Novembre 1834
p. 74-79
Texte intégral
11 er novembre. — M. D. Monnier vient de m'adresser une épître à M. Alphonse de Lamartine, qu'il a intitulée un peu trop emphatiquement ce me semble : Gloire et malheur. Je ne sais pas pourquoi j'ai appelé cette pièce une épître, c'est une ode, mais sur différents mètres. Dans les premières strophes, la répétition du premier vers à la fin de la strophe ne m’a pas paru heureuse. Je trouve aussi que l'auteur a eu tort d'employer la mythologie grecque et hébraïque dans un morceau qui devrait être tout de sentiment. Mais il y a quelques grandes images et des vers admirables comme en fait M. Monnier à qui il n'a manqué que du goût pour être un vrai poète.
22 novembre. — Le jeune Baille qui doit aller le printemps prochain à Paris, pour y perfectionner dans l'atelier de quelque maître ses dispositions vraiment remarquables pour la peinture, est occupé dans ce moment de faire un trait du tableau de Fra Bartolomeo, pour l'envoyer à Rome où ce magnifique tableau n’est point connu. Pour lui faciliter le travail, on a transporté ce chef-d'œuvre dans la salle synodale où les amateurs ont toute la facilité de le voir depuis quelques jours.
34 novembre. — M. Lancrenon retourne à Paris faire ses dispositions pour revenir à Besançon se mettre à la tête du musée dont la direction lui est confiée. Malgré tout son zèle, on ne pense pas que cet établissement puisse être ouvert au public avant l'été prochain.
45 novembre. — Le fameux Miran a paru hier devant la cour d'assises sous la prévention de faux. Il était assisté de l'avocat Langlois dont il avait demandé lui-même l'intervention. Les débats commencés ce matin ont duré toute la journée. Déclaré coupable par le jury, il a été condamné aux travaux forcés et à l'exposition. Il est probable que Miran se pourvoira en cassation.
56 novembre. — Le bruit s'est répandu dans la journée de la mort du maréchal Moncey à Paris où il était retourné depuis quelques jours. Quoique le maréchal soit très âgé, on espère encore que le courrier de demain démentira cette fâcheuse nouvelle.
67 novembre. — Comme nous l'avions prévu, la fâcheuse nouvelle de la mort du maréchal a été démentie ce matin. Une lettre de son aide de camp insérée dans les journaux annonce que, bien que la santé de M. le maréchal ne soit pas aussi bonne qu'on pourrait le désirer, on a cependant l'espoir de le conserver encore longtemps.
78 novembre. — L'abbé Receveur, parti hier pour Paris, ne conserve plus l'espérance d'être nommé professeur en titre à la chaire de Sorbonne qu'il remplit comme suppléant depuis plusieurs années. Si le changement que les journaux annoncent dans le ministère ne lui présente aucune chance honorable, il est décidé à quitter la carrière ingrate de renseignement pour se lancer dans la politique, et alors il se ferait collaborateur de quelques journaux de l'opposition.
89 novembre. — Il reste beaucoup de lacunes importantes à remplir dans la Charte faite et refaite tant de fois depuis cinquante ans par les hommes les plus habiles de France. Par exemple, dans noire dernière charte aucune disposition n'oblige le prince ou le pouvoir exécutif à promulguer une loi rendue par les Chambres dans la forme constitutionnelle. C'est ce que nous démontrait hier à dîner le professeur Bugnet qui s'est remis en route ce matin pour Paris. Il me semble que ce professeur a grandi depuis l'année dernière ; quoique habitué à sa dialectique vive et rigoureuse, il m'a surpris par la force de ses raisonnements dans la discussion qu’il a soutenue contre Pérennès sur les inconvénients du mélange des idées religieuses dans les affaires purement politiques.
910 novembre. — Lettres de M. l'abbé Th. Gousset, vicaire général capitulaire du diocèse de Besançon, à M. le curé de... sur la doctrine du Bienheureux A.-M. de Liguori, et sur la justification de la théologie morale. In 8°, imprimerie d'Outhenin-Chalandre à Besançon. Le nouvel archevêque, à qui l'ouvrage a été communiqué par l'auteur, a craint de se compromettre en lui donnant son approbation... Sa conduite est peut-être prudente ; en arrivant dans un diocèse, il n'a pas voulu se déclarer pour un des partis qui le divisent et qu'il doit rapprocher. C'est là ce que disent les personnes les mieux disposées pour le prélat, mais moi, je ne puis m'empêcher de le trouver bien méticuleux.
1011 novembre. — M. Louis de Vaulchier1 est de retour de sa campagne où il a passé six mois. Nous allons donc commencer le dépouillement des mémoires de Granvelle, car c'est sur lui qu'on doit principalement compter pour ce travail qui doit durer plusieurs années.
1112 novembre. — Le nouvel archevêque a pris possession de son siège par procureur. Il conserve les anciens vicaires généraux et leur en adjoint un nouveau, le supérieur du séminaire2. On attend le prélat dans le courant du mois.
1213 novembre. — Ce matin est arrivée la nouvelle que, depuis plusieurs jours, attendaient avec impatience nos badauds politiques, la création d'un nouveau ministère. M. Guizot et avec lui tous les ministres doctrinaires, mais que j'appellerais volontiers, moi, les ministres germaniques, sont éloignés des affaires. J'avoue que je crains que ce ne soit pas pour longtemps : M. Guizot me paraît d'ici à plusieurs années un personnage inévitable. Je le crois un honnête homme, quoique ambitieux, mais il a la main malheureuse et il gâte les meilleures choses dès qu’il y touche. Le ministère nouveau a pour chef le duc de Bassano3, grand personnage sous l'Empire, nul sous la Restauration et, depuis 1830, compté parmi les médiocrités de la Chambre des Pairs. Mais ce qui me fait plaisir comme franc-comtois, c'est que le ministre de la guerre est le général Bernard4 de Dole, qu'une autre ordonnance nomme membre de la Chambre des Pairs. Bernard est le troisième ministre de la guerre depuis la réunion de la Franche-Comté. Les deux autres sont le comte de Saint-Germain et le prince de Montbarrey.
1314 novembre. — Le sous-préfet de Dole, arrivé ce matin, nous a conté la joie causée dans cette ville par la nomination du général Bernard au ministère de la guerre. Son père, pauvre vieillard, a reçu des félicitations et des compliments de gens qui ne l’avaient guère jamais vu. Le conseil municipal s’est réuni spontanément pour écrire au nouveau ministre, et l’on se propose bien de profiter de son autorité temporaire pour solliciter en faveur de sa ville natale la réparation d’anciens griefs ou la création de nouveaux établissements. Mais voici le revers de la médaille ; les journaux attaquent déjà le général Bernard ; ce n’est plus qu’un officier du génie de troisième ou quatrième ordre, il est incapable d’administrer l’armée et peu s’en faut qu’on ne lui refuse le talent du plus mince des généraux.
1415 novembre. — Auguste Demesmay, encouragé par les éloges que sa dernière pièce lui ont valus, vient de faire une nouvelle légende ; celle-ci, intitulée Les dames d'Entreportes, est une pièce franc-comtoise. Le héros est un sire de Joux et la scène se passe près de Pontarlier, patrie de l’auteur, mais dont le nom inconnu jusqu’ici des poètes, ne semble pas heureux dans les vers de cinq pieds.
1516 novembre. — Ravenel est revenu de Neuchâtel enchanté de son voyage. Il y a passé près de trois mois à transcrire, aidé d’un copiste, les manuscrits inédits de Rousseau qui se trouvent à la bibliothèque de cette ville. A son retour à Paris, il va s'occuper d'une nouvelle édition des œuvres du philosophe de Genève qui fera nécessairement tomber toutes les autres par la quantité de pièces curieuses dont il a la possibilité d'enrichir la sienne. Ce soir après-dîner, il nous a lu, à Viancin et à moi, deux lettres de Rousseau, l'une à Madame d'Houdetot que le philosophe désigne sous le nom de Sophie, et l'autre au prince de Conti5 dans laquelle il lui détaille les motifs de sa rupture avec M. Duperron, son seul véritable ami de cœur. Après en avoir entendu la lecture, on est tenté de plaindre Rousseau, malheureux par son génie même et qui finit par être complètement privé de raison.
1617 novembre. — Notre médaillier s'est enrichi d'une pièce frappée par l'abbé de Lure en 1624 ; elle est en argent et de la dimension d'une pièce de dix sols. Elle a été trouvée dans les ruines du château de Marnay par le jeune Bernard6, l'un des derniers lauréats de notre Académie, qui s’est fait un plaisir de me la donner. Dom Grappin, dans les Recherches sur les monnaies de la province, parle de cet abbé de Lure qui s'avisa, comme prince de l'Empire, de frapper monnaie longtemps après que les abbayes de France avaient perdu les droits régaliens.
1718 novembre. — J'ai reçu la visite d'un jeune peintre. Moyen âge, barbe noire fort épaisse au milieu de laquelle on est fort surpris d'apercevoir une jolie bouche et de fort belles dents. Cet artiste se nomme Rousseau7 ; quoique fort jeune, il a déjà placé au Salon des paysages qui ont été remarqués des connaisseurs. Pour augmenter l'intérêt que je montrais au jeune peintre, on m'a dit qu'il était de Salins, mais d'après ses réponses aux questions que je lui ai faites, il est probable qu'il est seulement originaire de cette ville où il a des parents, mais qu'il est né dans les environs de Paris. A cet égard, je saurai bientôt à quoi m'en tenir.
1819 novembre. — M. Alviset, premier président de la Cour royale de Besançon, vient d'être la victime d'un accident déplorable. Il était occupé lundi dernier, 17 de ce mois, à nettoyer un tonneau au moyen de la chaux infusée. La vapeur en se dégageant a fait éclater le tonneau avec une détonation effrayante. Le président, renversé par la commotion, s'est cassé la cuisse et a eu le visage brûlé par l’eau de chaux. Depuis ce moment, il souffre de douleurs cuisantes dans les yeux ; cependant on espère qu'il ne perdra pas la vue.
1920 novembre. — Considérations sociales sur l'architectonique par Victor Considerant, Besançon, Sainte-Agathe, in 8°, avec une planche lithographiée. C’est un extrait de son grand ouvrage sur lequel je ne peux encore avoir une opinion arrêtée puisque je n'ai pas encore eu le temps de le lire.
2021 novembre. — Le général Bernard n’aura pas été longtemps ministre de la guerre. Il est remplacé par le maréchal Mortier. L’ordonnance est dans le Moniteur arrivé ce matin.
2122 novembre. — L'association de Sainte-Cécile a fait célébrer aujourd'hui, fête de sa patronne, une messe à la cathédrale. Cette cérémonie dont on avait perdu l'habitude avait attiré beaucoup de monde. La messe, quoique de Hummel8, ne m'a pas fait grand plaisir, si ce n'est le Credo que j'ai trouvé vraiment admirable. Je n'avais pas encore si bien senti ce qu’il y a de sublime dans l'Homo factus est. Les philosophes sont de grands sots d’avoir voulu tourner en dérision un Dieu fait homme. Il n’y a pas eu d'ensemble dans l'orchestre, les instruments étouffaient les voix qui doivent dominer à l’église.
2223 novembre. — On a présenté ce soir à Saint-François-Xavier, sa paroisse, le corps d'un honnête homme, M. Demeusy, professeur de mathématiques à l'ancien collège puis à l'Ecole centrale. Mis, je ne sais pour quelle cause, à la retraite lors de la création du Lycée, il a survécu longtemps à ses successeurs dans une chaire qu'il avait, on peut le dire, illustrée. Savant modeste et philosophe pratique, il ne chercha jamais à faire étalage de sa science. Comme le bon abbé Jantet9, il regardait les écoliers comme ses enfants et songeait bien plus à les faire briller dans les examens qu'à briller lui-même. Il n'était pas très âgé puisqu'il n'avait que 77 ans. Son fils, qui suivait aussi non sans succès la carrière de l'enseignement, privé de son emploi par suite de dénonciations trop fréquentes et surtout trop écoutées dans les temps de troubles, était à Paris en 1824, donnant des leçons particulières de mathématiques. Je le vis à cette époque, mais la légèreté de ses propos m'indisposa contre lui, et nous ne nous sommes pas rencontrés depuis.
2324 novembre. — M. Boucley, ancien professeur au collège de Besançon, est de retour après une absence de douze ans ; il remplace comme inspecteur M. Buignet, nommé aux mêmes fonctions à l'Académie de Bourges. M. Boucley retrouve ici d'anciens amis avec lesquels il n'a pas cessé d'être en correspondance. C'est un homme instruit et d'un caractère très distingué.
2425 novembre. — Notre nouvel archevêque est arrivé aujourd'hui à trois heures. Sa voiture était précédée d’une demi-douzaine de gendarmes et suivie d'autant de cuirassiers. Le prélat était seul sur le banc de derrière, entouré de paquets comme un commissionnaire ; il faisait assez triste contenance. C'est un homme de moyenne taille, la figure pleine et vermeille, ressemblant à un bon curé de village. Après la cérémonie d'usage, il a été conduit en procession à la cathédrale où il a dû essuyer un discours qui m'a semblé long, parce que je ne pouvais pas entendre l'orateur. L'église était d'ailleurs très éclairée et remplie de monde ; on n'en est sorti qu'à sept heures.
2526 novembre. — L'archevêque fera pendant quelques jours le sujet de tous les entretiens, c'est ce qui doit arriver dans une ville sans événement. On dit qu'il a répondu au compliment des notables commerçants : « J'arrive avec l’intention de faire un grand commerce de bonnes œuvres et j'espère que, dans cette entreprise, vous me seconderez de tout votre crédit. » Ce mot, plus digne du marquis de Bièvre que d'un prélat, a été rapporté par M. Grosbois.
2627 novembre. — Le médecin Tournier a communiqué aujourd’hui à l'Académie un mémoire très bien fait sur l'homéopathie. Il y a dans ce morceau quelques longueurs, des répétitions, mais il est écrit avec un talent très remarquable, et la lecture qui a duré près de deux heures a été entendue avec le plus vif intérêt. L'auteur se déclare en faveur de la nouvelle méthode de Hahnemann qu'il regarde comme propre à fonder un système thérapeutique plus rationnel que celui de nos docteurs modernes ; il s'applique à venger le médecin allemand des sarcasmes de ses adversaires et s'efforce de prouver que l’homéopathie n'a jamais fait de mal, quand elle n’a pas procuré la guérison rapide du malade.
2728 novembre. — On vient de placer à Notre-Dame un grand tableau de M. de Boulot représentant saint François-Xavier ressuscitant une jeune fille. Ce tableau lui a coûté quatre ans d’études et six semaines d’exécution. Sans être bon, il est supérieur à tout ce que nous connaissons de cet artiste à qui l’on ne peut sans injustice retirer beaucoup d’amour pour les arts, de zèle et de désintéressement.
2829 novembre. — Le projet du maire de publier une galerie métallique franc-comtoise paraît enfin devoir se réaliser. Une première assemblée d’artistes et d’amateurs a eu lieu jeudi dernier à la Bibliothèque ; tous ont souscrit pour six médailles que l’artiste s’oblige à livrer dans le cours de trois années, et se sont engagés à faire des efforts pour trouver des souscripteurs. Si l’on n’en trouve que 80, la médaille coûtera dix francs, mais ce prix diminuera progressivement si le nombre est plus grand. Les six premières médailles seront celles du cardinal de Granvelle, de Gilbert Cousin10, de J.-J. Chifflet, de Dunod, de Mairet et de Bullet11.
2930 novembre. — M. de Magnoncour fils est depuis quelques jours arrivé d’Angleterre. Il en a rapporté des gravures, des aquarelles et quelques ouvrages précieux. Il a fait cadeau à notre Bibliothèque de la Chronique espagnole de <Jean de Sota12> et du Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque d’[An...]. Ce dernier ouvrage, d’une exécution magnifique, n'est point terminé et il est bien à craindre que nous ne l’ayons jamais complet.
Notes de bas de page
1 Louis-Anne, marquis de Vaulchier du Deschaux.
2 L’abbé Cuenot, adjoint aux anciens vicaires généraux Cart, Gousset et Maire de Bouligney.
3 Hugues Maret de Bassano (1763-1839). Il est lié à la Franche-Comté par quelques alliances : sa femme était la sueur de Martin Lejéas, qui épouse en 1807 Caroline Dornier, fille du conventionnel régicide, maître des forges de Pesmes et le fils de ceux-ci épouse à son tour, en 1834, la propre fille du duc. C'est sans doute à partir de ces liens que le duc de Bassano devient propriétaire du château de Beaujeu, qu'il restaure complètement. Cf. F. Lassus, Métallurgistes en Franche-Comté... : les Rochet, pp. 278-282 et Nouveau dictionnaire des communes de la Haute-Saône, t. i, p. 270.
4 Le général Simon Bernard (1779-1839), de Dole, commença sa carrière militaire sous l'Empire, dans le génie. Pendant la Restauration, il dirigea de grands travaux aux Etats-Unis (fortifications de New-York) ; de retour en France en 1830, il devint aide de camp de Louis-Philippe. Son passage au ministère de la guerre fut très court (voir au 21 novembre 1834).
5 Louis-François de Bourbon, prince de Conti (1717-1776), protecteur des gens de lettres.
6 Cf. Journal, 25 août 1834.
7 Peut-être Théodore Rousseau (1812-1867). En 1834 il avait 22 ans et avait exposé des paysages au Salon dès 1831.
8 Johann-Nepomusk Hummel (1778-1837), pianiste et compositeur allemand, qui avait été l'élève de Mozart à Vienne.
9 L'abbé Antoine-François-Xavier Jantet (1747-1805) qui enseigna les mathématiques à l'Ecole centrale du Jura puis au Lycée de Besançon, compta parmi ses élèves le général Simon Bernard et sans doute Bonaparte, lieutenant d’artillerie à Auxonne.
10 Gilbert Cousin (Nozeroy 1506-Besançon 1572), chanoine, secrétaire d'Erasme. Suspect d'hérésie, il devait mourir dans les prisons de l'archevêque de Besançon. Auteur d'ouvrages en latin dont une Description du Comté de Bourgogne (1572), traduite à plusieurs reprises.
11 Jean-Baptiste Bullet (1699-1775), professeur de théologie à l'Université de Besançon, auteur d'un dictionnaire celtique (voir Journal, ii, p. 383, n. 84).
12 Personnage difficile à identifier. Serait-ce Pio de La Sota, écrivain et historien espagnol du xixe siècle ? Il consacra ses loisirs à la rédaction de plusieurs ouvrages romancés, inspirés des épisodes de l'histoire de son pays.
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