 Historiens de France, t. XXII : voir p. 591 c et 609 k. Ce comte de Boulogne est Alfonse de Portugal, frère de Sanche, roi de Portugal. Il avait épousé Mahaut, comtesse de Boulogne, et prit alors ce titre.
218 BnF, fonds latin, no 9019, f° 1-7 (voir f° 5) d’après Notte 2003, p. 1062.
219 Fawtier 1954, no 25750, p. 650.
220 Viard 1917, no 10273.
221 Notte 1999 et 2003.
222 Notte 1999, p. 478. Hesdin, aujourd’hui Vieil-Hesdin.
223 Ibid., p. 484.
224 Ibid., p. 486.
225 Ibid., p. 487.
226 Ibid., note, p. 487.
227 Sauval 1724, t. II, p. 187.
228 Ibid., t. III, p. 589 ; cf. aussi ibid., p. 317, 332 et 580. Sur cet hôtel : Ribera-Perville 1980 (1981).
229 Trois auteurs ont traité anciennement et rapidement de ce sujet : Hartmann 1909 ; Lemoine 1928-1929 ; Viard 1936.
230 Chapelot 2001, p. 39-41.
231 Glenisson et Guérout 1958, no 656. L’acte est donné Per dominum Regem. Cf. Lalou 2007, t. II, p. 274.
232 Glenisson-Guerout 1958, nos 1259, 1264 et 1260. Cf. Lalou 2007, t. II, p. 358, qui ne retient que deux actes passés au Séjour des Carrières (les nos 1259 et 1260, le 1264 étant passé dans un lieu inconnu).
233 Ibid., no 1600. L’acte est donné Per dominum Regem. Cf. Lalou 2007, t. II, p. 366.
234 Chapelot 2001, p. 43-47.
235 Éd. Prou 1908, no LXIII, p. 166-168 : p. 167.
236 Éd. Du Breul 1639, p. 895-896. La Saussaye (Commune de Chevilly-Larue, Val-de-Marne) est un établissement féminin bénédictin dont la fondation est attribuée à Louis VII.
237 Luchaire 1885, no 449, p. 244. Cette charte fut confirmée par Philippe Auguste en 1182-1183 (Delaborde 1916, no 67).
238 Ordonnances, t. XV, p. 292-293 d’après un vidimus de Louis XI de décembre 1461.
239 Ibid., p. 293. Ces chevaux réformés étaient envoyés à La Saussaye à la fin du xive et au début du xve siècle avec parfois une oreille coupée qui marquait leur statut (Billaud 1996, p. 20 et nos 87, 89, 90, 92, 343, 359, 403 et probablement 119,136 et 406).
240 Ordonnances, t. XV, p. 293-294, d’après un vidimus de Louis XI de décembre 1461.
241 Ibid., p. 294, d’après un vidimus de Louis XI de décembre 1461. Sur les dîmes de l’Hôtel voir Lalou 2007, t. I, p. 221-223 (Tableau de synthèse) et p. 224.
242 Ordonnances, t. XV, p. 295, d’après un vidimus de Louis XI de décembre 1461 (addentes eciam et volentes quod jamdicte mulieres, ex nunc et perpetuo, decimant vini apud Carrerias et Canticantum percipiant).
243 Viard 1917, no 1696.
244 Billaud 1996, p. 22.
245 Leproux 1995, nos 943 et 949 ; Billaud 1996, nos 283 et 1084.
246 Leproux 1995, nos 391 et 581.
247 Billaud 1996, nos 333-338.
248 Ibid., no 612.
249 Leproux 1995, no 576 et Billaud 1996, no 205.
250 Billaud 1996, no 287.
251 Leproux 1995, nos 1594 et 1598 ; Billaud 1996, nos 1084 et 1088.
252 Ibid., nos 1089-1090.
253 Fawtier 1954, t. III, no 27704.
254 Leproux 1995, p. 38.
255 Billaud 1996, nos 1211-1431 et nos 1432-1641. À propos de ces deux inventaires voir aussi Leproux 1995, p. 19 et Billaud 1996, p. 22 et p. 33.
256 Leproux 1995, p. 38.
257 Billaud 1996, nos 1093 et 1096.
258 Leproux 1995, no 942 et nos 946-947 ; Billaud 1996, no 1084.
259 Ibid., no 599.
260 Ibid., no 617.
261 Ibid., no 1088.
262 Ibid., no 1091.
263 Ibid., no 1098.
264 Ibid., no 619.
265 Leproux 1995, nos 577-578 et no 943 ; Billaud 1996, no 315 et nos 1092,1094 et 1096.
266 Leproux 1995, nos 943 et 949.
267 Billaud 1996, no 1086.
268 Ibid., nos 1092 et 1095.
269 Ibid., no 1096.
270 Ibid., no 1097.
271 Ibid., nos 1087, 1094, 1092 et 1091.
272 Chapelot et Pousset 2003 ; Chapelot 2005 ; Chapelot 2011, p. 160-163. Billaud 1996, qui ne donne pas d’explication à propos de ces mentions de bois ou boit d’Yllande, interprète, dans son index des noms de lieux, cette expression en « Bois d’Irlande ». En fait, l’expression « Irlande », attestée dans divers textes du xive siècle, fait référence à une partie de l’actuelle Lettonie appelée Livonie, en allemand Livland depuis le xiie siècle (Chapelot 2005, p. 62 ; Chapelot 2011, p. 161).
273 Chapelot 2005 ; Chapelot 2011, p. 160-163.
274 Paris, Bibl. de l’Arsenal, ms. 6362, f° 58v°
275 Richard 1887, p. 297, sans référence. Ce texte n’a pas été retrouvé récemment dans le chartrier d’Artois par Odette Chapelot et Bénédicte Rieth (Chapelot O. et Rieth 2005).
276 Pour la vis neuve : Leproux 1995, no 577 ; pour la galerie : Billaud 1996, no 315.
277 Ibid., no 316.
278 Ibid., nos 1455-1532. Un inventaire moins développé de cette « amoyrie » avait déjà été fait en janvier 1412, mais sans que sa localisation soit précisée (Ibid., nos 1318-1359).
279 Ibid., nos 290 et 296-298 et 317.
280 Fawtier 1930, no 826 : Magister J(ohannes) de Gisorcio, carpentarius Regis, prorefectione pinaculi domorum de Carreriis et aliis reparationibus ibidem factis : 40 l.
281 Billaud 1996, nos 609 et 623 ; ibid., no 606.
282 Ibid., no 618.
283 Leproux 1995, no 1374.
284 Guérout 1966, no 1229.
285 Cazelles 1958b, p. 25-26, no 2.
286 Viard 1899, nos 441, 534-536, 741, 1520, 2524, 2673, 2678, 2791, 2932, 3317-3318, 3586, 4081, 4560, 4765. Cf. aussi ibid., note 1, p. 141.
287 Cazelles 1984, no 177, d’après une note de Ménant qui l’évoque en marge de sa copie du compte « presque semblable » de 1333.
288 Chapelot 2001, p. 54-56.
289 Rouen, Bibl. mun., Leber 5870, Menant t. VIII, f° 124-125v°. Cf. Cazelles 1984, no 177, p. 69.
290 Chapelot 2001, p. 41-42.
291 Leproux 1995, p. 19 ; cf. aussi les gages qui leur sont payés, par exemple Leproux 1995, nos 1-27 ; Billaud 1996, p. 24.
292 Rey 1965, p. 117 d’après Archives nationales, P 2296, p. 328 sqq. ; p. 817 sqq. Cf. Billaud 1996, p. 17-18, sans référence.
293 Leproux 1995, no 45.
294 Douët 1865, p. 61. Sur les demandes régulières de chevaux du Séjour par le roi quand il se déplace loin de Paris : Leproux 1995, p. 35-36.
295 Douët 1865, p. 44. Colart de Tanques est maître de l’Écurie du roi de 1376 à 1397 (Anselme 1733, t. VIII, p. 469).
296 Douët 1865, p. 219. Il s’agit de la cathédrale de Chartres (Eure-et-Loir) dont le Trésor contenait au Moyen Âge de nombreux objets donnés par les rois de France.
297 Billaud 1996, nos 570-573, 932-934, 1053-1059.
298 Lalou 1996a, note 2, p. 150.
299 Picard 1906, p. 351.
300 Francisque-Michel 1860, p. 37-40. Un « cheval ferrant pomelé du corps le roy » est une bête dont la robe est grise avec des taches en forme de pomme et qui est au service du souverain.
301 Billaud 1996, nos 87 à 136.
302 Ibid., nos 378, 343, 359, 403 et 406.
303 Ibid., nos 644 et 647, 653 et 655.
304 Viard 1917, no 3590.
305 Seine-et-Marne.
306 Maillard 1961, t. II, no 14424. Sur le sens de « restor » voir plus haut.
307 Viard 1899, nos 534-536 : pro conducendis magnis equis dicti sejorni, de Ambianis usque ad Quarrerias juxta Parisius.
308 Fawtier 1930, tableaux des pages LIX-LX.
309 Billaud 1996, p. 27 pour une part de ces données.
310 D’après Rey 1965, p. 125.
311 Picard 1906, p. 343.
312 Cherrier-Lévêque 1995, p. 108.
313 Initialement située dans la paroisse de Conflans-Charenton, la Grange-aux-Merciers fut incorporée dans la commune de Bercy créée le 19 octobre 1790 par partition de celle de Conflans-Charenton.
314 Petit 1893, aux dates. Sur le contexte des séjours de Charles VI à Conflans : Chapelot 2007, passim.
315 Lehoux 1966, t. III, p. 268, 285 et 290. Petit 1893, aux dates.
316 Chapelot 2007, passim.
317 Hérissant 1766, t. I, p. 205, sans référence.
318 Le Roux de Lincy et Tisserand 1867 : p. 224-226. Il s’agit de l’abbaye Saint-Antoine, située à l’extérieur de l’enceinte et à l’est de la Bastille, de la Grange aux Merciers, évoquée plus haut, de l’hôtel de Conflans des ducs de Bourgogne et enfin du Séjour des Carrières puis du pont de Charenton.
319 Douët d’Arcq 1864, t. II, p. 394.
320 C’est l’opinion d’Hartmann 1909, p. 48, à partir de ce même texte. Billaud 1996, p. 24, reprend, sans citer cet auteur et ce texte de 1422, cette hypothèse en écrivant que le Séjour des Carrières fut délaissé « vers 1420 au moment des troubles au profit du séjour de la porte Montmartre ».
321 Douët 1865, p. 369 et 371.
322 Hérissant 1766, t. I, p. 206 et note 1 ibid.
323 Lebeuf 1883-1893, t. II, p. 366.
324 Thevet 1575, vol. 2, f° 578v°
325 Zeiller et Merian, t. I, 1655, p. 67.
326 Buchel 1899, p. 74. Écrit en latin, ce texte a été traduit et publié en français par l’éditeur.
327 Hérissant 1766, t. I, p. 207 et 210-212 ; Lebeuf 1883-1893, t. II, p. 365.
328 Ordonnances, t. VI, note c, p. 702.
329 En 1992 était en cours à l’Université de Paris I et sous la direction de Léon Pressouyre un Diplôme d’étude approfondie (DEA) dont j’ignore s’il a été achevé : Jasmin (Michael), Les résidences royales de Conflans et de Charenton après le Moyen Âge : localisation, inscription dans l’histoire du parcellaire, vestiges subsistants, notamment souterrains (caves, carrières).
330 Vlllette 1991, p. 40.
331 Ibid., p. 26.
332 Selon des informations orales de M. Reyrolles le 28 mars 1991 la gare de Charenton est construite partiellement sur le site du Séjour.
333 Billaud 1996, p. 24-25.
334 Alexandre-Bidon 2013.
335 Sur l’usage de ces jetons dans une écurie princière : Picard 1906, p. 403.
336 Rouyer 1858, p. 72. Sur ces jetons : Barthélemy 1868, p. 65 sqq.
337 Rouyer 1858, p. 16.
338 Notte 2003 : p. 1051 et 1053-1054. Sur le culte de saint Éloi dans les écuries princières voir aussi Picard 1906, p. 397 et Canat de Chizy 1859, note 3, p. 138.
339 Notte 2003, p. 1055.
340 Ibid., p. 1062.
341 Id., Sur ces enseignes de pèlerinage : Forgeais 1864, p. 150-156.
342 Leproux 1995, p. 38-42 et fig. 2-6, et Billaud 1996, p. 34-39 et fig. 1-8.
343 Ibid., no 1408. Cf. aussi l’inventaire de 1412, ibid., no 1619 qui décrit pareillement cet objet.
344 Chapelot 2010c.
345 Chapelot 2010a et Chapelot 2010b.
346 Lepetz et Hanot 2013, § 18-20.
347 Ibid., § 28.
348 Ibid., § 31 et Fig. 15.
349 Billaud 1996, p. 20 et nos 88, 91, 102, 108, 112, 120.
350 Picard 1906, p. 397-398.
351 Sur cette question, voir dans le présent volume l’article de Benoît Clavel, Gaëtan Jouanin et Isabelle Rodet-Belarbi, « La gestion des restes d’équidés en France à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne ».
352 Burnouf 2008, p. 16. Cette vision d’une archéologie médiévale qui serait partagée entre thématiques « progressistes », la culture matérielle, les mentalités, le village, la ville, et « réactionnaires », l’étude des châteaux et des édifices religieux, est reprise, avec bien d’autres copiés-collés, dans Burnouf, Arribet-Deroin, Desachy, Journot et Nissen-Jaubert 2009, p. 19.