1 Cet homme, aussi connu sous le nom de Claude André Leclerc, est venu aux îles sans doute vers 1666 et en 1669 et sa présence est attestée en Guadeloupe en 1689. Debien Gabriel, « Un missionnaire auxerrois des Caraïbes. Claude André Leclerc de Château du Bois à la Dominique et à la Guadeloupe », Notes d’histoire coloniale, no 176, 1976, p. 41-46.
2 Le père Raymond Breton a ainsi publié un Petit catéchisme en langue caraïbe en 1664, et l’année suivante son fameux dictionnaire français/caraïbe.
3 Pelleprat (père), Relations des missions des PP. de la Cie de Jésus dans les Isles et dans la terre ferme de l’Amérique méridionale, Paris, Cramoisy, 1655.
4 La création de paroisses, bien que malaisée en l’absence d’évêché et de diocèse, finit par être réalisée suite à l’accord trouvé le 8 mai 1684 et ratifié le 13 octobre 1686 par arrêt du Conseil d’État (David Bernard, « Histoire religieuse de la Martinique », Annales des Antilles, no 27, 1988-1991, p. 33).
5 Les juifs ne forment en Martinique qu’un groupe réduit à une soixantaine de personnes durant une génération (« Listes des Juifs qui sont établis à la Martinique », 1680 et 1683. Archives nationales d’Outre-Mer, G1-499). Leur expulsion est ensuite ordonnée par Louis XIV le 30 septembre 1683, disposition confirmée deux ans plus tard par le premier article de l’édit de mars 1685 ou « Code noir ».
6 Code noir, art. 5.
7 Du Tertre Jean-Baptiste (père), Histoire générale des Antilles habitées par les françois, Paris, T. Jolly, 1667-1671, t. 2, p. 422. Les témoignages des missionnaires de cette époque sur cet aspect sont convergents et crédibles.
8 Ordonnance du 30 avril 1771. Règlements et tarifs des droits curiaux et de la fabrique à la Martinique et à la Guadeloupe. Durand-Molard, Code de la Martinique, t. 3, p. 38-43.
9 Du Tertre, Histoire générale, t. 2, p. 502-503. Lorsque les conditions pratiques le permettent, les enfants des esclaves peuvent même assister au culte de façon quotidienne, comme à Saint-Christophe (p. 510).
10 Labat Jean-Baptiste, Nouveau voyage aux isles de l’Amérique, Paris, Delespine, 1742, t. 1, p. 174.
11 Goupy des Marets Jean, Voyages aux îles d’Amérique et aux Côtes d’Afrique en 1681, Bibl. de Rouen, Ms. 2436, p. 164.
12 Ibid.
13 « On insiste auprès des colons et des gérants pour que leurs esclaves soient conduits à l’église de bon matin sous la direction de leur commandeur », Labat, Nouveau voyage, éd. Delespine, 1742, t. 2, p. 172-174.
14 Labat, Nouveau voyage, Paris, T. Legras, 1742, t. 1, p. 160.
15 Du Tertre, Histoire générale, t. 2, p. 510.
16 Pelleprat (père), Relation des missions, p. 58.
17 « On ne s’attend pas à eux [les parents] pour les apprendre à prier Dieu, ny les premiers principes de la civilité ; les Habitants en ont soin ». Du Tertre, Histoire générale, p. 502.
18 J.-B. Du Tertre précise que « tout se terminait par un Exaudiat pour le Roi, et la maison Royale : à son imitation les habitants ont pris cette Sainte Coutume ». Ibid., t. 2, p. 472.
19 Breton Raymond (père), « Relation française », dans Breton Raymond (père), Relations de la Guadeloupe, Basse-Terre, Société d’histoire de la Guadeloupe, 1978.
20 Pelleprat (père), Relation des missions, p. 64-65.
21 Pour le père Du Tertre, « les nègres sont certainement touchés de Dieu puisqu’ils conservent jusqu’à la mort la religion qu’ils ont embrassée ; qu’ils en pratiquent les vertus et en exercent les œuvres : et je puis dire avec vérité qu’ils y vivent bien plus chrestiennement dans leur condition que beaucoup de françois », Du Tertre, Histoire générale, t. 2, p. 502. Le père Pelleprat confirme cette assertion pour les esclaves créoles « élevez dans la vraie foy, […] bons et fervents chrétiens », Pelleprat (père), Relation des missions, p. 56.
22 « Dans les meilleures familles, le commandeur ou quelque engagé les fait prier Dieu le matin avant d’aller au travail et le soir après l’avoir fini », Du Tertre, Histoire générale, éd. Delespine, 1742, t. 2, p. 503.
23 Labat, Nouveau voyage, La Haye, éd. P. Husson, 1724, t. 2, p. 49.
24 Moreau (père) (attribué au), « Mémoires concernant la mission des pères de la Cie de Jésus dans les Isles Françoises de l’Amérique », vers 1709, publiés par les Annales des Antilles, 1988-1991, no 27, p. 72-75.
25 « Lorsque les esclaves sont touts assemblés et qu’ils ont respondu, le commandeur blanc fait la prière en français et parle tout haut et le plus distinctement qu’il peut et à genoux avec touts les esclaves quy repettent aussy tout se qu’a dit le commandeur qui prend garde avec le mestre de l’habitation sy touts les esclaves repettent sy ils sont bien à deux genoux et les mains jointes et levés en haut. Lorsque la prière est faite chacun se lève et le mestre donne ses ordres au commandeur blancs […] », Jean Goupy des Marets, Voyages aux îles d’Amérique et aux Côtes d’Afrique en 1681, Bibl. de Rouen, Ms. 2436, 158. Voir aussi p. 164.
26 Ce jésuite parti à la rencontre d’esclaves fugitifs en forêt dans les environs de Cayenne observe que « les Nègres Marrons […] [ont] la coutume, malgré leur libertinage (ce qu’on aurait de la peine à croire) de prier Dieu soir et matin. Ils baptisent même les enfants qui naissent parmi eux, et ont grand soin de les instruire des principes de la foi autant qu’ils en scavent eux-mêmes. » Ce récit répond toutefois largement à un souci d’édification. Lettre du père Fauque au père Allart, Cayenne, 10 mai 1751, Lettres édifiantes et curieuses, écrites des missions étrangères, Paris, J.-G. Mérigot, vol. 8, 1781, p. 23.
27 Code noir, art. 10 et 11.
28 Celle-ci nécessite un déplacement du prêtre sur l’habitation et n’est assurément pas systématique. Elle devait être quasi inconnue des plus éloignées, mais plus accessible pour les habitations proches. Ainsi le Sieur Roy fait-il appeler le père Labat pour confesser un esclave mordu par un serpent. Labat, Nouveau voyage, éd. Delespine, 1742, t. 1, p. 67.
29 Le constat, dressé par plusieurs observateurs, vaut pour toute la période esclavagiste : « En général presque tous les Negres nouveaux desirent avec ardeur être baptisés […] pour n’être pas toujours un objet de mepris dans l’attelier auquel ils sont attachés », Dessalles P.F.R., Annales du Conseil Souverain, Paris, L’Harmattan, rééd. B. Vonglis, 1995, t. 1, vol. 1, p. 254.
30 « On destine ordinairement quelqu’un qui est bien instruit pour faire la doctrine en particulier aux nègres nouveaux, sans compter que ceux chez lesquels on les a logés ont un soin merveilleux de les instruire quand ce ne serait que pour pouvoir dire au curé, ou à leur maître, que le nègre qu’on leur a confié est en état de recevoir le baptême », Labat, Nouveau voyage, t. 2, p. 49.
31 Moreau (père), « Mémoires concernant la mission », p. 58.
32 Le registre de baptêmes des esclaves du Macouba, le plus ancien conservé pour les Antilles françaises, est une copie tardive souffrant de nombreuses lacunes. Archives départementales de Martinique (ADM), série E-dépôt, 26J 15/25.
33 Labat, Nouveau voyage, t. 2, p. 49.
34 « Elle se mettoit à genoux devant lui pour repeter ses prières et son Catechisme, et quand elle manquoit, il lui donnoit des coups de fouet sur les épaules, dont elle le remercioit ensuite, et lui baisoit les pieds », ibid.
35 Archives nationales d’Outre-Mer (ANOM), F3/39, fos 142-143. Observations faites par le gouverneur de la Martinique, 1743, pour Macouba. Outre l’entretien des bâtiments, la fabrique doit aussi fournir les registres vierges pour la tenue des actes. Ordonnance sur les cures et paroisses du 11 mai 1726, art. 14. Durand-Molard, Code de la Martinique, Saint-Pierre, J.-B. Thounens, 1807, t. 1.
36 Lettre du père Margat, après 1739, Lettres édifiantes et curieuses, écrites des missions étrangères, Paris, J.-G. Mérigot, vol. 7, 1781, p. 212.
37 Durand-Molart, Code de la Martinique, Ordonnance concernant les biens des fabriques des églises, 24 novembre 1781, t. 3, no 594, p. 496.
38 Rennard Joseph, Revue de l’histoire des missions, déc. 1931, p. 567 (paroisses du Baillif et de Capesterre, en Guadeloupe).
39 ANOM, C8a/54, fo 300, 11 mai 1742.
40 Lettres patentes qui établissent un hôpital de femmes au Fort Saint-Pierre de la Martinique, du 3 mars 1750. ANOM, Col. A 26, fo 31.
41 Jan Jean-Marie, Les congrégations religieuses à Saint-Domingue, Port-au-Prince, H. Deschamps, 1951, p. 122.
42 Il n’existe pas en Martinique ou Guadeloupe de système éducatif complet, l’habitude des habitants aisés étant d’envoyer étudier leurs enfants en France à l’adolescence. Rennard Jean, « Les écoles de la Martinique au xviie et au xviiie s. », Annales des Antilles, no 22, 1978, p. 15-53, et Louis Abel, Les libres de couleur en Martinique, Paris, L’Harmattan, 2012, t. 2, p. 265-275.
43 L’autorisation est nécessaire depuis l’ordonnance du 13 juillet 1684 (ANOM, C8a/3).
44 Ordonnance de 1718. Durand-Molart, Code de la Martinique, t. 1, no 53, p. 147-148.
45 Labat, Nouveau voyage, éd. Delespine, 1742, t. 1, p. 289 et p. 293.
46 ANOM, F3/74, répertoire des notions coloniales, article « Baptême », p. 23.
47 « L’évangélisation des esclaves au xviie s. Lettres du R.P. Mongin », Bulletin de la Société d’histoire de la Guadeloupe, nos 61-62, 1984, p. 120.
48 Lettre du Gouverneur général Bompar. ANOM, F3/258, fo 76 sqq.
49 Lettre d’un créole, 15 août 1773. ANOM, C9b/29 (cité par Pluchon Pierre, Vaudou, sorciers, empoisonneurs, Paris, Karthala, 1987, p. 39). L’ordonnance du 30 mai 1776 n’autorise les esclaves à participer aux processions « qu’avec leurs habits ordinaires » (Durand-Molart, Code de la Martinique, t. 3, p. 255).
50 Lettre d’un créole, 15 août 1773. ANOM, C9b/29.
51 Après l’éviction des Jésuites et comme le souligne avec conviction Sue Peabody, la détérioration de l’encadrement des pratiques religieuses favorise le syncrétisme hors de l’Église. Peabody Sue, « “A dangerous zeal” : catholic missions to slaves in the French Antilles, 1635-1800”, French Historical Studies, XXV, 2002, p. 90.
52 Arrêt de règlement du Conseil du Cap sur les abus, en matière de religion, des Gens de couleur, 18 février 1761, Moreau de Saint-Méry, Loix et constitutions des colonies françaises de l’Amérique sous le Vent, 1784-1790, t. 4, p. 352-353. Cette affaire est rapportée par le juriste Émilien Petit dans son Traité sur le gouvernement des esclaves, Paris, Knapen, 1777, t. 1, p. 228-229. Les Jésuites ici mis en cause sont pourtant réputés vigilants quant à l’envahissement du culte catholique par des « superstitions » (Laborie P.J., The Coffee Planter of Saint-Domingo, Londres, T. Cadell & W. Davies, 1798, appendix, 98).
53 Moreau de Saint-Méry, Loix et constitutions, t. 4, p. 354.
54 Arrêt du 18 février 1761. Moreau de Saint-Méry, Loix et constitutions, t. 4, p. 353.
55 Arrêt du Conseil Souverain du 13 mai 1758, Durand-Molard, Code de la Martinique, t. 2, no 226, art. X, p. 45.
56 Ordonnance concernant l’administration des fabriques des paroisses, la réformation, la tenue des registres des baptêmes, mariages, sépultures…, ibid., t. 3, no 552, art. 6, p. 380.
57 En 1791 au Macouba, l’esclave Prudence est « ondoyée par le mulâtre Valère, en danger de mort », sans mention d’autorisation. ADM, reg. d’esclaves du Macouba, année 1791.
58 En 1687 les petites Antilles françaises comptaient, pour une population de 36 555 personnes, 72 religieux (dont 30 en Martinique et 22 en Guadeloupe), plus 13 religieuses en Martinique. ANOM, G1-499, recensement général de 1687.
59 Histoire des hommes illustres, p. 611.
60 Lettre du 20 septembre 1722 paraphée par le père Mane. ANOM, F3/90, fo 5.
61 Histoire des hommes illustres, p. 602.
62 Histoire des hommes illustres, p. 610.
63 « On y vit dans une grande liberté, où pour mieux dire libertinage, sans subordination et sans aucun exercice de religion », rapport de 1743, ANOM, F5/A27, cité par Rennard Joseph, Revue de l’histoire des missions, déc. 1931, p. 576.
64 Celui-ci construit des bâtiments dans les années 1720 à l’aide de « deux esclaves nègres » et « deux Sauvages », afin d’y recueillir des enfants indiens dociles et disposés et d’en faire des « Séminaire de catéchistes destinés à prêcher la loi de Jésus-Christ ». Une fois éduqués, à l’âge de 17 ans, ils sont renvoyés dans leurs tribus et remplacés par d’autres enfants. Ibid., p. 267.
65 Ibid., p. 605.
66 En Martinique les Blancs représentent 8 % des parents spirituels des enfants d’esclaves de Case-Pilote (1758-1784) et 11 % au Trou-au-Chat (1787-1789).
67 Thibault de Chanvalon J.-B., Voyage à la Martinique, contenant diverses observations sur la physique, l’histoire naturelle, l’Agriculture, les Mœurs et les usages de cette isle, faites en 1751 et dans les années suivantes, Paris, J.-B. Bauche, 1763, p. 90.
68 Lettres édifiantes et curieuses, écrites des missions étrangères, Paris, J.-G. Mérigot, vol. 8, 1781, p. 24.
69 Petit, Traité, t. 2, p. 117.
70 Lettre du 28 octobre 1764, de Léogane. Papiers Galbaud du Fort (cité par Debien, Gabriel, « La christianisation des esclaves aux Antilles aux xviie et xviiie siècles », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 20, no 4, 1967, p. 544).
71 Petit, Traité, t. 2, p. 116.
72 ANOM, F3/260, fos 151-153.
73 Touron Antoine, Histoire des hommes illustres de l’ordre de Saint-Dominique, t. 5, liv. 40, chap. 19 : « Père Paul », p. 846.
74 Debien, « La christianisation », p. 542.
75 Dessalles, Annales du Conseil Souverain, t. 1, vol. 1, p. 286-287.
76 Dans l’« État » de 1721 le père Mane, vicaire général dominicain aux Antilles, s’honore d’une situation qui « nous attire la confiance de tous les peuples », propos qu’il conviendrait d’interroger. Annales des Antilles, no 10, 1975, p. 27.
77 Bourgeois, Voyages intéressants dans différentes colonies, 1781, p. 109-110 ; Lettre aux administrateurs généraux du 30 novembre 1727 (Jan, Les congrégations religieuses à Saint-Domingue, p. 109).
78 Petit Émilien, Droit public, ou gouvernement des colonies françaises, Paris, Delalain, 1771, t. 2, p. 498-501.
79 Lettres des 28 et 29 août 1789 adressées aux autorités civiles, et sans doute inspirées par le père J.-B. de Marseille, Capucin et « curé des nègres » du Fort Saint-Pierre. Louis, Les libres de couleur, t. 2, p. 21-22 et p. 26.
80 Quelques habitants commençaient déjà à exprimer qu’« une bonne maxime pour tenir les nègres dans leur devoir, c’est de les tenir dans une crasse ignorance de toutes choses » (Du Tertre, Histoire générale, t. 2, p. 511).
81 Debien, « La christianisation », p. 100.
82 ANOM, F5 A1, 105-109 et 119 (cité par Gisler Antoine, L’esclavage aux Antilles françaises. xviie-xviiie s., Paris, Karthala, 1981, p. 182).
83 Extrait des minutes du greffe civil et criminel de l’isle Guadeloupe. ANOM, F3/224, fos 791-796.
84 Moreau de Saint-Méry, Loix et constitutions, t. 3, p. 485. De même, en 1778 un prêtre affiche son soutien aux suppliciés de Saint-Pierre en organisant lors des funérailles une cérémonie en grandes pompes, avec étole rouge.
85 Lettre du père Mane du 20 septembre 1722. ANOM, F3/91, fo 9.
86 Le clergé rappelle à cette occasion que les fêtes doivent être consacrées à la « sanctification des esclaves, sans charge de travail supplémentaire ». Lettre du père Mane du 20 septembre 1722. ANOM, F3/91, fo 10.
87 Cousseau, Vincent, « La famille invisible. Illégitimité des naissances et construction des liens familiaux en Martinique (xviie siècle-début du xixe siècle) », Annales de démographie historique, 2011/2, p. 48-49.
88 Ces pénitences sont vite interdites par l’intendant malgré l’insistance pour leur maintien du père Mane, supérieur de la mission (lettre du 27 novembre 1723. ANOM. C8A/32, fo 290). Le débat à ce propos traduit la détérioration des relations entre le père Mane et les autorités civiles (ANOM, C8 B7/57).
89 Dessalles, Annales du Conseil Souverain, t. 1, p. 254.
90 Lettre de Fénélon, gouverneur de la Martinique, au ministre de la Marine et des Colonies du 11 avril 1764. ANOM F3/10, fo 116.
91 Mémoire pour servir à l’instruction du Marquis de Bouillé et du président Tascher, rubrique « Religion ». ANOM, C8, b/14, no 68.
92 Ibid.
93 Lettre publiée dans Foelhen Kraal J. et Debien Georges, « Plantations et esclaves de Surinam vus par Malouet, 1777 », West Indische Gids, vol. 36, 1955, p. 53-60.
94 Petit, Traité, t. 2, p. 117.
95 Archives des Affaires étrangères, mémoire anonyme sur Saint-Domingue, fo 76 (cité par Debien, « La christianisation », p. 100).
96 Lettres des 23 juillet 1766, 7 février et 21 juillet 1767 citées par Debien, « La christianisation », p. 545-546.
97 Règlement de discipline pour les nègres adressé aux curés dans les Isles de l’Amérique. ANOM, F3/90, fos 110-121.