1 Antoine Prost, « Les instructions de 1938 », chap. 2, p. 194-195, in Antoine Prost (dir.), Jean Zay et la gauche du radicalisme, Paris, Presses de Sciences Po, 2003. Voir aussi : Olivier Loubes, Jean Zay, Paris, Armand Colin, 2012, p. 120.

2 M. Rousson (Gard), L’Imprimerie à l’École, n^o 23, septembre 1929.

3 « Nous fumons », L’Éducateur Prolétarien, n^o 4, janvier 1933, Éditions de L’Imprimerie à l’École, Saint-Paul (Alpes-Maritimes), p. 202. Voir : www.icem-pedagogie-freinet.org/book/export/html/24135. Texte cité par Michel Barré, Célestin Freinet : un éducateur pour notre temps. 2008, édition électronique consultable sur http://temoignage.barre.pagesperso-orange.fr/m5.html.

4 Paul Delarue, Le Conte Populaire Français. Catalogue raisonné des versions de France et des Pays de langue française d’Outre-mer, Paris, Éditions Érasme, 1957, t. I, p. 328-329.

5 « La Bête aux sept têtes », Extraits de La Gerbe et des Journaux scolaires, École de garçons de Camphin-en-Pévèle (Nord), Éditions de l’Imprimerie à l’école, n^o 29, avril 1931. Voir les textes de La Gerbe, Les Remparts, L’Imprimerie à l’école, Enfantines, dans la rubrique « Archives » sur le site de l’Institut Coopératif de l’École Moderne. Pédagogie Freinet : www.icem-pedagogie-freinet.org/ et www.icem-freinet.fr/archives/enfantines/

6 Paul Delarue, op. cit., p. 97 : n^o 429, La Gerbe.

7 L’Imprimerie à l’École, n^o 26 octobre 1929, p. 17.

8 L’Imprimerie à l’École, Bulletin de l’École de Saint-Paul, Alpes-Maritimes, n^o 44, juin 1931, p. 298.

9 Célestin Freinet, « Points de vue nouveaux sur le conte. Ses possibilités actuelles, son avenir. (Communication au premier congrès de sociologie de l’enfant, à Paris) », in L’Éducateur Prolétarien, n^o 2, 15 octobre 1937, p. 42-45, et « Les contes et leur utilisation à l’école », in Travaux du Ier congrès international de folklore, tenu à Paris du 23 au 28 août 1937 à l’École du Louvre, Tours, Arrault et Cie,Imprimeur, 1938, p. 421-424. Les deux communications sont sensiblement identiques. La citation est issue de celle publiée dans les Travaux du I^er congrès international de folklore, p. 423. Les travaux du Ier congrès international de folklore tardant à être publiés, il est probable que Freinet ait préféré éditer rapidement la communication prononcée au congrès de sociologie de l’enfant dans L’Éducateur prolétarien

9 Célestin Freinet, « Les contes et leur utilisation à l’école », in Travaux du 1er congrès international de folklore, tenu à Paris du 23 au 28 août 1937 à l’École du Louvre, op. cit., p. 423.

10 Geneviève Massignon, note écrite à la suite de la transcription d’un conte collecté en 1960 dans la Vienne, in De bouche à oreille. Anthologie de contes populaires français, Paris, José Corti, 2006, p. 195.

11 Jérôme Meidoz, L’Âge du roman parlant (1919-1939). Écrivains, critiques, linguistes et pédagogues en débat, Paris, Droz, 2001. Je reprends ici les thèmes et les modes de la pédagogie Freinet présentés dans le chapitre IV : « Vers une nouvelle pédagogie de l’oral et de l’écrit : Célestin Freinet », p. 189-206.

12 Élise Freinet, L’Itinéraire de Célestin Freinet. La libre expression dans la pédagogie Freinet, Paris, Payot, 1977, p. 9.

13 Catherine Velay-Vallantin, « Le Monument aux contes », La Grande Oreille. Revue des arts de la parole, n^o 38, juillet 2009, p. 68-72, et « Charles Perrault, la conteuse et la fabuliste : “l’image dans le tapis” », Féeries. Études sur le conte merveilleux xvii^e-xix^e siècles, Le conte et la fable, n^o 7, 2010, p. 95-121.

14 Élise Freinet, L’Itinéraire de Célestin Freinet…, op. cit., p. 23.

15 À propos de « Souvenirs de famille ou l’ange garde-chiourme », publié par Prévert dans Bifur en 1930, cité par Jérôme Meidoz, L’Âge du roman parlant…, op. cit., p. 199.

16 La Nouvelle Revue Française, n^o 233, 1er février 1933, p. 193-205.

17 La Nouvelle Revue Française, op. cit., p. 193. Le récit « Ma petite sœur » se trouve p. 194.

18 Jean Zay, Souvenirs et Solitude, Paris, René Julliard, 1945, p. 422-423.

19 Célestin Freinet, « Si la grammaire était inutile », Œuvres Pédagogiques, Paris, Éditions du Seuil, t. 2, p. 343-344, 1994.

20 Célestin Freinet, « L’évolution favorable de la pédagogie française », in L’Éducateur prolétarien, n^o 17, 15 mai 1938.

21 Catherine Dorison, « “Au-delà du premier degré”. Freinet et la prolongation de la scolarité », communication au congrès international de l’AREF (Actualité de la recherche en éducation et en formation), Laboratoire interdisciplinaire de recherche en didactique, Éducation et Formation, 25 août 2013, 330/4.

22 La Fédération unitaire de l’enseignement rassemble les instituteurs révolutionnaires et communistes. Le syndicat national des instituteurs (SNI), issu de la transformation d’amicales, soutient des positions réformistes. En 1921, la Fédération unitaire de l’enseignement rejoint la CGT-U, en 1925 le SNI rejoint la CGT. C’est en 1935 que la CGT-U et la CGT décident d’une réunification.

23 Georges Cogniot, Université syndicaliste, n^o 4, 1930, cité par J.-M. Chapoulié, L’école d’État conquiert la France, Rennes, PUR, 2010, p. 249. Sur l’évolution des positions communistes, voir : A. D. Robert, « L’école démocratique et la question des aptitudes, les positions originales du PCF des années 1930 aux années 1970 », in B. Garnier (dir.), Problèmes de l’école démocratique (xviii^e-xx^e siècles), Paris, CNRS Éditions, 2013, et F. Mole, « L’école unique, une émancipation collective ou individuelle ? Du début du xx^e siècle aux années 1930 », Le Télémaque, n^o 43, 2013, p. 103-114.

24 Cette position représente un revirement : après le congrès de Bordeaux de la Fédération de l’Enseignement de 1920, Célestin Freinet écrivait : « Nous nous sommes posés en syndicalistes révolutionnaires mais jamais en instituteurs révolutionnaires », École Émancipée, n^o 4, 23 octobre 1920. De nombreux articles de L’École Émancipée sont consultables sur : http://www.amisdefreinet.org/archives/ecoleemancipee/19210312.html

25 Célestin Freinet, Création du mouvement « Front populaire de l’Enfance », in L’Éducateur Prolétarien, 25 novembre 1935. Le Président d’honneur de ce Front est Romain Rolland. Voir : Delphine Lafon, Célestin Freinet ou la révolution par l’école, Mémoire de maîtrise préparé sous la direction de Jean-Louis Panicacci, Université de Nice/Sophia-Antipolis, Département Histoire, soutenue le 22 octobre 1999.