1 Cf. Lettre no 68, du 31 décembre 1814.
2 Cf. Lettre no 312, du 6 janvier 1840.
3 Les différentes écritures que l’on peut rencontrer dans les lettres envoyées par Bretonneau ont été reproduites dans les annexes de ce tome.
4 Cf. Lettre no 5, 15 décembre 1801. Un exemple de son écriture se trouve en annexes.
5 Sur les trente-huit lettres, trois seulement sont des lettres que Marie-Thérèse a rédigées pour son mari. Quelques autres portent son écriture mais il s’agit de débuts de lettres écrites en son nom, ou de post-scriptum.
6 Cf. Tome 3, Annexes : correspondance complémentaire, lettres no XI et XII. Un exemple de son écriture figure également en annexes.
7 Lettre no 122 à Marie-Thérèse Bretonneau, 1821.
8 BU de médecine de Tours, Rapport d’autopsies (acquisition récente, non cotée). Le cahier ne contient pas que des rapports d’autopsies : on y a joint une observation sur le tétanos, une remarque sur l’emploi des émétiques, une observation sur l’hépatite, sur les bains, une « généalogie » des artères, ainsi qu’une notice sur des opérations de cataractes. Tout cet ensemble peut faire penser que le cahier appartenait véritablement à un élève, mais les autopsies du début du cahier sont annotées et corrigées par Bretonneau lui-même.
9 Jacquart fut mis à contribution, mais également Parmentier comme en témoigne la lettre no 142 de Bretonneau à Cottereau (30 juin 1825).
10 Cf. Lettre no 479 à Jacques-Joseph Moreau, dit Moreau de Tours, 1857 : la lettre est écrite en tous sens et des paragraphes se répètent. La lettre no 453 à M. Lorain est également un brouillon.
11 Il s’agit des lettres no 276 (5 avril 1830), no 284 (16 juillet 1831), no 302 (19 mars 1838), no 454 (9 novembre 1854) et no 459 (1854).
12 Il s’agit des lettres no 298, 307 et, peut-être, des lettres no 322, 257 et 274.
13 Certaines des lettres de Frédéric Leclerc envoyées à la commission administrative de l’Hospice général de Tours, et qui se trouvent dans les AD d’Indre-et-Loire (H dépôt 4 (L 77)), ont pu servir de comparaison.
14 P. Triaire, Bretonneau et ses correspondants, Paris, 1892, vol. 1, p. 40.
15 Cf. Lettres no 83 à 86.
16 Lettre no 466. Triaire l’a datée du 30 décembre 1855, mais il n’y a aujourd’hui aucune mention sur la lettre qui puisse confirmer cela.
17 Cf. Lettre no 2 de Cloquet, 8 août 1801.
18 Lettre no 306, 2 mai 1839, no 421, 2 novembre 1850, et no 433, 15 mai 1851.
19 Lettre no 306, 2 mai 1839.
20 Lettre no 3, 22 août 1801.
21 Lettre no 433, 15 mai 1851 : « Je suis bien touché, mon ami, de la si aimable attention que vous avez de réunir mes enfants à mon bon vieil ami Duméril. […] Il m’avait promis une visite pour le mois d’avril […]. Que je serais heureux d’avoir ici cet excellent ami ; tous deux nous vous avons aimé que vous n’étiez encore qu’un bien jeune enfant. Vous m’aiderez à le déterminer, à suspendre de pénibles travaux. »
22 Auguste Duméril à sa mère, Alphonsine Delaroche, 21 août 1835 (http://correspondancefamiliale.ehess.fr).
23 Au nombre de dix, les lettres de Guersant ne dépassent pas 1822.
24 Lettres no 7 et 12, 18 février et 18 juillet 1802.
25 Cf. Lettre no 63 de Bretonneau à sa femme. L’unique lettre d’Obeuf est la lettre no 92, du 15 décembre 1819.
26 Lettre no 88, 5 février 1816.
27 Lettre no 126, 1er septembre 1822.
28 Lettre no 81, novembre 1815.
29 Lettres no 305, et 487 à 489.
30 Il s’agit de la lettre no 388 du 19 juillet 1848, et de la lettre no 81 de novembre 1815.
31 Lettres no 452 et 475, 18 mai 1854 et 11 octobre 1856.
32 Lettre no 82, 11 décembre 1815.
33 Lettre no 274, 1er mars 1830.
34 Dans ses premières lettres, le texte est rédigé en un seul long paragraphe (cf. Annexes : Illustrations). Les changements de sujet sont simplement indiqués par des tirets bas.
35 Velpeau évoque d’ailleurs des lettres manquantes, par exemple dans la lettre no 97 de mai 1820 : « Ah ! Monsieur, combien votre lettre m’a restauré l’âme ».
36 Cf. chapitre « Retour aux sources », section « Les écoles parisiennes à l’aune de la pensée bretonnienne ».
37 « Je m’y suis pris dans les temps : j’étais embourbé au 4e chapitre, j’ai attendu un moment où j’aurais le cœur virginal au travail, et le vouloir bien dru ; j’ai tendu l’épaule et arc-bouté de la jambe, j’en ai arraché quelques pages encore. Mais le jarret a molli et l’épaule a plongé. Juvenal disait de Messaline :…Bis denas sorbuit ictus, // Et lassata viris necdum satiata recessit. Je vous souhaite le tempérament moral de l’épouse de Claude ; mais moi, moins heureux qu’elle, j’étais et je fus bientôt lassatus et satiatus. » (Lettre no 309, novembre ou décembre 1839)
38 Lettre no 163, 14 décembre 1825.
39 Lettres no 150, 155, 158, 160, 166, 228, 238, ainsi que 156 et 244.
40 Lettre no 188, 6 mai 1826.
41 Lettre no 479, datée de peu avant juillet 1857.
42 Lettres no 476 à Henri Léon Sérée du 3 juin 1857, et no 491 à Auguste Pierre Chaumier, non datée.
43 Lettre no 359, 28 octobre 1846.
44 Lettres no 458 et 460, du 25 novembre 1854 et du 9 avril 1855.
45 Lettre no 463, 6 décembre 1855.
46 Lettre no 260, 12 avril 1829.
47 Lettre no 431, 30 avril 1851.
48 Lettres no 133 de Dutrochet, 7 mars 1824 et no 361 de Gendrin, 24 décembre 1846.
49 Lettre no 345 de Marjolin, 22 février 1844.
50 Lettres no 255 et 299.
51 Lettre no 453 du 1er septembre 1854.
52 Lettre no 486, non datée. – P. Triaire, Bretonneau et ses correspondants, vol. 2, p. 638.
53 Lettre no 90 de Brongniart, 14 octobre 1816.
54 Lettre no 471, 6 octobre 1856.
55 Lettre no 374 à Blache, 28 octobre 1847.
56 Lettre no 274 à Chaptal, 1er mars 1830.
57 Lettre no 401 de Blache, 4 août 1849.
58 P.-F. Bretonneau, « Sur les moyens de prévenir le développement et les progrès de la diphtérie », Archives générales de médecine, janvier et septembre 1855.
59 D’après une lettre de Bretonneau à Trousseau (lettre no 449), il semble que l’origine du mémoire ait été une lettre à Blache, mais cette lettre privée a aujourd’hui disparu.
60 Lettre no 481 de Cruveilhier, 11 novembre 1857.
61 Lettres no 455 à 457, 461 et 485 à Miquel, 1854-1855.
62 Lettre no 459 à Bernard, datée de 1854, et probablement la lettre no 454, 9 novembre 1854.
63 Lettres no 256, 257 et 262.
64 C’était un reproche régulier des amis de Bretonneau à celui-ci. En 1858, Tocqueville écrit encore : « Quand je lui écris, même pour ma santé, il ne répond jamais. Sa paresse à écrire, qui est prodigieuse, est pour beaucoup dans cette négligence. » (A. de Tocqueville, Œuvres complètes, t. VIII : Correspondance d’Alexis de Tocqueville et de Gustave de Beaumont, Paris, 1967, vol. 3, p. 576)
65 Lettre no 315 de Béranger, 18 avril 1840.
66 Lettre no 347 de Mérimée, 3 octobre 1844.
67 Lettre no 379 de Flavigny, 4 avril 1848.
68 Lettre no 430 des Berckmans, 8 avril 1851 ; conservée à la BU de médecine de Tours sous la cote B1-9.
69 Lettres no 57, 235, 375, 414, 418, 472, 473, 484, 486, 490, 492, 493.
70 A. de Tocqueville, op. cit., vol. 3, p. 576 (lettre du 17 juin 1858).
71 Il s’agit du frère d’Arsène Gendron cité parmi les correspondants.
72 P. Delaunay, « Les petits prophètes de l’école bretonnienne : Esprit Gendron, les médecins de campagne et le dogme de la spécificité morbide », dans Bulletin de la Société française d’histoire de la médecine, 1924, no 18, p. 190.
73 Lettre no 372, 4 septembre 1847.
74 A. de Tocqueville, op. cit., vol. 3, p. 581.
75 « Vous nous rendriez grand service de nous réexpliquer ce que vous croyez nous avoir si bien expliqué : car nous ne savons ce que nous devons faire, ce que vous voulez faire ; enfin, mon cher maître, imaginez donc que vous ne parlez pas à des gens qui sont continuellement dans votre poche, et pour Dieu, si vous parlez à des Athéniens à qui trois mots suffisent pour comprendre une phrase, au moins prononcez les trois mots de rigueur. » (Lettre no 154 de Trousseau, 17 octobre 1825)
76 Lettre no 198 à Trousseau, du 20 juillet 1826.
77 E. Ackerknecht, La médecine hospitalière à Paris : 1794-1848, Paris, 1986, p. 155.
78 Parlant du curare dont Claude Bernard possède une certaine quantité, Trousseau écrit : « c’est plus qu’il n’en faudrait pour tuer les 3 000 000 de socialistes que la France possède » (lettre no 400, 9 juin 1849).
79 L’anecdotique évocation des doutes de Jean-Baptiste Cloquet, qui n’était pas médecin, fait écho aux réticences populaires (cf. Lettre no 22), et l’on constate également que l’importance de la vaccine était un combat qui n’était pas gagné d’avance. En critiquant les mauvaises méthodes des vaccinateurs parisiens, Velpeau note que « [M. Husson] craint avec raison, je crois, qu’on ne la compromette tellement qu’elle ne finisse par perdre la confiance qu’elle mérite si justement » (Lettre no 104, août 1820). Enfin, en 1844, une réponse de Trousseau renvoie également aux débats ultérieurs sur variole et varioloïde (cf. Lettre no 346, 9 avril 1844).
80 Cf. Lettre no 483, 15 juillet 1858.
81 P. Delaunay, « Les petits prophètes de l’école bretonnienne », dans Bulletin de la Société française d’histoire de la médecine, 1924, no 18, p. 177-191.
82 Lettre no 364, 24 janvier 1847.
83 Lettre no 343, 27 juin 1843.
84 Cf. Lettre no 318, 20 septembre 1840. – Bas-de-Cuir était le héros mis en scène par James Fenimore Cooper dans des romans historiques publiés entre 1823 et 1841.
85 « On ne peut bien étreindre quand on embrasse trop. La médecine et la législation sont d’immenses sujets de réflexion ; à l’une et à l’autre, il faut des études et du métier. » (Lettre no 382, 15 mai 1848).
86 Lettre no 52, 2 février 1814.
87 Lettre no 81, novembre 1815 : « […] Dans ce moment tout est dans la nuit et le chaos, tout a été déplacé par la secousse, et rien ne remplace ce qui était, que le chef de l’État, dont on attend beaucoup ; mais que faire, quelques talents et quelque bonne volonté qu’on ait, quand on trouve dix-huit cent millions de dettes, les provinces ruinées, plus des trois quarts de toutes les administrations à supprimer, les rouages à simplifier ? »
88 Lettre no 379, 4 avril 1848.
89 Lettre no 388, 19 juillet 1848.
90 Lettre no 378 : « Nous voilà redevenus républicains peut-être un peu trop tôt et un peu trop vite. […] Nous voulions descendre l’escalier marche à marche, on nous a fait sauter un étage tout entier ; à qui la faute ? Au gouvernement défunt, roi et ministres, conservateurs et opposants à la fois. Ces derniers étaient peut-être, en grande partie, ceux qui redoutaient le plus ce qui est arrivé, et ce qu’ils ont rendu inévitable, en convoquant le peuple en place publique, où ils l’ont abandonné à son propre instinct. »
91 Lettre no 392, 14 novembre 1848 : « […] Si ce drôle de Bonaparte est nommé, Lamoricière donnera sa démission et dans un mois nous n’aurons pas notre lieutenant. » Les lettres no 401 et 402 témoignent également de la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, par le biais de son voyage à Tours, et de la réception par Bretonneau de sa croix d’officier de la Légion d’honneur.