Septembre 1834
p. 62-67
Texte intégral
11 er septembre. — La foire a été l'une des plus nombreuses qu'on ait vues depuis longtemps. On porte à 60.000 le nombre des étrangers qu'elle aurait attirés de toutes les parties de la province mais ce nombre est probablement exagéré. La vérité c'est que les rues et les avenues de la ville étaient encombrées de chevaux et de voitures au point qu'il était très difficile de circuler.
22 septembre. — Le jeune Baille1 a reçu le premier prix et une médaille d'honneur à l'exposition pour un tableau représentant « Agar dans le désert ». Les professeurs et le comité de l'école de dessin se sont réunis pour recommander le jeune homme au conseil municipal, à l'effet de lui faire obtenir une bourse qui lui permettrait d'aller perfectionner à Paris les dispositions étonnantes qu'il annonce pour les arts.
33 septembre. — M. Ravenel2 sous-bibliothécaire de Paris, est passé aujourd'hui, se rendant à Neuchâtel où il espère trouver des pièces inédites de J.-J. Rousseau, et notamment des recueils de pièces justificatives auxquels il renvoie dans les Confessions.
44 septembre. — En allant à Baume, je me suis trouvé dans la voiture avec Letoublon, qui revenait de Paris où il avait été à la noce d'une de ses sœurs. Il rapporte des livres curieux. J'ai fait une visite au Nestor des naturalistes franc-comtois, M. de Chantrans3 qui passe encore une partie de l'année dans une jolie campagne près de Baume. Malgré son âge avancé, il continue d’étudier et de recueillir des observations. J'ai trouvé chez lui son beau-frère, M. de Pons4 le père de Gaspard, l'auteur d'Amour à elle et de quelques autres productions remarquables. Gaspard n’est pas franc-comtois comme Nodier me l'a dit, il est né à Avallon.
55 septembre. — M. Courvoisier passe ses matinées à corriger un travail qu'Armand Marquiset a composé sur les devoirs des maires. L'ancien ministre de Charles X devenu le réviseur du sous-préfet de Dole, n'est-ce pas là un trait d'un autre siècle ?
66 septembre. — M. Laurent promet dans son annuaire le Dictionnaire des communes et hameaux du département d'après des documents authentiques.
77 septembre. — J'ai vu cet après-midi d'Esnans ; c'est un jeune homme de mérite. Il veut faire imprimer l'hiver prochain des Eléments de physique. J'ai trouvé chez lui Edouard Baille, le jeune peintre dont le tableau d'Agar a récemment excité l'admiration de nos amateurs. Il se propose d'aller se perfectionner à Paris, mais il ne compte pas sur la munificence de notre conseil municipal, et je ne sais pas s'il a tort. C'est ce que l'avenir nous apprendra.
88 septembre. — A mon retour de Baume, j'ai trouvé M. Nisard, l'un des rédacteurs les plus spirituels du National, qui m'attendait depuis hier. Il m'a beaucoup parlé de son projet de publier l’histoire des principales villes du monde, et m’a demandé si je voulais me charger de Besançon. Je le lui ai promis, moins que je sois décidé à me plonger dans cette oeuvre difficile que pour éviter l'ennui des sollicitations.
99 septembre. — Lancrenon est venu me trouver ce matin. Il est enchanté de sa nomination à la place de conservateur de notre futur musée. Après son départ, j’ai reçu la visite de l'abbé Receveur qui vient passer ses vacances dans nos montagnes, et puis celle de M. Nisard à qui j'ai fait voir la Bibliothèque. Toutes ces visites m'ont fait perdre ma journée.
1010 septembre. — Le professeur Bugnet est arrivé depuis quelques jours dans la province, où il vient passer les vacances. J'ai passé la plus grande partie de la journée avec lui. Il est un des cinq membres de l'Ecole de droit de Paris qui ont protesté contre la nomination de M. de Rossi5 à la chaire, créée pour lui, de droit constitutionnel. M. de Rossi, naturalisé français au mois d'août dernier, ne justifie pas qu'il ait été reçu docteur dans une académie française et, par conséquent, ne peut être nommé professeur. Il est en effet singulier que M. de Rossi, destiné par le ministère à nous enseigner le respect des lois, ne le fasse que par la violation de la loi sur l'université.
1111 septembre. — Viancin nous a chanté ce soir une nouvelle chanson dans laquelle il met en relief les ridicules du conseil municipal. Comme dans tout ce qu'il fait, il y a des couplets très piquants et fort bien tournés et d'autres très faibles.
1212 septembre. — M. Nisard est revenu me trouver ce soir. Nous avons reparlé de l'histoire de Besançon ; il ne me demande que cent pages in 4° et je crois que je pourrai les lui donner l'année prochaine. Il va demain avec le général Verdière à la glacière de la Grâce-Dieu, et samedi prochain à Vesoul où il passera quelques jours avec les Thierry qui lui ont promis quelques histoires pour sa collection, Amédée se chargera de Strasbourg et de Blois, et Augustin6 de Reims. De tels collaborateurs me découragent car je sens combien je leur suis inférieur par le style et même par la pensée.
1313 septembre. — Claude Gueux, par Victor Hugo, in 8°. Cette nouvelle très intéressante est extraite de la Revue de Paris.
1414 septembre. — Le premier volume de l'ouvrage de Victor Considérant est en vente de ce matin. Comme l’auteur est homme d'esprit et de talent, il ne peut manquer de trouver beaucoup de contradicteurs, mais il aura je crois des partisans nombreux. Et l'impartial, rédigé sous le patronage de ses amis7 n'épargnera rien pour en accroître le nombre.
1515 septembre. — M. Nisard est revenu me faire ses adieux. Il part assez mécontent de Besançon où il n'a pas reçu l'accueil auquel il s'attendait. Dans ce moment notre ville est déserte, tout le monde est à la campagne, et parmi ceux qui s’occupent un peu de littérature, je suis à peu près le seul resté pour faire les honneurs du pays. J'ai dit à M. Nisard tout ce que j’ai pu pour le calmer, mais je ne me flatte pas d'avoir réussi, sa vanité d'auteur qui compare tout ce qu'il vaut était trop profondément blessée ! C'est en effet un homme de mérite ; je n'ai jamais mieux senti ma nullité qu'en l'entendant parler. Il n'a que 28 ans et il a lu les meilleurs écrivains grecs, latins et français. Sophocle, Virgile, Racine et Molière sont les auteurs qu'il affectionne davantage. Quoique bien jeune, il a lutté contre les romantiques et il l'a fait d'une manière très remarquable, parce qu'il n'a écrit que sous la dictée de sa conscience. C'est Quintillien prenant la défense du bon sens et du goût dans la décadence de la littérature romaine. M. Nisard aime à se comparer à Quintillien et il ne se flatte pas d'être plus heureux que le grand critique latin. Je lui ai demandé quel était à son avis le premier écrivain de l'époque ; il m'a répondu que c'était Saint-Marc Girardin8. Tout en accordant un grand talent à Victor Hugo, il ne pense pas qu'il fasse jamais un bon ouvrage, parce que c'est un homme sans conscience et sans probité. Il le regarde comme un charlatan qui, pendant quelques années, a voulu faire servir à sa réputation son état de mari et de père. Maintenant il vit publiquement avec des actrices, sa femme abandonnée s'est de son côté livrée aux désordres, et il arrive souvent que leurs cinq enfants en revenant de l’école ne trouvent pas à dîner. Quelle pitié ! M. Nisard m'a dit ce mot profond : « L’homme de génie est celui qui dit ce que tout le monde pense. »
1616 septembre. — Les vendanges ont commencé hier par un temps lugubre ; elles dureront au moins quinze jours et seront beaucoup plus abondantes qu’on ne s'y attendait.
1717 septembre. — J’ai reçu ce matin l’arrêté du ministre de l'Instruction publique9 qui crée une commission à Besançon pour la publication des mémoires du cardinal de Granvelle10. Les membres de cette commission sont MM. Ordinaire, le recteur, Jouffroy, de la Chambre des députés, Gousset, grand vicaire, et Génisset, secrétaire perpétuel de l'Académie. Comme bibliothécaire, j'en ai été nommé président, honneur dont je me serais fort bien passé car je m'en reconnais bien indigne, en toute humilité.
1818 septembre. — J'ai vu M. Babey11 de Salins, l'un de nos plus savants botanistes. Il m'a dit qu’il avait, d'après mes avis, refondu son Guide du Botaniste dans le Jura et qu'il me soumettrait de nouveau son manuscrit quand il l'aurait recopié.
1919 septembre. — Aperçu succinct sur l'ordre des chevaliers de Saint-Georges au Comté de Bourgogne, suivi de ses statuts et règlements et de la suite de tous les chevaliers qui y ont été reçus, etc. Vesoul, imprimerie de Bobillier, in 8°. C'est un nouvel ouvrage de M. le marquis de Saint-Mauris, chef de l'ordre qui s'est éteint pendant son gouvernement et dont tous les efforts ne peuvent le faire renaître.
2020 septembre. — L'Impartial, distribué ce soir, contient deux critiques des réparations que l'on vient de faire à la salle de spectacle. La seconde, signée « un artiste amateur » est de M. de Boulot. Le ton en est convenable, mais ses observations sont peu fondées. L'autre, rédigée sans doute par un de nos peintres, furieux que l'on ait fait venir des artistes de Paris pour exécuter un travail qu’il se croit en état de faire beaucoup mieux, est signée Nostradamus et Mathieu Lænsberg12. Ces deux noms cachent une plaisanterie que je ne devine pas. Le rédacteur, quel qu'il soit, met les injures à la place des raisons et ne sait pas les premiers éléments de la langue qu'il outrage autant que le bon sens.
2121 septembre. — Lettres de Mgr Tharin, ancien évêque de Strasbourg, à M. le comte de S. sur l’ouvrage de M. de Lamennais intitulé : Paroles d'un croyant. Lyon, imprimerie de Rusand, in 8°.
2222 septembre. — J'ai dîné hier chez M. du Magny13 en belle et nombreuse compagnie. Au nombre des convives se trouvait M. Adolphe de Circourt, employé dans la diplomatie par l'ancien gouvernement et qui, après la révolution de 1830, passe son temps à visiter les capitales de l'Europe et à voir ce qu'elles renferment de plus rare et de plus curieux. Il est impossible de se faire l'idée d'une mémoire plus étonnante. Comme sa conversation est toujours intéressante, on l'écoute avec plaisir et c'est seulement pour l'acquit de ma conscience que je remarquerai ici qu'il aime peut-être trop à faire parade de son savoir. L'histoire ancienne et moderne, les arts et l'archéologie, la linguistique et les sciences abstraites, tout est également de son ressort. Il parle de tout et parle de tout également bien. Ce qui me semble merveilleux, c'est qu'il n'avance aucun fait sans lui donner une date précise. A propos de la récente éruption du Vésuve dont il n'avait pas connaissance, il a cité toutes celles dont l'histoire fait mention, comme s'il eût eu un livre sous les yeux. Un instant après, la conversation étant tombée sur Michel-Ange, il a nommé tous les chefs-d'œuvre de cet admirable artiste en indiquant, s'ils ne subsistent plus, la galerie ou le cabinet qui les possèdent. M. de Circourt part demain pour visiter avec sa femme, qui n’a guère moins de mérite que son mari, le midi de la France qu'ils ne connaissent pas encore. Leur retour aura lieu à Besançon dans les premiers jours de novembre et ils se proposent d'y passer l'hiver.
2323 septembre. — Les vitraux de Saint-Jean sont arrivés. On attend d'un jour à l'autre l'architecte Robelin14 qui doit venir de Paris pour les placer. Ils représentent les quatre évangélistes dessinés par Boulanger.
2424 septembre. — Sous le porche de l'abbaye, traditions franc-comtoises et neuchâteloises15. Pontarlier, imprimerie de Laithier, in 8°. C'est l'œuvre d'un jeune homme qui vient de terminer ses études au collège de Besançon. Il ne manque pas d'une certaine facilité à imiter les formes de style mises à la mode par les réformateurs. Quelques-uns de ses propos ne seraient pas désavoués par les chefs de l'école romantique, mais il ne connaît pas assez l'histoire et il ne se doute pas des mœurs et des usages des franc-comtois du xvième siècle. Ce nouvel écrivain se nomme Ch. Willemin, il est de Morteau.
2525 septembre. — Le professeur Tissot vient de traverser Besançon, se rendant à Pontarlier dans sa famille. Il se met sur les rangs pour la chaire de philosophie que la retraite de M. Astier a rendue vacante.
2626 septembre. — Le jeune Wey, que son père a envoyé faire son cours de droit à Paris, semble moins disposé à augmenter un jour le nombre des avocats que celui des littérateurs16 Il travaille en ce moment à un roman dont il a pris le sujet dans la chronique de la maison de Rye. Le lieu de la scène est au château de Balançon17 où le duc de Randan, l'un des derniers commandants de la province, tenait sa cour au milieu du xviiième siècle.
2727 septembre. — L'Impartial contient la réponse aux critiques de la salle de spectacle. Ce pauvre M. de Boulot, qui s'était caché sous le nom d'un artiste amateur, est assez malmené par le défenseur des décorateurs parisiens. Il lui reproche son goût pour les choses qu'il admirait dans sa jeunesse, mais ce qui lui fera le plus de peine, c'est que le critique se moque de ses tableaux qui, nous sommes bien forcés d'en convenir, ne sont rien moins que des chefs-d'œuvre. Le voici sans doute dégoûté de donner son avis dans les journaux sur les productions des arts en Franche-Comté. On dit que l'auteur de cet article assez méchant est le jeune Martin, l’architecte qui a suivi plusieurs années les cours de l'école de Paris.
2828 septembre. — Destinée sociale par Victor Considerant. Besançon, imprimerie de Sainte-Agathe, in 8°. Le premier volume vient de paraître. L'ouvrage est destiné à populariser le système de l'association dont Fourier est l'inventeur. Il est écrit avec un talent assez remarquable pour que l'impartial puisse en faire l'éloge sans compromettre son parti, mais si l'ouvrage doit avoir du succès, ce ne sera pas en Franche-Comté, pays du bon sens et où les systèmes ne sont admis que lorsque l’expérience en a démontré les avantages.
2929 septembre. — On vient de commencer la démolition de l'ancien hôtel du Sauvage, rue Saint-Vincent. Il ne restera bientôt plus dans la ville aucune maison à pignon sur rue18.
3030 septembre. — Charles III ou l'Inquisition, drame en 4 actes et en prose par M. d'Epagny. Paris, Marchant, in 8°. Cette pièce a été jouée avec succès sur le théâtre de la Porte Saint-Martin.
Notes de bas de page
1 Paul-Benoît Edouard Baille (1814-1888) avait été élève de l'école de dessin de Besançon avant de travailler avec Picot à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. Il fut le portraitiste de nombreuses personnalités franc-comtoises : Flajoulot, le marquis de Terrier-Santans, Jean-Agathe Micaud, Léon Bretillot, etc... Il travailla aussi pour plusieurs édifices religieux de la ville (Brune, Dictionnaire des artistes...).
2 Ce bibliothécaire parisien était déjà passé par Besançon sur la route de la Suisse en 1833 (Journal, ii, p. 307).
3 La maison des champs de Justin Girod de Chantrans, à Champvans près de Baume-les-Dames (Journal, i, p. 146, note 1 et ii, p. 368, note 25).
4 Charles-Pierre, comte Gaspard de Pons (1798-1860). Cet officier était aussi un homme de lettres qui collabora aux Annales romantiques (1825-1839).
5 Le comte Pellegrino Rossi (1787-1848), économiste et homme politique français, était d'origine italienne. Il avait enseigné le droit à Genève où il s’était réfugié en 1815, puis au Collège de France en 1833. Il devait mourir à Rome, où l'avait envoyé Guizot, tué par les révolutionnaire romains.
6 Amédée Thierry, préfet de la Haute-Saône (voir Journal, II, p. 381, n. 63bis) de 1830 à 1838, avait occupé une chaire d’histoire à la Faculté de Besançon qu’il dut abandonner à cause de ses tendances libérales, sous le ministère Polignac. Son frère Augustin Thierry (1795-1856), l’auteur célèbre des Récits des Temps mérovingiens (2 vol., 1835-1840), a consacré sa vie à l’histoire.
7 L'Impartial était dirigé par Just Muiron, lui-même « premier » disciple de Fourier. Sur les tendances fouriéristes du journal, consulter M. Vogne, L a presse..., etc... L’ouvrage de Considerant dont parle Weiss devait paraître de 1834 à 1839 en plusieurs volumes, sous le titre : Destinée sociale.
8 Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin (1801-1873), écrivain et homme politique. Nommé professeur de poésie française à la Sorbonne en 1834, il devait attaquer vigoureusement les romantiques dans son cours de littérature dramatique en 1843. Libéral en politique, il collabora au Journal des Débats, siégera à droite à l'Assemblée constituante de 1871.
9 Guizot.
10 Sur la composition et les travaux de la commission, voir S. Lepin, “Charles Weiss et la Franche-Comté”, Mém. Académie Besançon, vol. 183 (1978-1979), pp. 333 et suiv.
11 Claude-Marie-Philibert Babey, de Salins (1786-1848) ; il devait publier en 1845 une Flore jurassienne en 4 volumes.
12 Mathieu Lænsberg était le pseudonyme de l'auteur du premier almanach de Liège (1636), recueil de prophéties populaires qui parut jusque vers le milieu du xixe siècle.
13 Charles-Alexandre Foillenot du Magny (1772-1838) connu comme artiste amateur (Journal, ii, p. 327).
14 L'architecte Robelin, ami du peintre Louis Boulanger, était déjà passé à Besançon en 1829 en compagnie de Sainte-Beuve. Dans le volume II du Journal, son nom n'avait pas été lu correctement : il fallait lire Robelin et non Rubichon.
15 L'ouvrage figure dans la rubrique bibliographique de l'Annuaire du Doubs de 1835 avec ce titre : Chroniques franc-comtoises et neuchâteloises.
16 Francis-Alphonse Wey (1812-1882) fit cependant une licence de droit avant de passer à l'Ecole des Chartes. Il sera président de la Société des gens de lettres de 1853 à 1865.
17 Guy de Lorges, duc de Randan possédait au xviiie siècle le château de Balançon (Ougney, Jura) et y menait grande vie. Ce château avait appartenu à la famille de Rye. Il n’en reste que des ruines et les communs transformés en bâtiments de ferme par le cultivateur, actuel propriétaire : les vingt-huit vaches de son troupeau sont à l’étable entre une double rangée de colonnes supportant les voûtes anciennes !
18 Il n'en reste en 1989 que quatre ou cinq, la plus célèbre étant rue Battant. Plusieurs de ces pignons ne sont cependant que des retours : celui, à redents, du Palais Granvelle sur la rue de la Préfecture et, en face, celui qui fait face à l'église St-Maurice dans la rue de la Bibliothèque.
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